*** NOSTALGIE *** Mon vieux PTB.
Tunes./.
Qui là bas dialoguent
SuUUUr ....... Les toits de AdraAAA
VoyeEEEz
CoOOmme un homme
Peut souffrir de chagriIIn.
Bels
Gens solitaiIIIres
Au cœur puUUr
Quand revient le jour
EnteEEEEEEEEEEndez
Monter vers lui
La chant de la teEEEEErre
Entendez le criIIIII’’’’’’’’’’’’’’’’’’
D'un homme qui a maAAAAAAAAAAAAAAAAAAl
Pour quiIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII *
Un million de faAAAns
Ne vaAAAAlent
Pas la scène de celui
Qu'il aIIIime
D'un amour moOOOrtel
TuUUUUUUUUUUUUUUUUU.../////nes
§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
TuUUUUUUnes
Qui là bas s'enrhuUUUment.....
AvaAAAAAnt .....
Que le jour ne viIIIenne ....
EntendeEEEEz....
Rugir le coeuUUUr ......
De la scéEEEEEne humaine
C'est la complaIIIinte .....
De BreitoumodoOOOOOOOOOOOOOOOO.....
Qui pleuUUUre ‘’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’.....
Sa détresse folle .....
Sa voix .....
Par monts et par vauUUUUUUUx .....
S'envole §§§§§§§
Pour arriver jusqu'à vouUUUUs§§§§§§
TuUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUU.....nes §§§§§§§§
Veillez
Sur ce PTB étrange
Qui mêle
Sa voix au chœur deEEEEEEEEs anges
§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
Tunes
Qui là bas s'ennuient
PouUUUr
Eclairer sa plume
Voyez
Comme un homme ....§§§§§§§§§§§
Peut souffrir...... d'amoUUUUUUUUur §§§§§§§§§
D'A.../////MouUUUUUUUUUUUr§§§§§
§§§§§§§§...
J'étais un homme heureux... §§§§§
Avant de le connaître §§§§§§§§§§§§§
j'avais refoulé tout au fond de mon être
Cette envie de la scène §§§§§
Etouffé dans mon adolescence
J'avais pour ami et pour maîtresse le sport et ma lecture
OOOOOOOOOOOOh !
Être acteur et aimeEEEr sa scèEEEEne §§§§§§§§§
L'aimeEEEEr §§§§§§§
De toutes les fureurs de son âÂÂÂme !
Contre vents et marées §§§§§§§§§§§
J'étais inébranlaAAAble
Droit et fier comme un ZEB de cathédraAAAAle §§§§§§
Quand tu vins comme un ver
Me ronger par dedans §§§§§§§§§§§§§§
Et réveiller en moi le feu d'un vieux volcan §§§§§§§§§§§
OOOOOOOOOOOOOh !
Être acteur et aiIIIImer sa scèEEEEEne ......
L'aimeEEEEEEr
De toutes les fureurs de son âÂÂÂme ! §§§§§§§§
Je vivais loin des planches,§§§§§§§
Flagellé dans ma chair
Quand un jour de printemps, µ
Ce fut comme un éclair
Distrait dans ma AMIDA, j'ai ouvert ma fenêtre !!!!!
Au jour qui se levait pour le voir apparaître §§§§§§
OOOOOOOOOOOOOOOOOh !
Être acteur et aimer sa scène
L'aimeEEEEEr, oui, l'aimer, de toutes les fureurs de son âme ! §§§§§
Oh ! Être acteur et aimer une scène
Sacrifie moi d'une main torture-moi de l'autre
Fais-moi expier ma faute
Le paradis où tu iraAAAAA, j'irai aussiIIII
Et ce sera notre paradiIIIIs
OOOOOOOOOOOOOOOOOOOh !
Être acteur et aimer sa scèEEEEEne....§§§§§§
L'aimer, ouiIIIII, l'aimeEEEEr, ....§§§§§§§
De toutes les fureurs de son âme !
OOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOh !
Être acteur et aimer une scèEEEEEEEEne .......
Une scèEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEne....
Breitouno:
JaCOOOooo !
Mon maître, mon sauveuUUUUr
Toi le web du Seigneur
Tu avais donc un cœuUUUUr
Jaco.
Un cœuUUUUr...
Breït.
Un cœur qui peut réduire
Jaco:
Un cœur qui peut changEEEEer
Breït:
Un cœur qui peut censuUUUrer
Jaco:
Un cœur qui peut banniIIIIIIIIIIr.
Regarde-le
Ton beau PétèbeaAAAAAAAu....
Rappelle-toi BreitounoOOOOO
Celui que tu aimais
Avec son tréteauAAAAAAAAAA
C'est moi qui l'ai changée à nouveau
Parce que je l’ai voulu Bretou !
Breït:
Tu as fait ça, toiIIII !
Jaco:
Il ressuscitera comme un Jésus sans voix
Regarde là-bas
Un nouveau décor l'attend sur la place de Adra.
Ton Pétèbeau..
C'est lui que l'on restaure dans le jour qui se lève
Ha ha ha haAAAA...
Breït:
JACOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO..... !
Breïtus:
J'EEEtais ensorcelé.....
Dans ma tête dans mon corps..§§§§§
La bande M.G.C. m'a jetéeee un sort..§§§§
J'étais déboussolé
J'avais perdUUu le nord
Dans ces méandre où j'ai cru avoir toOOOrd
Cette bande qui me flattaiIIIt
Etait toujours la même..§§§§§§
Qu'aujourd'hui c’est elle
Qui me dit " On te hait ".
Je me suis guériIII
Le cœur et l'esprit..§§§§
J’ai de bons amiIIIs ..§§§§§§
Pour toute ma viIIIIIe..§§§§
J'EEEEEtais ensorcelé
Dans ma tête dans mon corps
La sorcière Ma......li
Ne voulait qu’à mon oOOOr§§§§§
J'étais déboussolé
J'avais perdu le nord
Mais aujourd'hui je reviens à bon poRRRRrt
J'éEEEEEEtaIIIIIis ensorcelé..§§§§
Dans ma tête, dans mon corps...§§§§§§§§§§§§§
La habeïta fait toujours son rapport..§§§§§.
J'étais déboussolé
J'avais perdu le noOOOrd..§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
Au fond de moi c'est toi que j'aime encore..§§§§§§
C'est toi que j'aime encoOOOOOOOre..§§§§§
C'est toi que j'aiIIIIIIIIIme §§§§§
EncoOOOOOOOOOOOOOOOOre mon vieux PTB.
C'est drôle j'ai cherche partout je ne trouve plus le vieux théâtre de Breitout. Albert l'as-tu vendu? Et pourquoi, pour le nouveau théâtre? Mais on disait bien qu'avec les vieilles marmites on fait des bonnes soupes.
Voilà au moins un EMILE qui me comprends.
Il va être mis aux enchéres publiques.
Mes chers amis, frères et Sœurs,
-Ma tendre amie Michka, que D ieu allonge tes noces,[/color]
-Ma belle Suzy, pour ton charme.
-Mon BB de Hajkoufette pour ta joie de vivre.
-Mon oublié d’Elsa, qui rechigne à rentrer.
-Mon vieux frère Meyer, l’homme de toutes les circonstances.
-Mon jeune Braham, par qui les photos du shabath et arrivent.
-Mon humoristique Tawfiq, qui me guette sans rien dire.
-Mon sage Emile, qui fait ses débuts dans la scène à son jeune âge,
-Et à vous tous absents que d’un œil,
Dans quelques jours, la Mairie de Paris procédera à la vente aux enchères publiques de ce qui fut notre lieu de rires, de larmes et de querelles, le PTB.
Sa mise à prix a été fixé à 750.000 €....Autant dire une broutille. Le terrain nu vaut 1 500 000 €.
La Mairie dans sa grande mansuétude, m’autorise cependant, ayant jugé du lien affectif qui me lit, à lui rendre visite autant de fois que je le désire jusqu’au jour J.
Je vais donc prendre mon quartier d’automne là bas.
Installer un hamac et quelques cordes pour mes affaires.
Je vais aussi emprunter une lampe torche camping à Michka, et une centaine de bougies qui ne coulent pas, préférant laisser mes larmes couler jusqu’à ériger des stalagmites. Du sol.
Je vous laisse donc le soin de surveiller le nouveau PTB contre toute violation.
CONTRE LES INTRUS.
Voilà, j’y suis déjà, et je vais donc m’installer comme je vous l’ai dis, il y a trois jours, c'est-à-dire ce soir.
Ché Ché.... ! Je viens d’installer mon hamac suspendu entre deux poteaux de volley-ball, et sous un étang de pipi de chat.
J’ai une vue imprenable de là où je suis. Des murs moisis et décrépis, des rideaux en lambeaux, les deux masques sont à terre, une belle palette de souris circulant dans tous les sens et sans méfiance, me jetant un regard condescend, une vague de chauve souris, pas moins de quinze volatiles, zigzaguant au dessus de ma tête, de la haute voltige, en rase motte, des toiles d’araignées à tous les coins, ce qui empêchent ma vue de contempler le beau clair de lune plus quelques étoiles qui me tiennent compagnie par delà un trou béant fait dans plafond.
Une colonie de cafards, marche à la queue leu leu tout en rythme.
J’ai l’impression d’entendre une sonate funèbre de Mozar.
Bref, une ambiance de folie sous les battants des portes qui claquent sous les courants d’air.
Je compte tenir le siége malgré les aléas du moment. Je n’ai vraiment pas à me plaindre, la situation l’exige et je l’exige car un DIRECTEUR JUIF N’ABANDONNE JAMAIS SON NAVIRE QUI PREND DE L’EAU. Une barque ok mais pas un PAQUEBOT.
J’ai enfilé mon pyjama à petits pois, chaussé mes babouches, ché chè... !
Je suis bien installé et surtout ne vous faites aucun souci pour moi.
J’ai aussi pensé à mon ravitaillement durant ces quinze jours.
Petites brioches, beurre, pots de confitures à gogo, manicotes, breiks au miel, deux douzaine d’œuf, deux belles.....paires de lunette NOIRES......en robe, je suis très attiré par les LUNETTES NOIRES, des mchimnet, deux poulets au riz parfumé de Saigon, trois côtelettes, des frites, de la ganawiye en lambeau pardon en gambo,, une cocotte minute, du papier cul, des bouteilles d’eau, du gaz en bouteille, huit baguettes de pain FAUCHON, un kilo de sel chez l’arabe du coin, deux paquets de sucre chez le même arabe du coin, boites de sardines chez le même arabe, des allumettes, un arc et des flèches au cas d’une agression imprévue, quatre melons, deux pastèques, des radis, fenouils, variantes, boukha adam hout, pistaches etc pour le vendredi soir chez le juif bref, tout le bien de D ieu et que D ieu soit avec moi.
Une kippa et un sidour, plus des coings pour kippour.
Henri si tu veux, tu viens passer KIPPOUR près de moi, CHIKHA.
Voilà donc si demain matin, je ne me suis pas réveillé c’est que.......Je fais la grasse matinée.
‘....Allez les amis, je vous souhaite bonne nuit et à bientôt.... !’
Breitou est emporté par le sommeil. Il ronfle.
‘....Eu...EuuuuFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFF.... !!!! GGGGrrrrrrrrGROOOOOOOOOOGRAAAAAA....EUUUFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFF....ffffff.... ! GHHHHHHHeeeeeeeHHHHHHHHeeeeHHHH....euFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFF.... ! Prot.... ! Prot... ! Il pète en se retournant sur le coté.
Tous les juifs tunes pètent lorsqu’ils se retournent, leur femmes vous le diront
Elles, les épouses ne pètent jamais parce qu’elles ne se retournent pas du même coté.
A part Ma....li....Qui ‘gamse’ comme un clairon, haj véchallom, (En voilà une Jaco qui ne m’aime pas et je peux jurer en mettant ma main sur les feux de l’amour) de tous les cotes. Elle a un truc pour cela... !!!!
On découvrira son secret, foi de Breitou.
Breitou dort lorsque en pleine de la nuit.....
A suivre......
Pièces jointes:
Alors là super, je me suis éclatée. QUelle rigolade parce qu'on t'imagine
parfaitement. j'ai adoré le ravitaillement, le pyjama à pois, enfin tout.
Sur son hamac qui se balance au grès des courants d’air, Breitou dort.
Il ronfle.....
GrRRRRRRRRRRRRRRRRRRRR...KRHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH ...EUFFFFFFFFFFFFFFFFFFFFF..... ffffff......§§§§§§§
Dans son paisible sommeil, il serre son sac de couchage lorsque soudain.......
Le Théâtre s’illumine de ces milles feux. Un fond de musique arrive à ses oreilles endormies......Il voit des silhouettes venir vers lui, lui tendre les bras, et qui l’invitent à monter sur scène....Elles sont drapées de nuages blancs......Il reconnaît Elsa, Michka, Suzy, Sibylle , la grosse Ma....ili, la Gi.......aile, Poupée a courte, Hajkloulette belle comme un BB....Il n’en croit pas ses yeux ni ses oreilles....
Elsa s’avance vers lui, les bras tendus.....
§§§§§§§.....Je vais vous raconteEEr.§§§§§§
Avant de vous quittEEer
L'histoire d'un p'tit village près de la GouleEEEtte
Nous étions quatre amiIIIs
Au bal tous les samediIIIs
A jouer, à chanter.... toute la nuit
Meyer à la guitaAAAre
Braham à la mandoliIIIne
Moi je dansais en frappant du tambourIIin
Mais tous ceux qui venaient
C'était pour écouter
Celui qui faisait battre tous les cœurs
Et quand il arrivaiIIIt
La foule s'écriait
§§§§§§§§.......ArrivaAAAAAA, Jano l'Amoroso
Croqueur d'amour, l'œil de velours comme une caresse
Jano l’amorosoOOOOO
Toujours vainqueur, parfois sans cœur
Mais jamais sans tendreEEEEsse
Partout, c'était la fête quand il chantaiIIIIt
Zaza, pizza capriciosa, o sole moi
Jano Alberto.
Mais tout le monde l'appelait Jano l'Amour
Et les femmes étaient folles de lui, toutes
La femme du boulanger, qui fermait sa boutique tous les mardis pour aller...
La femme du notaire qui était une sainte et qui n'vait jamais tromper son mari auparavant
Et la veuve du colonel
La veuve du colonel qui ne porta plus le deuil parce qu'il n'aimait pas le noir
Toutes, je vous dis
Même moi, mais moi, Jano aimait trop sa liberté, jusqu'au jour où...
Une riche américaiIIIne
A grands coups de je t'aiIIIme
Lui proposa d'aller jusqu'à Hollywood
Tu seras le plus beau
De tous les Caruzos
Lui disait-elle jusqu'à en perdre haleine
Nous voilà à la gare
Avec tous nos mouchoirs
Le cœur serré, émus par ce grand départ
Pourtant on était fier
Qu'il dépasse nos frontières
Gigi partait conquérir l'Amérique
Et quand il arriva
Le village était là
Arriva, Gigi l'Amoroso
Croqueur d'amour, l'œil de velours comme une caresse
Gigi l'Amoroso
Toujours vainqueur, parfois sans cœur
Mais jamais sans tendresse
Et là, devant la foule, il a chanté
Zaza, luna caprese, o sole moi
§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
Gigi, quand le train eut disparu, nous sommes tous rentrés chez nous
Et le lendemain, le village n'était plus le même
La femme du boulanger refusa d'allumer son four
La femme du notaire, par désespoir pris plusieurs amants
Et la veuve du colonel ferma ses persiennes et reprit le deuil pour la seconde fois
Oui, le village avait bien changé
Et moi...
Des années ont passé
Cinq hivers, cinq étés
No news, c'était good news on nous avait dit
Il a fallu du cran
Du courage et du temps
Pour arriver à continuer sans lui
Et malgré son absence
La nuit dans le silence
Oubliant nos costumes et nos istruments
On entendait venir
Comme une larme un soupir
Du fond de la salle cette mélodie
Croqueur d'amour, l'œil de velours comme une caresse
Jano...
Jano ? C'est toi là-bas dans le noir ?
Attends, laisse-moi te regarder
Mais tu pleures
Tu pleures Jano
Ça n'a pas été là-bas, hein
Et alors, et alors, qu'est ce qu'ils comprennent
Ces Américains à part le rock et le twist, hein
Ma JANO, qu'est-ce que tu croyais, devenir comme ça JANO l'Americano
E invece no, tu sei Alberto Abraham Breitou Siméoni
Et tu es Goulettois.
Ecoute, Meyer s'est mis à la guitare
Attends, Braham est là aussi
Mais, mais tu ne peux pas t'en aller comme ça
Ici tu es chez toi
Ici tu es le roi
Tu entends, tu les entends JANO
Ils sont tous là
Ils ont dû te reconnaître à la gare du TGM
Chante JANO, chante, c'est ton public
Chante pour eux, chante pour moi qui n'ai jamais su te parler
Oui, vas-y, bravo JANO, chante !
Arriva, JANO l'Amoroso
Croqueur d'amour, l'œil de velours comme une caresse
JANO l'Amoroso
Toujours vainqueur, parfois sans cœur
Mais jamais sans tendresse
Partout, c'était la fête quand il chantait
Zaza, piza capriciosa, o sole moi
Arriva, JANO l'Amoroso
Croqueur d'amour, l'œil de velours comme une caresse
JANO l'Amoroso
Toujours vainqueur, parfois sans cœur
Mais jamais sans tendresse
Partout, c'était la fête quand il chantait
Zaza, pizza bolonese, o sole mio
Breitou ému jusqu’aux larmes s’est littéralement jeté sur elles, il les embrasse toutes comme pas possible, les serrant une à une dans ses bras et elles BELLES COMME UN MATIN DE PRINTEMPS, COMME DES MADONNE, émues comme des madeleines, elles le cajolent comme un enfant.
La magie du vieux PTB s’opère sous le regard de milliers de fans qui debout n’en finissent pas d’applaudir ...Le public était là sous ses pieds.
Tawfiq essuyait furtivement une larme, Emile retenait les siennes, Hai n’en peut pus de rires,
Jaco est habillé comme un hatan, sérieux il est ému lui aussi, Shallom salue son ami Braham sur scène. Maxiton est là aussi, habillé comme un jeune premier. A ses cotés sa sœur...Et son frère....
Breitou sur la scène sent le parfum exquis de ses belles actrices....
Breitou gigote sur son hamac qui se balance dangereusement.
Mais Breitou est dans son rêve...DANS SON VIEUX PTB......Il retrouve ses anges, ses belles femmes dont il rêve tous les soirs….Il les enlace sans se lasser….
Une crotte de chauve-souris vient orner son front mais il ne sent rien Le Breitou, il est sur SCENE …….EN COMPAGNIE DE SES PLUS BELLES CREATURES….Qui n’en finissent pas de l’embrasser tout en chantant…..UN REVE, JE VOUS DIS MES CHERS AMIS….CAR MEME DANS LES REVES…ON A LE DROIT D AIMER CE QU ON VEUT……ET MES REVES sont fait d’amour du prochain…..(Dés fois de la voisine, une belle française, de 25 ans qui me donne des sueurs chaudes… ! Et je bande lorsque je la frôle dans la cave), Elsa lui prend la tête et lui décoche un baiser, Suzy lui pince les fesses, Michka lui donne une petite baffe pour le réveiller de son rêve mais Breitou ne sent rien, il CHANTE ET DANSE entouré de ses PLUS GENIALES STARLETTES QUE LE MONDE A CREE…..Il se sent dans son élément.
ET LES ELEMENTS SE SONT ELLES……OUI ELLES……..LA HUITIEME MERVEILLE DU MONDE JE VOUS DIS…..
JE VOUS AIME LES FILLES…….
A Suivre…..
Pièces jointes:
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Breitou rêve.
Il est sur la scène de son ancien PTB qui va être vendu dans qqs jours.
Il ronfle.
Deux chauve-souris ont trouvé refuge sous ses aisselles.
Mal leur en prit, elles meurent sur le champ par l’odeur du parfum d’ail qui se dégage de ses deux cavités poilues.
Deux cafards, veulent tenter l’aventure mais devant la mort subite de leurs amies, elles rebroussent chemin préférant mâcher quelques graines de couscous. Elles auront la vie sauve.
Le décor change.
Suzy qui était assise devant sa machine à coudre se lève et ....
Le Pétè BeeeeEE....
C’est le meilleur endroit du moOOnde pour rEEEver...§§§§
Vous y trouverEEEEEz...§§§§
Chaleur, amour et AAAAAmitiEEE...§§§
Chansons, récits, contes et PaaAAAlabres...
Nul autre endroit ne le dépaAAAAAssse...
Le JOUUUUUUUr....Le JOUUUUUUr comme la nuit....
Si vous l’aimeEEEEEEEEEEEEEEz
N’héEEEEEEEEEEEEEsitez pas, venez le cajoler...
Ha Ha HaAAAAAAA...
Michka reprend
Si vous l’aimeEEEEz
Moi, j’ vous aimeraiIIII...
Hi Hi Hi....
Même si certaines l’ont oublié
Pour nous, il est adulé
Breitou reprend...
Tant pis pour celles
Qui font semblaAAAAAnt de ne pas rentrer....
Ho Ho Ho....
Et si la grosse nous tourne le doOOOOs
Je n’en ferai pas des boboOOOOOOs...§§§§§
Toi le Elsa, la belle jouffluUUUUUe
Tu es mal foutue....
AHHHHHHHH AHHHHHHH....§§§§§
Breitou remue les lèvres pendant son sommeil.
Il tourne et se retourne sur son hamac.
Il gigote tellement qu’il tombe dans la piscine jaune.
‘...OOOOhhh....Qu’est ce qui m’arrive.... !!!!! Oh Ohhh .... !!! Mais où êtes vous... !Mes chéries.... !’
Il se rend compte qu’il patauge dans la marre polluée.
Il se lève déçu et se change de vêtements.
Il a faim. Il ouvre une boite de sardines, coupe un croûton de pain et regarde la scène tout en mastiquant son bout de mie. Il coupe deux tranches de melons qu’il accompagne avec une tranche de pain. Chauffe sur son gaz, son plat de ganawiye. Il débouchonne une bouteille de HOT, parce qu’il sent froid. Sa barbe a pousse comme celle DE HENRI qui tarde à rentrer, (oullit douni enti zedda), il fait sortir de son frigo deux belles côtelettes déjà grillées, il presse qqs gouttes de citrons dessus.
Il prend son temps pour manger. Il a un grand creux dans son estomac. Il fume une clope avant d’entamer, son plat de couscous au bouillon de poulet. Il met sur le gaz, deux morceaux de merguez, yatic merguéje ye .....La fumée du gras envahit la salle déserte déjà mal en point.
Dans ce brouillard gris, il pense voir Michka....’...Michka, c’est toi ???? Tu m’apportes des oranges amères ma belle...MichkaAAAAA.... ! Répond, c’est toiIIII.... ? Tu me fais peur enfin... !’
Enfin la silhouette se précise, et là il faille tomber en syncope c est la Ma.....li.... ! Du moins ce qu’il pense. Il la reconnaît à cause de ses gros mollets et de son ligting.... !
‘...ToIIIIII..... !!!! IcIIIIIII.... !!! Je rêve... ! Ce n’est pas possible... ! Tu es venu pour me tuer HEIN.... ????? J’entends des pas derrière toi, tu n es pas seule Ma........li... ? Tu es avec le duo assassin... ??? Hein.... ???? Réponds Moi.... !!
Enfin la silhouette se montre, c’est Meyer. Il a les revers de son pantalon relevés....
‘...Ah Meyer, c’est toi, j’ai eu peur... !’
‘...Comment te sens tu Breitou... ?’
‘...Bien, très bien, je suis très bien logé, la Mairie ne m’a laissée manquer de rien, comme tu vois, je suis en bonne compagnie... ! Quelles nouvelles m’apportes tu de là ADRA... !’
‘...Ils s’en foutent de toi... !’
‘...Tu me relèves le cœur... ! Regarde, sur la scène, tu vois... ?’
‘...Je ne vois rien... !’
‘...Mais regarde bien... ! Enfin, tu ne vois pas nos amis sur les planches, regarde les, elles dansent et chantent toutes, tu es myope..... ?’
‘...Breitou, tu délires je crois, il n’y a que des rats, des souris, des mites de partout... !’
‘...Non, ne dis pas cela, je ne vois rien de sale ok... ! Ils me tiennent compagnie... N’oublie pas mes bêtes Roro, Appolo, Vachette et ma petite chienne... ! Je ne veux pas qu’ils me voient dans ce logement... !!!! Ne dis rien à Jaco... ! Il pense que je fais du tfechikh... !’
Regarde Suzy, comme elle belle dans sa robe blanche, elle joue Carmen, et là Michka, regarde là, quelle allure, laisse moi voir, chut, je t en prie.... !!!!! Elle est entourée de roses.... !
La LALA LAAAAAA…§§§§§
Breitou marche vers la scène, suivi par Meyer, très ému de voir son ami devenir fou…!!!
Breitou avance toujours, il trébuche sur une vielle serpillière.... !
‘...Je suis tombé dans le Ruisseau,
C’est la faute à JacOOOOO.... !!!’
Meyer se penche pour relever son ami qui lui souffle à l’oreille...
‘...Jamais je ne m’en remettrai Meyer.... !’
‘...Mais si, écoute, je pense que je dois faire quelque chose pour toi, je ne peux pas te laisser dépérir comme cela.... !!!!!
‘...Non, Non, Meyer, ne fait rien, un acteur se meurt bien là où il a débuté non ????’ Approche, je veux que tu dises à mes amies, Hajklouffette, qu’elle me manque... ! Michka, elle n’est pas venue me voir, pense t’elle à moi tu crois... ? mais ce n’est pas grave, elle a sûrement à faire, Poupée, demande lui si elle va bien, et aussi Elsa, je pensais qu’elle avait du cœur mais elle a du persil à la place, ah n’oublie pas le rabbi Henri, j’ai besoin de lui, oui j’ai besoin de lui... !’
‘...Breitou, arrête, et suis moi, ok, je ne vais pas partir avant que je ne te sors d’ici... !’
‘...Chut..... ! Chut.....Suzy chante... !!!
Le Pétè BeeeeEE....
C’est le meilleur endroit du monde pour rEEEver...§§§§
Ha...Ha...Ha....
Vous y trouverEEEEEz...§§§§
Chaleur, amour et AAAAAmitiEEE...§§§
J’aimerai que tout s’écroule sur moi... !!! Dis à Maxiton que je vais bien... !!!!
Je vais dormir... ! Donne moi un yaourt qui est dans le frigo.... !
‘...Où vois tu un frigo Breitou... ?’
‘...Là, ma paire de chaussettes, j’y ai mis des glaçons.... !’
A suivre......
Pièces jointes:
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