OPERATION PANIERS de POURIM pour les SOLDATS de Tsahal
Chers amis,
L'année dernière nous avions organisé l'opération
"Paniers de Pourim pour les enfants du Sud".
Grâce à votre soutien des centaines de paniers de friandises et douceurs avaient égayé le cœur d'enfants dans la détresse.
Cette année, nous avons décidé de remercier
les soldats de l'armée d'Israël.
Il y a quelques semaines des milliers de soldats et réservistes avaient été réquisitionnés pour une opération militaire ayant pour but de stopper les tirs de roquettes.
Ils ont combattu pour que les habitants du sud d'Israël vivent dans la sérénité et la tranquillité. A notre tour de leur exprimer notre reconnaissance en offrant un panier de Pourim aux soldats qui ont risqué leur vie pour nous défendre.
Cette opération aura aussi un caractère éducatif puisque ce sont les enfants des différentes sections locales qui distribueront les paniers aux soldats de Tsahal.
Une occasion pour nos éducateurs d'inculquer les valeurs de solidarité et de générosité.
Le prix d'un panier est de 15 euros.
Vous pouvez vous joindre à cette belle action en offrant
un ou plusieurs paniers.
Aux noms des soldats de Tsahal, d'avance merci.
Olivier Granilic
Je désire participer à cette opération de solidarité, et j'offre :
1 panier : 15 euros / 70 ISH
5 paniers : 75 euros / 350 ISH
10 paniers : 150 euros / 700 ISH
Autre montant : ... euros / ... ISH
Plusieurs façons de participer à cette opération
Depuis la France
* Par chèque libellé à l'ordre de "Aide aux enfants"
8 rue du Docteur Pellat, 93500 Pantin
Tél : 01 48 44 63 96
En Israël
* Par chèque libellé à l'ordre de "Torah BeTsion Tsedek"
POB 10252, 91102 JERUSALEM
* Par virement bancaire direct:
TORAH BETSION TZEDEK
Banque Mizrahi
Compte : 267039
Agence : 402 Jérusalem DAVIDKA
Code swift: mizbilit
Merci au nom des enfants
Les dons à Tsedek sont déductibles des impôts en France comme en Israël
Tinghir, le Cimetière Juif
Sentiment, Candeur, Croyance et Force
ne sont ni à vendre et ni à acheter
Par Thérèse Zrihen-Dvir, Ecrivain
Déléguée Générale et co-fondatrice de l'Association Israélienne pour la Préservation, la Diffusion & le Rayonnement du Judaïsme Marocain
זוהר - העמותה לשימור ולהפצת מורשת יהדות מרוקו
Depuis le début de la semaine, nous ne cessons de recevoir un déluge de courrier ahurissant, nous annonçant la mise en vente de terrains de Tinghir, à des fins de prospection et d'exploitation. Les terrains en question sont en effet l'ancien cimetière des juifs de Tinghir.
L'image qui flasha instantanément devant mes yeux, fut celle de ma dernière visite en 1964, de la tombe du renommé rabbin de l'Ourika, Rabbi Shlomo Bel Hence (qu'il repose en paix), plus connu comme le patron de la vallée de l'Ourika.
Le rabbin défunt était respecté et vénéré aussi bien par les juifs que par les musulmans et il le reste à ce jour.
Je n'oublierai jamais l'attention avec laquelle la famille musulmane, qui résidait près de la sépulture, s'occupait du nettoyage de la chambre mortuaire et la soignait. Avec un brin de nostalgie, je me souviens de leur égard envers les visiteurs et surtout leur connaissance de la légende du Rabbin, qu'ils me débitèrent d'un trait. En tant que juif j'eus honte de mes lacunes. Je restais sidérée devant leur jeune fils lorsqu'il parlait des miracles que le rabbin faisait durant sa vie et même plus tard dans l'au-delà. Il connaissait les prières de façon parfaite et les rites. Il me conseilla d'allumer des bougies qu'il m'aida à positionner et tout cela, sous la voûte de l'amour et du respect.
Je crois avoir quitté la magnifique vallée verdoyante avec sa cascade d'eau glacée et pure de l'Ourika, les yeux pleins de larmes.
Comme c'est bon de se rappeler de ces instants uniques et magiques.
"C'était un saint homme pour tous les êtres humains, juifs et musulmans ensemble," me dirent-ils en me regardant droit dans les yeux. "Les berbères aussi viennent le visiter pour lui demander de les guérir de leurs maladies," m'assurèrent-ils.
Ce sentiment, cette candeur, cette croyance et cette force qui nous unissaient au-delà de nos barrières religieuses ne sont ni à vendre et ni à acheter.
J'aime à croire que cette initiative ne fut pas lancée par des natifs marocains. Les connaissant très bien, il m'est difficile de concevoir qu'ils aient changé de peau.
Depuis mon départ du Maroc en 1967 et à ce jour, tous ceux qui ont eu l'opportunité de voyager au Maroc m'ont certifié que les synagogues et les cimetières juifs sont gardés, soignés et entretenus par les musulmans locaux.
Le patrimoine juif du Maroc ne doit jamais disparaître, ne peut jamais disparaître, non seulement pour les générations à venir, mais surtout pour l'histoire du Maroc, dont il a fait, des siècles durant, partie intégrante.
Je rends hommage à tous ces êtres simples qui ont placé leur foi dans l'amour du prochain et j'ose espérer que cette foi ne permettra à personne de piétiner les restes des juifs du Maroc.
Thérèse Zrihen-Dvir
Ecrivain
Déléguée Générale et co-fondatrice de l'Association Israélienne pour la Préservation, la Diffusion & le Rayonnement du Judaïsme Marocain זוהר - העמותה לשימור ולהפצת מורשת יהדות מרוקו
Israël
[www.therese-dvir.com]
Après son ignorance sur les mauvais agissements de Monseigneur WILLIAMSON, dont les propos négationniste ont soulève un grand tsunami, un grand tollé ondulé, mettant mal à l’aise et la curie et la communauté chrétienne de par le monde, et aussi les juifs piqués au vif par cette levée de l’excommunication, vient dénoncer le port du préservatif ou la capote dite anglaise lors de son dernier périple dans un continent qui a le plus besoin de se couvrir le gland au risque de voir le SIDA s’aggraver.
Il se couvre bien la tête lui mais interdit aux bittes vadrouilleuses africaines de s’envelopper par un léger plastic qui diminue déjà en épaisseur afin de rendre le contact charnel plus vrai que nature.
Cette interdiction touche déjà mon commerce. Je commercialise les capotes et si les africains vont bouder mes petits préservatifs, je n’aurai plus que mes quatre tifs à soigner.
Concurrence déloyale. Entre vous et moi, des sœurs africaines, des clientes engrossées alors qu’elles ne le souhaitaient pas se sont plaintes à moi de ce que certains concubins trouent l’appendice pour mieux les piéger. Les naïves, neuf mois plus tard, se retrouvent avec des bébés de pères inconnus. Autant pour elles qu’elles ne se retrouvent pas malades par des pratiques bien traitres. Depuis, le tam tam a joué et les filles africaines parisiennes déjouent ces tentatives malhonnêtes en posant elles mêmes, pour plus de précaution, cette fameuse protection afin d’éviter ces désagréments qui les laissent dans le plus grand désarroi.
Notre Pape BENOIT prêche donc la bonne parole dans un continent où le sex est roi.
Lorsqu’on sait que les jeunes filles encore pubères sont souvent victimes d’abus sexuels.
Le plus souvent entre membres de même famille.
Des jeunes filles vivent des drames épouvantables dans les villes et surtout les villages où la loi du silence règne en maitre.
Si on plus du viol ou de la maltraitance qu’elles subissent, elles se retrouvent sidaiques à 20 ans, il est fort à parier que cette jeunesse laissée à l’abandon parce que porteuse du mal maudit, la misère n’en sera que plus grande et difficile à contenir.
C’est un peu comme les lépreux souvent rejetés dans ces pays d’Asie qui vivent d’aumône
En tendant des moignons.
Le Pape devrait bien réfléchir à ce qu’il va dire lors de sa prochaine apparition en terre sainte. Je lui conseillerai surtout de ne pas parodier le DE GAULLE d’un haut d’un minaret
Avec un ‘...JE VOUS AI COMPRIS... !’ Chez les palestos.
Ce qui est à craindre,
Pour l’instant nous avons compris que le faiseur de bêtises bien saint auréolé par la grâce divine devrait tourner sa langue papale à sept reprises avant de nous accoucher d’une autre connerie.
Qui ? Sonia Bergerac. Bergerac comme Cyrano. Sonia comme toutes les beurettes pour qui leurs parents jouent la carte de l’assimilation, de l’intégration dans la communauté culturelle française. Bergerac, vous êtes sûr ? Une beurette ? Elle l’est — on ne le saura qu’à la fin, entre un père muet de l’avoir trop aimée, et une mère en larmes. Quand il sera trop tard. Quand elle aura été abattue par une police qui tire toujours trop vite. On achève bien les profs.
Crétin. Adjani l’a dit.
Adjani ? Allons donc ! Cette star si rare, invisible, qui, d’interviews en interviews, explique qu’elle a inscrit son fils dans le privé, pour lui éviter la catastrophe qu’est devenu l’enseignement public en France… Sortie de sa thébaïde pour jouer dans un film à petit budget, un objet télévisuel — qui a permis samedi dernier à Arte de battre des records d'audience…
Elle n’a pas lu Meirieu, Adjani. Elle ne sait pas que si ça va mal, c’est qu’on n’a pas assez détruit. Pas assez pédagogisé. Pas assez donné de pouvoir aux IUFM, aux syndicats crypto-cathos, aux profs qui se réfugient dans les sciences de l’Education faute de connaître leur propre discipline, aux « professeurs des écoles » qui font le Connac dans l’Hérault et ailleurs, parce qu’ils ne savent pas comment enseigner le b-a-ba (1), et qu’ils n’ont rien à dire aux élèves de GS…
Crétins !
Elle l’a dit, Sonia Bergerac. Comme moi. Avec violence et passion... La suite ici http://bonnetdane.midiblogs.com/ par l'excellent Jean-Paul Brighelli qui a écrit "la fabrique du crétin".
Les 178 commentaires suscités par l'article vont nous régaler je pense.
La leçon de résistance d'Isabelle Adjani
Par Ivan Rioufol le 25 mars 2009 12h42
Je serais curieux de savoir ce que pense (mais j'en ai comme une idée) le sociologue Laurent Mucchielli du film "La journée de la jupe", qui sort ce mercredi après avoir été diffusé vendredi sur Arte (record d'audience : 2,2 millions de téléspectateurs). Régulièrement invité par les médias, il répète que les problèmes des cités sont exclusivement sociaux. Faire prévaloir des données ethniques ou culturelles revient, pour lui, à soutenir une forme de xénophobie. Dans Le Monde daté de mercredi, il comparait encore le phénomène des bandes des cités à celui des Apaches ou des blousons noirs au XX è siècle. Avec ce même raisonnement, il avait contesté la spécificité des viols collectifs (les tournantes) dans les banlieues. Muchielli est la voix exemplaire du politiquement correct, qui consiste à refuser de regarder la réalité en face. Or, même la députée PS, Delphine Batho, le constate: "On ne peut nier l'existence d'un vrai problème de sécurité dans les banlieues, et pas seulement pour des causes sociales" (Le Figaro, lundi).
"La journée de la jupe", de Jean-Paul Lilienfeld, décrit tout ce que la sociologie bien pesante, répercutée par les médias, s'emploie à dissimuler : la démission de la République devant les minorités, l'ensauvagement de nombreux jeunes de cités, l'emprise de la culture musulmane sur leurs comportements, notamment vis-à-vis des femmes. Ce film courageux, qui s'est plié à la règle du théâtre classique des trois unités (comme le fit Sidney Lumet dans Un après-midi de chien), est tenu à bout de bras par une surprenante Isabelle Adjani, qui se prête à une efficace dénonciation de l'Education nationale accommodante. "Votre seule chance, c'est de travailler à l'école",dit-elle, dans son rôle de résistante laïque et de professeur de français essayant de faire apprendre Molière à une classe multiethnique. Reste à espérer que ce film salutaire aura le succès d' "Entre les murs", qui flattait, lui, la déculturation. http://blog.lefigaro.fr/rioufol/2009/03/la.html
Un extrait du dossier où on reste très politiquement correct sur les médecins étrangers de peur d'être traités de racistes
« Pour être bien soigné, il faut être initié »
Le Point : Quel jugement portez-vous sur la qualité des soins dans les hôpitaux français ?
Henri Giudicelli : Il y a une dégradation du système. Surtout en chirurgie. Il y a trente ans, la plupart des chirurgiens sortaient du même moule. A partir des années 90 s'est produite l'arrivée de praticiens étrangers qui n'ont pas reçu cette formation classique et le phénomène n'a fait que s'accentuer. D'abord, parce que les sirènes du secteur privé ont attiré beaucoup de médecins du public ; ensuite, parce que bon nombre d'hôpitaux se sont retrouvés avec des postes vacants. Or, dans 60 à 70 % des cas, le niveau de ces praticiens n'est pas suffisant. Attention, ce n'est pas parce qu'ils sont étrangers, mais parce que leur formation n'est pas parfaite. Ils exercent dans de petits et moyens hôpitaux, mais également dans des centres hospitaliers universitaires.
Le service rendu par les cliniques privées est-il meilleur ?
Tout n'est pas noir et blanc. Dans le privé, les difficultés existent aussi au niveau des praticiens. Mais à un niveau moindre. Pour les chirurgiens, l'attrait du privé est fort, pas seulement pour la rémunération, mais aussi en raison du confort de travail. Le service rendu au patient est souvent bon. Mais c'est d'autant plus facile que les cliniques n'ont pas, sauf exception, les contraintes du service public, notamment celle d'assurer la permanence des soins.
Vous semblez très négatif ?
Ce qui me rend fou de rage, c'est que, pour être bien soigné aujourd'hui, il faut être initié, savoir où aller. Choisir le public ou le privé, c'est fonction du territoire de santé. On devrait avoir les mêmes chances, quel que soit l'endroit où l'on habite. Ce n'est pas le cas. L'accès aux soins de qualité partout et pour tous n'est plus garanti. Cela dit, les choses commencent à changer. L'évaluation des pratiques médicales, par exemple. Si elle ne fait pas partie de la culture médicale française, on y vient toutefois doucement.
Croyez-vous que l'hôpital public peut se relever de la crise qu'il subit ?
Oui, j'y crois. D'abord, parce qu'il existe d'excellents hôpitaux, universitaires ou non. Mais il faut faire vite. On doit faire revenir les meilleurs chirurgiens à l'hôpital public. Pour cela, il faut regrouper les équipes, améliorer le fonctionnement de l'hôpital et rendre les postes de praticiens plus attractifs, en améliorant la rémunération. Mais la contrepartie est qu'ils soient évalués, afin que la qualité soit au rendez-vous
Propos recueillis par Philippe Houdart, François Malye et Jérôme Vincent
L’anniversaire cette année du PTB prend grâce à vous toutes et vous tous, un virage à 360°.
J’étais bien loin d’imaginer qu’un jour ou un soir une bronca survenue dans le GTB entre femmes bien douces, admirables en tous points, puisse donner un tel élan magique à ce qui était ‘...UN PTB A L ESPRIT MORT.. !’. Selon l’expression consacrée, le PTB a tiré les bons marrons du feu qui couvait là bas.
Depuis sept ans, j’ai toujours honoré cet anniversaire, en compagnie de quelques amis et surtout avec ma préférence Madame Michka, que je salue bien bas.
Une amie fidèle qui m’a toujours secondée avec belle manière et sa franche sincérité surtout ses encouragements dans les moments où elle sentait monter en moi une certaine déprime, une envie de tout plaquer au vu de la désertion de cet espace qui depuis trois mois a repris
Ses lettres de noblesse.
Que n’a-t-on pas dit surtout derrière mon dos, que n’a-t-on pas chuchoté comme médisances, et que n’a-t-on pas écrit sur moi, et surtout insinué par des esprits chagrins, plus aptes à cultiver la jalousie maladive, génétique de ceux qui se reconnaitrons.
Que n’a-t-on pas tenté de faire pour séparer deux amis fidèles et honnêtes... !
Hélas pour eux.
Lorsque deux esprits complices dans le rire, dans la joie et dans la tristesse se rencontrent, tout ce qui peut se raconter, penser ressemble a de la pipi dans le désert.
Madame Michka, bien que votre absence marque ce manque de ne pas vous lire, je vous prie de bien tenir compte que l’hommage que je vous rend au vu et au su de tous nos amis ici présent est sincère et que mon amitié reste envers vous INDÉFECTIBLE.
Vous avez inscrit sur le PTB vos marques d’attention envers lui et surtout la grande estime que vous avez envers ce ‘farfelu, ce clown, etc...’ Qui fait tout pour enrichir ce GRAND ESPACE qui n’existe nulle part ailleurs.
Grâce à Mamili notre chef d’œuvre, et à Suzanne, mes deux amies retrouvées, grâce à D ieu, le KFE crée sur une idée de Mamilos, est devenu l’espace de la culture, des chants, des poèmes et de la musique,des compositions florales, des déjeuners, des alliances, des échanges, des sketchs, des récits, des grands-parents, l’espace complet poisson dans lequel tout se dit se raconte avec bonne humeur.
Aujourd’hui, le PTB, grâce à ces nouvelles dames et à ces hommes au cœur généreux que je cite, FANFINA, MaYte, Titrine, Carlita, Brunette, Lola, Suzanne, Eliane, Scarlett, Mamili, Ava, Blata, Dolphino Meyer, Baham, Tawfiq Jacquie, Camus, et plus sobrement Freddy, Vivi, a retrouvé ses couleurs. Son entrain et sa tchatche. La bonne humeur, la convivialité, la fraternité, l’humour, la poésie donnent à cette ambiance, chaque soir chaque matin, des airs de Fête.
Vous avez choisi la gaité en laissant la morosité vivre ailleurs.
Vous avez choisi ce que le cœur vous a inspiré et dicté et la raison approuver.
Vous avez choisi de porter haut le flambeau de ce PTB.La qualité.
Vous avez choisi de donner à l’amitié un vrai sens particulier, son essence.
Vous avez choisi de partager vos peines et vos joies sans restrictions.
Avec brio et intelligence en laissant de coté les sarcasmes, les sous entendus.
Et les portes paroles de la médisance.
Vous avez choisi ce que tout homme et femmes libres et intelligents choisissent.
Ouvrir son cœur avec générosité afin de prouver que vos sentiments sont purs.
Vous avez choisi l’espace de tous les délires.
Vous avez fait le bon choix.
Notre directeur bien surpris par cette belle gouaille s’investit autant qu’il le peut et tant que
D ieu lui donne l’énergie, avec vous dans cette belle aventure qu’il souhaite la plus belle et la plus longue possible.
Ne le quittez jamais parce que lui, il a tous vos pseudos inscrits dans son cœur.
Ici vous êtes sous la protection de ACHEM.
Car celui qui fait rire fait une GRANDE MISTWA.
Selon HENRI BUENO le rabbin de service.
Vous êtes toutes et tous LES MITSWAS du PTB.
Comme un pré vieux juif tune, qui n’a rien perdu de sa tradition, il vous envoie ses bénédictions les plus chaleureuses en judéo arabe, dans sa langue maternelle.
Rabi lei ââricom ou berec oulidetcom Rabi mei chouicomch, Rabi yaticom él couah, rabi in chemane cen kol khir.Ou i bayad ââlinè el ghyar.
Que Dieu vous garde vos époux et épouses et bénit vos enfants.
Que D ieu ne vous en prive jamais.
Que D ieu vous donne la force et l’énergie.
Que D ieu nous fasse entendre que de bonnes et belles choses.
Et que D ieu vous éloigne des tourments.