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Politique en Israel

Envoyé par lapid 
Gaydamak - Drole ( !) de personnage mais surement pas un ange !
01 septembre 2007, 07:59
LU SUR ADRA

Par Lapid le samedi 14 juillet 2007 - 10h24:

En reponse a TUN (lire plus bas)

Drole ( !) de personnage mais surement pas un ange !

Effectivement , Gaydamak est un drole d’ange (!) qui sait profiter du desarroi de certaines couches de la population devant l’inaction d’un gouvernement incapable de resoudre leurs problemes (entre autres, sociaux ou securitaires). D’ailleurs, il n’a pas resiste plus longtemps pour mettre "cartes sur tables" et fonder son propre parti auquel il a donne le nom de "Justice sociale" avec l’objectif avoue d’avoir 30 a 40 deputes aux prochaines elections en esperant avoir le soutien des israeliens d’origine russe, de certaines couches desheritees de la population, de certains milieux religieux et de certains milieux politiques. Il pretend s’interesser uniquement a la Mairie de Jerusalem mais il est evident que ses veritables ambitions sont de se trouver un jour a la tete de l'Etat d'Israel. Il parle d’apporter son soutien a Bibi Natanyahou (qui, a mon avis, ferait une erreur fatale en acceptant un tel soutien. !).

D'autre part, Gaydamak organise souvent en Israel des fetes somptueuses pour attirer a lui le soutien de "la High Society Israelienne" et de certains milieux politiques. Arcadi Gaydamak y fait des apparitions de "Parrain", entoure de sa garde de securite personnelle pour presider "l'assemblee de ce joli monde" !

Franchement, apres toutes les affaires de corruption qui ont « sali » le renom de notre pays, Israel n’a vraiment pas besoin de s'encombrer d’un tel personnage !

En fait qui se cache derriere le personnage si controverse de Gaydamak ?


Arcadi Gaydamak est un homme d'affaires et financier angolo-canado-franco-israélien d'origine russe et de religion juive (né le 8 avril 1952 à Moscou).

Après une enfance passée à Moscou dans une famille fortunée, Arcadi Gaydamak part dans sa jeunesse pour Israël avant de s'établir en France. Il y devient, dans les années précédant la chute du mur de Berlin, interprète auprès de personnalités soviétiques, se constituant ainsi un premier réseau de relations qu'il va mettre à profit quand il débute dans les affaires, à la fin des années 1980.

Arkadi Gaydamak possède quatre nationalités : angolaise, canadienne, française et israélienne. Il fait l'objet d'un mandat d'arrêt en France dans le cadre des l'Angolagate (Affaire des ventes d'armes à l'Angola) et a une lourde dette envers le fisc français.

Affaire des ventes d'armes vers l'Angola

Gaydamak se livre dans les années 1990 à de fructueuses affaires entre la Russie, la France, Israël et l'Afrique dans l'ombre de Pierre Falcone. À ce titre, il est impliqué dans l'affaire des ventes d'armes à l'Angola (Angolagate).
Il reprend, à très bon compte, la dette de l'Angola envers l'URSS et sert d'intermédiaire pour 500 millions de dollars de livraisons d'armes russes. (Affaire de la dette angolaise)

Les réseaux

Arcadi Gaydamak et la nébuleuse Tchernoï

Arkadi Gaydamak figurait aux côtés des frères Tchernoï, dès le début des années 1990, dans les affaires dites des avisos, qui leur ont permis de voler des dizaines de millions de dollars à la Banque centrale de Russie. Gaydamak fut aussi lié au groupe Tchernoï par ses activités financières, notamment avec les banques Menatep et Rossiïski Kredit et le groupe aluminier Rusal.
Arcadi Gaydamak fut associé à Lev Levaev dans la société Africa-Israel. La société Africa-Israel prit pied en Angola et tenta de briser le quasi-monopole de la De Beers dans le commerce mondial des diamants. Arcadi Gaydamak finança Alimzhan Tokhtakhounov, dit le Taïwanais, émissaire en Europe du principal chef mafieux russe Viatcheslav Ivankov, emprisonné aux États-Unis.

Jean-Charles Marchiani et le RPF

Il aurait joué un rôle dans la libération d'otages français en Bosnie en 1995 et en Russie en 1998 et a reçu l'ordre national du Mérite de Jean-Charles Marchiani, élu du Rassemblement pour la France (RPF) de Charles Pasqua, sur le contingent de la Présidence de la République.

Refuge en Israël

En 2000, encourant le plus gros redressement fiscal jamais exigé en France (près de 500 millions de francs) et visé par un mandat d'arrêt international depuis le 6 décembre 2000, M. Gaydamak evite de justesse une arrestation et la perquisition à son domicile de l'avenue Foch à Paris et se réfugie à Londres puis en Israël. Dans un premier temps, il s'agissait pour lui d'effectuer sa « période de réserve » dans l'armée israélienne. Cette période, d'une durée de trois mois, a pris fin le 1er mars 2001.
Le 5 mars 2001, les juges français ont lancé un nouveau mandat d'arrêt détaillant plus largement les charges pesant sur l'homme d'affaires, notamment poursuivi pour « blanchiment d'argent, blanchiment aggravé, abus de biens sociaux, abus de confiance, fraude fiscale, commerce d'armes illicite ».
Dans un courrier du 23 avril 2001, les juges d'instruction se sont étonnés de n'avoir reçu aucune réponse de l'État d'Israël concernant l'exécution du mandat d'arrêt visant Arcadi Gaydamak, et ont demandé au parquet de Paris de les aider à « résoudre les obstacles éventuels à l'exécution de ce mandat » et que M. Gaydamak est « parfaitement localisable et localisé ». À défaut d'extrader Arcadi Gaydamak, la justice israélienne aurait dû l'interroger sur les faits qui lui sont reprochés, ce qui n'a pas été le cas. Le ministère de la justice israélien a simplement adressé au parquet et aux juges, le 2 mai 2001, une série d'observations: les faits de « trafic d'armes » ne sont pas poursuivis en Israël et le délit de « blanchiment » n'existait pas au moment des faits visés par l'enquête. Les autorités judiciaires israéliennes affirment également que les mandats d'arrêt délivrés par les juges comportent des imprécisions qu'elles souhaitent voir levées.

Retour à Moscou

Il vit depuis 2002 à Moscou. Le 10 juillet 2005, il a annoncé qu'il se lançait dans le sport, devenant le sponsor officiel de l'équipe de basket-ball israélienne Hapoel Jerusalem. Un mois plus tard, il donnait 400 000 dollars au club de football Hapoël Bnei Sakhnin avant d'acquérir le Betar Jérusalem.
Arcadi Gaydamak dirige aussi plusieurs associations juives de bienfaisance et est le président du Congrès des organisations et des communautés juives religieuses de Russie (KEROOR, doyenne des organisations de défenses des Juifs religieux en Russie.
Gaydamak disposerait de quatre passeports, en tant que citoyen de France, d'Israël, du Canada et d'Angola. Sa fortune est estimée à 800 millions de dollars, voire à plus d'un milliard de dollars. Son fils, Alexandre Gaydamak, né en 1976, est aussi un homme d'affaires d'envergure internationale, qui vient de prendre 50 % du club de foot de Portsmouth.

Rachat de France Soir

• Le 14 mars 2006, Arcadi Gaydamak a annoncé sa reprise du quotidien France Soir par l'intermédiaire de sa société Moscow News. Le 28 mars 2006, l'homme d'affaires franco-égyptien Raymond Lakah, propriétaire de Montaigne Press, la holding qui détient France Soir, a annoncé un accord avec Moscow News pour la reprise du quotidien et la poursuite de sa parution.

Références

• « Cinq acteurs de l'économie de l'ombre : Arkadi Gaydamak », Le Monde, 27 novembre 2002
• Natalia Kotliarov, une femme soupçonnée d'avoir transporté des fonds pour le RPF, mise en examen - Le Monde - 05/05/01

[SOURCE : WIKIPEDIA (L’Encyclopedie libre.)
Arcadi Gaydamak : [fr.wikipedia.org]

Pour en savoir plus voir dans Liens : Revue de Presse

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Arcady Gaydamak lance son parti politique en Israël par LEMONDE.FR avec AFP - 09.07.07

Le milliardaire israélo-franco-russe Arcady Gaydamak entend "jouer un rôle central dans la vie politique israélienne, en créant l'opinion publique plutôt qu'en 'adaptant à elle". Il doit lancer son propre parti, "Justice sociale", lors d'assises prévues jeudi 12 juillet à Jérusalem, en présence de quelque 1 400 membres fondateurs.........

L'homme d'affaires de 54 ans ambitionne de remporter aux prochaines législatives prévues en 2010 "entre 30 et 40 sièges" sur les 120 que compte le Parlement. Selon sa charte, Justice sociale sera le parti d'un seul homme, puisque M. Gaydamak sera seul habilité à désigner ses candidats à la Chambre. La formation luttera cependant pour "préserver les valeurs démocratiques d'Israël", et "développer une action directe de justice sociale et économique en faveur des plus défavorisés". Le parti propose aussi de permettre aux centaines de milliers d'Israéliens résidant en diaspora de voter à l'étranger, et de promouvoir la paix ainsi que l'adoption d'une Constitution en Israël (l'Etat juif en est dépourvu).

VACANCES OFFERTES

Des sondages récents prévoient en cas d'élections un spectaculaire recul du parti centriste Kadima du premier ministre, Ehoud Olmert, la montée du Likoud (droite) de Benyamin Netanyahou et du Parti travailliste d'Ehoud Barak. Visiblement embarrassé, un porte-parole du Kadima s'est dit "indifférent" aux projets politiques de M. Gaydamak, qui s'est jadis dit proche de M. Netanyahou.

Propriétaire du Betar, un club de football de Jérusalem très populaire, et de l'équipe de basket-ball de Hapoël Jérusalem, l'homme d'affaires a récemment fait son entrée à la Bourse de Tel-Aviv en prenant le contrôle de l'importante société immobilière d'investissement et de développement OCIF.

Le milliardaire espère dans un premier temps se faire élire à la mairie de Jérusalem. Il compte notamment sur le soutien d'une partie de la communauté des Israéliens originaires de l'ex-URSS, soit un million de personnes. L'été dernier, durant la guerre d'Israël contre le Hezbollah chiite libanais, il s'est acquis une grande popularité en organisant un immense camp de vacances au sud de Tel-Aviv pour accueillir des milliers d'habitants de Galilée visés par des tirs de roquette. Il a ensuite invité près de 2 000 habitants de Sdérot, cible régulière des tirs de roquette palestiniens, à une semaine de vacances dans la station balnéaire d'Eilat.

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Par Tun le vendredi 13 juillet 2007 - 22h31:

Allons les amis vous savez tres bien au fond de vous memes que cet Arcadi Gaydamek n'a rien d'un ange,mais enfin soyons serieux,en étant le conseiller du president angolais je ne vois pas comment il ne serait pas mouillé dans le traffic d'armes de plus le jugement francais a son encontre et pour conclure l'affaire de blachiment en Israel...
Ca fait quand meme trop d'affaires en cours alors je ne pense pas qu'elles soient toute mal fondées.
J'ai vraiment de la peine pour ces israeliens qui sont si enthousiastes par les projets de ce pretencieux mais ce qui m'intrigue le plus c'est la facon d'aboutir a un tel aveuglement de la part d'une population mais cela pourrait peut etre venir du fait qu'il vise une certaine classe dans la population israelienne qui n'est pas assez cultivés et qui n'est pas assez mure pour detecter les failles de ses visions;toute cette histoire a tendance a nous rappeler ces bons vieux dogmes americains qui croient a tout ce qu'on leurs raconte sans meme se poser de question.
Malheureusement le monde est fait ainsi,la minorite eclairé controlle et profite de la majorité aveugle et franchement je dis tant mieux pour elle car si il y a des gens atant passifs alors autant en profiter d'eux.
Il est vrai que M.Gaydamak est un ange mais il serait dans ce cas l'ange de la mort qui a pour buts:acquerire plus de pouvoir et d'argent.
Réveillez vous juifs sefarades et battez vous pour que l'on vous considéere comme membre de la societe israelienne a part entiere,cette societe qui est jusqu'a ce jour controlle par vos (fréres) aschkenazes qui vous sousestiment et qui n'ont que mepris pour vous.
Pièces jointes:
Arcasi Gaydamak.jpg
Gaydamak passe a l'attaque
01 septembre 2007, 08:19
Gaydamak passe a l'attaque

Le milliardaire Arkady Gaydamak participait, mercredi, à une session de la Commission parlementaire de contrôle de gestion de l'Etat qui débatait du rapport du Contrôleur de l'Etat au sujet de la gestion du front civil durant la guerre du Liban de l'été dernier. Celui qui entend prendre part à la vie politique d'Israël a comme prévu transformé un débat sérieux en un véritable show et a accusé les ministres du gouvernement de n'être motivés que par l'argent.

Retour en images sur un débat mouvementé. 30/08/07

Source : Infolive.tv [www.infolive.tv]
LIBRE OPINION : Critiquer les États-Unis, comme c'est facile !
01 septembre 2007, 06:58
LU SUR ADRA

Par Eyal le samedi 14 juillet 2007 - 20h47:

Source : Lu dans le Figaro du 13 juillet 2007 :

Critiquer les États-Unis, comme c'est facile ! Par Claude Mosséri-Marlio, industriel, professeur à l'université Schiller.

"Une équipe de football qui n'aligne sur le terrain que huit joueurs ne peut gagner. C'est le cas de l'Amérique en Irak. La France, l'Allemagne, l'Espagne lui ont fait défaut en bonne partie pour des raisons de politique intérieure. Un déploiement supplémentaire de 30 000 hommes, au début du conflit, aurait vraisemblablement permis d'étouffer dans l'oeuf les violences entre factions religieuses rivales. Or les forces anglo-américaines sont trop dispersées pour maintenir la paix. Certes aujourd'hui, les armes de destruction massive n'existent pas. Mais à l'époque ? Et sûrement demain. Le tandem George W. Bush-Tony Blair a eu raison de renverser Saddam Hussein, en vertu des génocides qu'il a perpétrés, même si le bourbier demeure.

Le parallèle avec un conseil d'administration est frappant. Souvent la discussion entre administrateurs est houleuse, mais une fois la décision prise, elle doit se faire unanime pour être efficace. Ce ne fut pas le cas en Irak d'où, pour l'Occident tout entier, un désastre tant politique qu'économique. À qui la faute ?

Critiqué en Irak, George W. Bush l'est tout autant pour sa politique écologique : déficit budgétaire, dette nationale, réchauffement de la planète. Le président Clinton a transmis à son successeur un budget en équilibre, voire positif. George W. Bush l'a transformé en déficit. Pourtant, en regardant de plus près, le bilan du président américain est nettement positif. Le déficit tant décrié est la résultante d'une baisse significative des impôts tant pour les sociétés que pour les particuliers. Les effets ont été immédiats. Actuellement, le chômage en Amérique est de 4,5 % contre 8,4 % chez nous. Les États-Unis, en 2006, ont créé 2 millions d'emplois nouveaux contre 200 000 embauches en France, soit le double, compte tenu de la population respective des deux nations. Par rapport au PIB des deux pays, la croissance aux États-Unis était en 2006 nettement supérieure à la nôtre (3,5 % contre 2,1 %) ; leur déficit budgétaire inférieur au nôtre (1,9 % contre 2,7 %) ; tout comme leur dette nationale (37 % contre 64 % pour l'Hexagone). Néanmoins, il y a des trous d'air patents dans l'économie américaine. Leur déficit commercial dépasse les 6 % du PIB, clignotant rouge particulièrement dangereux pour le dollar : le même phénomène ayant provoqué l'effondrement des monnaies asiatiques en 1997.

Malgré cet avertissement, les capitaux continuent à affluer aux États-Unis. D'ailleurs un revirement de tendance serait aussi catastrophique pour l'Europe que pour eux. Un dollar carrément plus faible serait un désastre nécessaire pour nos exportations outre-Atlantique.

Même s'il a modifié récemment sa politique écologique, en préconisant une conférence internationale sur le réchauffement de la planète, George W. Bush a manqué de tact diplomatique en refusant de signer le protocole de Kyoto. Mais, celui-ci a-t-il vraiment un sens si l'Inde et surtout la Chine ne le signent pas ? Cette dernière est dans le monde, le pays qui rejette le plus de CO2 en fonction d'une part du rôle primordial qu'y joue le charbon (40 % de sa consommation énergétique) et d'autre part, de la croissance galopante de son parc automobile. Le problème de la pollution ne se cantonne pas aux seules puissances développées.

Tout compte fait, il ne faut ni encenser l'Amérique, ni lui jeter l'opprobre. Face aux problèmes d'aujourd'hui et de demain, l'Occident tout entier doit marcher d'un seul pas, particulièrement en ce qui concerne l'Iran. Dans les négociations et les sanctions à appliquer à ce pays, il est impératif que l'Occident continue à parler d'une seule voix : l'union finalement réalisée ces derniers mois a déjà marqué des points à Téhéran. Les chefs religieux semblent rechercher un compromis. Le président Mahmoud Ahmadinejad a subi un revers aux élections régionales et municipales en raison de sa politique internationale outrancière et de ses piètres résultats sociaux. Maintenant il doit, en outre, faire face à un mécontentement houleux avec le rationnement de l'essence alors que l'Iran est le quatrième producteur mondial et le deuxième en réserves pétrolières.

Par conséquent, il est grand temps d'arrêter cette guerre larvée contre l'Amérique et son président. L'unilatéralisme américain, le nationalisme russe, l'exception française ne sont plus de mise car ils ne mènent qu'à un cul-de-sac. Les blocages, les divisions, les guerres ont fait leur temps. Même s'il est difficile à trouver, un consensus mondial est indispensable pour aller de l'avant. Place maintenant aux pensées et aux actes positifs, seul moyen de sauver la planète politiquement, économiquement et écologiquement.

En paraphrasant André Malraux : «Au XXIe siècle, l'Occident sera solidaire ou il ne sera pas.»
LU SUR ADRA

Par Lapid le vendredi 07 juillet 2006 - 23h54:

REACTION aux declarations du Département fédéral suisse des Affaires étrangères (DFAE)sur le conflit franco-israelien (5 juillet 2006)


16:33 ''En faisant porter au seul Etat d'Israël la responsabilité de la dégradation de la situation, la position unilatérale du Département fédéral suisse des Affaires étrangères (DFAE) nous semble très injuste'', a écrit le Prof. Dr. Alfred Donath, président de la Fédération suisse des communautés israélites (FSCl) à Micheline Calmy-Rey, le 5 juillet. (Guysen.Israël.News)

''Les juifs de Suisse ne comprennent pas le parti pris de votre Département, dont le communiqué ne mentionne que les conséquences et en ignore les causes. Depuis des semaines, des obus tirés à partir de Gaza pleuvent sur la ville de Sderot, dont la population est obligée de se réfugier dans des abris. Le 5 juillet, il en est même tombé à Ashkalon. Passant par des tunnels souterrains, des groupes palestiniens ont enlevé un jeune soldat israélien, dont on peut craindre qu'il ne soit finalement froidement assassiné comme ce fut le cas d'un jeune qui faisait de l'autostop. C'est le devoir de tout Etat de protéger ses citoyens et le gouvernement israélien réagit de la manière qui lui semble la plus appropriée. Toutes les souffrances de la population civile auraient été épargnées si le soldat avait été libéré et les tirs d'obus avaient cessé''.

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La position de la Suisse ne nous etonne pas. D'autant plus que c'est celle d'un pays au passe si controverse durant la seconde guerre mondiale et a la "Neutralite" plus que douteuse.
Hommage a Pierre Mendes-France
18 août 2007, 01:09
Par Lapid (Lapid) le dimanche 18 mars 2007 - 14h43:

Hommage a Pierre Mendes France

Pierre Mendès France Par Jean Lacouture,

Le 25 janvier dernier, une avenue Pierre Mendès France était inaugurée dans le 13ème arrondissement de Paris. Pour Tohu Bohu, celui qui fut le biographe de Mendès revient sur l'identité juive et l'engagement en faveur de la paix au Proche-Orient de l'ancien Président du Conseil.

Vingt ans après sa mort, près d’un siècle après sa naissance, moins d’un demi-siècle après qu’il eut donné à la France, pendant 230 jours, l’exemple du " bon gouvernement ", Paris où il est né, où il est mort, vient enfin de donner le nom de Pierre Mendès France à l’une de ses avenues. A la cérémonie inaugurale, la gauche était largement représentée – notamment par quatre anciens premiers ministres. Mais la droite au pouvoir brillait par son absence, ce qui aurait suscité son ironie, plutôt que son chagrin…
L’homme qui, de Gaulle excepté, sert de référence à la vie publique française depuis la Seconde Guerre Mondiale était né à Paris dans une famille de modestes commerçants du 3e arrondissement, doublement juifs : son père avait des origines séfarades portugaises portant un nom très banal dans ce pays, assorti d’un " de França " qui le rattache à notre pays depuis le xvie siècle ; sa mère, Palmyre Kahn, était alsacienne, comme Léon Blum......Suite

Pour en savoir plus :

Deux livres sur Mendes France :

[cultureetloisirs.france2.fr]

Pierre Mendès France en héritage :

[www.desinfos.com]
Re: Hommage a Pierre Mendes-France
18 août 2007, 02:14
Pour en savoir plus

1/ Deux livres consacrés à Mendès France:

[cultureetloisirs.france3.fr]

2/ Biographie de Pierre MENDÈS FRANCE :

MENDÈS FRANCE 1907 - 1982

Député, Homme d'état (Francais)
Né le 11 janvier 1907
Décédé le 18 octobre 1982 (à l'âge de 75 ans)

Issu d'une vieille famille d'ascendance portugaise, Pierre Mendès France devient en 1926, après des études de droit et un passage par l'École libre des sciences politiques, le plus jeune Avocat de France ; il a alors 21 ans. Très intéressé par les questions économiques et financières, il soutient en mars 1928 une thèse sur la politique de redressement du franc menée par Raymond Poincaré, dans laquelle il salue son action monétaire, mais critique les conséquences économiques et sociales de la politique de restauration du franc. Parallèlement à ses études, il se tourne vers le militantisme. Il sera l'un des membres dirigeants de la Ligue d'Action Universitaire Républicaine et socialiste, un mouvement étudiant d'opposition à l'extrême droite, très actif dans le Quartier Latin à la fin des années 1920. Pierre Mendès France apparaît alors comme l'un des espoirs du parti radical auquel il est inscrit depuis l'âge de seize ans.

Il fait partie, aux côtés de Jacques Kayser, Gaston Bergery, Pierre Cot, Jean Zay ou encore Bertrand de Jouvenel, des « jeunes turcs » qui réclament un renouvellement de la doctrine du mouvement, demandent son ancrage à gauche et contestent les orientations de la direction du mouvement incarnée par figure historique d'Édouard Herriot.

Député de l'Eure à partir de 1932 et maire de Louviers à partir de 1935, il prend la tête de la commission des douanes de la Chambre des députés, avant d'être nommé sous-secrétaire d'État au Trésor dans le deuxième et éphémère gouvernement Léon Blum (du 13 mars au 8 avril 1938). Il élabore avec le directeur de cabinet de Léon Blum, Georges Boris, un projet de réforme économique audacieux, axé sur le contrôle des actifs et sur le soutien à l'investissement militaire dont l'exposé des motifs se réclame pour la première fois en France de précepts keynésiens. Très contesté, ce projet sera rejeté par le Sénat, ce qui précipite la chute du Gouvernement.

Député au moment de l'armistice de juin 1940, il est mobilisé comme officier d'aviation. Il est de ceux qui veulent poursuivre la guerre en Afrique du Nord, et s'y rend avec l'accord de ses supérieurs sur le vaisseau « Massilia ». Il est arrêté la-bas sur l'ordre du Résident général Noguès et accusé de désertion alors que bien au contraire il est de ceux qui veulent se battre, à la différence des généraux qui le jugent. Il est alors incarcéré par le régime de Vichy.

Il s'évade en 1941 et rejoint les Forces Aériennes Françaises Libres à Londres et participe aux combats, en qualité de capitaine pilote observateur, au sein du groupe de bombardement Lorraine. Nommé par le général de Gaulle, en 1943, commissaire aux finances, dans le Comité français de la Libération nationale d'Alger, il représente la France à la conférence de Bretton Woods avant de devenir ministre de l'Économie nationale du Gouvernement provisoire de la République française, en 1944. En désaccord avec René Pleven, ministre des finances, sur l'orientation à donner à la politique économique, qu'il désire énergique, il démissionne en avril 1945, faute d'obtenir le soutien du général de Gaulle pour mettre les mesures de rigueur monétaire (estampillage des billets)que lui semble exiger la situation économique du pays.

Nommé au conseil d'administration de la banque mondiale et du Fonds monétaire international. Il représentera ensuite la France au Comité économique et social des Nations Unies (ECOSOC). À l'Assemblée nationale, il dénonce très vivement, à partir d'octobre 1950, l'engagement militaire français dans la guerre d'Indochine et devient l'un des principaux opposant au conflit. Président de la commission des finances à partir de 1953, les revers rencontrés par les forces françaises finissent par l'imposer comme l'un des recours possibles pour faire aboutir une résolution négociée du conflit.

Après une première tentative infructueuse pour former un gouvernement en 1953, il est finalement investi président du Conseil avec une forte majorité le 18 juin 1954, quelques semaines après la défaite française de Diên Biên Phu. Il dirigera le Gouvernement pendant à peine un peu plus de huit mois, mais son passage aux affaires sera l'un des temps forts de l'histoire institutionnelle de la IVème République.

En dehors d'Edgar Faure, ministre des Finances et numéro deux du gouvernement, son cabinet, qu'il forme sans négocier directement comme c'était l'usage avec l'état-major des partis politiques, comporte peu des poids lourds de la vie parlementaire sous la IVe République. C'est une équipe relativement jeune, resserée et technicienne. On y trouve des socialistes, comme Alain Savary ou Gaston Deferre, des MRP, des radicaux, quelques gaullistes dont Jacques Chaban-Delmas. François Mitterrand en est le ministre de l'Intérieur.

Dans son discours d'investiture, il se donne trente jours faire aboutir les négociations de paix sur l'Indochine. Installant la présidence du Conseil au Quai d'Orsay, il assume en même temps que la présidence du Gouvernement, la direction de la diplomatie et finalement aboutit le 20 juillet 1954 à la conclusion de l'accord de Genève qui met fin au conflit et reconnaît le partage du Vietnam en deux États, au niveau du 17e parallèle. Après le dénouement de la crise indochinoise, il engage des pourparlers qui prépareront l'émancipation de la Tunisie.

Sur le plan institutionnel sa politique se caractérise par un effort de rationalisation du régime parlementaire de la IVème République et par une tentative de rééquilibrage des institutions en faveur de l'exécutif. Refusant le principe de la double investiture par lequel le président du conseil pressenti se présentait deux fois devant la chambre, une fois seul, une fois avec son Gouvernement, il dénonce les marchandages auxquels cette pratique donne lieu et parvient à faire réviser la Constitution de 1946 pour entériner la fin de cet usage. Cette révision donne également l'occasion d'un assouplissement limité du droit de dissolution.

Largement préemptée par les problématiques internationales, son expérience gouvernementale n'a pas le temps de s'inscrire, sur le plan socio-économique, dans des réformes d'ampleur. L'opinion retient néanmoins sa politique de lutte contre l'alcoolisme qui se traduit à l'automne 1954 par une série de dispositions durcissant le régime fiscal des bouilleurs de crus.

Malgré l'hostilité déclarée d'une grande partie de l'hémicycle, il met aux voix, sans le soutenir pleinement, le projet de communauté européenne de défense. Cet échec, qui ouvre la voie au réarmement allemand dans le cadre de l'OTAN, lui vaut l'hostilité ouverte du MRP, très favorable à la construction européenne et prive son cabinet de la base parlementaire indispensable à sa survie au-delà du très court terme.

Son gouvernement est finalement renversé en le 5 février 1955 sur la question du statut de l'Algérie. À nouveau ministre dans le gouvernement Guy Mollet, il démissionne pour cause de désaccord avec la politique menée en Algérie. Opposé au projet de constitution élaboré par le gouvernement de Gaulle, il mène campagne pour le non au référendum du 28 septembre 1958, qui se soldera par l'adoption du projet et la rapide promulgation de la constitution du 4 octobre 1958.

Battu aux élections législatives de novembre 1958, il rejoint alors le Parti socialiste autonome (PSA) qui fusionne dans le Parti socialiste unifié (PSU), et participe à la recomposition de la gauche socialiste. Il soutient la canditature de François Mitterrand à l'élection présidentielle de 1965 et redevient député en 1967.

Lors des événements de 1968, il apparaît dans l'agitation ambiante comme l'un des recours possibles en cas d'effondrement du régime. Son apparition lors d'un rassemblement public au Stade Charlety le 27 mai, durant laquelle il reste toutefois silencieux, lui sera par la suite beaucoup reprochée.

Battu aux élections législatives de 1968, il abandonne ses autres mandats. Gravement malade après 1972, il prend ses distances avec la vie politique française et choisit d'œuvrer en faveur de la paix au Proche-Orient.

Jouissant d'une réelle popularité dans l'opinion, il fut l'un des premiers responsables publics français à intégrer les médias de masse dans sa stratégie de communication. Il bénéficia d'autre part d'efficaces soutiens, comme par exemple le magazine L'Express dirigé par Jean-Jacques Servan-Schreiber. Ses origines juives, ses positions sur la décolonisation et sa politique de fiscalisation des bouilleurs de cru firent cependant de Pierre Mendès France l'une des cibles favorites, en utilisant par exemple son aspect de chien battu, de l'extrême droite et du mouvement poujadiste représentée à l'assemblée à partir de 1956 par Jean-Marie Le Pen.

De nombreux établissements scolaires et universitaires portent son nom (à Paris et Grenoble), ainsi que le lycée français de Tunis. Pierre Mendès France a épousé Marie-Claire Mendès France en 1971 qu'il avait rencontré en 1955.

Source : fr.wikipedia.org/.../edia.org/wiki/Pierre_Mendès_France

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

[fr.wikipedia.org]

3/ Pierre Mendès-France (1907-1982)

[pluriel.free.fr]

[pluriel.free.fr]

[pluriel.free.fr]


[www.hist-geo.com]

4/ Le Juif Mendès France

Nous savons que Pierre Mendès France était juif, et qu'il fut victime sa vie durant d'attaques antisémites incessantes. Ce que l'on sait moins, c'est qu'il était passionné par ses origines, et qu'il a constitué un fonds d'archives impressionnant retraçant la généalogie de sa famille. En s'appuyant sur les archives mises à sa disposition par Michel, le fils de Pierre Mendès France, Gérard Boulanger restitue cette vaste fresque traversant trois pays et quatre siècles, avec un fil conducteur : la persécution des Juifs ou de ceux qui étaient soupçonnés de l'être.

Le racisme moderne est né à Tolède en 1449 avec la traque, par l'Inquisition, des catholiques ayant du «sang impur», c'est-à-dire un converti parmi leurs ancêtres. Plus tard, au Portugal, un certain Luis Mendès de França, catholique fervent, sera dénoncé comme «nouveau chrétien». Il devra dénoncer sa famille pour échapper à l'estrapade, avant de s'exiler en France. Ainsi naît à Bordeaux en 1683 la lignée des Mendès France, judaïsée par réaction à la persécution de l'Inquisition. Deux siècles et demi plus tard, Pierre Mendès France, homme politique démocrate et patriote au-dessus de tout soupçon, se voit, comme Léon Blum, accusé de n'avoir «pas assez de terre française à la semelle de ses souliers», arrêté et jeté en prison sous l'Occupation.

En relatant une histoire familiale marquée par la persécution, ce livre montre la genèse et la persistance d'une névrose européenne et éclaire, à rebours, la vie de cet homme d'exception qu'était Pierre Mendès France.

« Le Juif Mendès France » par Gérard Boulanger, Calmann-Levy, Paris, 2007, 361 p.


[www.crif.org]

5/ « Gouverner c’est choisir »: Discours à l’Assemblée nationale : 3 juin 1953.

[www.assemblee-nationale.fr]

6/ Discours de François Mitterrand, Président de la République, prononcé à l'occasion de l'hommage solennel à la mémoire de Pierre Mendès France

[www.assemblee-nationale.fr]

7/ Dossier à la une : PIERRE MENDES-FRANCE

[www.ina.fr]

8/ LE DISCOURS DE PIERRE MENDES-FRANCE LE 31 JUILLET 1954

[www.harissa.com]
Pièces jointes:
PIERRE_MENDES_FRANCE_AU_PALAIS_DE_CARTHAGE....jpg
Re: Hommage a Pierre Mendes-France
18 août 2007, 02:49
Pierre Mendès France en héritage, par Bertrand Le Gendre - LE MONDE - 17.02.07

Pierre Mendès France aurait eu cent ans le 11 janvier : c'est l'occasion de s'interroger sur l'héritage de l'ancien président du conseil (1954-1955). Héritage politique et intellectuel, spirituel aussi. Le culte dont il est l'objet est toujours vivace, comme l'a montré le colloque "Pierre Mendès France le juste", qui a réuni récemment au Sénat ses proches, des historiens et d'anciens collaborateurs. "Nous sommes tous des mendésistes", leur a dit Michel Dreyfus-Schmidt, sénateur socialiste du Territoire de Belfort, en les accueillant.

Le Mendès des uns n'est pas forcément celui des autres. C'est la première famille de "PMF" qui veille aujourd'hui sur l'héritage, en insistant sur les lointaines racines familiales.
Pierre Mendès France avait eu deux fils de son premier mariage avec Lily Cicurel en 1933 : Bernard (1934-1991), et Michel, qui préside aujourd'hui l'Institut Pierre-Mendès-France, après la disparition en 2004 de Marie-Claire Servan-Schreiber, que l'ancien président du conseil avait épousée en 1971. L'Institut, hébergé par le Collège de France au 3, rue d'Ulm à Paris (5e), a pour secrétaire général Tristan Mendès France, le fils de Michel. Il tient sur Internet un "vidéoblog" consacré à la mémoire de son grand-père (www.mendes-france.fr). Ces racines familiales ont été longuement évoquées lors du colloque au Sénat, organisé par l'Institut Pierre-Mendès-France.
"PMF" était très curieux de ses ancêtres. Toute sa vie, il a collecté des documents les concernant. Le fruit de ses recherches, menées avec une méticulosité de chartiste, occupe plus de quarante cartons annotés de sa main, conservés aujourd'hui à l'Alliance israélite universelle (45, rue La-Bruyère à Paris, 9e).
Parmi d'autres épisodes, ils relatent l'histoire de l'aïeul portugais de "PMF", Luiz Mendès de Franca, un marchand d'étoffes converti au catholicisme qui fut arrêté en 1683 par l'Inquisition. Soumis à la question, il dut avouer qu'il n'avait pas renoncé au judaïsme, avant de livrer le nom d'une trentaine de ses proches soupçonnés du même "crime". Réfugié en France, il mit fin à ses jours à Bordeaux, en 1694. C'est là que sa lignée fit souche sous le nom francisé de Mendès France, avant de s'établir à Paris à la fin du XIXe siècle.
Une exposition organisée jusqu'au 1er mars à la bibliothèque de l'Alliance israélite universelle montre les documents que Mendès France avait patiemment rassemblés sur ses origines ainsi que des objets lui ayant appartenu. Un livre récent, Le"Juif" Mendès France (Calmann-Lévy, 370 p., 21,50 €), de l'avocat bordelais Gérard Boulanger, traite lui aussi de ce sujet et de l'antisémitisme qui fut le lot de "PMF". Pas français, le "juif Mendès" ? Cette accusation, il l'entendra souvent ; d'où sa passion pour la généalogie.
Cette accusation de ne pas être français est au coeur du procès que lui intente, en 1940, le régime de Vichy. Le chef d'inculpation est fantaisiste : désertion. Mais le tribunal militaire de Clermont-Ferrand, celui-là même qui a condamné de Gaulle à mort, s'en prend à la personne du lieutenant Mendès France, ancien ministre de Blum, aux origines "impures", une nouvelle proie qu'il ne lâchera pas.
Ce procès en sorcellerie a tout de l'Inquisition, a fait observer le magistrat Denis Salas. Un procès où, d'avance, " tout acquittement est prohibé", selon l'expression de Me Georges Kiejman. Mais le descendant de Luiz de Franca sut garder la tête haute. Condamné à six ans d'emprisonnement, il s'évada et gagna Londres via le Portugal, la terre de ses ancêtres, l'honneur de son nom intact.
Auteur d'un livre minutieux sur ce procès (Un tribunal au garde-à-vous, Fayard, 2002), Me Jean-Denis Bredin a rappelé l'interminable combat que Mendès France dut mener pour obtenir la cassation de son procès, qui n'intervint qu'en avril 1954. Le 18 juin de la même année, Pierre Mendès France est investi président du conseil. Il gouverna la France sept mois et dix-sept jours, le temps de faire la paix en Indochine et d'accorder l'autonomie interne à la Tunisie.
Pour parler de Pierre Mendès France le décolonisateur, deux de ses biographes avaient été invités : Jean Lacouture (Pierre Mendès France, Le Seuil, 1981) et Eric Roussel, auteur d'un ouvrage plus récent, Pierre Mendès France (Gallimard, 608 p., 29 €).

L'ALGÉRIE, C'EST LA FRANCE

S'il est facile de s'accorder sur le courage et la lucidité de "PMF" dans ces moments décisifs, sa réaction au lendemain de l'insurrection algérienne du 1er novembre 1954 prête à controverse : "Les départements d'Algérie constituent une partie de la République française (...). Jamais la France (...) ne cédera sur ce principe fondamental." Tel fut le premier mouvement du président du conseil.
L'historien Benjamin Stora est enclin à absoudre Mendès France de ce faux pas. La conviction que l'Algérie et la France ne faisaient qu'une était très répandue à l'époque, a-t-il expliqué. Jean Lacouture en veut pour preuve les articles que Le Monde publia immédiatement après l'insurrection, dans le même ton. Il n'empêche. La perspicacité légendaire de Mendès avait été prise en défaut. Si Pierre Mendès France a laissé une trace dans l'histoire, à l'égal du général de Gaulle et de François Mitterrand, a dit Jean Daniel, ce n'est pas à l'Algérie qu'il le doit mais à sa foi dans la démocratie.
Faisant allusion à la candidate socialiste Ségolène Royal, le directeur du Nouvel Observateur s'est demandé ce qu'aurait pensé l'auteur de La République moderne (Gallimard, 1962) du débat qui s'est installé dans la campagne sur les vertus respectives de la démocratie participative et de la démocratie représentative. Pierre Mendès France, a-t-il expliqué, se faisait une haute idée de la fonction d'élu. Il voyait dans les représentants du peuple des citoyens plus réfléchis que les autres, sacralisés par l'onction du suffrage universel. A charge pour eux d'informer les électeurs de ce qu'ils comptent faire, sans leur cacher les difficultés, et de respecter leurs engagements. Dans le cas contraire, la parole doit revenir au peuple car nul n'est propriétaire de son mandat.
Ce sage principe valait pour la IVe République, laquelle le foulait aux pieds. Il vaut bien sûr pour aujourd'hui. Ce qu'il faut retenir de l'héritage de Pierre Mendès France, a dit Stéphane Hessel qui fut son collaborateur à la présidence du conseil, c'est sa faculté à inspirer confiance au peuple. Les jeunes d'aujourd'hui, a-t-il conclu, ne peuvent qu'être sensibles à ce message, eux qui doutent tant de leurs élus.

Bertrand Le Gendre
Article paru dans l'édition du 18.02.07

2/ Les ambivalences de Mendès France Par Raymond Huard, historien - pour le journal L'Humanite

De nouveaux travaux biographiques soulignent la valeur intellectuelle et morale d’un homme d’État partagé entre convictions et préjugés.

Pierre Mendès France, par Éric Roussel, Éditions Gallimard, 2007, 605 pages ;

le « juif » Mendès France, une généalogie de l’antisémitisme,
par Gérard Boulanger,Éditions Calmann-Lévy, 2007, 370 pages.

Bien que le personnage de Pierre Mendès France ait donné lieu déjà à
de nombreuses biographies, en voici deux nouvelles à l’occasion du centième anniversaire de sa naissance. Celle d’Éric Roussel, auteur déjà
d’un ouvrage sur Georges Pompidou, a bénéficié de sources nouvelles françaises et étrangères, d’interviews de témoins, de « souvenirs » plus récemment parus. Elle est agréable à lire et fouillée. L’auteur a une vive sympathie pour son héros, sans être aveugle devant ses limites ou ses faiblesses. Il est vrai que Mendès France eut une conception ambitieuse de la politique, de la République et n’a pas recherché le pouvoir à tout prix.

Il a en outre donné à son action un certain style, fait de détermination
et de dignité qui lui a valu des dévouements passionnés. L’essentiel de son oeuvre politique a été accompli dans son bref ministère de sept mois (juin 1954 -février 1955) qui a réglé habilement des dossiers cruciaux, la décolonisation de la Tunisie, le conflit vietnamien, le rejet de la Communauté européenne de défense. Éric Roussel montre aussi qu’il a beaucoup tâtonné et s’est figé parfois dans des positions complexes et peu lisibles.

Sur l’Algérie, tout en condamnant la répression aveugle, il a maintenu assez longtemps la thèse d’une Algérie indissolublement liée à la France. Sans refuser la construction européenne, il en a été un partisan réservé. Il n’a jamais pu faire triompher la politique économique qu’il préconisait et qui conciliait un libéralisme fondamental et l’intervention de l’État. Il a tenté en vain de revivifier un Parti radical qui avait perdu son âme.

Et on voit, à lire Éric Roussel, qu’il a manifesté sans états d’âme un anticommunisme permanent.

Tout autre est l’ouvrage de Gérard Boulanger consacré au « juif » Mendès France. Ici, l’objectif, c’est seulement de montrer que la famille de Mendès France a subi depuis le XVIIe siècle, une série de persécutions successives dues à son appartenance juive. Celle-ci était d’ailleurs discutable puisque la famille, d’abord catholique , revint tardivement au judaïsme.
La thèse est étayée pour les XVIIe et le XVIIIe siècles, mais pas pour le XIXe, où aucun fait significatif n’est cité.

En revanche, elle retrouve une certaine force avec le récit des premières étapes de la carrière de Pierre Mendès France, lors de ses premières élections à Louviers, et surtout de l’odieux procès machiné contre lui par Vichy en 1940-1941, sans oublier les réticences
qui s’exercèrent même dans la France libre. Quant à la haine qui entoura Mendès France dans les milieux politiques de la IVe République,

elle paraît due surtout à d’autres causes. Éric Roussel et Gérard Boulanger s’accordent cependant pour penser que l’antisémitisme qui
a entouré Mendès France a provoqué chez lui une « fêlure », l’a poussé à une réserve excessive. Ne pensait-il pas, par exemple, que jamais un juif ne pourrait être élu en France à la présidence de la République ?
Israël ou Galout - Olim ou Yordim
12 juin 2007, 10:30
Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le lundi 11 juin 2007 - 23h02:

La vérité n'est pas le privilège d’un autre peuple ou d’une religion.


Je félicite les Harissiens* qui essayent d'élever le niveau du site en suggérant de faire les débats d'opinions et d'arrêter les attaques personnelles. Mon humble opinion est que ceux qui font recours aux attaques personnelles ne tiennent pas compte de la sensibilité des lecteurs. J'ai beaucoup de compréhension pour certains qui se trouvent sous pression et réagissent avec véhémence.

A ces genres d'attaques nos parents répondaient par des allusions ou par des proverbes afin de garder le dialogue à un niveau respectable. J'essaye de continuer ces traditions en espérant ainsi contribuer à conserver le niveau de notre site. Permettez-moi de donner mon opinion sur les points suivants.

- 1 Certains Israëliens-Tunisiens veulent avoir le soutient de la diaspora, mais en même temps ils attaquent ceux qui sont d'autre avis. Ils croient ainsi pouvoir intimider les Harissiens mais ils ne se rendent pas compte qu'ils les aliènent au lieu de les rapprocher de leurs vues. Nos parents disaient: "Iqoss El Yed Elli Touaklou" (Il coupe la main qui le nourrit.).


- 2 Nous souhaitons que le monde nous comprenne, mais nous traitons facilement celui qui n'est pas d'accord avec nous d'anti-juif.


- 3 La vérité n'est pas le privilège d'une nation ou d;une religion , celle-ci se découvre à chacun qui vit dans l'amour, dans la sérénité et dans le silence, indépendamment de sa race ou de sa religion. Ceux qui ne le croient pas n'ont qu'à consulter le tréfonds d'eux- mêmes et de leur conscience.


- 4 Je respecte ceux qui ont choisi de vivre en Israël, mais qu'ils ne prétendent pas êtres les détendeurs de l'unique chemin. L'arrogance et la bureaucratie de certains Israéliens a fait fuir plus de 850.000 bons Israéliens qui vivent aujourd'hui aux Etats Unis et contribuent à sa prospérité. Combien encore vivent-ils en Europe? Je pense qu'Harissa a été créée dans l'esprit de sauvegarder notre héritage, notre culture, nos souvenirs et notre histoire qui datent depuis des milliers d'années. La compréhension, la tolérance et le respect réciproque sont l'héritage de nos parents.

Tous ces trésors feront d'Harissa le site des sites. Il me semble qu'il est de notre devoir d'oeuvrer pour un rapprochement judéo tunisien, comme le font les Juifs européens avec les pays où vivaient leurs ancêtres. Ce site a donné aux Tunisiens la possibilité d'exprimer librement leurs opinions.

Les Harissiens seront un jour peut-être les mieux placés pour servir de pont pour le rapprochement des relations judéo arabes, comme elles ont été dans le passé. L'avenir nous le dira."Eli Iyich Ichouf"(Qui vivra verra.) "Esbar Ikharej Elhaq Meleqbar" (La patience fera sortir la vérité du tombeau) "Esbeb Ikasser Esslassel Lehdid" (La circonstance brise la chaîne en fer.) "Ouel Leqlem Ia'li Leqdem" (Le crayon hausse les talons) Vous voyez, c'est ainsi que mes parents me parlaient.
Re: Israël ou Galout - Olim ou Yordim
12 juin 2007, 10:31
Breitou (Breitou) le lundi 11 juin 2007 - 23h14:

'...DOUWIOU ..DOUWIOU YEQYAD DOUWIOU...!'
Comme le disait ma grand-mére Meiha z'al.

Paroles..Paroles...!
Re: Israël ou Galout - Olim ou Yordim
12 juin 2007, 10:33
Albert (Albert) le lundi 11 juin 2007 - 23h27:

'...Ou hatta baba bech i kom mel gbar...!
'...Et même mon pére va bientôt réssuciter..!'

Alberto
Re: Israël ou Galout - Olim ou Yordim
12 juin 2007, 10:35
Henri (Henri) le mardi 12 juin 2007 - 08h14:

Cher Emile,

Tu parles sagement, mais il faut comprendre et accepter qu'un jeune de 18 ans parlera et agira bien differemment qu'un adulte de 50 ou 80 ans.
Un jeune est fougueux alors qu'une personne agee, a le poids des annees qui lui font perdre de sa spontaneite et de sa fougue.
Pourais tu dire a des enfants de ne pas jouer et de ne pas faire de bruit.

Sur ce site, certain on voulu IMPOSER leurs idees et ont meme ataque grossierement ce qui n'etaient pas d'accord avec ces idees, et cela sans s'en rendre compte .
La reponse ne s'est pas fait attendre, et la,l' Harissien "outrage" a plie bagage.Ou est sa sagesse et sa patience, ce site appartiens a TOUS les participants, les vieux, les jeunes, les serieux, les em....deurs, les provocateurs, les sympas et les moins sympas.
Cher Emile je te souhaite une longue vie en tres bonne sante.
Tu ne nous a pas dit comment tu faisais pour reproduire le fel.
Amitiee, Henri
Re: Israël ou Galout - Olim ou Yordim
12 juin 2007, 10:37
Messaoud (Messaoud) le mardi 12 juin 2007 - 09h20:

Emile
ton intervention sur la verité est d'une justesse toute harissiene que j'ai beaucoup apprecié et c'est la l'objectif de mon billet
De plus quelle difference avec ces copiés collés si impersonnel et quelquefois si vexant en ce sens que; vous voyez bande d'ignorants, vous n'etes pas au courant, tandis que moi !!!!
mais il faut de tout pour dans ce monde et surtout savoir respecter celui qui ne rentre pas dans votre critere d'appreciation mais pour cela la sagesse et avoir rouler sa bosse sont les meilleurs formateurs a cette qualité
Qualité dont cher Emile vous nous en donner le meilleur des exemples vivants
avec mon respect !!!
Re: Israël ou Galout - Olim ou Yordim
12 juin 2007, 10:38
Braham (Braham) le mardi 12 juin 2007 - 10h54:

Emile

J'ai ete tres decu de lire ton message d'hier, qui je le pense n'est pas dans ta philosophie ni dans la ligne du respect de l'autre, quand tu ecris que certains Harissiens (etablis en Israel) "ne tiennent pas compte de la sensibilité des lecteurs..." et qui " veulent avoir le soutien de la diaspora…"

Non, la majorite ecrasante des vrais Sionistes qui ont pousse des racines profondes dans le Pays, respectent votre choix. Meme si ce choix n'est pas le leur, ils croient que vous etes libres de vivre ou bon vous semble et que votre soutien, quand il existe, est aussi benefique pour vous que pour eux. C'est la vache qui donne son lait au veau, elle en souffrirait beaucoup s'il n'en prenait pas.

Le proverbe que tu donnes "Iqoss El Yed Elli Touaklou" (Il coupe la main qui le nourrit.) est paternaliste et je dirai meme, insultant.
Je suis sur que tu regrettes de l'avoir apporte dans ton message.

Je felicite ici mon ami Albert, le Grand-Sage-Bouffon qui fut aussi agace par ton message (mess sur le PTcool smiley.
Sans etre citoyen israelien, il avait senti la condescendence de ta phrase
" L'arrogance et la bureaucratie de certains Israéliens a fait fuir plus de 850.000 bons Israéliens…"
et que tu te placais parmi les "Bons" et les "détendeurs de l'unique chemin"

Comme plusieurs lecteurs, j'ai retrouve dans cette malheureuse phrase l'amertume et la mechancete vengeresse de plusieurs Yordim (mot que je n'aime pas, mais qui a sa place ici) un certain desir d'excuser leur decision "Fuir" Israel pour s'etablir aux Etats-Unis ou ailleurs.
J'ai vecu plus de 8 ans la bas pour avoir vu et entendu cela.

Non, la vie en Israel, surtout dans ses premieres decennies, n'etait pas facile du tout. Oui la bureaucratie et un certain racisme communautaire existait des fois, mais il fallait lutter pour changer, et c'etait la un defi qui a exige beaucoup de courage, car les possibilites a l'etranger nous tentaient tous les jours.

Je ne suis pas fier d'ecrire ce message, mais j'ai estime que je devais le faire pour Lapid et d'autres amis (Henri, Sarel …) Israeliens-Tunes qui expriment chacun a sa maniere la force de leur racines dans ce pays qui fut aussi le tien.

J'ajouterai a ce que tu as dit au debut de ton message:
"La vérité n'est pas le privilège d’un autre peuple ou d’une religion."
ni de certaines personnes.
Re: Israël ou Galout - Olim ou Yordim
12 juin 2007, 10:39
Par Cacouboulou (Cacouboulou) le mardi 12 juin 2007 - 11h35:

Mon Cher Breïtou :

Juste aprés les paroles pleines de sagesse de "notre" Emile, tu as déclaré, je te cite :

"'...Et même mon pére va bientôt réssuciter..!'
Paroles..Paroles...!"

Pourrais tu préciser ta pensée, est ce de l'irrespect, de la dérision, ou,,, quoi d'autre ?

Merci par avance, de ton explication.
Re: Israël ou Galout - Olim ou Yordim
12 juin 2007, 10:39
Par Braham (Braham) le mardi 12 juin 2007 - 12h07:

Cher Henri

Je respecte beaucoup tes idees sur la primaute de la religion dans la vie, bien que je me definis plutot traditionaliste non pratiquant.
Je crois qu'il y a eu un grave malentendu entre groupes d'intervenants sur Adra. Je me trouve dans une position tres delicate, parce j'ai beaucoup d'amitie pour les 2 cotes, et que c'est la premiere fois qu'il m'arrive que je me trouve dans cette situation, et j'essaie de les reconcilier.
Le deroulement des choses et le depart de Lapid m'a beaucoup touche. Je pense que Lapid a voulu peindre toutes les couleurs d'Israel a nos amis de la Diaspora, la situation avec toutes ses facettes, Certains lui reprochent de l'avoir fait avec trop de zele en decrivant certaines pages grises de la vie a Sderot ou ailleurs. D'autres lui reprochent de "saturer" le Forum avec ses nombreux messages, mais il n'y a aucune mechancete dans cela. Je suis sur qu'il etait uniquement pousse par son "ikhpatioutt" et sa bonne volonte.
Je crois que tes allusions a Lapid
"Sur ce site, certain on voulu IMPOSER leurs idees et ont meme attaque grossierement ce qui n'etaient pas d'accord avec ces idees, et cela sans s'en rendre compte .
La reponse ne s'est pas fait attendre, et la,l' Harissien "outrage" a plie bagage.Ou est sa sagesse et sa patience…"
sont un peu deplacees d'autant plus qu'il ne peut meme pas te repondre (te lire, peut etre ?) et que cela ne fera qu'elargir les fosses.
J'espere que nos messages, a l'avenir, exprimeront plus d'amitie et de comprehension et moins de reglements de comptes.
Re: Israël ou Galout - Olim ou Yordim
12 juin 2007, 10:40
Par Albert (Albert) le mardi 12 juin 2007 - 11h52:

"...L'arrogance et la bureaucratie de certains Israéliens a fait fuir plus de 850.000 bons Israéliens qui vivent aujourd'hui aux Etats Unis et contribuent à sa prospérité...."
A Inscrire en lettre d’OR.

Lorsque j’ai écrit, après ma colère contre le départ de Lapid, ‘Youd mta zizi.. !’ Et ‘…Bandes de canards… !’ A vous de remplacer les consonnes et les voyelles, j’ai reçu qqs mails forts élogieux. De la part de certains redresseurs de tors. J’ai même été traité de ‘petit chiot’ OB OB OBBBOB… ! Mieux vaut l’être entre des mains câlines.

On a dit ‘ Que je salissais le site… !’ Ben voyons, que c’était de l’antisémitisme… ! Raciste sans doute, un juif raciste envers ses semblables, laissez moi rire.

Lorsque j’ai parlé d’Israël, je me suis fait remonter les bretelles par Mr Lapid, Braham etc….
Or, je ne faisais que reproduire certains chapitres de la MENA. Qui parlait d’escrocs au pouvoir etc…. Voilà que le SAGE Emile nous parle d’arrogance …DE 850 000 BONS ISRAELIENS…..Qui enrichissent les Etats-Unis….Jetant ainsi tous les autres ISRAELIENS dans la poubelle des méchants. Et personne ne dit rien sauf le rabbin de service ‘déprimé’ par les articles de Monsieur Lapid. Mais où sont passés les BRAHAM….LES HAJKOUFETTE…LES BAZOOKA…LES SAREL….Les méchants ISRAELIENS qui y vivent…. ? Monsieur MESSAOUD LE CORSE sorti de son maquis vient sauver la face de son frère mon D IEU Comme s’est pathétique.

Eux qui sont si prompts à réagir voilà qu’ils ont disparus comme par enchantement… !

Encore que moi je n’ai fais que ‘…SALIR LE SITE HARISSA…’ Alors Emile salit ISRAEL…TOUT EN ENTIER… ! BRAVO…. ! POUR LE SAGE….’..YAQEL AAN DAR BABA… !’ Pour un ancien héros, patriote, D’Israël, il faut avoir perdu la raison pour écrire cela.

BRAHAM TU DIS AGACE???? C EST UNE INSULTE VIS A VIS DE VOUS TOUS.....!
Re: Israël ou Galout - Olim ou Yordim
12 juin 2007, 10:42
Par Braham (Braham) le mardi 12 juin 2007 - 12h35:

Allons nous continuer a nous enfermer chacun dans son bocal ? Bocal dont nous ne percevons pas les limites. Par contre nous voyons tres bien celles dans lesquelles vit l'Autre.
Pièces jointes:
Braham-Galout-Israel-110607.jpg
Re: Israël ou Galout - Olim ou Yordim
12 juin 2007, 10:43
Par Henri (Henri) le mardi 12 juin 2007 - 12h48:

Braham chalom,

J'ai a plusieurs reprises repondu a notre cher Emile a ce sujet.
Cette condescendance m'a chaque fois heurte et choque, mais que faire, nous ne pouvons changer Emile.
Un clou qui est tordu, on a beau le redresser, il se tordera de nouveau.
Donc je ne releve plus ce sujet par respect pour son age.
Chalom et brahka.
Re: Israël ou Galout - Olim ou Yordim
12 juin 2007, 10:44
Par Henri (Henri) le mardi 12 juin 2007 - 13h05:

Cher Abraham, mon fleuriste bien aime.
Tu as conquis le coeur de beaucoups d'harrissiens/ennes avec tes fleurs.

Si Lapid ne veut/peux pas lire ce qui est ecrit sur le site, c'est son choix, car personne ne l'empeche de le faire.
A plusieurs reprises il a attaque ceux qui n'etaient pas de son avis ce qui est contraire a ce qu'il affirmait tout le temps.
Il se permetait lui,ce qu'il ne voulait pas qu'on lui fasse.Il voulait en un mot monopoliser le forum et cela a agace les intervenants qui le lui avaient dit poliment, et pour cela il a claque la porte au lieu d'en parler comme le veut le bon deroulement de ce forum.
En fin de compte personne ne la chasse et il peut toujours revenir.
Chalom et brahka.
Re: Israël ou Galout - Olim ou Yordim
12 juin 2007, 10:44
Par Albert (Albert) le mardi 12 juin 2007 - 13h23:

[www.harissa.com]

Voici Le texte integral de cette lettre ouverte signee Alain Koskas.
Re: Israël ou Galout - Olim ou Yordim
12 juin 2007, 10:45
Par Girelle (Girelle) le mardi 12 juin 2007 - 13h39:

Chers Amis Harissiens,

Emile le sage vient de lancer un pavé dans la mare et nous amène à réfléchir.

Exprimer des opinions différentes avec le peuple qui a inventé le pays le plus démocrate du monde, argumenter, écouter les autres, avoir la chance de pouvoir entendre les réactions des nôtres émanant aussi de leurs points de vue géographiques était pour moi un enrichissement.

Malheureusement certains y ont amené leurs inimitiés personnelles et leur agressivité, ce qui n'avait pas place dans le débat et je me demande encore ce que venaient faire des posts comme "Taper l'incruste" ou "la manipulatrice" dans le débat: le seul but était d'insulter et n'auraient jamais dû avoir leurs places dans Adra.

Celui qui a décidé de partir: ses "copier coller" étaient souvent du plus haut intérêt nous fournissant ainsi une "revue de presse" très utile, ses interventions ne l'étaient pas moins et s'il me lisait mal quelque fois, il a toujours fait preuve de courtoisie à la relecture.

Il n'en est pas moins vrai que si à un dîner, l'un des convives monopolise la conversation, quelque passionnants que puissent être ses propos, les convives finissent par s'ennuyer.

Sur Adra, en plus, les réponses sont rapidement chassées à la page antérieure par le flot des nouveaux textes, ce qui démobilise les intervenants et décourage ceux qui aimeraient intervenir.

Mais ça n'est qu'une question de mise au point.

L'histoire récente est partie d'une plaisanterie et, je les ai relus avec attention, aucun des posts qui ont suivi n'était méchant. (les posts méchants, je connais). Alors cela m'a amenée à me demander si la "défense" de celui qui est parti, n'avait pas été démesurée par rapport à "l'offense" et s'il n'avait pas été amené à juger celle là en fonction de celle ci.

En tout état de cause, il est tout à fait navrant d'être privés de l'apport de l'un des nôtres, parce que ici, chaque information, chaque avis est précieux et comme le dit fort justement notre cher Henri: "ce site appartient a TOUS les participants, les vieux, les jeunes, les serieux, les em....deurs, les provocateurs, les sympas et les moins sympas".
Re: Israël ou Galout - Olim ou Yordim
12 juin 2007, 10:45
Par Girelle (Girelle) le mardi 12 juin 2007 - 14h55:

Emile a écrit:

"Tous ces trésors feront d'Harissa le site des sites. Il me semble qu'il est de notre devoir d'oeuvrer pour un rapprochement judéo tunisien, comme le font les Juifs européens avec les pays où vivaient leurs ancêtres. Ce site a donné aux Tunisiens la possibilité d'exprimer librement leurs opinions.

Les Harissiens seront un jour peut-être les mieux placés pour servir de pont pour le rapprochement des relations judéo arabes, comme elles ont été dans le passé. L'avenir nous le dira."Eli Iyich Ichouf"(Qui vivra verra.) "Esbar Ikharej Elhaq Meleqbar" (La patience fera sortir la vérité du tombeau) "Esbeb Ikasser Esslassel Lehdid" (La circonstance brise la chaîne en fer.) "Ouel Leqlem Ia'li Leqdem" (Le crayon hausse les talons) Vous voyez, c'est ainsi que mes parents me parlaient."

J'ai beaucoup de respect pour ces phrases, Cher Emile.
Re: Israël ou Galout - Olim ou Yordim
12 juin 2007, 10:46
Par Cacouboulou (Cacouboulou) le mardi 12 juin 2007 - 15h45:

Les Copiés collés ne présentent un intèret, que s'ils sont là pour apporter une info, afin d'allimenter des réflexions personnelles, dans le but de l'enrichissement du débat d'idées, et son élévation, pour le bien de tous.

Ils ne sont qu'un outil de travail, et non pas un but en sois, car dans le cas contraire le site ne serait plus qu' une chambre d'enregistrement, où l'on ne retrouve que ce qui est publié ailleurs, ce qui n'a rien de Tune, ni de Talmudique.

ADRA dans sa profession de foi, je cite : “Vous aimez parler, partager, exprimer, critiquer, analyser, décortiquer, impressionner, informer”, ne contredit pas ce droit qui nous est accordé, de participer à titre personnel, à cette démocratie de la prise de parole, et de la liberté de penser.

Chacun est libre de ne pas y adhérer, et aussi libre d'aller chercher ailleurs, ce qui lui convient le mieux.

Les attaques personnelles, auxquel il a été fait allusions, ne sont que des dérappages qui doivent ètre pris avec la froidure qu'ils convient, mais ils au moins le mérite de permettre de se faire une opnions sur leurs auteurs.

Nota : Quand notre Emile parle de bons Israeliens qui ont quitté Eretz, il ne veut pas du tout dire que ceux qui y sont restés soient les mauvais, mais simplement que ceux qui sont partis, sont aussi des bons, chacun voyant Midi à sa porte,,,

,,, Et je redis Bravo à Emile, pour sa pièce d'architecture, et son message de paix !
Re: Israël ou Galout - Olim ou Yordim
12 juin 2007, 10:47
Par Sarel (Sarel) le mardi 12 juin 2007 - 17h53:

Tres chers amis je suis avec un certain interet
les derniers textes au sujet de L;DENTITE`
il faut le dire .
Il n;est pas necessaire de la rappeler ;l y a pour cela d``autres qui s``en chargent je suis sur .
Commme je `l``ai ecrit souvent on se trouve tous sur la meme scene.On depend un de l;autre car on est garant mutuellement malgre nous .Il n``y a pas de plus ou moins important .Le peuple juif est aussi disperse qu``uni mentalement Il veut s;integrer tout en gardant ses racines .Il veut changer le bagage spirituel qui l``a sauvegarde.
On a voulu creer un nouvwau juif .
Quoique il nous a ete recommande de ne pas copier les lois des nations pour ne pas s;eloigner des bases de la moralite ``On veut etre comme tout le monde .!!
Ce vouloir est le pouvoir qui dirige actuellement le pays .
Les interets qui; s;ensuivent ont cree cette bureaucratie qui remplit ``son devoir``
On a vu les resultats ces deux dernieres annees .
Tous doivent prendre part a l``avenir de notre pays Ils ne pourront pas dire demain `SI J;AVAIS SU
`L;endroit ou on habite n``a aucune importance.Le defi est general !!
Cette indentite qu``on a fait revivre apres des milliers d``annees n``est pas assuree si on
compte sur l;autre pour la surveiller .
Il est du devoir de chacun pour reparer ou changer ce qui lui parait negatif dans notre pays!!
Cher Emile vous savez tres bien qu``il n;est pas question de tolerance en tant que phylosophie generale quand il s``agit du peuple juif .
Cher Abraham kol akavod
C;etait un petit appercu
Bien a tous sarel
Re: Israël ou Galout - Olim ou Yordim
12 juin 2007, 10:47
Par Hajkloufette (Hajkloufette) le mardi 12 juin 2007 - 18h35:

J avoue ne pas comprendre votre etonnement au sujet du message d Emile , a force de l encenser , il a vraiment cru qu il etait devenu un sage ... mais non c est une personne comme tout le monde et l age n est pas une excuse ... il a toujours critique Israel mais aujourd hui il insinue meme que si on continuait a etre aussi "" insolent "" il ??? pourrait meme nous couper les vivres ... Ne me faites pas rire Monsieur Toubiana , si vous avez la fierte de vous comporter en juif ... vous le devez a ce petit pays de merde ... et si aujourd hui vous pouvez vivre je vous l ai deja dit , je signe et je persiste dans votre "" village "" dans votre petit confort personnel c est parce que nous envoyons nos enfants aux charbons ... je ne connais pas votre soit disant passe militaire et j avoue qu il ne me fait aucun effet ... mais il ne vous donne en aucune maniere le droit de vous exprimer de cette maniere ... Nous sommes ici dans un pays libre ... nous sommes ici dans un pays ou tous les jours des gens meurrent , ou tous les jours nous sommes en danger ... et nous sommes un pays qui vous donnons autant si ce n est plus que vous nous donnez ... je sais qu apres ce post je vais recevoir des tonnes d insultes et franchement ca m est egal ,mais meme si ca doit etre mon dernier post sur ce site qui est ma maison ... je me permets de vous dire que je ne vous salue pas ... et qu il y a certainement dans votre culture que je sais grande , des proverbes qui s associent a des personnes comme vous . je ne parle pas pour les autres mais lorsque vous parlez des Israeliens vous parlez de ceux qui sont la ... nous sommes cher Monsieur que vous l acceptiez ou pas votre seule reelle richesse ... Nous sommes les gardiens ... vous avez vous comme des centaines de milliers quitte le pays parce que vous n etiez pas capables de rester ... Alors pour mes compatriotes , pour les enfants , pour tout ceux qui ont fait le choix de rester et meme de payer de leur vie ... j ai le droit d exiger votre respect ... Nous ne sommes pas des anges ... nous sommes des humains avec nos erreurs , nos reussites , nos quotidiens et nos espoirs ... Mais votre generalisation negative etait une insulte qui n apporte rien a votre image ...
Re: Israël ou Galout - Olim ou Yordim
12 juin 2007, 10:48
Maurice (Maurice) le mardi 12 juin 2007 - 19h57:

Je refuse ces appreciations de chacun J'espere que chacun a l'honnetete a l'egard de l'autre.
Nous n'avons pas a jouer entre Juifs de l'interieur et de la diaspora nous avons la responsabilite les uns des autres car nous savons ce que le juif a souffert disperser.L'Etat disrael a redonne aux juifs la conscience qu'il ne doit pas subirl'Histoire que les autres ont distilles pendant des siecles mais un peuple disperse est faible meme si des Juifs de la Diaspora qui ont reussi ont des comportements qu'on appelle en Medecine para paranoide.Ce sont des flateries de l' ego des merveilles qu'on a accompli Je dis on n'a pas a repondre a ce genre de comportement car ils ne s'en rendent pas compte C'est ce qu'on appelle
chez nous ADRA passons notre chemin et occupons nous avec Humilite d'ameliorer la fraternite l'entraide et la clairvoyance de l'effort de chacun et que cet effort est toujours insuffisant sauf pour les grands retraites que nous excusons
Re: Israël ou Galout - Olim ou Yordim
12 juin 2007, 13:07
Par Hajkloufette (Hajkloufette) le mardi 12 juin 2007 - 21h45:

Etre Israelien ...

Allumer la television la nuit et voir qu'au lieu de "Rambo 3", on diffuse un film d'horreur local, dont nous sommes tous les acteurs.
Esperer qu'il n'y ait personne que tu connaisses, etre content qu'il n'y ait personne que tu connaisses, avoir honte d'avoir ete content.
Continuer de regarder l'ecran, meme si tu sais exactement quelle sera la prochaine image.
Dire : "Il y a deux semaines, j'etais exactement au meme endroit, c'est incroyable !".
Sentir que tu y as echappe alors que tu n'es meme pas passe pres.
Faire un tour dans la maison, a deux heures du matin, regarder en silence les enfants qui dorment, et penser que, comme ca, sous les couvertures, ils ont soudain l'air, a nouveau, si petits.

Etre Israelien ...

Savoir que quelque chose s'est passe , en fonction des chansons a la radio.
Te faire la remarque que c'est justement pendant les attentats qu'il y a les chansons les plus belles.
Comprendre que, quand le journaliste dit "Il y a des blesses", il veut dire, en fait, qu'il y a des morts, et que "etat desespere signifie "lutte pour survivre".
Te demander ce que cela veut dire exactement "victimes en etat de choc", et comprendre tout seul, apres quelques secondes de reflexion.
Telephoner a la famille, meme tard, et demander si ca va, juste comme ca.
Aller au centre commercial comme si tu allais en "Milouim" [periode militaire] et aller en "Milouim" comme si tu allais a la guerre.
Dire : "Si j'avais un minimum de cervelle, je partirais en Australie" mais ne pas en avoir serieusement l'intention.
Se disputer un peu plus avec celui ou celle avec qui tu vis, mais ne pas t'avouer a toi-meme que c'est a cause de la tension.

Etre Israelien ...

Dire : "Il faut leur rentrer dedans", sans savoir dans qui exactement.
Dire : "Ca ne peut pas continuer comme ca", mais craindre que c'est peut etre exactement comme ca que ca va continuer.
Dire : "Il faut leur reprendre Gaza", juste pour t'entendre le dire.
Comprendre qu'il n'y a pas de solution simple, mais esperer malgre tout qu'il y en a une.
ecouter des emissions radio, ou des gens appellent et disent des choses horribles ; penser que cela montre a quel point nous avons degringole et, toi aussi, avoir un peu envie d'appeler.
Te souvenir que tu as deja fait confiance a trop de dirigeants qui t'ont decu, mais te persuader qu'il y a peut-etre encore quelqu'un.
Te dire que le temps est arrive d'ecrire ton testament, mais ne pas le faire.

Etre Israelien ...

Ressentir, en pleine journee , une fatigue inexplicable, qui part des epaules et descend le long de la colonne vertebrale.
Ne pas etre religieux et se demander ce qu'il en est de Dieu, ou religieux, et se demander ce qu'il en est de l'armee.
Dire : "les accidents de la route font plus de morts", mais ne pas etre sur que ca soit encore vrai.
Faire le compte : apres Jerusalem et Haifa, bien sur, arrivera le tour de Tel Aviv.
Etre en colere quand on dit "attentat sophistique ", parce que, meme ce compliment, ils ne le meritent pas.
Rencontrer un ami qui te demande si tu as entendu que Georges Harrison est mort, et penser qu'il débarque de la lune.
Savoir, de maniere claire et paralysante, que, dans un jour, maximum deux, il s'averera que tu connaissais quelqu'un qui est mort. Et sinon, quelqu'un qui connaissait quelqu'un...

Etre Israelien ...

Dire: "Moi je vais bien. Le pays, lui, est dans la m…."
Commencer des phrases par les mots : "Mis a part la situation..."
Annuler des voyages parce que ce n'est pas le moment, et puis voyager quand meme parce que m…. apres tout...
Se souvenir, sans savoir pourquoi, de Rabin.
Decouvrir que tu n'as jamais parle de la guerre a ton fils et te jurer que tu trouveras le temps de le faire.
Vouloir aller voir le dernier film israelien dont tout le monde parle, parce que c'est quelque chose d'israelien .
Manger un peu plus que d'habitude, se lever tard, et puis, courir.
Remarquer que tout le monde raconte des blagues, ces derniers temps.
Savoir que tout cela veut dire quelque chose, mais sans etre sur de savoir quoi.

Etre Israelien ...

Sentir que le pays te depasse.
Echanger des phrases connues avec des gens que tu ne connais pas, ecouter des phrases que tu ne connaissais pas dans la bouche de gens que tu pensais bien connaitre.
Entendre le Premier ministre parler de "la force d'endurer et de resister", et comprendre, avec retard, que c'est de toi qu'il s'agit.
Te consoler en te disant que, cette annee, au moins, il pleut.
Rester debout a cote de la fenetre avec un verre de the et penser, pour la premiere fois depuis des annees, a quel point il est beau, de la part de Dieu, de nettoyer comme cela le monde.
Accepter de recevoir des cheques a paiement differe parce que cela aussi est en rapport avec la situation.
S'asseoir, pendant la nuit, face aux factures et decider qu'il faudra se serrer la ceinture.
Regarder des photos plutot que lire le journal.

Etre Israelien ...

C'est aussi de savoir que l'on ne nous aime pas et pretendre que cela nous est egal.

Etre Israelien ...

Etre quelqu'un d'un peu meilleur que ce que tu te croyais capable d'etre.

Yair Lapid
Re: Israël ou Galout - Olim ou Yordim
12 juin 2007, 13:07
Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mardi 12 juin 2007 - 21h51:

Braham, c’est moi qui est étonne de lire ce que tu as écrit. Si certains ne m’ont pas compris je l’accepte car il n’est pas donné à tout le monde de comprendre l’un l’autre.
Chacun selon l’onde où il se trouve. Je n’en veux à personne. Si on ne peux exprimer dans notre site son honnête opinion alors je me demande ou ? A la rigueur tu raison d’ajouter « ni de certaines personnes. »
Re: Israël ou Galout - Olim ou Yordim
13 juin 2007, 04:22
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mercredi 13 juin 2007 - 01h46:

Oh, mes chers Harissiens qui croient me toucher en me critiquant avec ferveur pour ne pas dire avec colère et intolérance ou même mensonges. Certains qui veulent apparaîtrent comme des grands patriotes qui savent défendre la cause d’Israël, en criant plus fort que les autres, d’autres qui croient pouvoir me refuser le droit de m’exprimer librement.

Je dirais à celle qui invente des choses qui n’existent pas dans mon texte qu’elle cherche une autre façon de dialoguer intelligemment sans offense et sans amertume au lieu de polémiquer et faire croire aux harissiens qu’elle se prend pour quelqu’un.

Madame, lisez bien le texte qui est un réaffichage de ce que j’avais écrit il y a sept années pour voir combien nous avons évolué. Hélas je constate que la libre expression n’est pas toujours acceptée chez certains. Par contre je félicite ceux qui ont compris mon message et qui l’ont apprécié à sa juste valeur. Voici le lien du même article daté du 21 novembre 2000 :

[www.harissa.com]
Re: Israël ou Galout - Olim ou Yordim
13 juin 2007, 04:22
Par Emile_Tubiana (Emile_Tubiana) le mercredi 13 juin 2007 - 07h43:

Cher Sarel, je suis désolé de constater que vous aussi avec Hajkhloufette et Braham vous tombez dans l’incompréhension d’il y a sept ans. Je ne voudrais pas vous voir dans le camp de ceux qui croient comprendre. Relisez mon message il est toujours valable et ceux qui croient user l’âge comme argument manque d’intelligence et d’esprit.
Amicalement votre.
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