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REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2

Envoyé par jero 
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2
19 mars 2010, 02:28
Simone Veil entre à l’Académie française (Guysen.International.News)

Simone Veil, ancienne déportée et ancienne ministre française, a fait jeudi son entrée à l'Académie française devant un parterre prestigieux de personnalités venues lui rendre hommage. Elle occupera le treizième fauteuil de la vénérable institution, laissé vacant par l'ancien Premier ministre Pierre Messmer, et qui fut aussi celui de Racine. « Mon père, disparu dans l'enfer de Bergen-Belsen, quelques jours avant la libération des camps, révérait la langue Mon père, disparu dans l'enfer de Bergen-Belsen, », a déclaré Mme Veil avec émotion dans son discours de réception. « Plus encore que je ne le suis, il serait ébloui que sa fille vienne occuper ici le fauteuil de Racine », a-t-elle assuré.
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2
19 mars 2010, 05:38
Martine Aubry ?
ou plus exactement Madame Jean-Louis Brochen
« Jean-Louis Brochen l’avocat des islamistes »
Le saviez-vous ?
Le 20 mars 2004, divorcée de Xavier Aubry dont elle a gardé le nom, elle épouse en secondes noces l'avocat
lillois Jean-Louis Brochen
Il fut même bâtonnier du barreau de Lille. A 63 ans, Jean-Louis Brochen, ex-adjoint à la culture à la mairie de
Lille, est à la ville le mari de Martine Aubry, la nouvelle patronne du parti Socialiste. Celui-ci s’est forgé une
solide réputation de militant et de défenseur des causes ardues. Il est surnommé “l’avocat des islamistes”. En
1993, il représente les 17 lycéennes voilées exclues par le lycée Faidherbe. En 2001, aux assises de Douai, il
défendra l’un des trois rescapés du gang de Roubaix.
Ajoutons qu'il a aussi défendu le sinistre groupe de Rap "Sniper" ouvertement raciste (anti-blanc bien
sûr !) de passage à Lille en 2003....
Maître Brochen était adjoint à la Culture de la mairie de Lille lorsque Martine Aubry, son épouse, a
succédé à Pierre Mauroy.
Et c’est à Lille que l’on trouve, entre autres, les piscines réservées aux
femmes.
Jean-Louis Brochen, Avocat - né en 1945, Spécialités : avocat des islamistes.
« Mais les concessions aux revendications islamistes existent surtout à
Roubaix, le « beau jardin de
l’islamo-gauchisme »
comme l’ont rebaptisé des militants des Maghrébins laïques. Là-bas, la gauche
plurielle dépend en grande partie du score des verts.
Or, la section verts de Roubaix est aux
mains de deux lieutenants de Tariq Ramadan
: Siham Andalouci, de Présence musulmane, et Ali
Rhani, du Collectif des musulmans de France. Le chef de file aux élections,
Slimane Tir, défend lui
aussi Tariq Ramadan, Une Ecole pour tous et les Indigènes de la république.Autant d’initiatives
relayées sur le site Internet des verts de Roubaix, mais aussi par le biais d’un centre de réflexion :
Rencontre et dialogue. Il s’agit essentiellement d’animer des conférences pour mettre en contact les
prédicateurs des Frères musulmans –
Tariq Ramadan et Hassan Iquioussen – et la jeunesse de
Roubaix. Au grand dam des Maghrébins laïques, qui ne supportent plus de subir les effets secondaires
de cette propagande. L’un d’eux,
Messaoud Bourras, ne voit plus ses enfants parce que sa femme ne
le juge pas « assez bon musulman ». Il se bat contre l’influence des islamistes dans sa ville et il a mené
campagne contre la venue
de Hassan Iquioussen –le prédicateur décrivant les juifs comme le « top de
la félonie »- à l’invitation de Rencontre et dialogue. Quitte à rencontrer l’hostilité de la gauche locale.
Pour s’être ému dans un journal local du fait que la municipalité soutienne « une association qui
s’adonne ainsi au
négationisme », Messaoud Bourras est aujourd’hui poursuivi en justice par
Rencontre et dialogue et leur avocat, Jean-Louis Brochen. Avocat des islamistes depuis des
années , Maître Brochen était adjoint à la Culture de la mairie de Lille lorque Martine Aubry,
dont il est l’époux
, a succédé à Pierre Mauroy ».
(Comme le met en note Caroline Fourest, dans son livre La tentation obscurantiste, dont est tiré cet
extrait :
Jean-Louis Brochen a été l’avocat d’un des accusé du gang de Roubaix et en 1994 il avait
défendu les lycéennes voilées exclues du lycée Faidherbe de Lille
.) A divulguer impérativement
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2
19 mars 2010, 23:36
Le PS souhaite l’enseignement de l’arabe dès le collège.
(En première langue)



Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2
20 mars 2010, 03:04
breitou a écrit:
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Kadafi est juif.....

Après la récente information d’un quotidien britannique affirmant que le président iranien Mahmoud Ahmadinejad serait Juif, voilà qu’une femme israélienne d'origine libyenne affirme que M. Kadhafi, président libyen, le serait aussi, sur une chaîne de télévision israélienne.

Rahel, présente sur le plateau, dont la grand-mère était la sœur de la grand-mère de Kadhafi, affirme que la grand-mère juive de Kadhafi avait quitté son mari pour se marier avec un Cheikh libyen.

Ils auraient eu ensemble une fille, qui serait la mère de Kadhafi. Selon le Judaïsme, si la mère est juive, l’enfant l’est aussi. Rahel affirme donc que M.Kadhafi serait juif par sa mère…

[www.guysen.com]-

Rachel Saada et Guita Brown, israéliennes d’origine libyenne sont parentes à Mouamar Kadafi.
La grand mère de Guita était la soeur de la grand mère de Kadafi.
La grand mère juive de Kadafi, avait quitté son mari pour vivre avec un Cheikh libyen. Ils ont eu une fille qui est la maman de Kadafi.

[elgosto.blogspot.com]



Kadhafi, juif ?

Il n'est pas une semaine sans qu'on fasse tomber un ancêtre Juif.

Selon le témoignage d’une femme israélienne d'origine libyenne, sur une chaîne de télévision israélienne (1), M. Kadhafi, président libyen, serait juif !

Rahel, présente sur le plateau, dont la grand-mère était la sœur de la grand-mère de Kadhafi, affirme que la grand-mère juive de Kadhafi avait quitté son mari pour se marier avec un Cheikh libyen. Ils auraient eu ensemble une fille, qui serait la mère de Kadhafi. Selon le Judaïsme, si la mère est juive, l’enfant l’est aussi. Rahel affirme donc que M.Kadhafi serait juif par sa mère…

Ce sont donc des Israéliens d’origine tripolitaine qui déclarent que Kadhafi a des origines juives puisque sa mère était juive et s’est mariée avec un musulman. Si cette rumeur est connue depuis de nombreuses années, elle est renforcée aujourd’hui par le témoignage d’une des membres de la famille Rahel. La grand-mère de cette dernière était la sœur de la grand-mère de Kadhafi qui avait quitté son mari pour se remarier avec un Cheikh libyen. Elle lui aurait donné une fille qui serait la mère de Kadhafi. Selon le Judaïsme, si la mère est juive, l’enfant l’est aussi. Affaire à suivre…...

Ftouh Souhail, Tunis


(1)Sur dailymotion.com : Kadhafi est-il juif ?


Kadhafi est juif
Uploaded by fifou88. - Up-to-the minute news videos.


Khadafi un cripto-juif ?!
Uploaded by POLITIC-ISLAM. - News videos hot off the press.

Sur youtube.com : Kadhafi est-il Juif ? - האם קדפי יהודי ?

Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2
27 mars 2010, 03:29
ROBERT HOSSEIN, "mon fils le rabbin Aaron ELIACHEFF.............

Oui le Rav de Strasbourg est le fils de Robert Hossein et de Caroline Eliacheff, fille de Françoise Giroud.




[www.actuj.com]
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2
27 mars 2010, 22:14


Robert Hossein : «Ce qui est important, c’est de vivre en fonction de sa foi»

Au théâtre de Paris, Robert Hossein restitue l’un des procès les plus retentissants du XXe siècle : «L’Affaire Seznec». L’occasion, pour Actualité Juive, de rencontrer le comédien, réalisateur et metteur en scène, toujours aussi passionné. Il nous fait une révélation surprenante : le rav Eliacheff de Strasbourg est son fils !

Actualité Juive : Ida Chagall vous a qualifié «d’espèce de bohémien» . Pour Jacques Weber, le Robert Hossein bourru de l’écran cache un homme fragile. Etes-vous d’accord ?

Robert Hossein : Je vais être honnête avec vous : je ne me scrute pas ! Je pose mes regards sur d’autres que moi. Il y a tant à écouter et à entendre concernant les autres qu’il y a longtemps que je ne fais plus de rétrospective sur mon cas. C’est sans doute le privilège de l’âge : on met ses ambitions au service des autres.

A.J. : Une enfance pauvre, la vie de bohème à Saint-Germain-des-Prés, le théâtre, le cinéma et la gloire. Pourquoi avoir, en 1970, renoncé à cette vie pour prendre en charge le Théâtre populaire de Reims ?

R.H. : J’ai fait le choix, au moment de la saga des «Angélique», de renoncer à ce confort et je suis parti huit ans à Reims pour ouvrir une école. J’ai pensé que je pouvais servir à autre chose qu’à moi-même. Avec des acteurs comme Weber qui sortaient du Conservatoire, on a fait quelque chose d’extraordinaire. Anémone et Adjani s’y sont révélées. Je me suis évidemment couvert de dettes !

A.J. : Une démarche qui amorçait votre rapport à la religion...

R.H. : Comme mes parents n’avaient pas d’argent, ils me changeaient régulièrement de pension, quelle que soit la religion qui y était pratiquée. A la fin, je connaissais toutes les religions du monde ! À Reims, je suis devenu ami avec l'aumônier du spectacle. Le jour où il a béni mon fils, il m’a dit : «Puisque tu es ici, trempe-toi un peu ! ». Je me suis converti. Nous ne sommes pas même un souffle dans l’univers. D’ailleurs, l’affiche du spectacle - ce sera le dernier - que je rêve de réaliser, si D’ieu me prête vie et si j’ai le pognon, sera la galaxie avec, tout autour, des symboles de religions. Je vais raconter la foi dans le respect des uns et des autres. Il est urgent d’aller les uns vers les autres. J’attends un miracle et il semble se profiler...

A.J. : L’un de vos fils, Aaron Eliacheff, est rabbin. Il donne des cours de religion à Strasbourg...

R.H. : Là, c’est une autre histoire ! J’ai eu Nicolas avec Caroline Eliacheff. Je le destinais à devenir comédien. Il était remarquable, notamment dans «Le mur». Mais il en a décidé autrement. Je pense qu’il avait consulté sa grand-mère, Françoise Giroud et qu’il en avait discuté avec son beau-père, Marin Karmitz. Dès lors, je n’avais rien à dire quant à son choix. Il a pris le nom de sa mère et il a donné un autre sens à sa vie. Un autre de mes fils est devenu bouddhiste et un autre semble très attiré par l’islam. La seule chose qui compte, c’est le sens que l’on donne à sa vie. Au début, j’ai un peu déploré son choix parce que je trouvais qu’il pouvait être un acteur remarquable...

A.J. : Ecoutez-vous ses cours ?

R.H. : Non car même dans les églises, je m’installe seul ; je guette un signe. Je suis très heureux du choix qu’il a fait et qu’il assume. La question n’est pas de savoir si nous croyons en D.ieu ; je connais des gens qui ne croient pas en D.ieu et qui sont, s’Il existe, dans Ses bras et d’autres qui croient et qui n’y seront jamais ! Ce qui est important, c’est de vivre en fonction de sa foi. J’ai la même admiration pour Aaron que pour mes autres fils. Tout s’articule autour de l’amour et du respect que l’on peut avoir pour les autres. J’ai écrit une pièce, «Responsabilité limitée» sur la stupidité de toute forme d’antisémitisme. C’était après la guerre ; elle a fait grand bruit et un critique a écrit : «Heureusement que ce problème n’existe plus». Ce à quoi j’ai eu envie de répondre : «Méfiez-vous....»

A.J. : Dans votre pièce «l’Affaire Seznec» - exacte reconstitution du procès de 1924 - les spectateurs, munis de jetons, sont les jurés...

R.H. : Ce n’est pas un spectacle : on assiste à un procès dont on devient l’un des jurés et on vote en son âme et conscience. Les comédiens ont pour mot d’ordre d’oublier les spectateurs et de vivre leur procès, de régler leurs comptes !

A.J. : On y rencontre des personnalités louches, comme Pierre Bony...

R.H. : Bony a été fusillé à la libération. Rue Lauriston, avec son copain Laffont, ils ont torturé beaucoup de Juifs.

A.J. : L’Affaire Dreyfus n’est pas très loin. Le microcosme de la pièce n’est-il pas une radiographie de l’époque quelque peu antisémite ?

R.H. : Absolument ! J’ai toujours voulu faire un spectacle sur Dreyfus. Michel Legrand m’avait proposé de monter sa comédie musicale sur ce sujet ; malheureusement, son projet n’a pas abouti.

A.J. : Vous allez recevoir un prix de l’Association Zakhor pour la Mémoire...

R.H. : Vous voyez, chacun apporte sa contribution avec sa propre foi, du moment qu’il l’assume !


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Rav Aaron Eliacheff :

«Les racines juives de mon père, Robert Hossein, remontent à son grand-père, un certain Minkowski»

Un des fils de Robert Hossein, le rav Aaron Eliacheff qui officie à Strasbourg livre son regard sur un père à la carrière éblouissante.

Actualité Juive : Dans l’entretien que votre père nous a accordé, il précise qu’il vous destinait à une carrière de comédien.

Aaron Eliacheff : Je ne sais pas si j'étais un bon comédien. Un peu d'hérédité et une excellente formation m'ont permis d'intégrer par la suite facilement le Conservatoire de Paris : j'ai suivi d'abord le cours Florent, comme tout le monde, ensuite le cours de Pierre Reynal, le professeur de Maria Casarès, qui était un personnage génial. De nombreuses années après, je l'entends encore réciter Baudelaire, «le Bateau ivre» de Rimbaud, ou bien «Ruy Blas» ou «Lorenzaccio». Il m’arrive aujourd’hui de déclamer dans ma cuisine des vers ou des morceaux de stances de l'un ou l'autre à mes enfants toujours un peu interloqués ! J'étais bien parti pour faire une carrière artistique : à dix-neuf ans j'avais déjà joué dans une pièce montée par Peter Brook et dans un très beau film sur les prisons turques de Ylmaz Guney (qui avait eu l'année d'avant la palme d'or au festival de Cannes). Je n'ai pas choisi entre l'art dramatique et la vocation de rabbin, j'ai plutôt "choisi" entre un judaïsme culturel et un judaïsme existentiel dont la problématique est très bien résumée dans le livre de Marthe Robert "Seul comme Franz Kafka". Le rabbinat fut un hasard pour moi, suite à une proposition sympathique du grand rabbin René Gutman (grand rabbin du Bas-Rhin, NDLR) à un moment charnière de mon étude et de mon enseignement.

A.J. : Votre père évoque les rôles joués par votre mère, Caroline Eliacheff, et votre beau-père, Marin Karmitz dans votre vocation rabbinique

A.E. : Je dois à ma mère (1) mon judaïsme, une certaine lucidité, une recherche et un refus des faux semblants qui m'ont permis dans le judaïsme d'éviter les écueils de la religion et du conformisme, mais c'est surtout Marin Karmitz (2), mon beau-père, dont l'authenticité et les valeurs m'ont mis sur le chemin du judaïsme, concrétisé par la suite par mon maître le rav Yehoshoua Gronstein. Ils se sont d'ailleurs associés pour faire un lieu unique à Paris, l'Association pour le développement de l'Etude que j'encourage chacun à fréquenter. (3)

A.J. : Quid des origines de votre père ?

A.E. : Les racines juives de mon père remontent à son grand-père, un certain Minkowski, que sa générosité, m'a raconté un jour mon père, a sauvé. En effet au moment de la révolution russe il a réussi à s'échapper et à gagner Berlin avec sa fille et sa femme grâce à la clémence des étudiants prorévolutionnaires nourris par ses soins pendant les années précédant la révolution. Je pense que le catholicisme a certainement besoin de gens comme lui, ou comme Jean-Paul II, pour sortir d'un état parfois figé et peu enthousiasmant.

A.J. : Que pensez-vous de son parcours ?

A.E. : J'ai toujours adoré les spectacles de mon père parce qu'il prend toujours beaucoup de risques pour défendre ses visions inspirées et puis mon âme russe sans doute réagit à ses accents mélos. C'est pour moi le spécialiste incontesté du "coup de théâtre" et il a un sens de la résurrection des morts assez impressionnant.

A.J. : Le voyez-vous souvent ?

A.E. : Mes relations avec mon père sont devenues plus régulières ces deux dernières années. Comme le dit si bien le capitaine Haddock à la fin d'une des aventures de Tintin : "Tout est bien qui finit bien". »


Source : Actualite Juive - Numéro 1112 du 25 Mars 2010 - 10 Nissan 5770 [www.actuj.com]
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2
28 mars 2010, 06:03
AVEC DES JUIFS PAREILS ON EST BON POUR RETOURNER DANS LES CAMPS EN EUROPE!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
!
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2
28 mars 2010, 07:51
De la même veine que les papillotés qui vont voir l'iranien et l'embrasser.
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2
28 mars 2010, 09:41
Lola, ils ont déjà mis un pied dedans ces donneurs de leçon.
Ces vendus, ces traitres, CES JUDAS à la solde de leurs maîtres islamiques.

Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS - 2
01 avril 2010, 13:49
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