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LE PTB ET MOI ZOUZ.

Envoyé par albert 
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
05 janvier 2013, 11:41
DE LA BONNE HYGIÈNE ALIMENTAIRE.
Soyons attentifs ensemble.

Soyons quand même reconnaissants à tous ces plats d’avant et qui sont tjs d’actualité.
Nous les tunes sommes fidèles à la cuisine de nos aïeux. Une cuisine grasse qui fait manger bcp de pain.

Une cuisine qui ne porte pas le nom de noble puisqu’au départ, elle était, par la volonté de nos ancêtres, prévue pour ‘remplir’ notre pauvre estomac.

Il faut donc se placer dans ce contexte d’indigence de cette époque pour la comprendre. .Il fallait absolument rassasier le ventre des enfants des familles modestes, des familles pauvres.
Une cuisine qui tourne encore aujourd’hui rarement sans doute autour des féculents, des œufs, des pommes de terre, (belle importation importée des iles par Mr Parmentier avec bien sur des arrières pensées , nourrir le peuple français avant la révolution car un peuple affamé prend le gourdin) des abattis, des mollets, des jarrets, des guergijettes ( cartilages) des morceaux de gras peaux , l’huile frite ) etc….

Nos jeunes femmes d’avant étaient tenues à être grosses et bien blanches, si elles n’avaient pas des ‘FKHADS’ (grosses cuisses), et termets ( fesses) épaisses, elles étaient considérées par la famille du prétendant comme CHETIVES.

Donc malade. L’embonpoint était donc signe d’abondance. C’est bcp dire puisque gavées de matière grasse et de sucreries, elles étaient.
Il fallait qu’elle soit CANON aux yeux du fiancé. Il fallait qu’elles TBOSSE ( pétent) le CHÂÂM, tout les anciens, du moins pour ceux qui restent encore en vie, vous le diront. Les ANCIENNES C.P.A le montrent. SIGNE DES TEMPS. PIECES A CONVICTIONS. TEMOIGNAGES SANS COMPLAISANCE.

Ces plats ragouts étaient, comme je l’avais déjà écrit, RASSEMBLEURS. Le mérite en revenait à nos anciennes génitrices qui passaient bcp de temps à cuisiner.

Un époux qui rentre après son travail fatigué et qui ne trouvait pas son plat fumant pouvait soulever discorde, même de divorce. On raconte même qu’un époux avait prit l’habitude de mesurer la OSBANA de sa femme tous les vendredi soir, si elle n’avait pas les mensurations requises, il pouvait s’en plaindre au rabbin du quartier. D’où l’importance de la bouffe. Ces plats très consistants ont envoyé plus d’un au cimetière de l’avenue de Londres. L’obésité et le cholestérol étaient grandes causes de mortalité chez les entre 40 et 50 ans d’où la saignée qui se pratiquait à cette époque.

Pour 90% des familles d’avant, les repas, les ragouts étaient à l’honneur. Les h’choui, les assidats, les bissarats (plats à base de lentilles) les os à moelle etc…., contribuaient à donner du poids au détriment de la santé, du bien être. Cette cuisine ancienne a fait les beaux et mauvais jours de bcp de générations.

Aujourd’hui, ces plats sont tjs d’actualité mais voilà, ils ne se font plus aussi couramment qu’avant parce que les esprits des maitresses de maison ont évolué et tous les nutritionnistes mettent un point d’honneur à avertir les gourmands que tout abus dans la confection des plats va dans le sens contraire de la bonne éducation alimentaire dite hygiénique. En clair, surveillons ce que nous mangeons afin d’éviter, montée de tension, maladie du cœur, goutte etc….
Le surpoids n’est plus de mise aujourd’hui, surtout lorsque arrivé à un certain âge.

La cuisine dite légère à base de salades, d’huile d’olive vierge d’assaisonnement réfléchi, d’association de fruits bien choisis, de régulation d’épices de sel etc prend l’allure d’un régime. Fini les gros biftecks, fini les aregmets, fini les peaux et les os à moelle au profit du poisson par exemple. La confection des salades réfléchies a le vent en poupe. Mais rien ne s’oppose toute fois à se payer le luxe d’une BSAL OU LOUBIA…D’une pkaila, d’un bon couscous pour honorer traditions, coutumes et shabbatot. Donc espacés dans le temps.

En clair, on ne doit plus creuser sa tombe avec ses dents mais plutôt prendre conscience que nos habitudes culinaires d’avant ne doivent en aucun cas trahir le bon fonctionnement de notre organisme, de nos estomacs qui ne sont pas des machines à broyer n’importe quoi mais de leur donner ce plaisir d’apprécier en bouche d’abord et enfin dans nos intestins.

L’époque du GEYER renvoie d’acidité est révolue.
Vive les carottes, les navets, les concombres, les choux etc…
PAR BREITOU nutritionniste qui apprécie encore le LABLABI une fois tous les six mois. Et qui saute des repas pour tenir sa ligne ce qui est très mauvais d’ailleurs.


Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
06 janvier 2013, 04:56
TOUS ENSEMBLE.

C’est une émission que je ne rate presque jamais.

D’autres aussi retiennent mon attention mais celle là, est spéciale parce qu’elle montre combien les gens peuvent être souvent solidaires des autres lorsque la détresse frappe à la porte de ces familles au bord du désespoir.

Retaper une vieille bâtisse, une maison qui ne finit pas de prendre l’eau, un toit qui tarde à se mettre en place, un projet qui se meurt parce que les aléas de la vie font que parfois des situations deviennent pénibles à gérer, etc… montre à quel point la générosité spontanée de ces gens des villages, des campagnes et des villes est un honneur et fierté pour tous ce qui participent à ce qu’on appelle chez nous, communément une MISTWAH. Une belle action de grâce.

Donner sans compter pour des familles dans le désarroi c’est bien plus qu’un élan du cœur. C’est la bonté, l’association de cet élan du cœur avec l’esprit de secourir son prochain.

Frédéric, l’homme fée, maîtrise très bien son sujet et son thème. Je vois un homme qui se dépense, qui court à droite à gauche, qui s’investit, qui se donne à fond pour offrir du bonheur à ces familles qui voient soudain leur horizon se boucher.

Il n’est pas le seul à se dévouer à cette cause humaine. Il fait appel à des célébrités, à des gens de toutes conditions, de toutes origines, à des entreprises généreuses qui sur un simple coup de fil ou un simple déplacement sur place, leur ouvrent grandes ouvertes leurs portes pour aider.

Je vois des visages radieux, des yeux qui pleurent par tant d’émotion, des êtres qui se donnent corps et âmes pour donner de l’espoir. Des patrons qui ne sourcillent pas, des artisans sur le ‘front’, des femmes mètrent la main dans le cambouis avec pour seule mission d’avoir participé à cette noble mission, redonner de la joie et de l'espoir dans le cœur, dans la vie de ces familles que le destin à un moment donné abandonné.

Frédéric par son charisme y arrive parfaitement bien.

Il est le cœur qui fait battre les cœurs de ces enfants, de ces orphelins parfois, de ces handicapés qui attendent le miracle.
Il est le miracle.
Bravo Monsieur.


Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
07 janvier 2013, 11:40
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
08 janvier 2013, 01:11
A propos de bonne hygiène alimentaire ...

Lundi 7 janvier 2013
23:37 Invention : la fourchette qui fait maigrir (Guysen.International.News)

Une fourchette intelligente qui alerte en vibrant quand on mange trop vite sera présentée cette semaine au salon high tech International CES de Las Vegas par la société française Slowcontrol. D'apparence ordinaire, seul son manche, un peu plus gros que la normale, cache un système électronique avec des capteurs qui détectent à chaque fois que la fourchette est portée à la bouche. Si l'on mange trop vite, l'électronique est programmée pour déclencher une alarme et la fourchette se met à vibrer. Une fois chargé, l'appareil peut tenir pendant deux semaines à raison de trois repas par jour et de 10 vibrations par repas. Il passe même au lave-vaisselle, à condition de retirer sa partie électronique

Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
08 janvier 2013, 12:23
Il faut une douzaine comme celle là pour ELSA.
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
08 janvier 2013, 12:50
Toujours à propos de bonne hygiène alimentaire ...

Mercredi 2 janvier 2013
18:56 Quelques kilos de plus feraient vivre plus longtemps, selon une vaste étude (Guysen.International.News)
Des personnes en surpoids et légèrement obèses vivent plus longtemps que celles d'un poids normal tandis qu'une forte obésité accroît nettement le risque de mortalité, selon une analyse de près de cent études dans le monde publiée mardi. Selon le Journal of the Medical American Association (JAMA), les chercheurs ont ainsi déterminé que des sujets dont l'indice de masse corporelle (IMC) se situe entre 25 et 30, considérés comme étant en surpoids, avaient un risque de décéder 6% moindre que ceux pesant un poids normal avec un IMC compris allant de 18,5 à 25. Pour ceux souffrant d'une obésité modérée définie comme un IMC de 30 à 35, le risque de mortalité est 5% plus bas par rapport aux personnes de poids normal. Mais pour les obèses dont l'IMC dépasse 35, leur risque de mortalité augmente de 29% comparativement aux sujets normaux.

Calcul de l'indice de masse corporelle (IMC) :
IMC = poids (en kg)/taille(en mètre) au carré
Exemple : une personne qui pèse 75 kg et qui mesure 1,70 m a un IMC de 75/1,7x1,7 = 25,95


L'article original : [jama.jamanetwork.com]

Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
08 janvier 2013, 22:11
Merci Meyer, j'ai pris note, en as tu d'autres articles....??? Avec des équations surtout...???
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
09 janvier 2013, 10:48
LES FOURCHETTES DE ELSA...VUE DE FACE ET DE PROFIL. ELSA est devenue la STAR dans FACE BOOK. Normal, elle me suit de partout et moi aussi au moins avec elle, nous rigolons comme pas possible.
Pièces jointes:
fourchettes.jpg
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
09 janvier 2013, 15:00
Manger lentement pour une meilleure santé.

Le site du fabricant de la cuillère, en anglais.
[www.slowcontrol.com]
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
10 janvier 2013, 01:38
Le bien-être, nouvel eldorado des fabricants d'électronique

Las Vegas Envoyées spéciales

Le salon de l'électronique de Las Vegas révèle une explosion des gadgets consacrés à la santé. Ce marché pourrait être multiplié par seize d'ici à 2016

Cela fait partie des vraies nouveautés du Consumer Electronics Show (CES) : des gadgets high-tech destinés au bien-être et à la santé. Surveillance du rythme cardiaque, contrôle de la qualité de l'air, du sommeil, du poids... Le plus grand Salon mondial d'électronique grand public, qui se tient à Las Vegas jusqu'au 11 janvier, compte au moins 50 exposants spécialistes de ce domaine, contre quasiment aucun en 2012. Du plus sérieux au plus improbable...

Pour Cédric Hutchings, cofondateur du français Withings, un des pionniers du secteur, " il s'agit de proposer des objets qui doivent faire partie du quotidien, être attirants, faciles d'utilisation, ne surtout pas évoquer l'environnement hospitalier ". La start-up, fondée en 2008, compte une cinquantaine de salariés, des bureaux à Boston et Hongkong. Quasiment seule au début sur ce créneau du " e-bien-être ", elle s'est d'abord distinguée par la commercialisation d'une balance connectée en Wi-Fi qui permet un suivi ultra-précis de sa courbe de poids. L'entreprise a aussi lancé une balance pour les bébés et un tensiomètre. Cette année, elle présente une nouvelle version de sa balance, qui mesure, en plus du poids, le rythme cardiaque (grâce au contact de la plante des pieds) ou la qualité de l'air. Withings vend en plus un Smart Activity Tracker, un objet à clipper à sa ceinture ou à glisser dans sa poche, qui sert de podomètre, tensiomètre et comptabilise les calories brûlées au cours de la journée...

La start-up n'est plus seule sur le créneau. Au CES, des dizaines d'autres y vont de leurs petits capteurs connectés à Internet, pour la plupart en Wi-Fi ou en Bluetooth. Runtastic, Scosche, IBitZ! ou BKool se sont lancés sur le créneau : les enfants ont droit à des dragées colorées à clipper sur les tennis, les coureurs à des ceintures ou à des bracelets de montre. Les cyclistes ont même des casques connectés !

Un GPS pour le chien

L'américain Fitbit, de San Francisco, revendique la place de leader. Selon Peter Groom, responsable de la filiale britannique, " le marché est tout neuf, il n'est pas vraiment suivi par les cabinets d'analystes, mais nous estimons qu'il devrait être multiplié par seize d'ici à 2016 pour atteindre une valeur de 4 milliards de dollars ".

Si ce marché émerge, c'est que l'écosystème est là : des smartphones à foison (presque un milliard de terminaux multimédias devraient s'écouler en 2013), la possibilité de stocker des informations à distance (cloud computing) et l'habitude d'une grande partie de la population d'utiliser les applications mobiles. Le coût des composants qui a beaucoup baissé permet aux fabricants de proposer des produits abordables. La balance Withings haut de gamme ne dépasse pas les 150 dollars (114 euros). Il y a aussi un besoin grandissant des populations occidentales de contrôler leur santé au quotidien.

Certains s'engouffrent dans la brèche en proposant des objets pour le moins étonnants : Tractive vend un GPS pour garder un oeil en permanence sur son... chien. Hapilabs propose la HAPIfork, une fourchette de couleur flashy qui surveille notre rythme d'ingestion des aliments. Elle s'accompagne d'un mini-terminal à presser lors des moments de bonheur... Le tout pour la modique somme de 100 dollars.

Sarah Belouezzane et Cécile Ducourtieux

© Le Monde
10 janvier 2013

La HAPIfork, une fourchette connectée, star du Consumer Electronics Show, le 6 janvier. RICK WILKING/REUTERS
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