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LE PTB ET MOI ZOUZ.

Envoyé par albert 
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
20 janvier 2013, 12:39
Pan….Pan….Pan…
Ce ne sont pas les trois coups
Du Rataplan.
Moins encore des coups
Sur un tambourin
De fortune,
Comme on dit
Sortis de Chez nous
D’une ‘ââwediyé’
Non non…NON…§§§§….////.

Nos flonflons étaient de rires
Faits insouciants éclatants
Nos profils angevins sentaient
L’odeur du marin, l’onde pure
Berçait notre quotidien.
…………………………………………../////…..
Amour de mes Amours
Second regard sur toi
Après celui de maman
Qui ne se rappelle plus de rien
Maintenant.

Fidèle en amour
Fidèle à sa mémoire
Fidèle pour toujours
FidéEEle à elle.
Elle que je ne vois plus
Que j’ai quitté
Par un bel été.
Tout …Tout…Tout
Est compilé…§§§§…////….

TASSE....


Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
21 janvier 2013, 12:04
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
21 janvier 2013, 12:12
Yvan Sultan 15 ans de vie en Tunisie, 45 en France et le reste en Israël, 3 pays, 3 continents et 3 nationalités différents.
Je vous invite à suivre le tome I de mon « itinéraire de La Goulette à Natanya via Paris » retraçant mes 15 ans de vie en Tunisie, à La Goulette et à Tunis.
« cet ouvrage nous présente un itinéraire rempli d'anecdotes, de couleurs, de saveurs et de coutumes, et nous fait découvrir le mode de vie de milliers de personnes qui se déracinèrent de leur Tunisie natale dans la deuxième moitié du 20e siècle. De nombreux lecteurs se reconnaitront certainement dans cette biographie, qu’ils soient originaires de La Goulette ou d’ailleurs en Tunisie. » (Dr Victor Hayoun).
Pour vous procurer ce livre, contactez-moi par mail : yvan.sultan@gmail.com, ou par téléphone en Israël au : 054 778 12 97 (00 972 54 778 12 97 depuis la France).
Le prix du livre est de 100 NIS en Israël et 25 € en France ; il inclut les frais d’envoi.......
Yvan Sultan 15 ans de vie en Tunisie, 45 en France et le reste en Israël, 3 pays, 3 continents et 3 nationalités différents. Je vous invite à suivre le tome I de mon « itinéraire de La Goulette à Natanya via Paris » retraçant mes 15 ans de vie en Tunisie, à La Goulette et à Tunis. « cet ouvrage nous présente un itinéraire rempli d'anecdotes, de couleurs, de saveurs et de coutumes, et nous fait découvrir le mode de vie de milliers de personnes qui se déracinèrent de leur Tunisie natale dans la deuxième moitié du 20e siècle. De nombreux lecteurs se reconnaitront certainement dans cette biographie, qu’ils soient originaires de La Goulette ou d’ailleurs en Tunisie. » (Dr Victor Hayoun). Pour vous procurer ce livre, contactez-moi par mail : yvan.sultan@gmail.com, ou par téléphone en Israël au : 054 778 12 97 (00 972 54 778 12 97 depuis la France). Le prix du livre est de 100 NIS en Israël et 25 € en France ; il inclut les frais d’envoi.......




hebergeur d'image
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
22 janvier 2013, 03:09
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
27 janvier 2013, 03:41
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
27 janvier 2013, 09:46
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
28 janvier 2013, 11:52
[www.youtube.com]

ECOUTEZ CETTE CHORALE DIVINE..

Bye Poupée.
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
28 janvier 2013, 12:29
Il s'agit d'une Synagogue portugaise-séfarade à Amsterdam
> > > Elle est seulement éclairée par des bougies.
> > >
> > > > Elle a été construite il y a plusieurs centaines d'années et n'a jamais été « électrifiée ».
> > > L'arc, les sièges, les bima etc. ont tous ete faits par les constructeurs de navires, à la main.
> > >
> > > > Au cours de la seconde guerre mondiale, les nazis l'ont manqué d'une certaine façon, et n'y sont jamais entré, de sorte que tout est intact et original.
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
28 janvier 2013, 13:10
Sujet : PAPARONE
Ecrit par son fils !!
>
> Les interessés riront un peu !!
OY (cri de guerre des Tunes) La pizza Memmi, la chantilly de Paparone, les
> kakis du Belvédère, le casse-croûte de chez Azar ou rien n'était laissé au
> hasard, les grillades de chez Fneyen avec "Albert as-tu du coeur", le
> complet de chez Bichi, les citronnades l'orgeat et les croquants, les
> frigolos de Cacciola, les cornets de frites d'Ali à Khérredine, les sandwichs de
> Collini, le lablabi au Port, le lait de poule du Capitole,le milk-shake de Frécho, le Café Vert la boukha et la boutargue... La pêche au bloc, la trimoligne chez "rouge".La sieste après le bain les belotes sanglantes et les chkobbbbba!!! L'U.S.T et Kiki Lakhal, le terrain blanc, les noyaux d'abricots, la manille et lescastels, les billes, les agathes et les kix à l'américaine, les verres à soie et les feuilles de mûriers. Les Dunes, la Tour Blanche, l'Hacienda, le Bey's
> Palladium, l'Olivier Rouge, la Baraka et tous les sbaïbars...Le cinéma
> découvert du Kram, la couleur du ciel, les jasmins, le tfel, le Palmarium, le
> Colisée, le T.G.M et puis tous les copains, c'était le kif.
Yahyia Bourguiba , Harissa.com c'est comme si on se retrouvait en bas dans la rue dans le quartier et sera peut-être le point de départ pour créer notre confrérie au même titre que les franc-maçons.
Créons cette entité je suis sûr qu'on sera quoté au N.A.S.D.A.Q très très vite.
> P.S: Je regrette que nos enfants n'aient pas connu ce paradis
>
Le fils de Paparone


BYE POUPEE AGENCY....DU N.E.S.T.A.Q.
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
29 janvier 2013, 13:34
YTRO.

J’appelle ces années là pour témoigner de cette fête où le pigeon est mis à l’honneur au centre de la table, si ne sont que deux ou trois.
J’appelle tous ces petits assortiments en caramel coulé en forme de chameau, de poule, de coqs, d’oiseau tc….

J’appelle toutes ces pâtisseries orientales, guizada, yoyos, makrouds debla que papa achetait chez son ami le pâtissier Nathan.

J’appelle cette table sur laquelle maman a renouvelle la nappe pour la circonstance et recevoir plus tard e n son milieu cette SINIA (pièce montée) au sommet de la laquelle mon nom en GERMAJI (croquant de caramel) était suspendu.

J’en appelle à ses choux aux ventres remplis de crème, collés comme des arpètes à leur rocher de miel.
J’en appelle à Meiha ma grand mère assise sur son fauteuil qui donnait qqs directives avant que papa rentre les paquets de gâteaux pleins les bras.

J’en appelle à ma mère qui n’est plus qui sortait de sa cuisine en tablier à petits pois pour nous servir les l’chen assfour ( langue d’oiseau en pate). Une grande marmite tenant en équilibre entre ses bras pour nous présenter nos pigeons.

J’en appelle à mes frères qui étaient penchés par-dessus la grande marmite en alu pour toucher ces plumés cuits, les pates en l’air.
J’en appelle à cette ambiance de fête, à cette boukha qui les yeux de mon père brillants.

J’appelle ces années là qui ont passé et qui ont vu tants et tants de belles fêtes partagée dans une ambiance que je ne retrouve plus.
J’en appelle à ce temps là disparu qui a laissé dans notre mémoire ce qu’il y avait de meilleur là bas.

Là bas qui est passé, là bas où notre vécu se souciait peu de la misère et du reste on s’en foutait.
J’en appelle à ces soirs de fêtes heureuses qui ont perdu ici leur vrai parfum de là bas.

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