Breitou tu nous en fais lire de toutes les couleurs, même en caractères noirs.
Nous qui n'avons jamais été des ramoneurs nous voilà noircis.
Mais à ma connaissance Tawfic, le nuage noir n'est pas passé au dessus de vos têtes..??
Il va falloir manger plus de ZLEBIA pour éclaircir non.????
L'HOMME AUTRUCHE.
Comptez,
Mesdames et messieurs,
Sans trop vous ennuyer
Le nombre d’écrits pour eux,
Pour mes petits-enfants
Sans que cela vous fasse tiquer.
Que puis-je faire pour stopper
Tant de confiture qui dégouline
Sous la pression d’un volcan
Mon cœur ‘irassasié’
Par trop d’amour débordé.
Me voilà noyé malgré moi
Dans un océan de délires
Qui m’fait cracher des étincelles
Au dessus de ma tête,
Quelle merveille.
Je veux bien me taire
Je me le suis juré mille fois
Et mille fois je me parjure
Mais est-ce bien ma faute… ?
Ne cherchez pas l’erreur
Je ne suis pas coupable
Par tant de débordements.
Vaut mieux cela que l’invasion
D’un nuage noir innocent
Que l’on dit avec conviction.
Qu’on vienne me sauver
Me dire de m’arrêter,
Souffler un peu sur la berge
Puis recommencer sous la lumière d’un cierge.
J’écouterai le conseil
Du plus averti
D’un sage s’il s’en trouve un
Par ici.
Sans concession, qu’il me le dise.
Il n’aura de ma part aucune réflexion.
Je le bénirai même de toutes façons.
J’obéirai sans tarder à l’injonction
Sans soulever aucune objection.
Je prendrai la bonne direction
Je me plierai à l’honnête décision.
A moins de me faire une injection
Ou me prescrire une bonne vaccination
Car je souffre d’une grave affection
D’une belle et bonne démangeaison.
Je ne suis pas dans le mensonge
Mais je dois me rendre à l’évidence.
Il faut que l’on me le dise avec assurance.
Que cela vienne d’un croupion savant
Ou d'un couillon sans prétention,
Je mettrais fin à toutes mes brouillions.
Et j’irai boire le bon bouillon
Qui mijote avec tous ses ingrédients.
Que l’on porte attention, à ma conclusion.
Je suis malade.
SKETCH.
13/02/2010.
‘…Allo Bébert… !C ‘est Maman… !’
Je ronfle (admirez ma courbe)
LA VOIX DE LA MESSAGERIE.
‘…Vous ne pouvez pas joindre votre fils, il n’est pas disponible… !’
‘…Vous êtes qui vous Monsieur… ?’
‘…Vous ne pouvez pas rentrer en contact avec Bébert… !’ La voix de la messagerie.
‘…Ah bon mais dites moi vous depuis quand vous m’interdisez de parler à mon fils… ?’
‘…Veuillez rappeler ultérieurement Madame… !’
‘…Je suis sa mère et non Madame… !’
‘…Toutes tentatives de joindre votre fils sont vaines, veuillez rappeler dans DEUX HEURES… !’ La voix.
Je lève le combiné…
‘…Qui est à l’appareil… ?’
‘…Ta mère et qui est ce monsieur… ?’
A Suivre au PTB...DANS SKETCHS...
LIBRE DE MON STATU.
Sans doute bon, mais il ne m’est pas permis de le dire, c’est à l’appréciation des autres de définir qu’est ce qui est bon ou pas chez un individu.
La bonté… ? Pas besoin de la voir, elle se lit souvent dans le regard de l’autre, par un acte, par des actes de bonté qui n’ont pas besoin d’être étalés ou claironnés, cela tout le monde le sait.
Pas besoin de dire qu’il faut être grand ou petit religieux pour l’être, un simple mécréant ou impie réunit générosité et charité.
La générosité est un acte de bonté.
La charité est un acte de bonté.
Si elles sont servies sans aucune arrières- pensées, avec désintéressement, si elles sortent du cœur et si elles n’impliquent pas un retour, une obligation de rendre la pareille en espérant en tirer plus.
Brute, sans doute le suis-je parfois sans trop réfléchir.
L’impulsion peut faire croire à la brutalité du moment. La colère en est la cause.
La colère engendre la brutalité des mots. Pas la violence.
En tout cas, je ne suis pas celui qui montrerait de la bonté dans mes écrits pour paraitre bon aux yeux des autres. Se maquiller qu’elle horreur.
La sincérité n’a pas besoin de pub.
Le jugement personnel est maitre de la pensée de l’intelligent.
Je suis un impulsif, certes et je ne me le cache pas.
Et bien loin de combattre les malveillants et malveillantes, je laisse à l’appréciation des autres de discerner les petits complots en coulisses qui leur donnent le sentiment d’être de bonne foi.
Mais à la longue entre paraitre et disparaitre, il vaut mieux disparaitre après avoir épuisé le grand répertoire civil des préjugés fallacieux.
Avec le temps, l’ivraie disparait pour laisser à la surface ce qui est bon.
Je le reconnais je suis un nerveux qui s’est laisse déborder à dire des choses par moments hors propos.
Qui choquent, blessent et bien sur m’attirent des remarques désobligeantes. Je le regrette profondément et souvent mon seul recours est de m’en excuser. Et encore à ceux qui le méritent.
La torah dit que la colère n’est pas bonne conseillère. Il faut donc ne pas se mettre en colère mais essayer surtout de maitriser ses réponses. Un effort presque insurmontable qui donne l’impression aux autres d’être une brute. C’est au dessus de mes moyens alors je pense que je serai toujours BRUT et pas assez POLI. Tant pis pour moi.
Mes proches me le font remarquer mais eux ils en rient parce qu’ils connaissent l’espèce.
Truand, voilà ce que je ne suis pas. Truander les gens, c’est mesquin et c’est un mot qui ne m’est jamais venu à l’esprit. Un mot bas qui sous entend escroc, voleur, homme de peu de confiance, malhonnête. Un truand ne se fréquente pas, il s’évite. Un truand se reconnait. Il a un visage qui ne trompe personne et surtout une manière de se comporter que même les plus idiots s’en aperçoivent.
BON, BRUT mais pas TRUAND.
De la part de NICK BON BERGER. Grand reporter assermente.
Pour un ADN DE PLUS.
SKETCH.
Paris le 25/04/2010.
Haplotype Cohen Modal.
‘…Allô… ! Maman… ?’
‘..C’est Bébert… ?’
‘…Oui ma, tu sais je voulais te dire que j’ai pris une décision… !’
‘…Augmenter MA MENSUALITEEEEE, rabi i foujouk… !’ ( Que D ieu t'élève au sommet de l'état.)
‘…Non, hélas Maman, mes charges ont augmenté… !’
‘…Alors tu vas me la diminueEEEr, ta côte part… ?’
‘…Non, elle restera pour le ‘moument’ comme cela, on attendant des jours meilleurs… !’
‘…Moi aussi je les attends, pour l’instant, je bouffe du nuage noir… !’
‘…Moi ca fait 20 ans je bouffe mon pain noir ( je travaille pour les blackettes qui veulent devenir blancs) alors tu vois nous sommes kif kif à chacun son petit noir, mais voilà sans t’offenser, je voudrais faire le test Haplotype Cohen Modal… !’
‘…Je ne le connais pas celui là, c’est qui un parent à ton gendre l’algérien Roffé… ?’
A Suivre au PTB...SKETCHS....!
SKETCH
Paris le 24/04/2010.
Pour Corinne de chez ZLABIA
LE TBIKH
Le ragout.
‘…Allo Maman… ???’
‘…Depuis quand tu me déranges lorsque je vois les feux de l’amour… ?’
‘…Ah, excuse moi, tu as le feu sacré à ce que je vois… !’
‘…C’est si important que tu me sonnes… ?
‘…Oui, je suis rentré dans un site de juifs algériens, des gens très bien qui n’ont encore rien dit, je parle seul mais… !’
‘…Mais quoi… ?’
‘…J’ai accroché une jeune fille de 20 ans… !’
‘…Toi, tu n’as pas honte à ton âge, tu te prends pour un macsouf… !’* Jeunôt.
‘…Un vieux MAC oui mais sans le souf… !’
‘…Quand même, un peu de pudeur ne t’étouffera pas… !’
‘…Et bien figure toi, elle m’a fait un éloge… !’
‘…Ah bon, pourquoi, parce que tu es généreux avec moi, que tu me gâtes, que tu m’emmènes en vacances hein… ?’
‘…20 ans, que je m’occupe de toi, 20 ans que je t’ai emmené en vacances laissant ma femme et mes enfants seuls, 20 ans que j’entends tes jérémiades, 20 ans que je te supporte sans compter les reliquats et toi tu viens abruptement me lancer à la figure tes mesquineries… !’
‘…Ce n’est pas parce qu’elle t’a dit ‘…Continuez Bratou le barbar*(celui qui affabule) que tu va faire pousser des ailes à tes mollets… !’
‘…Comment tu sais cela toi… ?’
‘…Je te suis même en Algérie figure toi et même si tu vas chez les DAFINETTES ? JE TE SUIVRAI… !’
‘…Bon, qu’est ce que tu as contre Corinne toi… ?’
‘…Rien, mais quand même tu en fais trop, erzon* (calme) toi, ce n’est que passager… !’
‘…Qu’est ce qui passager… ?’
‘…Ben, j’entends la cocotte minute sur le FEU qui siffle… !’
‘…Vas, reviens... Pour éclaircir ta pensée, je ne compte pas m’arrêter là… !’
Elle revient.
‘…J'ai éteint le FEU DE la cocotte, DE LA GANAOUIYE, ââ'tini DNIYE,… !’
‘…Bon si on continuait cette discussion … ?’
‘…Laquelle.. ?’
‘…Tu as déjà oublié… ?’
‘…Oui, j’ai oublié parce que mon tbikh*(ragoût) a brulé… !’
‘…Tu vois tu cherches toujours un prétexte pour noyer le poisson dans ton ragoût… !’
‘…Ye Kbih*( mal élevé) que tu es … !’
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