Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
27 juillet 2015, 12:16
Un jeune homme sollicita un poste dans une grande entreprise. Après l’entretien d’embauche de sélection, le directeur adjoint l’envoya vers le directeur général pour une dernière entrevue. Le directeur a bien regardé son CV : il était tout simplement excellent (de grandes écoles, de beaux stages…). Aussi, le DG lui a demandé : « As-tu reçu une bourse d’étude pendant ton cursus scolaire ? » Le jeune diplômé lui a répondu tout simplement « non ».

« Est-ce ton père qui a payé tes études ? »
« Oui » répondit le jeune.
« Où travaille ton père ? »
« Mon père fait des travaux de forge. »
Le directeur a demandé au jeune de lui montrer ses mains. Le jeune lui a montré une paire de mains lisses et parfaites.
« As-tu jamais aidé ton père dans son travail, ne serait-ce qu’une seule fois ? »
« Mon père a toujours voulu que j’étudie davantage. En outre, il peut mieux faire ces tâches que moi.»
Le directeur a dit :
« J’ai une demande à te faire : quand tu iras à la maison aujourd’hui, observe et lave les mains de ton père puis reviens me voir demain matin. »
Ni une, ni deux, le jeune s’empresse de prendre congé pour aller vite répondre à la requête du DG.
Quand il rentra à la maison, il se mit à chercher son père et lui demanda la permission de laver ses mains.
Son père se sentit heureux de la subite attention de son fils et les lui présenta avec bienveillance. Après un temps d’arrêt, le jeune homme entreprit de laver doucement les mains paternelles. Pour la première fois, il se rendit compte de l’état des mains de son père : elles étaient ridées et avaient tant de cicatrices qu’il pouvait à peine toutes les compter. Certaines d’entre elles étaient encore à vif et quand il avait le malheur d’y toucher, son père tressaillait de douleur.


Pour le jeune homme, ce fut comme un seau d’eau glacée lancé en plein visage ! Il se rendit peu à peu compte du sacrifice de son père. Car chacune de ces cicatrices représentait le prix à payer pour SON éducation, SES activités de l’école et SON futur.

Après avoir fini de nettoyer les mains de son père, le jeune commença à mettre de l’ordre dans l’atelier. Cette nuit-là fut un magnifique moment ‘père et fils’ durant lequel ils parlèrent très longtemps.
Au matin suivant et comme prévu, le jeune est retourné voir le directeur.
Ce dernier s’est vite rendu compte des larmes dans les yeux du jeune homme. Aussi lui-a-t-il demandé : « Peux-tu me dire ce qui te fait pleurer et ce que tu as appris hier en rentrant chez toi ? »
Le jeune a répondu : « j’ai nettoyé les mains de mon père puis j’ai fini par ranger son atelier… mais ce n’est pas le plus important. Je sais maintenant reconnaître ce qui mérite d’être apprécié. Sans mon père, je ne serais pas celui que je suis aujourd’hui. En aidant mon père, je me suis rendu compte de la dureté de son labeur et de mon arrogante indifférence. Aujourd’hui, j’apprécie son sacrifice à sa juste valeur et le trésor qu’est l’aide familiale.
Le directeur a dit : « Voilà ce que je cherche chez mon personnel. Je veux engager des personnes pouvant apprécier l’effort fourni par les autres, des personnes qui ont conscience de la souffrance d’autrui, des personnes qui ne mettent pas l’argent comme seul objectif dans la vie… Tu es embauché ».

Un enfant trop protégé à qui les parents donnent tout ce qu’il veut, développe « une mentalité de droit » et ignore les sacrifices qu’il a fallu faire pour en arriver là ! Si vous vous reconnaissez dans ce type de pères protecteurs, pensez-vous agir pour le bien de vos enfants ou au contraire, les guider sur le mauvais chemin ?

Vous pouvez donner à vos enfants ce qu’ils souhaitent le plus au monde : une maison chaleureuse, un bon repas, une grande école, un téléphone portable dernier cri… Quand vous devez faire le ménage ou peindre une chambre, pensez tout simplement à les mettre à contribution. Après avoir mangé, qu’ils lavent et rangent la vaisselle entre frères et sœurs pour apprendre la vraie valeur de l’entraide et les qualités nécessaires pour mener une belle vie. Un jour, quand vous aurez les cheveux bien blancs, vous serez heureux de voir vos enfants épanouis, suivre votre exemple et apprendre à leurs propres enfants l’expérience de la difficulté et l’importance du travail en groupe.
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
28 juillet 2015, 03:42
LA COUTUME DU VERRE D 'EAU.

'.... Alors voilà mon truc qd je voyage de nuit et que ma femme dort, je prends une bouteille d'Evian avec hbel attaché à l'encolure et le tout posé sur mon balcon, dés que le taxi démarre , je tire le fil et le liquide se déverse derrière le taxi sauf que cette fois çi j'ai oublié de lâcher le fil et j 'ai trainé la bouteille jusqu'à l'aéroport. CDG....meskine le chauffeur me disait '...Zut alors, mon tuyau d'échappement a du lacher...Excusez le bruit....!'

Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
29 juillet 2015, 00:42


Lorsqu’on n’a pas, on fait dans le modeste, l’important est de marquer
L’événement parce que aux yeux de Achem ce n’est pas tellement le grand
Faste qui compte mais de perpétuer ce que Achem nous a prescrit.
Lorsque je pense que des familles indigentes n’avaient pas le sous pour
Honorer la bar mitswa de leur fils, je dis que, malgré la mauvaise passe
Dans laquelle ma famille était, nous avons eu la chance de la faire sans rien demander à personne.
Mr le gérant NANI PEREZ, un bon juif, a refusé qu’elle se fasse à la terrasse alors
Papa a eut l’idée de la faire juste dans la ruelle Casino. Sous la fenêtre de nos chers voisins
Les TEMIMS. En fait, il y avait deux espaces, l’impasse pour les voisins, tables et chaises,
Bien sur et la salle à manger pour les intimes. Salle à manger….15 mètres carrés.
Pas de musique dc pas d’orchestre pour un papa qui adorait la musique orientale.
Je me rappelle cette fameuse assiette anglaise, je me souviens de la ‘bila’ dans laquelle
Etait plongé les boissons et la boukha ….
Je me souviens que tout cela est bien loin mais si prés, je ne me souviens pas du chanteur
Parce qu’il n’y avait pas, ni de la danseuse….Je me souviens surtout de la chaleur des visages qui nous entourait.
Je sais par contre que le surlendemain nous étions devenus des petits hommes.
Et que grâce à D ieu, chanteurs et danseurs, nous en avions connu pour nos enfants.
Bezra achem….Là, ‘’’’’’’’’’’’’’’’’’’’


Pièces jointes:
bar mitswa.jpg
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
29 juillet 2015, 09:42
Lorsqu’on n’a pas, on fait dans le modeste, l’important est de marquer l’événement parce que aux yeux de Achem ce n’est pas tellement le grand faste qui compte mais de perpétuer ce que Achem nous a prescrit.

Lorsque je pense que des familles indigentes n’avaient pas le sous pour
honorer la bar mitswa de leur fils, je dis que, malgré la mauvaise passe
dans laquelle ma famille était, nous avons eu la chance de la faire sans rien demander à personne.

Mr le gérant feu NANI PEREZ, un bon juif, a refusé qu’elle se fasse à la terrasse alors papa a eut l’idée de la faire juste dans la ruelle Casino. Sous la fenêtre de nos chers voisins Les TEMIMS. En fait, il y avait deux espaces, l’impasse pour les voisins, tables et chaises, bien sur et notre salle à manger pour les intimes. Salle à manger….15 mètres carrés.

Pas de musique dc pas d’orchestre pour un papa qui adorait la musique orientale.

Je me rappelle cette fameuse assiette anglaise, je me souviens de la ‘bila’ dans laquelle était plongé les boissons et la boukha ….

Je me souviens que tout cela est bien loin mais si prés, je ne me souviens pas du chanteur parce qu’il n’y avait pas, ni de la danseuse….Je me souviens surtout de la chaleur des visages qui nous entourait.

Je sais par contre que le surlendemain nous étions devenus des petits hommes.
Et que grâce à D ieu, chanteurs et danseurs, nous en avions connu pour nos enfants.

Bezra achem….Là, ‘’’’’’’’’’’’’’’’’’’’

Pièces jointes:
bar mitswa.jpg
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
29 juillet 2015, 10:29
Détrompez- vous, Israël n’est pas un petit pays…
Non, pas du tout…Je ne parle pas de géographie, une fois
Que vous y êtes, vous vous rendrez compte de combien elle est grande,
Immense.
Je compare mes yeux à ceux d’un chat la nuit, pupilles grossissantes qui donnent l’impression qu’elle est bien plus grande que ce que je vois.

Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
30 juillet 2015, 00:19
Né sous le signe du bâton.

Goulettois….! qui d’entre nous n’a pas connu le bâton… ?
Nos mamans n’avaient pas le choix, elles usaient et abusaient du bâton que bien souvent, nous allions, Sauveur mon frère cadet,et moi nous cacher sous notre abri de fortune, le sommier, empire des baques ( punaises) .

Le bâton s’avérant trop court, c’est le manche à balai qui prenait parfois la relève… Je revois, des années plus tard, ces gestes que maman faisait avec son bâton, elle ratissait large sans visuel et nous, nous étions obligés à toujours reculer vers le mur à tel point que nous prenions la forme de deux sardines bien collées au mur et on hurlait ‘….Ourass maman on ne recommencera plus… !’

Promesses jamais tenues. L’enfance ne tient pas ses promesses.

Comme le souligne Deidou Fitoussi, à défaut de grand bâton, l’éventail, si fragile
Qui, sur nos fesses venait souvent se briser….Nous avions les fesses bien dures
A cette époque…

Comme je le disais, le bâton représentait la loi, la discipline et la règle de MR ROMIEU mon maitre de C.E.2, couleur noire ébène trônait en bonne place sur son bureau. Son juge de paix qu’il disait. Jusqu’au jour où, ce bâton/ règle donna le signal d’une révolution à l’école. Oui, un bâton peut engendrer une révolution pour la bonne raison que l’ordre dictatorial à ses limites. Et que de trop abuser de ce bois, il faisait de nous des petits martyrs.


Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
02 août 2015, 09:41
Qu’est ce que le KIKAR… ???

En Israël, il y a dans les villes importantes, ce que les israéliens appellent Kikar, un centre ville aménagé qui prend l’aspect d’une grande promenade.

Tayélet est la promenade sur le bord de mer.

Les Kikars se ressemblent tous. Une grande avenue piétonne, bordée de chaque cotés de boutiques, de magasins, de pizzerias, de cafés des restaurants, la plupart du temps couverts et ouverts, des pâtisseries orientales, makrouds, deblas, souabas, boulou, citronnade, etc… comme on dit chez nous ‘…Aâlla kel loun ou crimé etc….Tout est bien pensé et réfléchi.

Une grande esplanade que celle du Kikar de Netanéyè, des jets d’eaux, jeux de lumières, des concerts modernes.

Un écran géant, des forains normaux ‘ des religieux’ (lol) normaux bien sur, bref des étals divers, mais ce qui est magnifique c’est de voir évoluer cette jeunesse en skateboard, ou bicyclettes électriques, ces jeunes filles habillées à la mode marchant en petites bandes, coup d’œil sur la promenade de Juan les Pins sauf que nous sommes loin du compte. Ici c’est une ambiance totalement juive.

Hélas, bcp des places réservées aux handicapés moteur viennent rappeler au sarfat et à l'étranger, que ce pays est en guerre.

On croise bcp de monde d’origine française d’où que bcp de commerçants parlent
cette langue. Il est un fait bien établi le KIKAR de Netanya est bien français, de la plage et jusqu’à 400 mètres. Bcp de commerces sont tenus par des russes, surtout les petits supers marchés..Là bas, il n’y a pas d’heures de fermeture, les commerces sont ouverts jusque tard dans la nuit.

Dans les abords du Kikar, face à la mer, des ares et des ares de gazon, où tout un chacun vient prendre un peu de nech’me.

La police se fait discrète, présente certes mais pas trop voyante.

Le Kikar de Nétania .. ? Un vrai bonheur. Du matin jusqu’au soir
Hédèra va avoir le sien dans pas longtemps.
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
02 août 2015, 10:12
Même si vous n’êtes pas chez vous, et bien le fait d’y être équivaut que vous l’êtes, non pas en tant que locataire mais bien en tant qu’occupant.

Un mot qui ne plait certes pas aux médisants mais la réalité et là. C’est notre
Âme juive qui le veut. A mon sens, tout juif, même demi juif, quart juif ou huitième comme la boukha, qu’il soit pro ou anti israélien, ne peut s’empêcher de nier cette évidence. Il y a là une métamorphose.

Il ne s’agit pas d’amour ou de désamour mais bien d’une petite fibre
qui se réveille et qui vous souffle qu’en fin de compte, on ne peut pas échapper
A son identité, une fois qu’on y est. C’est comme gouter au fruit défendu pour certains qui nie et renie ce qui est évident mais une fois qu’on y plante ses dents, tout ne semble plus pareil.

Que certains n’aiment pas Israël, ne fait pas d’eux des juifs indifférents mais des juifs qui ne croient pas aux privilèges, aux bienfaits que cela peut leur apporter. MAIS LA LIBERTÉ DE DIRE un JOUR

…’…Oui, ici enfin, je me sens JUIF à part entière…. !’ Fera d’eux
le juif retrouvé, révélé qd le moment sera venu.

Perso, je n'attends pas ce moment, je le suis déjà depuis très longtemps.


Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
06 août 2015, 03:08
La France n’a pas su nous garder… !

Commentaire de mon amie Sarit.

Quel pays a-t-il su nous garder…L ALGÉRIE…LA TUNISIE…LYBIE…POLOGNE…Allemagne…??? etc….à moins d’une recette magique, miraculeuse, je ne vois par quel stratagème, un juif peut être gardé. On garderait un juif comme on garde une brebis alors… ?

Avec la montée en puissance de l’Islam radical, avec tous ses discours haineux avec tout ce qu’on voit autour de nous, le pouvoir a enfin compris qu’il fallait protéger leurs juifs… ? Garder les synas et les yechivots….Est bien cela la vie
que les juifs français doivent mener ici… ? Garder et pourquoi ne pas nous parquer… ? Afin que personne ne viennent nous attaquer, nous insulter, nous tuer… ? Les juifs de France devraient donc commencer à réfléchir à une solution s’ils veulent continuer à vivre ici en France…S’entourer de barbelés ou partir…. ?

Ceux et celles qui disent ‘…Non, il faut se battre… !’ Oui battez vous…Surtout...
Personne ne vous empêche de vous battre…Restez et battez vous. On vous
soutiendra de loin en visionnant ROCKY 2 tout en croquant des chips. Puis on zappe.

Partir c’est l’idéal…prendre son temps et ses dispositions pour partir.
Il va falloir décamper, faire ses valises, sans paniquer.

Ce n’est pas LA France qui ne veut pas de nous, mais une grande frange de français haineux et antisémitiques qui ne veut plus de nous…

Il va falloir leur donner l’occasion de pondre d’autres sujets, il faut leur donner l’occasion de nous oublier….De nous ignorer… '!

Ceux et celles qui prétendent avoir des racines françaises depuis ST LOUIS
Etc…Qu’ils sachent qu’ils peuvent les mettre là où je pense. c’est fini les racines…. ! Le juif ici a fait son temps…Il a fait son temps de partout, il a disparu de nombreuses régions, mais renait ailleurs en ISRAEL….

Je les ai vus, je vois tous les jours des juifs forts, heureux, huileux, gros, gras. grasses, obèses, des bouftakins, sales, propres ; dar el khle tbi
El left… ! J’ai vu ces paires de boutargue bien bronzées, marque déposé sur des transats avec des chadais gros comme TITA de la Goulette, bel hout…

Et répéter au couchi,gardien des parasols ‘…Mais on a payé nos transats à ton ami… !’ Alors qu’ils n’ont rien payé et l’autre meskine qui leur dit ‘…Mais je suis le seul. Resquilleurs...Moi aussi je fais pareil, dés que je le vois, je rentre dans l'eau...!

Gardien de cette plage… !’ Tellement, il y a la ghassra qu’il abandonne..

En Israël; personne n’est gardé d’où que les enfants peuvent se perdre un instant.

Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
06 août 2015, 04:54
‘…Bjr Monsieur…Je suis bien à la bibliothèque BREITOU… ?’

Je lève les yeux alors que je suis avachi sur une table poussiéreuse.

‘…Oui, jeune homme, tout à fait… !’
‘…Je viens d’Israël, et ma grand mère m’a dit que si je voulais lire l’ambiance
Qui régnait à la Goulette, va voir Breitou… !’
‘…Votre grand-mère vous a dit cela… ? Ça fait des années que je suis là tous
Les jours et rares sont ceux qui viennent taper à cette porte… !’
‘…Ma grand mère était goulettoise….Ninette NACACHE… !’
‘…Son mari . Kheilou eli cen âândou ââ’tria sur l’avenue ROOSVELT… !
(…Kheilou, celui qui tenait une épicerie… !’
‘…Je ne parle pas l’arabe.. !’
‘…Non, tu ne le comprends pas, tu es israélien mon fils… !’
‘…Vous pouvez me parler de lui…Je voudrais bien le connaitre un peu plus, ma grand mère vivait en France et elle ne m’a pas bcp parlé de lui… !’
‘…Va consulter l’étage 24 là bas au fond du couloir… ! Tu vas trouver des trucs sur lui… !’

La vie de son grand père est sur une étagère… ! Sa tombe est au Borgel, une ruine.


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