Bienvenu(e)! Identification Créer un nouveau profil

Recherche avancée

ADRA DU JOUR

Envoyé par jero 
Re: ADRA DU JOUR
25 février 2008, 11:27
Raoul fidéle à Castro.
Re: ADRA DU JOUR
26 février 2008, 00:38
AUJOURD'HUI ANNIVERSAIRE DE MR ARIEL SHARON.
Il fête ses 80 ans.
Que D ieu vous rétablisse. AMEN.
Re: ADRA DU JOUR
26 février 2008, 15:19
lundi 25 février 2008

Une photo de Peter Shiff, l’amour de jeunesse d’Anne Frank

par Raphael Aouate @ 22:45

Durant l’été 1940, qui fut surtout une période sombre pour Anne Frank et sa famille, la jeune fille raconta avec fougue et passion son amour pour Peter Schiff, un jeune juif hollandais de son âge.

Le Musée Anne Frank révèle aujourd’hui qu’il a reçu une photo du jeune homme.

On se souvient qu’Anne Frank a 11 ans lorsqu’elle tombe amoureuse d’un jeune garçon, de deux ans plus âgé : Peter Schiff. Pendant l’été 1940, le jeune garçon de 13 ans venait régulièrement chercher Anne Frank après les classes, ou l’invitait chez lui.

"Je nous vois encore marcher main dans la main dans la rue", évoque t-elle dans son journal, en date du 7 janvier 1944. Peter Schiff y est continuellement décrit comme le "grand amour" de la jeune fille.

Les deux jeunes gens se verront pour la dernière fois en juillet 1942.

Grâce à un ami d’enfance, qui a partagé les mêmes bancs d’école que Peter Schiff dans les années trente, cette photo a été apportée le 18 janvier dernier. Elle est offerte au Musée Anne Frank.

Comme Anne Frank, Peter Schiff est mort dans un camp de concentration, à Auschwitz.

[www.a7fr.com]

Photo offerte au Musée Anne Frank par Ernst Michaelis

Pièces jointes:
Schiff-Anna Frank-jpg.JPG
Re: ADRA DU JOUR
26 février 2008, 15:24
Article en anglais qui rend compte de l'article du journal londonien The Observer

UK paper: Photo of boy Anne Frank loved is found

The Observer publishes what it calls first known photograph of boy Jewish girl fell in love with, wrote about in her famous diary while hiding from Nazis in Netherlands during WWII

Associated Press Published: 02.26.08, 08:00 / Israel Jewish Scene

[www.ynetnews.com]
Pièces jointes:
Schiff-Anna Frank-Observer-jpg.jpg
Re: ADRA DU JOUR
28 février 2008, 22:09
L’Axe du mal montre des failles (info # 012802/8) [Analyse]

Par Jean Tsadik © Metula News Agency

L’explosion qui, le 12 courant, avait pulvérisé, à 180 mètres du siège des services syriens à Damas, une Pajero et son occupant, Imad Farès Moughnieh, ne cesse de faire des répliques. On peut même affirmer, sans prendre aucun risque, que l’élimination du chef de la branche armée du Hezbollah génère de sérieuses dissensions entre les composantes de l’Axe du mal et entre les nations membres de la Ligue arabe.

On peut commencer cette observation en mentionnant que des éléments éminents du camp légitimiste libanais, le cheikh druze Oualid Joumblatt et le mentor de la communauté sunnite, Saad Hariri, pour ne citer qu’eux, accusent ouvertement la junte de Béchar Al-Assad d’avoir éliminé Moughnieh. Au-delà des opportunités politiques à accabler l’ennemi syrien et à absoudre le voisin israélien [1], Hariri et Joumblatt reprennent à leur compte une interrogation bien réelle : comment des agents du Mossad auraient-ils fait pour localiser leur proie, importer les explosifs, piéger sa voiture, la faire sauter et quitter la Syrie sans encombres, lorsque l’on connaît les mesures de sécurités hystériques qui prévalent dans la dictature alaouite, et, plus particulièrement encore, dans le quartier résidentiel de Kfar Soussé à Damas ?

La majorité des spécialistes du Moyen-Orient abondent dans le sens des leaders libanais et ne croient pas que l’attentat aurait pu avoir lieu sans que ses auteurs ne disposent d’au moins un appui au sommet de la pyramide de l’Etat syrien.

Est-ce à dire qu’Al-Assad était lui-même au courant de ce qui se tramait, je ne le crois pas. Il n’aurait pas ordonné publiquement une enquête au lendemain du guet-apens, et Assad n’aurait certainement pas promis d’identifier les responsables "en quelques jours", s’il savait que des éléments de son régime étaient impliqués.

Depuis, plusieurs semaines se sont écoulées et Damas garde le silence absolu sur cette enquête. Plus intrigante encore est cette contradiction : alors que le vice-ministre iranien des Affaires Etrangères, Ali Reza Cheikh Attar, avait annoncé que l’enquête sur l’assassinat de Moughnieh serait menée conjointement par Damas et Téhéran, l’agence officielle syrienne d’informations SANA a annoncé que la Syrie avait rejeté la requête iranienne de coopération.

Etrange déballage public entre alliés ? Ce n’est rien encore, comparé au refus opposé par le Hezbollah à ses parrains damascènes d’interroger trois de ses dirigeants supérieurs au Liban. On croyait les relations Iran-Syrie-Hezbollah plus vassalisées, et on ne pensait pas que ces trois entités pouvaient se refuser ce genre de services, et, qui plus est, exposer leurs désaccords sur la place publique.

Ces remous insolites viennent en tous cas démontrer l’importance du malaise : tout le monde soupçonne tout le monde. Les Syriens propagent des fuites laissant croire qu’il existait une dispute entre Hassan Nasrallah et Imad Moughnieh pour le leadership du Hezbollah. A en croire ces rumeurs, Téhéran aurait voulu remplacer le Sayyed Nasrallah par Moughnieh, reprochant au premier cité d’avoir piteusement géré la confrontation de l’été 2006 contre les Israéliens. Les ayatollahs ne pardonneraient pas à Nasrallah d’avoir perdu 80% de "leurs" missiles sous les bombardements du He’il Avir. Surtout, les Iraniens lui en voudraient pour son manque d’efficacité : avoir tiré des milliers de roquettes sur l’Etat hébreu et n’avoir "réussi" à tuer "que" trente-cinq civils.

En plaçant un "militaire" à la tête de l’organisation chiite libanaise plutôt qu’un clergyman, les ayatollahs auraient espéré que Moughnieh fît un meilleur usage de leur investissement. Ce scénario, qui, je le répète, n’est qu’une rumeur, possède le mérite de receler un rationnel solide. Les dirigeants du Hezb savaient probablement où se terrait leur commandant en chef et pouvaient l’approcher, en Syrie, de même que sa jeep, sans éveiller les soupçons. Il suffisait ensuite d’accuser Jérusalem de l’assassinat, dans un grand tapage médiatique comme les Fous de Dieu savent si bien les organiser, jurer vengeance et promettre l’annihilation de l’entité sioniste pour espérer noyer le poisson.

La variante de la culpabilité des services secrets syriens, basée sur le même rationnel de l’intention iranienne de remplacer Nasrallah, ne manque pas non plus de plausibilité : Moughnieh était très proche des ayatollahs, et s’il avait pris le commandement du Hezb, Damas perdait un allié docile et fidèle. Le Hezbollah, ses miliciens et son influence politique au Liban passaient sous commandement perse.

La troisième variante est celle du Mossad, évidemment ; mais, de plus en plus souvent, ceux qui accusent Israël de l’élimination de l’archi-terroriste – Nasrallah et d’autres sources syriennes notamment – affirment que les Israéliens n’auraient pas agi seuls. A les croire, nous aurions bénéficié du concours des services de pays arabes et/ou d’agents palestiniens installés à Damas. Le mobile, dans ce cas, est la volonté commune de mettre fin aux agissements de l’un des chefs éminents du terrorisme instrumentalisé par Téhéran, qui fait tant peur aux régimes arabes sunnites et qui soutient les putschistes du Hamas à Gaza.

A noter que la variante israélienne n’est pas incompatible avec l’hypothèse du remplacement de Nasrallah : pour Jérusalem, mieux vaut, en effet, avoir affaire à un Hassan Nasrallah qui se cache et dont on connaît le modus operandi et les faiblesses, qu’avec un maître terroriste, dont la létalité n’est plus à démontrer.

Ces variantes ne seraient que des postulats de salons pour aficionados de romans d’espionnage si elles n’étaient constamment évoquées sur fond de crise politique majeure au Liban. Après de multiples missions de bons offices, il apparaît que les trois composantes de l’Axe ne sont pas prêtes à permettre l’élection d’un président sans obtenir une mainmise sur les décisions du gouvernement du pays aux cèdres. La Syrie torpille ainsi toutes les médiations de la Ligue arabe, ce qui a pour conséquence d’indisposer terriblement les dirigeants des grands pays sunnites.

En tête des irrités, l’Arabie Saoudite, qui ne saurait admettre, sous aucun prétexte, que le Liban tombe sous l’influence de l’axe Téhéran-Damas. Riad entend que le gouvernement siégeant à Beyrouth puisse participer activement à la construction du tribunal international appelé à juger les meurtriers syriens de Rafic Hariri. Hariri, qui fut le partenaire financier et le courtier des Ibn Fayçal, et dont le fils Saad est même né dans leur royaume.

Autant d’excellentes raisons d’aider et d’armer les frères sunnites libanais, le meilleur rempart, avec les Juifs, aux yeux des Saoudiens, contre l’hégémonisme des ayatollahs honnis et de leur roquet de Damas. Alors Riad n’y va pas par quatre chemins, menaçant de faire éclater la réunion cruciale de la Ligue arabe, prévue à la fin du mois à Damas. Et pour bien montrer qu’ils ne plaisantent pas, les rois bédouins de la Péninsule viennent de commettre un acte très fort : ils ont transféré leur ambassade en Syrie à Doha, au Qatar.

Pendant qu’au sein du Hezbollah chacun traite chacun de traître, que la Syrie n’est plus totalement certaine qu’elle veut vendre son âme au Diable perse, et que Téhéran doute de ses appuis autour de la Méditerranée, de drôles de choses se produisent. Comme cette bombe énorme qui a sauté hier dans la ville de Tyr : un obus non explosé datant de la dernière guerre, selon le Hezb, un accident à l’entraînement, sans gravité, selon une autre de ses versions. Mais les miliciens chiites ont bouclé un très grand périmètre autour de la déflagration et ils tirent la figure des mauvais jours.

Il paraîtrait aussi que les Saoudiens ne supportent plus le Hamas et lui conseillent de cesser rapidement de tirer sur les civils israéliens.

Rien de cordial ne se prépare au Proche et au Moyen-Orient, mais les mouvements profonds sont violents, inhabituels et nombreux. Au point que je ne serais absolument pas surpris d’apprendre que Riad et Jérusalem se donnent ponctuellement la main pour éliminer des chefs terroristes.


Note :

[1] La majorité libanaise craint les répercussions de la déclaration de guerre totale, prononcée par Hassan Nasrallah contre Israël. Le gouvernement de Beyrouth ne désire pas que le Hezb se "venge" de l’élimination de Moughnieh en déclenchant la colère de Tsahal ; pour un crime, de plus, que les chiites ont peut-être commis eux-mêmes.
Re: ADRA DU JOUR
28 février 2008, 22:18
Photo prise a Gaza montrant les qassam tirees depuis une zone residentielle.

Karen
Pièces jointes:
qasam.jpg
Re: ADRA DU JOUR
05 mars 2008, 14:33
Vidéo sur la dernière opération israélienne à Gaza

[www.infolive.tv]
Re: ADRA DU JOUR
06 mars 2008, 08:40
Sderoth ce matin.



Les habitants de la maison sont saufs baroukh H. Ils ont eu dix secondes pour courrir a l'abri et ils y sont arrives de justesse. Shevah lael.
Re: ADRA DU JOUR
09 mars 2008, 06:15
Une certaine vision de la géopolitique au proche-orient.

Une mouche tombe dans une tasse de café :


- l’anglais - jette le café et s’en va
- l’américain - enlève la mouche et boit le café
- le chinois - mange la mouche et jette le café
- le japonais boit le café avec la mouche: un supplément gratuit
- l’israélien - vend le café a l’américain, la mouche au chinois et avec l’argent achète une nouvelle tasse de café
- le palestinien - accuse Israël d’agression pour avoir mis la mouche dans son café, appelle a l’aide l’ONU, demande un prêt a la Communauté Européenne pour acheter une nouvelle tasse de café, utilise l’argent pour acheter des explosifs, puis fait sauter la cafeteria où l’anglais, l’américain, le chinois et le japonais s’évertuaient a expliquer à l’israélien qu’il avait été trop agressif…
Re: ADRA DU JOUR
09 mars 2008, 23:39
bjr a tous

voici ma version
Une certaine vision de la géopolitique au proche-orient.

Une mouche tombe dans une tasse de café :


- l’anglais - jette le café et s’en va
- l’américain - enlève la mouche et boit le café
- le chinois - mange la mouche et jette le café
- le japonais boit le café avec la mouche: un supplément gratuit
- l’israélien - accuse la mouche d'antisemitisme
- le palestinien - accuse Israël d’agression pour avoir mis la mouche dans son café, appelle a l’aide l’ONU, demande un prêt a la Communauté Européenne pour acheter une nouvelle tasse de café, utilise l’argent pour acheter des explosifs, puis fait sauter la cafeteria où l’anglais, l’américain, le chinois et le japonais s’évertuaient a expliquer à l’israélien qu’il avait été trop agressif…
Seuls les utilisateurs enregistrés peuvent poster des messages dans ce forum.

Cliquer ici pour vous connecter






HARISSA
Copyright 2000-2024 - HARISSA.COM All Rights Reserved