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REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS

Envoyé par jero 
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
26 décembre 2007, 05:12
mardi 25 décembre 2007

03:14 Composée de 152 000 membres, la communauté chrétienne israélienne représente 2,1% de la population de l'Etat Hébreu. Le Bureau Central des Statistiques a publié cette information à l'occasion de la fète de Noël. (Guysen.International.News)

04:40 Les données révélées par le Bureau Central des Statistiques à l'occasion de la fete de Noël indiquent que 74% des chrétiens israéliens résident dans le nord du pays et 98% vivent en zone urbaine. Nazareth est la ville abritant la plus importante communauté chrétienne, avec 20 000 personnes, suivie de Haïfa et Jérusalem avec des communautés respectivement composée de 17 200 et 15 000 âmes. (Guysen.International.News)
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
28 décembre 2007, 01:21
Jeudi 27 décembre 2007

09:18 Nouveau record : 10 millions de voyageurs ont transité cette année par l'aéroport Ben Gourion. Les services aéroportuaires se félicitent de cette belle performance, qui représente une hausse de fréquentation de 14% par rapport à 2006. (Guysen.International.News)

C'est le plus grand flux de voyageurs enregistré depuis l'an 2000.
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
28 décembre 2007, 08:25
Voici la brochure d'un héros de la guerre du Liban, Commandant Rohy Klein qui s'était jeté sur la grenade pour sauver ses soldats. Lui est mort et ses soldats sont tous sauvés. Cette histoire a été relatée par ses soldats. A la demande de sa femme, elle prie que l'on propage cet héroïsme.

Pièces jointes:
Rav Seren Klein.jpg
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
30 décembre 2007, 07:10
dimanche 30 décembre 2007, mis à jour à 14:06

Sarkozy invite les Israéliens à "faire des gestes maintenant"
Reuters



Nicolas Sarkozy a invité au Caire les Israéliens à faire des gestes pour parvenir à la paix en cessant la colonisation et en aidant à la création d'un Etat palestinien moderne et viable.
"J'irai en Israël au printemps, ils m'ont invité à venir devant la Knesset et je dirai à mes amis israéliens que c'est maintenant qu'il faut faire des gestes", a déclaré le président français lors d'une conférence de presse aux côtés de son homologue égyptien Hosni Moubarak.

Pour le président français, le moment est venu pour l'Etat juif de "faire un effort qui permettrait de prouver que la paix est possible y compris sur l'arrêt de l'implantation des colonies".

Le dialogue israélo-palestinien réamorcé lors de la conférence d'Annapolis du mois dernier est fragilisé par un projet d'Israël de construire de nouveaux logements près de Jérusalem.

Nicolas Sarkozy s'est également adressé du Caire au président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, qu'il a aussi l'intention de rencontrer lors de sa visite dans la région au printemps.

"Je lui dirai que le futur Etat palestinien, il comprend Gaza", contrôlé depuis juin dernier par le Hamas, a-t-il dit. "La responsabilité internationale du monde c'est de soutenir le président de l'Autorité palestinienne et non pas les terroristes".

La France "sera du côté de ceux qui luttent contre le terrorisme et contre la barbarie", a-t-il insisté, évoquant les attentats meurtriers du début du mois à Alger.

A l'intention de ceux qui, dans le monde arabe, l'ont accusé d'être pro-israélien et pro-américain, Nicolas Sarkozy a répondu: "La France a des amis dans le monde arabe (...) et elle a des amis en Israël".

"Et la meilleure chose que peuvent faire des amis, c'est de pousser chacun de ces amis à se comprendre, à discuter ensemble et à trouver les voies du compromis pour pouvoir vivre ensemble en paix. Et il n'y aura pas de paix tant que les Palestiniens n'auront pas un Etat viable", a-t-il ajouté.

Nicolas Sarkozy a pris comme exemple la conférence de donateurs de Paris du 17 décembre, qui a permis de réunir plus de sept milliards de dollars pour aider l'économie palestinienne.

Cette réunion, "qui a été succès, montre bien que la partie arabe a confiance", a fait valoir le président français.

"Est-ce-que vous pensez qu'une telle conférence aurait pu se dérouler à Paris si les principales capitales arabes n'avaient pas confiance dans la loyauté et dans l'honnêteté de la France sur la création d'un Etat palestinien moderne, démocratique, indépendant ?", a-t-il lancé.

Elizabeth Pineau
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
30 décembre 2007, 07:14
Nicolas Sarkozy interrompt les contacts avec la Syrie
30.12.07 | 13h30


LE CAIRE (Reuters) - Nicolas Sarkozy annonce que la France n'aura plus de contacts avec Damas tant que le régime syrien ne laissera pas le Liban élire un "président de consensus".

"Je ne regrette pas et j'assume les contacts" avec le président syrien Bachar el Assad mais la France n'aura "plus de contacts avec les Syriens tant que nous n'aurons pas des preuves de la volonté des Syriens de laisser le Liban désigner un président de consensus", a prévenu le président français lors d'une conférence de presse commune au Caire avec le président égyptien Hosni Moubarak.


Fixée à samedi dernier, l'élection du président libanais a été encore reportée, pour la onzième fois depuis le 25 septembre.

"Il est venu le temps pour les Syriens de prouver dans les faits ce qu'ils ne cessent de proclamer dans les discours", a déclaré Nicolas Sarkozy.

"La France a pris la responsabilité d'un dialogue conditionné avec la Syrie. Nous attendons maintenant des actes de la part des Syriens et non pas des discours. Le Liban doit avoir un président, un président de consensus", a-t-il ajouté.

Le président français s'est entretenu à plusieurs reprises avec le président de la Syrie, ancienne puissance de tutelle du Liban.

Dans un entretien publié samedi par le quotidien égyptien Al-Ahram, il explique lui avoir demandé "de contribuer au bon déroulement de l'élection présidentielle (libanaise) dans le respect de l'indépendance et de la souveraineté du Liban".

Laure Bretton
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
30 décembre 2007, 11:32
Le vent des illusions



«L’Autorité palestinienne s’est engagée à assurer le respect de la loi et de l’ordre… Israël doit se retirer de la Cisjordanie».

Nicolas Sarkozy ajoute : «Le temps est venu de mettre fin à l’occupation qui a commencé en 1967».


En utilisant l’argumentation contestable des Palestiniens qui parlent de colonisation et d’occupation au lieu de parler de territoires «contestés». Nicolas Sarkozy ne prend-t-il pas fait et cause pour les Palestiniens ?

En effet, les Palestiniens et les anti-israéliens omettent toujours de dire que jusqu’en 1967, la bande de Gaza était sous domination égyptienne et qu’en 1950, la Jordanie avait annexé la Judée et la Samarie, sous le nom de Cisjordanie. On oublie de dire que c’est à l’occasion d’une attaque jordanienne, assistée de forces irakiennes, qu’Israël remporta la victoire dans cette guerre défensive en juin 1967. En 1948 Israël ne contrôlait ni la Cisjordanie ni la bande de Gaza et pendant les vingt premières années du conflit israélo-arabe, il n’y a jamais eu de revendication palestinienne sur ces territoires.

Quelles sont donc les motivations de l’Occident ?

Voudrait-il se racheter une bonne conduite sur le dos d’Israël ? La «cause palestinienne» ne serait-elle pas tout simplement la mauvaise conscience de l’Occident et un bon prétexte pour l’Islam ?

Pourquoi le monde tourne-t-il ses regards vers ce petit lopin de terre situé au confluent de trois continents : Eretz Israël : la Terre d’Israël ? Considérée par toutes les religions monothéistes comme la «Terre Sainte» elle est appelée, plus précisément en hébreu Eretz hakodech, littéralement la «Terre de la sainteté». Débaptisée par les Romains, elle fut pendant des siècles affublée du nom de Palestine, Jérusalem devint Aélia Capitolina et les Juifs du Royaume d’Israël furent contraints à l’exil. Cependant une présence juive s’est maintenue au fil des siècles malgré bien des difficultés, notamment au moment des Croisades et des conquêtes de Mahomet puis des Califes.

Le peuple juif, en retournant sur sa terre, ne revendique que le pays qui lui appartient. Il n’a aucune visée expansionniste comme certains voudraient le faire croire. Le retour d’Israël sur son territoire historique n’est en rien comparable aux conquêtes de l’Islam par Mahomet puis par ses successeurs qui ont envahi et annexé par la guerre, l’Asie jusqu’à l’Inde, les rives de la Méditerranée et de l’Afrique, depuis l’Atlantique jusqu’à l’Espagne.

Au moment de la création d’Israël, alors que ses dirigeants annonçaient le caractère juif de leur pays, ils s’empressaient d’y associer les principes de liberté universaliste attachés au judaïsme: liberté de culte, accès aux lieux saints, égalité des habitants, proposition de paix aux pays voisins. De leur côté, les Etats arabes minés par leurs dissensions internes n’étaient capables de retrouver leur unité que sur le terrain de l’exclusion et de la destruction de l’Etat d’Israël.




Voir le site : [hashomeret.wordpress.com]

Pièces jointes:
illusion1.jpg
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
30 décembre 2007, 12:57
Hajkhloufette c'est tres bien dit. L'occident ne veut plus entendre de ce conflit, J'avais ecrit en anglais, ce conflit finira: voici l'article: My opinion about the situation in the Middle East. Excusez moi de n'avoir pas le temps ni la force de me traduire.




When Will there be Peace in the Middle East?

I received many e-mails from friends, from France, from Germany, from North Africa, from the United States and from other countries asking me what will be the end of all these troubles in the Middle East. My answer is the same as the one that I had given more than forty years ago:
"There never was an end in history, but only ends of episodes". Israel enters a new phase of its existence today and it will surmount it as it had overcome the other phases which were even more difficult. If Egypt and Jordan, after more than three major wars and more than forty years of hostilities, had finally chosen peace with Israel, I am convinced that the current adversaries, after having made their own experience, will understand that it is wiser and in the interest of their families to be in peace with Israel. As for the countries which are aligned with and which incite the enemies of Israel, they soon will change colors, when they see that the flames that they themselves ignited start to extend to their own homes. If I could give an advice to my friends who are outside Israel, I would say to them: " Remain quiet, if Israel will need you, it will want to find you calm and silent and not in disarray." Every person should use his or her intelligence to thwart the misinformation of the media against Israel. The parents of those who throw the stones will soon realize that they are losing their most valuable asset in the world, their own children
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
30 décembre 2007, 12:58
Cher Cacou

Toutes mes felecitations pour cet article et le site que tu recommandes.

Il ne faut pas plus que cela pour que j'hesite entre le Parti SARKO-PHAGE ou le Parti SARKO-PHOBE
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
30 décembre 2007, 15:10
Intéressante analyse mais conclusion hâtive

Albert Soued





LE DESASTRE ECONOMIQUE PALESTINIEN



Par Daniel Pipes
Jerusalem Post du 27 décembre 2007

Version originale anglaise: The Palestinian Economy in Shambles

Adaptation française: Alain Jean-Mairet



Comme je le montrais la semaine passée, l'aide financière aux Palestiniens a pour effet pervers et contreproductif d'accroître leur taux d'homicides et d'actes terroristes. Cette semaine, je propose deux constats peut-être plus étranges encore à propos des dons occidentaux de plusieurs milliards de dollars, brisant tous les records d'aide par habitant: premièrement, ils appauvrissent les Palestiniens. Deuxièmement, la paupérisation palestinienne est une chose positive à long terme.

Pour commencer, quelques données de base sur l'économie palestinienne tirées d'une excellente étude de Ziv Hellman, «Terminal Situation» (phase terminale), parue dans l'édition du 24 décembre du Jerusalem Report:

"Le revenu annuel par habitant des Palestiniens a reculé d'environ 40% depuis son sommet de 2000 dollars atteint en 1992 (avant le début du processus d'Oslo) pour passer à 1200 dollars actuellement. En Israël, le revenu annuel par habitant était 10 fois supérieur à celui des Palestiniens en 1967 – il est maintenant 23 fois plus important.

À Gaza, la pauvreté profonde a passé de 22% de la population en 1998 à près de 35% en 2006; ce taux serait de quelque 67% sans les versements et les aides en nourriture".

Les investissements étrangers directs sont pratiquement inexistants et les capitaux locaux sont en majeure partie envoyés à l'étranger ou investis dans l'immobilier ou les transactions à court terme.

Hellman écrit que l'économie de l'Autorité palestinienne «est largement basée sur des monopoles de divers secteurs octroyés par les officiels de l'AP en échange de pots-de-vin». Le personnel de l'AP est si pléthorique que les charges salariales y dépassent à elles seules la totalité des produits.

Les dysfonctionnements du système judiciaire de l'AP ont pour conséquence que les litiges commerciaux y sont généralement réglés par des bandes armées. C'est ainsi que Hellman, logiquement, qualifie l'économie palestinienne de «désastreuse».



Et ce désastre n'a rien pour surprendre car, comme l'ont relevé feu Lord Bauer et d'autres, l'aide étrangère ne marche pas. Elle corrompt et déforme l'économie – et plus les montants sont élevés, plus les dégâts sont importants. Un détail révélateur: pendant certaines périodes du règne de Yasser Arafat, un tiers du budget de l'Autorité palestinienne était affecté aux «dépenses de la présidence», sans autres explications, contrôles ou actes comptables. La Banque mondiale s'en plaignit, mais le gouvernement israélien et l'Union européenne acceptèrent cet arrangement malhonnête, de sorte qu'il a été maintenu.

En fait, l'Autorité palestinienne constitue un parfait exemple d'économie ruinée par étouffement sous des dons bien intentionnés mais malavisés. Les 7,4 milliards de dollars qui lui ont été promis récemment pour les années 2008 à 2010 vont encore aggraver les choses.

Mais, paradoxalement, cette erreur pourrait aider à résoudre le conflit israélo-arabe. Pour comprendre pourquoi, examinons les deux modèles en présence expliquant l'extrémisme et la violence – la souffrance et l'exaltation.



Le modèle de la souffrance, auquel se rallient tous les États occidentaux, attribue le comportement des Palestiniens à la pauvreté, à l'isolation, aux barrages routiers israéliens, à l'absence d'un État, etc. Mahmoud Abbas, le leader de l'AP, résuma ce point de vue lors de la conférence d'Annapolis, en novembre: «le manque d'espoir, le désespoir accablant (…) alimentent l'extrémisme.» Éliminons ces souffrances et les Palestiniens, soi-disant, tourneront leur attention vers des préoccupations constructives telles que le développement économique et la démocratie. Le problème est que ce changement n'intervient jamais.

Le modèle de l'exaltation prend la logique d'Abbas à rebrousse-poil: l'extrémisme est en fait alimenté par l'absence de désespoir et par des espoirs exacerbés. Pour les Palestiniens, l'espoir naît d'une perception de la faiblesse d'Israël, laquelle génère un optimisme, un enthousiasme à l'idée que l'État juif peut être éliminé. À l'inverse, lorsque les Palestiniens se sentent impuissants contre Israël, ils se consacrent à des tâches plus banales telles que gagner leur vie et éduquer leurs enfants. Relevons ici que l'économie palestinienne a atteint son sommet en 1992, après la chute de l'Union soviétique et la guerre d'Irak, soit justement lorsque les espoirs d'éliminer Israël touchaient leur plancher.



L'exaltation, et non la souffrance, permet d'expliquer le comportement belliqueux des Palestiniens. Ainsi, dans ce cadre, tout ce qui réduit la confiance en eux des Palestiniens est une bonne chose. Une économie en berne rend les Palestiniens dépressifs, sans parler de leurs capacités militaires et autres, ce qui nous rapproche d'une solution au conflit.

Les Palestiniens doivent ressentir toute l'amertume de l'échec pour pouvoir abandonner leur objectif malsain qui consiste à éliminer leur voisin israélien et commencer à construire une économie, un système politique, une société et une culture qui leur sont propres. Il n'y a pas de raccourcis vers cette issue favorable. Ceux qui se préoccupent authentiquement du sort des Palestiniens doivent souhaiter que leur désespoir soit imminent, de sorte que des gens talentueux et dignes puissent émerger du barbarisme actuel et bâtir un avenir convenable.



Ainsi, par une curieuse ironie du sort, l'énorme gaspillage de l'aide financière occidentale va accélérer ce désespoir de deux manières: en favorisant le terrorisme et en pervertissant l'économie, deux phénomènes qui impliquent un déclin économique. La loi des effets pervers a rarement travaillé de manière aussi imaginative.
Re: REVUE DE PRESSE - ARTICLES INTERESSANTS
30 décembre 2007, 21:49
ne soyons pas sarko stiques ni sarko corico,il s'adapte aux sarkon stances.
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