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LE PTB ET MOI.

Envoyé par albert 
Re: LE PTB ET MOI.
01 avril 2008, 10:13
Re: LE PTB ET MOI.
01 avril 2008, 10:15
L'ENTITE





Presque tous les soirs, je suis harcelé soit pas une merde soit par un pipi.

En date du 30 Mars, en pleine nuit, vers les 3 heures du matin, je pousse la porte de mes toilettes. Je sors mon tire bouchon et je laisse couler mon dérangement. Je vais même jusqu’à secouer mon zizi pour le soulager de mes dérnières gouttes, lorsqu’un bruit bizarre se fit entendre dans le salon et que les lumières de mon salon se sont soudainement allumés et éteints en un dixième de seconde.

Je fus sur le coup terrorisè et cru que quelqu’un était dans la pièce.

Je pousse la porte du salon que je ferme toujours et là, j’aperçois assise, sur le divan, une forme étrange, translucide. Oui, une forme humaine qui vacillait.

J’ai voulu réveiller ma femme puis je me ravisais parce que je la connais très peureuse.
Si je l’avais fait, elle m’aurait demande de quitter la maison.
De ne plus y habiter alors que j’ai mis dix ans à la payer.

J’ai pris mon courage à deux mains et je me suis mis à quelques mètres d’elle. Debout.
Prêt à l’affronter. Mes idées étaient complètement déplacées et à la vue de cette chose, j’avais une seule envie, fuir.

Elle paraissait pacifique cette forme et de plus est, elle n’avait pas l’air de me faire peur mais au contraire, elle semblait vouloir parler.
Mais une forme humaine sans rien comme corps physique ne peut rien dire.
En pareille situation, il faut surtout maîtriser sa peur et surtout ne pas trembler des jambes.
Je ne pus hélas et j’ai même ressenti un grand froid.

La forme en question, d’après ce que j’ai lu dans les bouquins ésotériques s’apparente à une entité. Oui, une entité, un être venu d’ailleurs. Rien ne la distingue d’un homme ou d’une femme.

Je me suis rapproche lentement sans faire de bruit car je sais par avance que les entités n’aiment pas le bruit, il les fait fuir.... !.

Je devinais aussi qu’elle voulait seulement ‘parler’.
Voilà qu’une feuille de papier vient se poser sur ses genoux et là, croyez moi si vous le voulez ou pas, une écriture automatique s’inscrivit.

‘...Je m’appelle Ernestine, morte il y a 90 ans, juste en face de votre logis. Aujourd’hui, cette maison n’existe pas, elle était en pleine campagne dans ce qu’on appelle toujours les MAISONS- D’ALFORT. Il y avait ce temps là, que deux maisons plus le moulin qu’ils appellent le MOULIN BRULE. Sur les bords de Marne.... !’

J’essayais de comprendre sa calligraphie de jeune fille. Son écriture était belle, légèrement penchée, comme à l’ancienne, presque lumineuse.

Elle s’arrêta d’écrire un instant pour reprendre lentement la suite.

'...Ma mère Caline que l’on surnommait était maraîchère dans le marché de ST OUEN. Mon grand frère LEOPOLD mourut bien jeune d’une fièvre aphteuse. Mon père mourut par le chagrin quelques semaines plus tard, nous laissant seules, maman et moi... !’

Elle me racontait sa vie à une vitesse vertigineuse.
Ensuite, elle se leva, m’embrassa, je sentis comme un souffle froid sur mes joues.

Et là, les lumières des lustres brillèrent à nouveau un court instant.
Je rêvais me suis-je dis.
Puis plus rien. Elle était partie la forme, du moins je le croyais.
Je rentrais dans la salle de bain pour laver mes doigts sentant le pipi lorsque sur le miroir,
Je vois un rouge à lèvres inscrire

‘...Surtout n’oubliez pas de parler de moi sur HARISSA POINT COM... ! Je vais rendre visite à Monsieur Halfon ( Jaco, elle est très brave accueille là comme il faut, merci... !’)

Voilà Ernestine, ils sont bien contents.
Ca leur a foutu la pétoche et moi le moche je rabiboche.
Re: LE PTB ET MOI.
01 avril 2008, 10:47
biber lui as tu demande sa carte d'entite ?
Re: LE PTB ET MOI.
01 avril 2008, 10:53
Justement non, mais parait t'il, elle s'est faite arreter au CARREFOUR menant vers IVRY. Et là, j'ai reçu un appel du commissaire de police.
Il voulait savoir si je l'hébergeais. Je me suis déplacè avec toutes nos cartes d'ENTITES pour valoir ce que de droit.
Je lui ai dis qu'ERNESTINE est une vieille Maisonnaise, sans domicile fixe. Alors il m'a répondu...Le commissaire..

'...Encore une de plus...!' Elle est partie libre et AMUSEE.
Re: LE PTB ET MOI.
01 avril 2008, 11:15
tu avais bu koi et fumé koi breitou avant de dormir ce fameux 30 mars ????
Re: LE PTB ET MOI.
01 avril 2008, 11:23
biber as tu bien recu le colis de joints a la boukha que je t'ai envoye par UPS la semaine derniere ?
Re: LE PTB ET MOI.
02 avril 2008, 11:41
-D'abord toi, même si j'apprais devant toi à une heure tardive de la nuit tout en vapeur tu ne me croirais pas.
Je ne fume pas de joints ni ne boit ok???? Tu ne connais rien aux apparitions.


-Bien je me joins à Tawfiq qui est plus sérieux.
J'ai reçu du HACH à la place du joint boukha.Et livré par un coursier.
Merci Twfiq pour faire dans le tméniq tu es fort.
Bon, je rélève qqs infos et je reviens.
Re: LE PTB ET MOI.
02 avril 2008, 13:08
As-tu déjà observé l’attitude des oiseaux face à l’adversité?




Pendant des jours et des jours ils font leur nid, recueillant des

matériaux parfois ramenés de très loin…




... Et lorsqu’ils ont terminé et qu’ils sont prêts à déposer les oeufs,

les intempéries ou l’oeuvre de l’être humain ou d’un

quelconque animal

le détruit et envoie au sol ce qu’ils ont réalisé avec tant d’effort




Que fait l’oiseau?

Il se paralyse et abandonne la tâche?




En aucune façon. Il recommence encore et encore jusqu’à ce que les

premiers oeufs apparaissent dans le nid.




Parfois –très souvent – avant que naissent les oisillons,

un animal, un enfant, une tempête détruit une fois de plus le nid,

mais cette fois avec son précieux contenu…




Cela fait mal de recommencer depuis zéro… même ainsi,

l’oiseau ne se tait jamais, ni ne recule,

il continue de chanter et de construire, construisant et chantant…




As-tu parfois eu le sentiment que ta vie,

ton travail, ta famille ne sont pas ce que tu avais rêvé?

As-tu parfois envie de dire “assez”, l’effort ne vaut pas la peine,

C’est trop pour moi?




Es-tu fatigué de recommencer, du gaspillage de la lutte quotidienne, de la confiance trahie, des buts non atteints quand tu étais sur le point d’y arriver?




La vie te frappe ainsi parfois, mais ne te rends jamais, dis une prière,

mets ton espoir en avant et fonce.

Ne te preoccupe pas si dans la bataille tu reçois une blessure,..

Il faut s’y attendre. Réunis les morceaux de ton espérance,

reconstruis-la et fonce de nouveau.




Peu importe ce qui se passe… ne faiblis pas, va de l’avant..

La vie est un défi constant, mais cela vaut la peine de l’accepter

Et surtout… n’arrête jamais de chanter..


Ne le garde pas pour toi...

Fais-le suivre à ton

groupe d’amis(ies)…


Je te souhaite un jour merveilleux



Correspondance privée.T.I.
Re: LE PTB ET MOI.
02 avril 2008, 13:36
Loin de concurrencer les grands monarques de l’écriture,
Ces ingénieurs de la rhétorique, ces bâtisseurs d’envolés lyriques
Je baisse la tête modestement devant leurs savantes aptitudes.

Me voilà pudique.

A ces architectes de la rime, de la poésie, du poème en alexandrin
De la construction asymétrique, de l’équilibre des refrains
De l’hémistiche et de toute cette phraséologie structurée si bien
Je baisse la tête humblement sachant pertinemment que rien
De ce que j’écris ne ressemblera un jour à leurs belles voûtes
Orales ou écrites, ni aujourd’hui ni demain. Ni jamais sans doute.

L’art de l’écriture n’est pas facile.

Ces chercheurs des bons mots, des syllabes ajustées,
Des consonnes prisées, maximes et rengaines innées,
Des métaphores enjolivées dans le respect du bon français,
Me donnent le sentiment d’être toujours en retard
D’un siècle sinon plus et que jamais à mon grand regret,
Je ne pourrais les égaler.

Sans doute.

Si je m’offre ce plaisir de pavoiser
A ma guise, en essayant de palabrer
De parader,
Sur cette banquise, c’est juste pour me dire
Que j’essaye de combler mon ignorance
Dans un domaine ou je n’excelle point.

Ceci est ma franchise.
Contentez vous en.


Bonne nuit.
Re: LE PTB ET MOI.
03 avril 2008, 02:53


L'idée d'apprendre aux cours élèmentaires l'histoire d'un enfant juif de la SHOA à un enfant d'aujourd'hui m'inspire. Le titre sera

RAHEM.
.

Je m'y mets pour en faire un récit imaginaire assez émouvant.













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