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Faut-il bombarder l'Iran ?

Envoyé par Richard S. 
Re: Faut-il bombarder l'Iran ?
12 janvier 2011, 00:24
IF TRUE... WHAT A NICE WAY TO WIN A BATTLE...
Stuxnet continue de ravager les infrastructures iraniennes



Selon un expert allemand, l’action de ce virus introduit dans les ordinateurs iraniens surpasse les effets d’une frappe aérienne.
> Bien que disparu des titres de la presse internationale, le virus Stuxnet continue son travail de démolition des infrastructures iraniennes.
> Interrogé par le Jerusalem post, Ralf Langer, un expert allemand jouissant d’une réputation mondiale, estime qu’il faudrait deux années à l’Iran pour revenir au point de développement nucléaire où elle se trouvait avant l’attaque de Stuxnet, à supposer qu’elle vienne à bout du problème.
>
> Ce virus, d’une sophistication inconnue à ce jour selon Ralf Langer, a nécessité un développement de plusieurs années – son code est constitué de 15 000 lignes de programme, une suite colossale – ne peut être que l’œuvre d’une puissance informatique développée ou de l’alliance de deux puissances comme les Etats-Unis et Israël. L’expert penche cependant pour l’hypothèse de l’unité 8200 comme maître d’œuvre, spécialisée dans la cyber guerre au sein de l’Amman, le service secret rattaché à Tsahal.
L’expert allemand estime que le résultat obtenu de la sorte surpasse les effets d’une frappe aérienne massive. Non seulement il épargne des vies humaines et évite le déclenchement d’un conflit généralisé au Proche-Orient, mais il donne des cauchemars aux responsables iraniens appelés à lutter contre ses effets. Il leur faudra mettre à la casse des dizaines de milliers d’ordinateurs, avec tous les programmes dont ils sont dotés, plus les ordinateurs auxquels ils sont reliés à l’Etranger, pour pouvoir espérer s’en défaire. Sauf à trouver une formule miracle, il leur faudra un travail de Sisyphe pour veiller à ce qu’aucun appareil, aucun disque ou aucune clé USB pris dans la chaîne du virus ne soient oubliés. Sans compter les montants astronomiques qu’il leur faudra débourser pour remplacer des logiciels de gestion et de contrôle très lourds, par définition sophistiqués. A cela il faudrait ajouter les sommes exorbitantes destinées à doter les nouvelles installations d’une protection antivirus consistance et durable. Il se peut également, ajoute Ralf Langer, que l’Iran ait à remplacer toute ou partie de la cascade des 8000 centrifugeuses de la centrale de Natanz, mises hors d’état.
D’autre part, un expert américain de la sécurité informatique, Eric Byres, créateur d’un site internet Tofino Security, fournisseur de grands groupes économiques en protection informatique, déclare au Jerusalem Post que le nombre de visiteurs iraniens de son site a littéralement explosé depuis septembre 2010. « Auparavant, nous enregistrions un à deux visiteurs iraniens par an, à présent ils se comptent par centaines », précise-t-il.
> Cette fréquentation frénétique et à découvert, témoigne selon lui de la panique qui ne quitte plus les responsables iraniens au fur et à mesure qu’ils prennent conscience de l’étendue des dommages et de leur impuissance à y faire face. « Certains d’entre ces visiteurs, ajoute Byres, essaient de pénétrer par effraction les parties sécurisées du site. D’autre s’inscrivent et s’identifient simplement comme iraniens, tandis que certaines requêtes venant en apparence d’autres pays, prennent en réalité leur source en Iran.
Pendant ce temps, le pouvoir iranien essaye de garder profil bas et de préserver le secret sur ses tentatives pour venir à bout du virus. Des informations récentes parues sur le site Tik Debka, réputé proche des milieux du renseignement israélien, sont fait état d’un appel massif de l’Iran aux plus grands experts mondiaux de sécurité informatique avec des offres financières alléchantes, de l’ordre de dizaines de millions de dollars par personne. Mais la tentative a échoué car ses experts ont exigé de savoir quels types d’installations ils étaient appelés à ausculter et l’endroit où elles se trouvaient, craignant d’être exposés à des radiations ou à des fuites radioactives. Les Iraniens ont refusé de leur donner ces précisions.
De son côté, le site israélien Tik Debka, réputé être proche des services secrets israéliens, avait affirmé il y a plusieurs semaines que les techniciens russes employés à la centrale de Bushehr, avaient été accusés par les services de sécurité iraniens d’être à l’origine de l’introduction du virus Stuxnet dans tous les sites nucléaires. Ces employés ont fait grève ou sont rentrés dans leur pays pour protester contre les harassements dont ils étaient l’objet, mettant en péril la bonne fin du chantier de la centrale. Les iraniens affirment être en mesure de l’activer dès février 2011 pour produire de l’énergie et du plutonium destiné « à la recherche médicale ».
faite que ce soit vrai.....
IF TRUE... WHAT A NICE WAY TO WIN A BATTLE...



[www.terredisrael.com]
Re: Faut-il bombarder l'Iran ?
10 mai 2011, 14:41
ISRAEL REORIENTE SA STRATEGIE FACE A L’IRAN - Par Jacques BENILLOUCHE - TEMPS et CONTRETEMPS - 10 mai 2011


Centrale nucléaire de Bushehr en Iran

Le Mossad , l’organisation des renseignements israéliens la plus secrète de l’Etat d’Israël, devient de-facto le porte-parole officiel du gouvernement. Meir Dagan, son ancien responsable jusqu’en décembre 2010, s’exprime de manière régulière face aux médias et son devoir de réserve implique que les dirigeants israéliens cautionnent certainement ses propos. En dépendant directement du premier ministre, il occupait un rang de super ministre, en faisant de lui le deuxième personnage du gouvernement. Sa position à l’égard de l’Iran n’a jamais été figée et elle a évolué en fonction des circonstances politiques du moment et des faits probants portés à la connaissance de l’opinion internationale.

Prévisions apocalyptiques

En janvier 2006, il avait exposé, devant la commission de la défense de la Knesset, ses prévisions apocalyptiques sur le Proche-Orient. Il avait alors soulevé le problème du réarmement à outrance de la Syrie par l’Iran et avait qualifié la situation avec le Liban de « vrai bordel » en raison des multiples transferts d’armes syriennes vers le Hezbollah. Il caractérisait alors la situation d’explosive et il s’était peu trompé puisqu’elle avait mené à la guerre du Liban de juillet 2006. Les résultats attendus par cette expédition ne furent pas à la hauteur des pertes israéliennes mais les troupes du Hezbollah avaient été déplacées loin de la frontière tandis que les destructions en matériel et en hommes de la milice ont amené le calme dans la région, jusqu’à ce jour, puisqu’aucun incident notable n’a été relevé.

Meir Dagan s’était à nouveau exprimé devant la commission en juin 2009 en évoquant le programme nucléaire iranien : « Si le projet ne rencontre pas d’obstacle technologique, les iraniens auront une bombe prête à l’emploi en 2014 ». Ils aspiraient selon lui à mettre en route plus de dix mille centrifugeuses d’ici 2012 et il prônait une action d’envergure avant la fin 2009 pour stopper le programme. Le gouvernement n’avait alors apporté aucun démenti à cette analyse mais les journalistes avaient interprété ces propos comme préfigurant une attaque militaire sans se douter qu’elle prendrait en fait une autre forme plus insidieuse.

Option militaire

Le chef du Mossad, Meir Dagan, était déjà convaincu que l’option militaire, souvent avancée , contre l’Iran n’était pas la meilleure solution pour empêcher la mise au point d’une arme nucléaire iranienne. Israël ne pouvait pas envisager une action semblable à celle de septembre 2007 qui avait entrainé la destruction par l’aviation israélienne de l’usine nucléaire syrienne dans un site près de Dayr a-Zwar. Avec l’accord des américains, les israéliens avaient alors cherché à envoyer un message de menace à l’Iran qui l’a complètement ignoré. Cette éradication d’un site unique entrait dans les compétences militaires israéliennes mais les iraniens, qui avaient appris la leçon syrienne, ont disséminé leurs installations à travers tout le pays tout en créant, par diversion, des usines nucléaires civiles soumises au contrôle occidental.
Les israéliens ont effectivement hésité à frapper les usines nucléaires en raison des risques encourus par la sécurité du pays car ils craignaient les répercussions d’une telle attaque sur l’action du Hezbollah et des autres groupes activistes palestiniens qui auraient réagi de manière brutale et désordonnée. Les silences de la Maison Blanche accréditaient l’idée qu’elle refusait à s’engager dans une aventure militaire et qu’Israël se verrait contraint d’agir seul . Des anciens du Mossad prévoyaient la guerre et des fuites bien orchestrées faisaient état de vols d’entrainement au dessus de Gibraltar pur préparer l’attaque. Mais la plupart des analystes occidentaux estimaient que l’attaque de l’Iran passait d’abord par la mise au pas de la Syrie et du Hezbollah.

En fait, le Mossad avait bien pris la décision d’attaquer l’Iran mais le combat allait prendre une tournure moins militaire. Il décida d’utiliser des sous-traitants parmi l’opposition iranienne, bien implantée en Iran, pour organiser des opérations clandestines traduites par l’assassinat dans des attentats ciblés de plusieurs scientifiques impliqués dans les activités nucléaires. Il a aussi commandité les mystérieuses explosions qui ont eu lieu sur une base de missiles de Khorramabad le 16 octobre 2010.

Guerre cybernétique

L’attaque d’Israël a bien eu lieu en septembre 2009 mais sous forme cybernétique à l’aide du virus Stuxnet qui a rendu inutilisables près de 20% des centrifugeuses iraniennes. Le code qui a été introduit dans les ordinateurs iraniens est encore actif et, grâce à des fonctions dormantes, ses effets néfastes lui permettent d’évoluer et de commettre d’autres attaques. Cette désorganisation des moyens de contrôle des centrifugeuses à poussé les russes à demander le report de la mise en service de l’usine de Bushehr qui ne fonctionne toujours pas.

Meir Dagan avait ouvertement estimé en janvier 2011 que le sabotage des installations iraniennes avait porté ses fruits. Il avait assuré, devant la commission de la défense de la Knesset, que le programme nucléaire de Téhéran avait pris un retard de « plusieurs années ». Il est encore sorti de sa réserve le 6 mai 2011, à l’Université hébraïque de Jérusalem, en évoquant l’éventualité d’une frappe militaire contre les installations nucléaires iraniennes. Il a radicalement repoussé une telle éventualité comme étant « la chose la plus stupide que j’ai jamais entendue »

Il a ainsi confirmé les difficultés de distinguer les infrastructures nucléaires civiles des usines militaires. Par ailleurs, venant d’un officier qui a été à la tête d’une officine qui a souvent commandité des actions réprouvées par le droit, il a usé d’une argumentation juridique pour étayer son propos : « L’AIEA contrôle les installations civiles pas les secrètes. Une frappe sur ces installations serait manifestement illégale au regard du droit international ».

De nombreuses voix se sont élevées contre la mise en doute des capacités de l’aviation israélienne puisque Meir Dagan estime qu’elle ne pourrait pas atteindre toutes ses cibles. La dissuasion israélienne risque d’être écornée tandis que les organisations islamistes pourraient en profiter pour accentuer leurs attaques. L’ancien chef du Mossad estime que le problème de frapper l’Iran n’est pas insoluble techniquement et que Tsahal sait le faire mais : « l’attaque israélienne sera suivie par une guerre avec l’Iran. C’est le genre de chose où l’on sait comment ça commence, mais pas comment cela finira. » Il a précisé que les iraniens disposaient d’un stock de roquettes et de fusées Grad de plusieurs mois et de fusées à longue portée qui peuvent atteindre Tel-Aviv.

Ces prises de position prudentes étonnent l’opinion publique israélienne qui les interprète comme défaitistes ou fatalistes. Elles expliquent en revanche les atermoiements du premier ministre Benjamin Netanyahou qui est critiqué par ses détracteurs pour « son manque de maturité politique et son absence de leadership... il est excellent comme second mais incapable de naviguer seul, être commandant de bord ». En fait Meir Dagan interprète à sa façon les révolutions arabes qui n’ont pas « engendré de tsunami de changement au Moyen-Orient ». Selon lui, une révolution de palais est intervenue en Egypte où le régime se maintient en ne laissant aucune chance au Frères Musulmans d’arriver au pouvoir car l’armée détient des pans entiers de l’économie égyptienne qu’elle ne veut pas brader entre des mains destructrices. Les révolutions ont surtout déstabilisé le régime iranien qui semble à présent moins dangereux et surtout occupé à éviter la contamination populaire.

Meir Dagan n’a pas du tout écarté le danger nucléaire iranien mais il l’a reporté de quelques années, sans prôner cependant qu’Israël baisse la garde. Il a fait comprendre que l’Iran était touché par les troubles syriens qui pouvaient affaiblir un Hezbollah privé de soutien matériel : « Ce serait mieux pour Israël si le président syrien Bassar Al-Assad était écarté du pouvoir parce que cela fera cesser de l’aide au Hezbollah, et affaiblira l’influence iranienne ». Il a pronostiqué que l’élimination du président syrien permettrait le renforcement du camp sunnite en Syrie et dans le monde arabe en consolidant les pays « modérés » sunnites comme l’Arabie saoudite, le Bahreïn et la Jordanie, considérés par Israël comme des alliés potentiels. Toute action inappropriée contre l’Iran risquerait donc de les voir tomber par solidarité dans le camp des Mollahs. En conséquence, l’ancien chef du Mossad prétend que l’Iran semble à l’abri d’une action israélienne sauf s’il cherche à enfumer les médias.
Re: Faut-il bombarder l'Iran ?
14 juin 2011, 15:36
L’inéluctable rapprochement 
entre Israël et l’Iran


Si les préoccupations sécuritaires au Moyen-orient se focalisent souvent sur les tensions nucléaires entre Israël et l’Iran, c’est oublier qu’ils ont un ennemi commun : le monde arabe. Les deux grandes puissances régionales sont-elles en train d’amorcer un rapprochement inattendu ?

Depuis plus de trente ans, le monde s’est habitué aux diatribes des dirigeants iraniens à l’encontre d’Israël. Il n’y a pas un jour qui passe sans que l’on entende les dirigeants israéliens dirent que « toutes les options sont sur la table » en ce qui concerne l’arrêt des ambitions nucléaires de l’Iran. Cependant, cette joute verbale irano-israélienne digne d’une pièce de théâtre qui pourrait s’appeler « Retiens-moi sinon je fais un malheur » a un revers. Celui de la réalité des enjeux géostratégiques régionaux, illustré par une affaire qui défraie les chroniques : la collaboration commerciale entre l’Iran et le plus grand groupe israélien, Ofer Brothers.

Le lendemain du discours de Benjamin Netanyahu devant le congrès américain, où ce dernier a invité les Etats-Unis non seulement à maintenir mais aussi à durcir les sanctions sur l’Iran, le gouvernement américain a frappé de sanctions ce groupe israélien pour commerce illicite avec l’Iran. Initialement, l’affaire concernait la vente d’un pétrolier à l’Iran d’un montant de 8,6 millions de dollars pour se transformer ensuite en de multiples livraisons de pétrole raffiné (une quinzaine de livraisons avec la dernière fin 2010) à l’Iran. L’affaire a connu un nouveau rebondissement lorsque les débats télévisés sur cette affaire au sein de la commission économie du Knesset ont été subitement interrompus quand le président de la commission s’est vu remettre une note dont le contenu n’a pas été divulgué.

Ce dernier incident, ainsi que la déclaration la semaine dernière par l’ancien chef du Mossad, Meir Dagan, indiquant que les relations présumées du groupe Ofer avec l’Iran étaient « exagérées » et que ça serait « stupide » pour Israël d’attaquer l’Iran rappelle l’affaire dite de l’Irangate. En effet, en pleine guerre Iran/Irak, les Israéliens, sur instigation américaine, avaient alors vendu des armes, des pièces détachées d’aéronefs et des missiles à l’Iran.

Guerre verbale ou convergence géostratégique ?

Dès lors que l’on se rappelle que le régime iranien « perse » considère que ses ennemis sont traditionnellement les pays arabes et que ces mêmes pays sont les ennemis historiques d’Israël, est-ce vraiment étonnant de voir ces deux pays coopérer ? L’adage bien connu ne dit-il pas que « L’ennemi de mon ennemi est mon ami » ? Les Iraniens savent très bien que ce sont les armées irakiennes qui ont décimé l’ouest iranien et pas Tsahal. Ils savent aussi que si l’aviation israélienne n’avait pas détruit la centrale nucléaire d’Osirak en Irak, ils auraient peut-être été victimes d’une attaque nucléaire du régime de Saddam.

Si on fait abstraction de cette guerre, qui n’est que verbale, entre l’Iran et Israël, et que l’on analyse les intérêts géostratégiques des deux pays, on ne peut constater que des points de convergence. Ces deux pays n’ont été en guerre qu’avec des pays arabes et sont tous deux menacés par le terrorisme islamique sunnite. Sans même faire mention des changements que réserve l’avenir du fait de ce printemps arabe. Ne faut-il donc pas s’attendre prochainement à un retournement des alliances ?
Re: Faut-il bombarder l'Iran ?
14 juin 2011, 23:25
Blablabla!
D'apres cette logique, les pays arabes, ennemis de l'Iran deviendraient nos amis.
Mais la veritee est ailleurs, car meme s'ils sont ennemis entre eux,leur haine pour Israel l'emporte et passe avant.
Re: Faut-il bombarder l'Iran ?
15 juin 2011, 01:46
Salut Henri,

Ce que sous entend cet article de JForum, c'est que l'Iran chiite s'étant mis à dos les pays arabes sunnites ( ces deux courants de l'islam étant ennemis mortels ), n'a pas besoin d'un ennemi de plus comme Israël, et que de ce fait, il y aurait de la part de l'Iran un changement de discours, et en coulisses un changement de stratégie, voire d'une tentative opportune de rapprochement d'avec Israël.

Ne pas oublier non plus que certains pays arabes, pour cause de trouille monstre, se sont déclarés prêts à accorder des facilités à Israël, pour aller taper contre les installations nucléaires iraniennes.

Il est tout de même curieux, que depuis un certain temps, on n'entende plus parler du petit nabot de Hamadi, tout comme si les ayatollah la lui avaient bouclée.

Re: Faut-il bombarder l'Iran ?
15 juin 2011, 14:33
On pourrait se demander, à quel point le STUXNET, n'y est pas pour quelque chose, car en bloquant les centrifugeuses, pas de possibilité d'Uranium donc pas de Plutonium,,, et donc pas de Bombe A, plus d'échanges commerciaux, colère du peuple qui ne peut plus manger, moins d'enrichissement pour les ayatollah,,,

Et puis comme le dit si bien le proverbe :

" Mieux vaut caresser la main que l'on ne peut pas couper ",

alors mieux vaut laisser Israël en paix,,, et puis les temps changent.
Re: Faut-il bombarder l'Iran ?
27 juin 2011, 23:13
On va peut etre se debarrasser du nain de Teheran!!!!
Ils vont l'envoyer dans l'espace.

Iran : envoi d'un singe dans l'espace le mois prochain
(Guysen.International.News)
L'Iran a l'intention d'envoyer un singe dans l'espace le mois prochain, selon l'agence perse Irna. Le directeur de l'agence spatiale iranienne a indiqué qu'à l'heure actuelle, "cinq singes passent des tests" qui permettront de déterminer lequel sera choisi pour être envoyé dans l'espace. Téhéran souhaite envoyer une capsule habitée par un être humain en 2017.
Re: Faut-il bombarder l'Iran ?
28 juin 2011, 22:26
L’étau se resserre - Par Ben Caspit – Pour Maariv - 28 juin 2011

Les Etats-Unis et l’Union européenne élaborent un nouvel ensemble de sanctions sévères contre l’Iran qui comprendront des restrictions draconiennes dans le domaine financier, le renforcement du contrôle des banques et des mesures contre les pays qui ne collaboreront pas avec les sanctions contre le régime des ayatollahs. Ces nouvelles sanctions seront finalisées dans les prochaines semaines et mises en œuvre prochainement. Selon des hauts responsables israéliens, il s’agit là « d’un ensemble de mesures sérieux qui comprend des restrictions draconiennes qui nuiront beaucoup à l’économie iranienne ».

Ces sanctions ne seront pas adoptées dans le cadre des Nations-Unies et du Conseil de sécurité, à cause de l’opposition de la Chine et de la Russie. Il s’agit cette fois d’une démarche américaine à laquelle participe l’Union européenne.

Les mesures les plus sévères, qui interdiraient l’importation de pétrole iranien ou la vente de produits raffinés à l’Iran, ont été reportées à plus tard. En effet, il existe dans ce domaine un désaccord entre le Congrès américain, qui fait pression pour que soient adoptées des lois qui permettent le boycotte pétrolier de l’Iran, et le gouvernement américain, qui préfère agir de manière plus progressive.

Dans le cadre des prochaines sanctions, le Département d’Etat américain renforcera ses activités contre les entreprises impliquées dans le marché de l’énergie iranien, la Grande-Bretagne rompra ses relations avec le système bancaire iranien, la France restreindra l’accès par internet de Téhéran aux systèmes internationaux de défraiement et le Qatar et le Bahreïn collaboreront au boycott des hommes d’affaires iraniens.

Ces sanctions sont en cours de finalisation à Washington, en coordination avec les pays européens, notamment Londres et Paris. Les Français sont considérés comme les principaux tenants d’une ligne ferme contre Téhéran, aux côtés des Américains. On estime que ces sanctions resserreront nettement l’étau économique autour de l’Iran et accentueront les pressions sur le régime iranien.

Selon un responsable israélien, « c’est une démarche importante, les sanctions fonctionnent et font leur effet. C’est une direction positive et encourageante »
Re: Faut-il bombarder l'Iran ?
29 juin 2011, 07:22
L’Iran dévoile son silo de missiles souterrain, paré à une attaque américano-turque contre la Syrie - DEBKAfile - 27 juin 2011

Adapté par Marc Brzustowski Pour lessakele et aschkel.info



Dôme de Fer protège Haïfa.

[www.debka.com]


L’USS Enterprise et l’USS Bush franchissent le détroit de Bab al Mandeb..

Les grandes manœuvres du Prophète Mohammed en Iran ont débuté lundi 27 juin, en prévision d’une opération turque contre le régime d’Assad en Syrie, qu’anticipent ses chefs militaires et des Gardiens de la Révolution. Debkafile dévoile que Téhéran s’attend à ce que l’armée turque bénéficie d’un soutien aérien et naval américain, en cas de représailles iraniennes contre ces deux adversaires. Au premier jour de cet exercice, l’Iran a dévoilé son premier silo souterrain de missiles, immune aux frappes aériennes. Il contient ce qui ressemble à un missile balistique Shahab-3.

Israël a répliqué à l’exercice militaire iranien et à la spirale des tensions régionales en positionnant l’une de ses batteries de son nouvel intercepteur de roquettes « Dôme de Fer », dans la ville d’Haïfa au nord du pays.

La semaine dernière, l’Iran a déployé des navires de guerre et sous-marins en Mer Rouge, traçant la voie à deux gigantesques porte-avions américains, l’USS Enterprise et l’USS George H.W. Bush, qui, chacun a franchi le détroit de Bab el-Mandeb, le 21 juin, se dirigeant dans des directions opposées, à travers ce goulot d’étranglement entre la Mer Méditerranée et l’Oc »an Indien.

L’USS Enterprise, le plus grand porte-avions au monde, suivait sa route maritime entre le Golfe Persique et la Méditerranée, à travers la Mer rouge et le Canal de Suez, lorsque l’USS George H.W. Bush, le porte-avions le plus récent de la marine américaine, doté de la plus grande puissance de feu de tous ses navires de guerre, a quitté l Méditerranée et a pris la direction opposée, vers le Golfe Persique, avec à son bord, une équipage de 9 000 hommes et 70 bombardiers de combat.

Le même jour, la surveillance maritime iranienne a détecté l’arrivée du sous-marin d’attaque nucléaire USS Bremerton de classe Los Angeles, au large du Bahrein, face à l’Iran.

Les stratèges à Téhéran perçoivent un danger dans ces mouvements entrecroisés par les différentes flottes de guerre américaines. Selon nos sources militaires, l’Enterprise, qui est plus ancien, plus lent et dispose d’une force de frappe moindre que le Bush, a été déplacé vers la Méditerranée, parce qu’il reçoit le soutien des bases aériennes dispersées à travers l’Europe centrale et de l’Ouest, tandis que le Bush a été affecté vers les eaux situées en face des rives iraniennes, parce qu’il s’agit d’un vaisseau constituant une machine de combat capable d’agir seul et d’opérer sans soutien.

Les manœuvres iraniennes ont deux objectifs fondamentaux :

1. De porter les missiles balistiques iraniens jusqu’à leur rayon d’action maximum, de façon à envoyer des signaux d’Iran à Washington et Ankara, qui concrétisent les mises en garde des deux semaines passées, affirmant qu’une attaque sur la Syrie par une force turque ou de l’OTAN , soutenue par les Etats-Unis, déclencherait des représailles des missiles iraniens contre des cibles militaires turques et américaines sur le territoire turc et contre d’autres régions du Moyen-Orient.

2. L’Iran a ventilé ses forces de combat partout à travers le pays, avec de plus grandes concentrations sur ses côtes du Golfe persique et de la Mer d’Arabie, prêtes à répliquer à toute attaque américaine qui pourrait faire suite à une agression de missiles iraniens sur des cibles américaines, turques ou de tout autre allié.

L’exercice aérien, naval et terrestre est prévu pour durer dix jours – ce qui inhabituellement long pour un exercice militaire- de façon à ce que l’Iran reste en état d’alerte en cas de décision à Washington et/ou Ankara d’attaquer la Syrie.

L’annonce de ces manœuvres, faite par le Commandant de la force aérospatiale des Gardiens de la Révolution, le Général Amir-Ali Hajizadeh, dimanche 26 juin, a clarifié les intentions de Téhéran : il a déclaré que l’exercice répondait à « la présence militaire croissante des Etats-Unis dans la Région » et remarqué que les missiles mis à l’épreuve comprendraient le Sijil et le Fateh 110.

Il n’a pas même eu besoin d’énoncer le fait que le Saijil-2 dispose d’un rayon d’action de 2000 kms, capable de frapper n’importe quel point au Moyen-Orient et au-delà – jusqu’à la région de la Mer Noire, par exemple, où sont postées les unités aériennes et navales américaines ; ou que le Fateh-110 amélioré avait été fourni à la Syrie et au Hezbollah, afin d’être utilisé contre Israël.

L’Iran devrait s’attendre à être rejoint par ces deux alliés, en cas de flambée militaire.
Re: Faut-il bombarder l'Iran ?
16 juillet 2011, 01:41
L’échec de Poutine sur le silence des essais nucléaires iraniens


Nos sources iraniennes et des services secrets apportent des précisions sur les allégations du Ministre des Affaires étrangères britannique, William Hague, le mercredi 29 juin, à propos de l’Iran.

L’Iran a testé secrètement des missiles nucléaires en violation de la résolution 1929 de l’ONU.

3 de ces tests sur les quatre en tout, ont été réalisés entre octobre 2010 et février 2011. Le 4ème test a eu lieu le 28 juin 2011 lors des exercices « Prophet Mohammed war games ».

L’Iran continue clairement de mettre à niveau et d’améliorer la précision des missiles de son arsenal, équipés d’ogives à tête nucléaire.

Ce fut le dernier des quatre tests qui a amené Hague à briser le silence américano-israélien imposé les russes au sujet de ces tests litigieux, qui laissait l’Iran libre de continuer à pleine vitesse son programme pour obtenir une arme nucléaire opérationnelle.

Les sources militaires et de Moscou de Debkafile révèlent à présent en exclusivité : A début du mois d’octobre, les renseignements russes ont su que l’Iran était sur le point de débuter des lancements d’essai de missiles équipés d’ogives à tête nucléaire. Ils l’ont signalé au Premier ministre russe Vladimir Poutine.

He then took three steps : He conveyed the information to US President Barack Obama and Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu and bound them to secrecy.

Il a alors fait trois choses : Il a transmis l’information au Président américain Barack Obama et au Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu et les a tenu au secret.

Avec leurs promesses en main, il a utilisé les canaux dissimulés des services secrets pour persuader Teheran de se retenir de vanter ses progrès importants et des rester discret sur les tests des missiles nucléaires ; afin d’éviter un tollé mondial quant à la violation de tous leurs engagements internationaux.

Les Iraniens ont dit ok.

De cette manière, le leader russe a élevé un mur du silence autour des avancés de la balistique iranienne en matière de missile nucléaire et a prévenu les condamnations, comme une action du Conseil de Sécurité ou toutes autres actions américaine, européenne et israélienne visant à ne pas laisser une bombe nucléaire dans les mains des iraniens.

Ce fut la dernière goutte qui a finalement fait déborder le vase pour le gouvernement britannique. Hague, en accord avec le 1er Ministre David Cameron a rendu public ce que l’Iran était vraiment en train de faire, dans un discours au Parlement.

DEBKAfile’s military sources disclose that Iran has now tested two types of missile for carrying nuclear warheads : the Shahab-3 Kadar and the Sejjil – both powered with solid fuel and having a maximum range of 2,510 kilometers.

Les sources militaires de Debkafile révèlent que l’Iran a, à présent, testé deux types de missile équipés d’ogives à tête nucléaires : le Shahab-3 Kadar et le Sejjil – les deux alimentés par un combustible solide et ayant une portée maximum de 2,510 kilomètres.

Two of the first three tests - one by Sejjil and one by Shahab-3 Kadar - were successful. A third apparently failed. Tuesday of this week the Iranians conducted another successful Shahab-3 test.

Deux des trois premiers tests - l’un avec le Sejjil et l’autre avec le Shahab-3 Kadar - ont été réussis. Le troisième a apparemment échoué. Mardi 28 juin, les Iraniens ont réalisé un autre test avec le Shahab-3 qui a réussi.

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