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IL FAUT SAUVER LE SOLDAT GILAD - Il EST SAUF !

Envoyé par elsa 
Re: IL FAUT SAUVER LE SOLDAT GILAD
02 juillet 2010, 00:49
Etre ou ne pas être agréables ,et parfaits , aux yeux du monde , doit devenir notre dernier soucis.
Parce que notre vrai préoccupation , c'est "être ou ne pas être tout court" .

Au moyen Orient comme au moyen Orient , Je ne comprends toujours pas , ce qui nous empêche aussi , de Kidnapper des innocents chez eux , de les faire disparaitre aux yeux de tous , y compris la croix rouge , et les proposer en échange de Guilad.
On dira ce qu'on dira de nous peu importe , parce qu'il est impossible de dire pire , que ce qui deja été dit , à tort .

Re: IL FAUT SAUVER LE SOLDAT GILAD
02 juillet 2010, 04:10
Une délégation de députés français rencontre la famille Shalit

vendredi 2 juillet 2010, par Israël,France,Gaza,Shalit,prisonniers,anniversaire

JERUSALEM, 2 juillet 2010 (AFP)

Une délégation de députés français en visite en Israël a rencontré jeudi les parents du soldat israélien Gilad Shalit détenu par le mouvement islamiste Hamas à Gaza depuis quatre ans, selon un communiqué. Shalit a également la nationalité française.

"Quatre députés français ont rencontré jeudi la famille Shalit afin de marquer le soutien des parlementaires français et du peuple français. Nous appelons à la libération indispensable de l’otage franco-israélien détenu par le Hamas de manière inhumaine", affirme le communiqué.

Claude Goasguen, député UMP et président du groupe parlementaire d’amitié France Israël a ajouté qu’il rendrait compte au président Nicolas Sarkozy de cet entretien, qui s’est déroulé à Hadera (centre du pays) lors d’une marche de solidarité avec le jeune soldat.

Les parents du sergent Shalit ont entrepris dimanche une marche à travers Israël qui doit les conduire jusqu’à la résidence du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, le 8 juillet à Jérusalem. Gilad Shalit, 23 ans, est privé de tout contact avec le monde extérieur depuis sa capture le 25 juin 2006 par un commando palestinien à la lisière de la bande de Gaza.

Israël et le Hamas, qui contrôle la bande de Gaza, se rejettent la responsabilité de l’échec des négociations sur un échange de prisonniers —Gilad Shalit contre un millier de détenus palestiniens- -menées via l’Égypte et un médiateur allemand.




Guilad contre 1 millier de prisonniers ... jamais vu dans aucun pays de la planete ..
et ca n'interesse ni les médias, ni l'opinion internationale
si on pouvait se débarasser d'1 millier de bouche a nourrir, et les envoyer au diable ...
Re: IL FAUT SAUVER LE SOLDAT GILAD
02 juillet 2010, 08:18
itinéraire jusqu a jeudi de la marche pour la liberation de Guilad Shalit

2.7 (vendredi) - De Netanya à Herzlia
3.7 (samedi) - Pas de marche
4.7 (Dimanche) – De Herzliya à Raanana
5.7 (lundi) – De Raanana à Tel-Aviv et transport pour le concert par l'Orchestre Philharmonique d'Israël dirigé par Zubin Mehta à Kfar Aza
6.7 (mardi) - De Tel Aviv le long de la route 1 en direction de Jérusalem
7.7 (mercredi), - Continuation sur la Route 1 vers Jérusalem
8.7 (jeudi) – Marche de protestation à Jérusalem vers la tente montée près de la résidence du Premier Ministre
Re: IL FAUT SAUVER LE SOLDAT GILAD
05 juillet 2010, 02:29
la marche pour Guilad continue aujourdhui a Tel Aviv , plAce Ythzhak Rabin , un grand concert de philarmoniQue sera célébré ce soir pour Guilads!!!des milliers de personnes continuent a affluer pour soutenir Noam et Aviva Shalit
Pièces jointes:
marche guilad.jpg
Re: IL FAUT SAUVER LE SOLDAT GILAD
06 juillet 2010, 02:02
Concert de solidarité près de Gaza pour le soldat Shalit - 5 juillet 2010

Des milliers d'Israéliens ont assisté lundi à un grand concert de solidarité en faveur du soldat Gilad Shalit, qui est détenu par le Hamas depuis quatre ans.



Concert Pour Gilad Shalit - Zubin Mehta et Shlomo Artzi



Lila Chertman chante 'Shma Israel-KsheHalev Boche' pour Gilad Shalit

On September 12, 2009 at Temple Menorah in Miami Beach, Lila Chertman sang Sarit Hadad's famous song 'Shma Israel' (Kshehalev Boche) in a Slichot concert dedicated to Gilad Shalit, the Israeli soldier held hostage by Hamas for over 4 years.



Aviv Geffen chante pour Gilad Shalit




Foule israélienne près de Gaza en solidarité avec le soldat Shalit

PARC ESHKOL (Israël) - "Chaque note que nous jouons lui est destinée". Des milliers d'Israéliens ont assisté lundi à un grand concert de solidarité en faveur du soldat Gilad Shalit dans un parc proche de la bande de Gaza où est détenu le jeune tankiste israélien depuis quatre ans.


L'orchestre philharmonique d'Israël joue en solidarité avec Gilad Shalit, le 5 juillet 2010 à Eshkol près de la bande de Gaza

Le concert classique, dirigé par le maestro indien Zubin Mehta à la tête de l'Orchestre philharmonique d'Israël, marquait le quatrième anniversaire de l'enlèvement par un commando palestinien du soldat toujours aux mains du mouvement palestinien Hamas au pouvoir à Gaza.
"J'espère qu'il (Shalit) sait que nous organisons ce concert. Chaque note que nous jouons lui est destinée", a déclaré Zubin Mehta en ouvrant le gala en plein air au parc Eshkol, non loin de la ville de Sdérot (sud d'Israël), à quelques kilomètres de l'enclave palestinienne de Gaza.
Habillé d'une tunique blanche, Mehta a rappelé que Gilad Shalit n'avait pas reçu de visite depuis sa capture, en espérant que ce "cri vers le monde" serait entendu par "ceux qui peuvent aider à sa libération". Ses proches demandent à ce que la Croix-Rouge internationale puisse lui rendre visite à Gaza.
Foule israélienne près de Gaza en solidarité avec le soldat Shalit


Une foule assiste à un concert de solidarité pour Gilad Shalit, le 5 juillet 2010 à Eshkol, près de la bande de Gaza

Gilad Shalit, âgé de 23 ans, qui a aussi la nationalité française, est privé de tout contact avec le monde extérieur.
Mais Zubin Mehta a également mentionné les "centaines de mères palestiniennes" dont les fils sont en prison. "Même si ces fils ne sont pas dans la même position (que Shalit), ils sont toujours emprisonnés et leurs mères souffrent aussi", a-t-il dit à son auditoire.

Plus de 10.000 sympathisants s'étaient déplacés pour ce concert retransmis en direct à la radio et à la télévision israéliennes. Plus de 200 autocars décorés de portraits du soldat, avec l'inscription "Gilad est encore vivant", et de rubans jaunes, la couleur de la campagne de solidarité, avaient été affrétés.
Yaël Tendler, 35 ans, une avocate de Jérusalem, est venue pour "montrer sa solidarité avec la famille Shalit". Naomi Szerman, 13 ans, accompagne son père pour "dire qu'il est temps que Gilad revienne à la maison".

Par cette belle soirée d'été, la foule, assise par terre, écoute religieusement les 80 musiciens du philharmonique. Certains ont la larme à l'oeil. Au programme: Verdi, Mozart, Albinoni, Beethoven et le chanteur populaire israélien Shlomo Artzi.
"Il suffit qu'il revienne à la maison, nous ne demandons rien de plus", a chanté Shlomo Artzi, en reprenant les paroles d'un de ses tubes que le public connaît par coeur.
Foule israélienne près de Gaza en solidarité avec le soldat Shalit


Le chef d'orchestre Zubin Mehta, le 5 juillet 2010 à Eshkol

Devant l'estrade, plusieurs personnalités sont venues apporter leur soutien à la famille Shalit, notamment le ministre sans portefeuille du Likoud (droite), Michaël Eytan, et l'ex-ministre de la Défense Shaoul Mofaz.

Pour l'ambassadeur de France en Israël, Christophe Bigot, "quatre ans, c'est quatre ans de trop".
Les parents du soldat, Aviva et Noam Shalit, montent sur l'estrade et le concert se termine avec l'hymne national israélien, la Hatikva: "Espoir" en hébreu.
"Je suis réconforté par les milliers de personnes venues exprimer leur solidarité avec Gilad", confie à l'AFP Noam Shalit.

La famille Shalit a entrepris depuis huit jours une marche de solidarité à travers Israël jusqu'à la résidence du Premier ministre Benjamin Netanyahu à Jérusalem pour exiger la libération du soldat.
Avant le concert, les parents se sont rendus près du lieu où leur fils a été capturé. "Gilad est à la fois proche physiquement de nous mais en même temps il est très loin", a dit son père, à quelque 200 mètres de la clôture de sécurité séparant Israël de Gaza.


Source : [www.lexpress.fr]
Re: IL FAUT SAUVER LE SOLDAT GILAD
10 juillet 2010, 08:46
Faible mobilisation à Paris pour soutenir Israël et demander la libération de Guilad Shalit - Par Veronique CHEMLA - 8 juillet 2010





Quelques milliers de personnes, essentiellement juives, ont répondu à l’appel des organisations juives françaises à se rassembler sur le parvis des droits de l’homme du Trocadéro (Paris) le 22 juin 2010, pour soutenir l’Etat juif et exhorter à la libération de l’otage franco-israélien Guilad Shalit, kidnappé par les terroristes islamistes en Israël, le 25 juin 2006, à l’âge de 20 ans. Un échec ni reconnu ni analysé par les organisateurs. L’essentiel de cet article sera évoqué lors de mon interview par Radio Chalom Nitsan le 8 juillet 2010, vers 17 h 30.



« Nous ne sommes pas 5 000, nous sommes 10 000 ! », s’exclamait un responsable juif français ce 22 juin 2010, sur le parvis du Trocadéro, en début de soirée.

« Nous ne sommes pas 10 000, mais nous sommes 15 000 ! », renchérissait un de ses homologues, peu après.

Difficile à les croire. La foule n’occupait qu’au mieux une moitié de la place du Trocadéro. La police estimait à environ 3 200 le nombre de personnes ayant participé à ce rassemblement. Un nombre vraisemblable.

A Nice, un rassemblement similaire avait réuni environ 340 personnes selon la police et 500 selon le CRIF Sud-Est .

Guilad Shalit, captif sans aucun droit

Le ton de la soirée ? Paradoxal : quelques chansons israéliennes joyeuses, des discours sur une réalité dramatique : un jeune otage franco-israélien, Guilad Shalit, dénué de tout droit par ses geôliers islamistes dans la bande de Gaza ; des médias occultant les jihadistes à bord du Marmara de la prétendue « flottille de la paix » ; des « rues arabes » haineuses (« Hamas-sur-Seine » de Jean-Paul Ney). Richard Prasquier, président du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF), a rappelé le sort d’un aviateur israélien Ron Arad dont on est sans nouvelle depuis sa capture par les milices chiites Amal du Liban en 1986. Et d’ajouter :

« Un otage est par définition déshumanisé. Il devient une marchandise avec une valeur vénale aussi élevée que possible. La valeur vénale de Gilad Shalit est élevée, très élevée, tout simplement parce que en Israël, la valeur d’un homme est infinie. « Qui sauve un homme sauve le monde…. ». Cela permet au Hamas tous les chantages, toutes les exigences, comme cela était déjà le cas avec le Hezbollah, qui a rendu l’an dernier deux cercueils en échange d’un assassin particulièrement répugnant. Et le monde ne s’étonne plus, accepte cette confusion des valeurs comme si elle allait de soi, comme si c’était normal d’échanger un innocent contre des centaines de coupables avec du sang sur leurs mains ».



Les politiciens ? Sauf exceptions, pas des personnalités politiques de premier plan. Des discours convenus sur la libération espérée du jeune Guilad Shalit. Et l’annonce que plus d’une dizaine de mairies vont afficher son portrait sur le fronton de leur hôtel de ville. Anne Hidalgo, première adjointe socialiste du Maire de Paris Bertrand Delanoë, rappelait que Guilad Shalit avait été fait citoyen d’honneur de Paris. Mais la foule voulait que lui soit réservé le même traitement que celui dont a bénéficié la colombo-française Ingrid Betancourt. En vain.



Quant aux intellectuels français juifs - Claude Lanzmann, Bernard-Henri Lévy, Alain Finkielkraut - leurs discours ont été largement applaudis. « Gaza n’est pas affamée ! Détracteurs d’Israël, vous mentez ! Les soldats de Tsahal ont le droit de tirer si leur vie est en danger », a rappelé Claude Lanzmann, qui a égratigné les soutiens de JCall. Alain Finkielkraut était brièvement chahuté en raison de ses digressions critiques sur la politique israélienne. Comme pour s’excuser, un responsable d’association juive française expliquait l’absence d’autres intellectuels soutenant la pétition Raison garder – Shmuel Trigano – en raison de leur séjour en Israël. Le 28 juin 2010, Shmuel Trigano déclarait avoir été invité la veille du rassemblement.

Le tout rythmé par des vidéos, dont des images de ces défilés anti-israéliens, un message du père de l’otage, Noam Shalit, et de journaux télévisés de chaines publiques aux discours partiaux. Et conclu par S.E. Daniel Shek, ambassadeur d'Israël en France, qui affirmait ne pas craindre les boycotts contre son pays.

« Un grand succès » ?



Dès le lendemain, les organisateurs du rassemblement se félicitaient du « grand succès » : « 15 000 personnes » rassemblées ! Mais ne pourrait-on pas plutôt parler d’un échec à motiver et faire venir plus de quelques milliers de personnes dans un pays où vit la première communauté juive en Europe ? Pourquoi gonfler les chiffres ? N’y a-t-il pas là un risque de se décrédibiliser et décourager nombre de juifs ? N'est-il pas préférable de dire la vérité à ses coreligionaires ?

Indigné par le silence médiatique général sur ce rassemblement, Gil Taieb, « grand ordonnateur de la soirée » et président de l’ABSI (Association pour le bien-être du soldat israélien), invitait à écrire aux rédactions de journaux pour qu’ils « remplissent leur rôle : celui d'informer ». Pourquoi ne pas saisir le Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA) à propos des extraits de ces journaux de France Télévisions contestés devant une audience essentiellement juive ? Faut-il regretter ce silence journalistique ? Que gagne cette communauté institutionnalisée à révéler à tous sa faiblesse ? Pourquoi a-t-elle repris unanimement l’appel au rassemblement initié primitivement par la radio juive parisienne de gauche, Radio Shalom, et s’est-elle opposée à tout rassemblement juste après l’arraisonnement du Marmara le 31 mai 2010 ? Par crainte d’agressions commises par des « Palestinistes » (expression de Sammy Ghozlan) ? Mais c’est à la police française d’assurer la sécurité des manifestants.

Pourquoi cette communauté juive française institutionnalisée ne voit-elle pas, ne dit-elle pas et n’analyse-t-elle pas cette réalité triste et dérangeante : son unité actuelle ne dégage aucune synergie, aucune efficacité, certaines actions s’effectuent dans un mauvais timing, en décalage par rapport aux souhaits de nombre de juifs ? Ce qui réduit la portée de sa voix et grève son avenir. D’autant que les enjeux sont graves et que la France tend à se structurer autour de communautés. Et ce n’est pas le premier rassemblement que cette communauté juive française institutionnalisée organise et qui attire une assistance réduite. Rappelons que le rassemblement à Paris, le 12 juillet 2009 pour exhorter le Parquet à interjeter appel de condamnations de membres du gang des Barbares a été maintenu même après l’annonce par la ministre de la Justice d’un appel partiel du jugement controversé et attiré quelques centaines de personnes, essentiellement juives.

S’agit-il d’un échec de la communication ou de la stratégie de la communauté juive française institutionnalisée ? Du côté pêle-mêle des mots d’ordre : « Rassemblement pour la vérité, la justice, la liberté et pour la paix » (14 juin 2010), puis « Pour dire à Gilad et à Israël qu’on est à leurs côtés » (18 juin 2010) ? Pourtant, ceux-ci relevaient d’un consensus au sein des juifs français.

Pourquoi cette absence des ténors de la classe politique, des journalistes qui assistent au dîner du CRIF, quitte à s’éclipser après les discours et après avoir été photographiés ou filmés ?

Pourquoi un rassemblement si tard ? Ce qui donnait un air de session de rattrapage estivale. Le 6 juin 2010, peu après l’arraisonnement du navire turc Mavi Marmara par la marine israélienne, la Ligue de défense juive (LDJ) avait organisé un rassemblement près de l’ambassade d’Israël en France, à Paris. Par ce rassemblement tardif dans un lieu symbolique et de tourisme, les organisations juives françaises ont laissé des artères de quartiers, populaires ou huppés, à une « rue arabe » hurlant sa haine et son refus d’Israël et à la violence destructrice aussi pour la république française. Ce qui habitue les passants à cette propagande alléguant une prétendue et fausse crise humanitaire dans la bande de Gaza.





Certes, ce 22 juin 2010, à Paris, une banderole signalait la présence d’Arméniens à ce rassemblement. Certes, Lynda Asmani, conseillère de Paris (UMP) d'origine berbère, manifestait son soutien à Israël. Mais, la communauté juive française demeurait isolée, sans présence massive de chrétiens et musulmans à ses côtés. Sont-ce là les heureuses retombées des dialogues judéo-chrétien – nombre d’associations judéo-chrétiennes sont dominées par des Palestinistes ou peuplées de personnes âgées - ou judéo-musulman ? A titre de comparaison, une manifestation de soutien à Israël réunissait 2 500 Finlandais, majoritairement chrétiens, à Helsinki, le 10 juin 2010. Rappelons le nombre de juifs finlandais : entre 1 000 et 2 000 fidèles.

Souhaiter la libération de Guilad Shalit ? Oui.



La demander à qui ? Au mouvement islamiste Hamas dont la charte vise la disparition de l’Etat juif et qui instrumentalise les opinions publiques ?

Ou exercer des pressions sur le gouvernement d’un Etat démocratique israélien pour une libération à n’importe quel prix ?



Ce débat divise les Israéliens. Pourquoi ne pas s’en faire l’écho en France, au lieu et place du seul slogan réitéré depuis quatre ans ? Pourquoi suivre Noam Shalit en occultant les refus d’associations israéliennes de victimes du terrorisme palestinien d’un échange entre Guilad Shalit et des terroristes palestiniens dont on sait qu’un grand nombre fomentera des attentats contre les Israéliens sitôt libérés ?

La mobilisation médiatique sert-elle les intérêts des otages et des démocraties ?

Que nous enseigne l’histoire en matière de juifs captifs ?

Quel est le bilan de quatre ans de ces actions pour libérer Guilad Shalit ? Certaines municipalités le mettent en parallèle avec le terroriste Salah Hamouri !!

Quid des autres soldats israéliens kidnappés ou portés disparus ? Ne méritent-ils pas eux aussi un minimum d'intérêt ?



La communauté juive française, institutionnalisée ou non, est-elle mûre pour entendre ces questions essentielles et apte à y répondre vite et de manière adéquate ?

Le 9 juillet 2010, le CRIF mettait les vidéos du rassemblement sur Youtube.


Source : [veroniquechemla.blogspot.com]









Re: IL FAUT SAUVER LE SOLDAT GILAD
11 juillet 2010, 00:01
Serions nous devenus si 'on.?
La famille du soldat Guilad Shalit a entierement raison de vouloir la liberation de leur fils, et c'est normal.
Mais mettre toute la pression sur Bibi est une grosse erreur, qui ne fait qu'eloigner la liberation de Guilad.
Car de l'autre cote, du cote des terroristes cyniques, ils utilisent cette marche et n'arretent pas d'augmenter leurs exigences.
Et si Bibi cede, et libere des assassins, ils renouvelerons leurs mefaits, assassinerons d'autres victimes, et on l'accusera tout de suite de la responsabilite d'avoir libere des assassins.
De toute facon Bibi ne prend pas seul ses decisions, mais c'est tout le gouvernement qui decide.
La pression doit etre mise sur la croix rouge, sur le hamas,sur Mahmoud Abbas, sur la France, qui a part rencontrer les parents de Guilad Shalit, n'a pas fait grand chose.
Ne tombons pas dans le piege de nos enemis, demain ils kidnaperons un autre soldat, ce n'est vraiment pas si dificile.
Re: IL FAUT SAUVER LE SOLDAT GILAD
11 juillet 2010, 00:20
Subject: le hamas se fait soigner en israel
Le Vice Ministre du Développement régional, M. Ayoub Kara est membre du Likoud issu de la population druze israélienne. Il s’est rendu en visite dans l’un des centres hospitaliers les plus avancés en Israël et dans le monde, l’hôpital Ikhilov, plus précisément dans le département des patients venus des pays arabes. Là, on a fait part au Vice Ministre de l’hospitalisation d’une centaine de patients arabes par mois venus de la Bande de Gaza dont la plupart par l’entremise direct de la direction du Hamas.
Le Professeur Gaby Barabash, directeur du Centre hospitalier Ikhilov a signalé au Vice Ministre Kara que, mise à part les patients de la Bande de Gaza, d’autres malades proviennent d’Etats arabes ennemis qui n’entretiennent aucun contact diplomatique avec l’Etat d’Israël. Il a précisé que tous ces patients arabes font des efforts pour être hospitalisés ici du fait de la dévotion du personnel médical et du haut niveau des soins intenses qui leur sont prodigués. Et presque tous reviennent dans leurs pays rétablis et en meilleure santé.

Le Professeur Barabash a tenu à préciser que le Centre hospitalier Ikhilov n’a aucun problème à ce qu’un patient nécessitant une greffe reçoive un organe compatible de la part d’un parent résidant dans un pays arabe. Pourvu que ce ne soit pas fait par achat d’organe telle que la loi l’interdit en Israël. Il a ajouté que même les accompagnateurs et les parents des patients jouissent d’un chaleureux accueil et de l’hospitalité avec chambre et nourriture et ceci gratuitement comme service octroyé par l’hôpital.

Au terme de sa visite, le Vice Ministre Ayoub Kara a dit que chaque mois, l’Etat d’Israël retourne à leurs familles des centaines de malades arabes de Gaza rétablis alors que beaucoup y étaient arrivés en état d’agonie et que le leadership du Hamas jouit de cette situation où le système médical israélien ne discrimine pas les patients en fonction de leur appartenance ethnique. Et même plus, les patients de Gaza on droit à des avantages résultant de l’approche humaine et humaniste qui est une valeur suprême dans l’Etat d’Israël.

« Il est temps que le Hamas nous retourne qu’une infime partie en échange de cet altruisme en libérant un de nos fils détenu en otage chez eux depuis quatre ans, sans soins et sans avoir été visité par quiconque, face aux centaines d’Arabes de Gaza qu’Israël sauve chaque mois ». C’est l’appel du Vice Ministre Kara et d’ajouter: « J’appelle les Etats arabes qui connaissent très bien qu’elle est notre contribution médicale à leur égard d’exiger la libération de Gilad Shalit. »

La question qui se pose: comment les milliers d’Arabes ayant bénéficié à l’hôpital Ikhilov de soins avancés qu’on ne peut espérer recevoir dans un environnement médical arabe, ne se soient-ils pas fait ambassadeurs d’une meilleure cordialité avec Israël et de prôner l’amitié et la reconnaissance de l’Etat juif? Comment aucune voix parmi ces personnes dont l’état de santé était critique ne s’est faite témoin de ce qui se pratique en Israël dans les hopitaux et que tout un chacun peut constater en s’y rendant? Aucun nom de ces Arabes soignés à Ikhilov n’est devenu célèbre et a fait l’objet de reportage journalistique, si ce n’est un, mais dont on a pris bien soin de cacher qu’il était passé par le Centre médical Ikhilov.

C’est l’exemple quasiment emblématique d’un résident arabe de la Bande de Gaza ayant reçu des coups de couteau arrivé en état grave à l’hôpital Ikhilov et qui en est sorti la vie sauve grâce aux soins qui lui furent prodigués. Cet personne n’est autre que le père de Mouhamad A-Dura. Dans l’affaire de faux médiatique la plus énorme de l’histoire des Communications, on prétend que l’enfant Mouhamad A-Dura a été tué par des balles de Tsahal au carrefour de Netzarim dans la Bande de Gaza le 30 septembre 2000. Le père A-Dura lui a prétendu que les balles israéliennes les visant l’ont blessé à plusieurs endroits. Pour prouver ses dires, il a montré ses cicatrices aux caméras de télévision. Un médecin israélien d’origine française, le docteur Yehouda David, membre de l’équipe qui l’avait soigné bien avant l’incident de Netzarim, a déclaré à la presse que les cicatrices montrées résultaient de blessures de coups de couteau soignées à Ikhilov bien avant le 30 septembre 2000.

Avoir soigné et sauvé le père A-Dura? Le professeur Barabash, directeur du Centre hospitalier Ikhilov, aurait pu ne pas omettre de mentionner cette importante contribution du système israélien de santé à l’oeuvre du Hamas.

par Meir Ben-Hayoun

israel7
Re: IL FAUT SAUVER LE SOLDAT GILAD
11 juillet 2010, 01:21
Henri challom,

Si les médecins israéliens se montrent si humanistes envers ces patients arabes en s'imaginant qu'ils pourraient être les ambassadeurs d'un aléatoire changement de mentalité de la part des gouvernants, et du peuple, dis leur qu'ils se trompent sur toute la ligne.

Rien ne viendra changer leur idéal, celui de voir Israël disparaitre.

C'est la naïveté dont font preuve ces médecins qui les rend aveugles de toute objectivité.

Sauvez des patients dont les parents veulent la destruction du pays qui les soigne est une grande aberration.

Je me demande si vice versa les pays arabes auraient soigné des patients israéliens ou juifs.

Tout cela est illogique point barre.
Re: IL FAUT SAUVER LE SOLDAT GILAD
11 juillet 2010, 01:39
Bebert chalom ou brakha.
Je suis d'accord avec toi, mais c'est la difference qu'il y a entre eux et nous.
Le juif est "rahman", de nature.
La ou les autres tuent, nous on soigne.
Yom tov
.
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