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LE PTB ET MOI ZOUZ.

Envoyé par albert 
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
04 mai 2013, 22:49
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
05 mai 2013, 01:59
Mon_Germain grand reporter dans le journal LE BREITOUNIA AND C°( copinage) tiré à un seul exemplaire, a pu interviewer Mr Laurent Fabius, ministre avec portefeuille au détour d’une allée du marché aux puces de CLIGNANCOURT.

-Monsieur Fabius…. !’ Germain.
-Je l’ai tjs prévenu…. !’
-Je n’ai pas encore posé la question… ?’
-Pas la peine, tout le monde en parle… !’
-Qu’allez donc vous faire pour atténuer l’effet désastreux de cette … !’
-Comme je l’ai fais pour mon autre affaire…. !’
-C’est tout à fait normal qu’un père prenne le parti de son fils… !’
-C’est une affaire de lien de sang après tout, je me dois de défendre les intérêts de mon fils… ! Sous le manteau… !’’
- Depuis un certain temps la presse se délecte de ses affaires …. ?’
-Je m’en suis bien sorti moi à l’époque de mon affaire, tout cela retombera comme un soufflet… !’
-Qu’est ce qui est le plus important à vos yeux l’affaire de l’appartement de votre fils ou bien le pactole de GUEANT…. !’
-Il n’y a pas photos, l’appartement de mon fils n’est qu’un détail, après tout il ne l’a pas caché en Suisse ou à Singapour…. ! Tout est clair dans cette affaire qui éclabousse mon fils, il n’a rien volé… !’
-7 000 000 €…Ce n’est pas une bagatelle… ? En plus, Il n’est pas assujetti à l’impôt, vous trouvez cela normal….. ?
- Et alors, il a le droit d’avoir des bagatelles non imposables comme tout le monde… ! Et puis ne sommes nous pas gouvernés par un président normal, donc tout est normal… !’
-Cautionneriez vous donc les agissements de votre fils….?’
-Ben oui, qui ne le ferait pas à ma place, dites le moi, pour le moment, je me dédouane vis-à-vis de lui mais dans qqs jours je passerai à l’attaque, je ne supporte pas les médisances surtout lorsque les rumeurs sont infondées.. ! Laissons la justice faire son travail… !’
-Oui bien sur, laissons la justice faire son boulot et dans trois ans si ce n’est jamais tout sera mis au placard… !’


Interview Imaginaire sans connexion politique.

Propos reçus par mail de la part de Mon_Germain en vacances au Chili.
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
07 mai 2013, 11:52
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
10 mai 2013, 00:53
Tout au fond de la rue
Là bas dans la rue au fond
S’arrête la rue du Pacha.

Sur la rue du Pacha
Hamouda n’y était pas
Mais il y avait Margot
Mignonette, sa sœur
Cardozzo la famille
Gallula et leur villa.

La cantine et l’OSE
Indigents que nous fumes
Garnements nous étions.

Tout au fond de la rue
Là bas dans la rue au fond
S’arrête la rue du Pacha.

Mima était au fond
Sultan L’Yvant n’était pas le terrible
Sage comme Ghandi, point de violence
Dans cette rue devenue Tââlbi.
Du Pacha au Cheikh, on roulait bien jeunes
Les mécaniques sur nos chariots de bois.

Tout au fond de la rue
Là bas dans la rue au fond
S’arrête la rue du Pacha.

Sur la rue de l’ancien Pacha
Du cheikh ‘chikhait’ la vie.
Mon balcon donnait sur la villa
Des Lendemains qui chantent
Des roses pourpres, blanches et jaunes
Ils ne restent plus que des chardons bénis
Aux épines amères qui piquent ma gorge.

Tout au fond de la rue
Là bas dans la rue au fond
S’arrête la rue du Pacha.

..........................................


Ô mes rues et ruelles fleuries
Embaumés parfois
Par l’odeur nauséabonde
Des effluves de La mer morte ( Sebkha)

J’ai traversé des impasses étroites
Et les échos de ces voix intimes
Bercent encore mes oreilles flétries.

Avenues modestes,
Par ma gorge je vous chante
Comme troubadour sans viole
Trainant derrière moi
Les casseroles d’un passé
Ensoleillé mais bien révolu.

Ahhh mes maux… !
De mon ancien hameau
Allongé dans son hamac
Et je tire les souvenirs
Comme cette fille tire l’aiguille.

............................................

Des sirènes nues dans l’eau
Ne me sont jamais apparues.
Moi l’enfant de la mer et de la plage,
Je n’ai point connu ces chants là
Ensorceleurs, assassins des marins pêcheurs.

La seule qui me parvenait à midi
N’était point celle d’une alerte
En ces temps apaisés
Mais le rappel du midi
Pour nos braves salariés.

Du haut de son aiguille
Dans la brume du matin
L’Eglise de D ieu sonnait sa cloche
Pour signer l’heure de la messe
D’un mariage ou d’un deuil.

Et le chant du Muezzin
Le rappel de D ieu
Aux récalcitrants, buveurs de bière
De vin et de gin, Le soir
Soudain devenus pieux aux aurores matinaux.

Chez nous, ni violon ni contre basse
Ni sons de cloche ni Muezzin
Pas même un rabbin pour sonner
La trompette, l’odeur du couscous
D’un vendredi soir sacré rappelait
La choule pour un lendemain béni.

A l’Hôpital*, on priait pour nos âmes ( *Synagogue ainsi nommée à la Goulette)
L’absolution de tous nos pèches,
Mais nous voilà repartis à la sortie
Heureux de retrouver nos conneries.
Pour un jour de pardon,
6 jours de dérives.

Tel est le juif, croyant et pieux un jour
Kiffeur pour toujours.



Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
11 mai 2013, 13:10
SHAVOUAT TOV.

hebergeur d'image


La Vieille et l’ Aâouéma. ( Veilleuse)

Elle aurait pu s’appeler Mchââda, Gzhijlé Ou Messadoua, cette vieille dame aux rides bien marquées.
Elle aurait pu être Meiha, oui aussi Meiha ma grand mère z’al, elle faisait pareil de son vivant. La même chose, les même gestes, la même flamme, le même verre…..Peut être aussi les mêmes mains qui tremblent, ces gestes qui ont perdu de la maitrise, cette vue qui baisse, fait pencher le corps en avant, jusqu’à courber l’échine, courber la tête, rapprocher le visage pour mieux viser cette mèche qui va prendre vie sous ses doigts.
Ce geste que toutes les mamans juives jeunes ou vieilles continuent à perpétuer depuis des siècles, perpétuer la flamme du souvenir chaque vendredi et chaque samedi et les jours de fête.

Il y a la veilleuse du CHABAT et l’autre de l’absent. Celui qui n’est plus là, celle qui n’est plus là. Parfois hélas l’enfant……

Lumière modeste symbole d’une renaissance d’une âme partie bien tard ou plus tôt.
Lumière porteuse de bénédictions, porte parole de tous les souhaits et des vœux que l’on destine aux bienheureux.

Je la revois encore ma vieille fanée, se lever de son fauteuil, prendre appui sur les accoudoirs de son fauteuil rassit, ouvrir le tiroir du meuble de la salle à manger, prendre le coton et revenir à sa place.

J’aurai pu l’aider, mais non, par fierté et surtout parce qu’elle ne voulait que personne prenne ‘cette corvée’ à sa place car elle n’avait plus de corvées à faire dans son vieil âge.

Elle lançait bien avant tout cela cette formule consacrée ‘…YE HAYAAAA…Chnoué el ouakt… ? Louise qu’elle heure est t’il ???? Et ma mère devinant la formule lui répondait ‘…Tnejem thadar el Aâouéme… !’ Tu peux commencer à préparer la veilleuse… !’

Personne d’autre à part elle n’avait le droit de se substituer à elle. L’ Aâouéma c’était sa chasse gardée durant des années et des années. Lorsqu’elle était chez elle, lorsqu’elle habitait à la rue Achour à Tunis, elle allumait 5 méchettes, une pour le shabath et les 4 autres pour ses jeunes enfants emportés par une épidémie de choléra qui avait sévi en ce temps là dans les bas quartiers de la Hara.
Plus tard, lorsque maman se maria et qu’elle prit place dans la maison de la rue Pasteur, chez nous, elle n’en allumait qu’une celle du shabath alors maman lui avait demandé d’allumer aussi celle de son époux parti un soir du 9 Mars 1945 chez nous. ( Un mois après ma naissance, le soir du feken el Couin.

Par respect pour la maison de sa fille et de son gendre, elle décida de ne plus allumer les 4 autres jeunes âmes disparues. Ces dernières étaient allumés dans son cœur, mais deux seulement, celle de son époux et l’autre du vendredi soir.
Maman devinait que MEIHA z’al s’était levée pour confectionner ses deux ââoumét.
30 ans d’une fidélité que rien n’est venue perturbée. Peu avant l’heure de la rentrés du CHABATH , maman lui apportait le verre d’eau. La vieille rajoutait deux doigts d’huile. Puis elle posait ces deux mèches en coton préalablement introduites dans un support de papier journal qui servaient de flotteurs sur la surface huilée. Ses mains tremblantes avaient peine à maitriser l’allumette enflammée et là, je me levais pour soutenir ses doigts tremblants. Elle me gratifiait d’un ‘…RABI ME OUARIKCH EL DLAM YE BIBER…. !’ Que D ieu ne te montre pas l’obscurité…Mon fils… !’

Une fois l’opération terminée, je collais un baiser sur son front ridé.
Elle regagnait sa place une fois son œuvre accomplie, soulagée d’avoir pu une nouvelle fois allumer ses veilleuses.

Meiha partie, ce fut Maman qui prit le soin de rallumer deux autres. L’âme de sa mère et celle du vendredi soir.

Maman est partie….Une seule ââouéma ….

Les temps ont changé et une seule ’ââouéma brûle chez moi.


Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
15 mai 2013, 01:39
Il y a pas si longtemps, je confectionnais des SKETCHS amusants sur maman.
Il y a deux ans, à cette époque maman était à l’hôpital. Même dans plusieurs hôpitaux parce que lorsque la maladie frappe, toute personne censée se donne aux mains des autres. On devient tributaires des médecins, des couloirs, des chambres numérotées et des nouvelles de toutes sortes. Des diagnostics certains et incertaines bref, l'alité n'est plus maitre de son état. Alors je suis allé fouillé dans mes archives...

MAMAN ES TU LA...???


‘....Bébert tu es là.... !’
‘...Où veux tu que je sois brabi... ! Avec mes noirs... !’
‘...Je ne peux pas parler lorsque ton frère est là... !’
‘...Il a raison, qui peut supporter tes jérémiades... !’
‘...Que ton père... !’
‘...Mais papa est mort depuis 30 ans maintenant et crois moi il se repose bien...!'

Elle se met à pleurer.

‘...Je l’ai langui... ! Ton père...!...Ah lui, vraiment, il était tout pour moi, mon époux, mon confident, un mari modèle... !’
‘...Ah pour ça, il devait en avoir de la patience... !’
‘...Pas comme vous, à peine j’ouvre la bouche, tez’dmou ââliya( vous sautez sur moi... !)
‘...En tout cas, tu ne peux pas dire que je n’ai pas de patience moi... !’
‘...Tu es mon ainé, tu dois m’entendre pour me soulager... !’
‘...Mnh, quelle heureuse nouvelle as-tu à m’annoncer... ?’
‘...Si je... !’
‘..Tu prenais un amant.... ?’
‘...QUOIIIII.... !’
‘...Ben écoute après un si long veuvage tu peux qd même avoir un compagnon... !’
‘...Mais tu as vu mon âge... ?’
‘...Et alors, tu trouveras bien un avec 25 ans de moins que toi... !’
‘...Pourquoi faire.... ?’
‘...Tu parles avec lui, tu sors, tu te divertis, un homme généreux... !’
‘..THAB NET CH’NA ââla oubouc... ? Ouhe mouch ouni... ?’ (Tu veux que je le trompe alors qu’il n’est plus de ce monde.... ?’
‘...Mais il n’en saura rien, enfin... ! Qui est revenu de là bas pour nous annoncer des nouvelles brabi Maman... ! Et qui le lui rapportera... !’
‘...Je suis fidèle à son souvenir... !’
‘...Et pourtant...
‘...Pourtant quoi... ?’
‘...Y’en a qui ne pense pas comme toi...! A leur souvenir...!’
‘...Chacun voit midi à sa porte... ! Et vit comme il l’entend... !’
‘...Tu fais partie de ces bonnes mamans qui honorent la mémoire leur époux disparus avec amour alors que d’autres ont tourné la page bien vite... !’
‘...E’douc ye ouldi mei yah’mouch... !’(Celles là non pas honte) Elles ont enterré leurs maris deux fois à cause de leur égoïsme... !’
‘...Mais toi souvent tu me dis ‘...YE OULDI... ! Dans la vie, il faut être égoïste... !’
‘...Mais dans certains cas, hram, la fidélité ne se monnaye pas, lorsqu’on aime son mari, c’est pour la vie, chnoué, il faut faire la part des choses, tu me vois moi prendre un amant à mon âge, et les gens qu’est-ce qu’ils vont dire, ils me rendront yar ou choue ( scandale et honte)...Et vous allah lei yech’wini, ( que d ieu vous garde) quel genre de maman allez vous garder dans votre mémoire, une maman volage... ?’ Et puis tu me vois laver son linge, le repasser, lui préparer son diner, melleEEE... ! Ca suffit ce que j’ai fait, je vous ai éduqué, fais grandir, je me suis occupée de vous comme une bonne mère et épouse, j’ai cousu vos culottes, vos socquettes, vos chemises etc... ! Subir ces caprices de baveux... !’
‘...Les pots cassés... !’
‘...Quels pots... ?’
‘...Je rigole maman chérie, tu es magnifique... !’
‘...Tu m’as promis d’écrire un livre sur moi... ! Ca fait 20 ans que j’attends... !’
‘...Attends encore un peu et je te l’écrirai... !’
‘...Je ne me sens plus encore apte à tenir le coup, alors fais le moi, s’il te plait... !’
‘...En attendant Maman, tu es célèbre crois moi et bcp apprécient nos échanges... ! Ils en rient même... !’
‘...Où ca... ?’


‘...DANS L HARISSA.... !’
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
15 mai 2013, 02:20
hm....comme d'hab. tu me tires un sourire complice par tes jolis contes
çà me met du baume au coeur, comme çà, ce matin...merci Breitou.
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
16 mai 2013, 10:26
Certains d'entre vous manient encore le parlé de nos anciens, d'autres pas du tout.

Chaque communauté juive a ses mots qui ne se ressemblent pas tous mais qui s'y rapprochent. Le dialecte de TESTOUR varie avec celui de Tunis et celui de Sousse ne correspond pas aussi avec celui de Jerba etc.... Ici et ailleurs, j'emploie des mots assez recherchés que bcp de vieux et vieilles ont souvent entendus mais qu'ils qu'elles ont oublié.

Pas moi en tout cas. Donc je rappelle à la mémoire des judaïsants certains mots ou termes qui n'ont plus courts hélas. Si par exemple je emploie le mot TZAI'LEF....Ou bien le mot T'zarouez....Vous me direz koi...? Que veut donc dire ces deux mots là...?


Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
16 mai 2013, 12:10
Je remercie tout d’abord mon ami BRAHAM qui m’a permis de lui ‘voler’ cette magnifique icône où l’on voit sa maman z’al rallumer la méche du souvenir.

Dans un précèdent article, je vous entretenais de la Aâwema ( la veilleuse, la mèche artisanale flottante, ,chère à nos parents. La flotteuse, celle qui surnage à la surface de l’huile. D’où que cette huile devient bénite après les paroles pieuses et les souhaits qui lui sont dévolus.

L’Aâouéme est une tradition chez nous les juifs et surtout elle est personnelle.

Elle concerne la famille, le foyer et elle ne s’adresse qu’aux absents. Certaines familles allument aussi parfois une seconde veilleuse en mémoire d’un saint patron dans certaines occasions bien précises comme faire une demande de grâce destinée à un membre malade.

On évoque alors dans ces cas là RABI HAI TAIEB..RABI MEYER…RABI CHOUA BCHICH…LES ANGES..MLEKHIN EL CHERIM…etc…. ET D IEU BIEN SUR …On le nommant de YE MOULENE…O toi le PATRON DES CIEUX.

Souvent après avoir allumée la mèche, la vieille lève ses yeux clos au ciel ainsi que les bras bien tendus pour recueillir sa grâce puis elle porte ses paumes à la hauteur de ses yeux qu’elle caresse. Elle termine en bisant les creux de ses mains.

Sa prière interne terminée, elle regagne son banc. Tandis que la méchéte grésille derrière elle. Elle restera allumée selon la quantité d’huile durant une partie de la nuit.

A la syna ce n’est plus l’Aâoumé mais le KANDIL. Le Kandil est une large soupière souvent accrochée à un coin du mur de la syna. On peut y trouver trois ou quatre destinés à des rabbins de la communauté. Les plus prisés sont ceux énoncés plus haut.

A la syna, le KANDIL devient collectif et non plus personnel. Chaque fidèle à le devoir de poser une mèche déjà préparée par la femme du CHEMECH( bedeau). Là encore la femme, la jeune fille, la maman ou l’épouse peut déposer autant de mèches qu’elle le désire et selon l’espace requis. Le contenant ne pouvant accueillir plus d’une vingtaine de petites veilleuses flottantes. La dame en générale ‘foulardée’ procède toujours comme la mamie d’en haut. Elle commencera toujours son souhait par ‘…Ye …RABBI…un tel…’…Pour les tunisois et les goulettois. Les JERBIENNES par ‘…YE MARABI….O TOI LE GRAND SAINT… !’. YE MARABI …’ (veut dire aussi PROPHETE) …YE GHRIBET JERBA….’

Elle procédera comme la mémé d’en haut. Les messieurs, les yeux clos, ne sont pas en reste. Même liturgie et parfois ils plongent leurs deux doigts dans l’huile sainte pour oindre les yeux de leurs enfants et cela dans le but qu’ils ne perdent jamais la vue durant leur célibat, lorsqu’ils se marient, c’est la cécité. Là c’est une autre affaire.

Une fois l’opération terminée, il est de coutume d’introduire une obole à la tirelire de la syna. Pour les bonnes œuvres c'est-à-dire dans la poche du CHEMECH.

Lorsqu’une situation personnelle est grave, il est d’usage qu’un membre de la famille dépose une requête auprès du chemech pour l’ouverture exceptionnelle de la syna.
Ce qui est étonnant l’aawoumé selon mon avis à plus de poids que la bougie. Je n’en connais pas la raison.


ABRAHAM SIMEONI. Connecté tjs avec l'Aâouéme.5X5 pour moi.
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
19 mai 2013, 03:42
HOMMAGE A CELUI QUI A CHANTE NOTRE VILLE DE LA GOULETTE.

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