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LE PTB ET MOI ZOUZ.

Envoyé par albert 
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
03 janvier 2010, 02:55
Le mot JUDEO ARABE '..AOUEDA...!Qui veut dire ' Répète...! Vient du mot '...YEOVAH....!' Au cours des années, il s'est transformé en AOUEDA...!

AA YO VA...! JEOVAH...!( D ieu) Pour finir ÂÂ'OUE..DA...!

C'est l'évolution des espèces....

Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
07 janvier 2010, 09:45
Pendant que maman Haye raconte, j'ai pimenté ses histoires en faisant intervenir des acteurs noirs venus DE LA CAMBROUSSE BARBES pour acheter des produits aphrodisiaques.

Dont les noms échappent bien sur à ma mère . Elle est horrifiée par ce qu'elle entend et son fils bien inspiré relève la mayonnaise.



‘…ALLO BEBERT… ? XV.

LE JEUNE BRAHAM HASSAN.

Le demi-frère retrouve.







‘…Par hasard… ! lorsque la famille après le scandale est partie s’installer à Paris, abandonnant la maison, c’est le chauffeur de taxi qui s’est installé avec sa femme dans le palier, il avait déjà trois enfants et l’autre Désirée él mech’nouya, elli darbet o’ma ou ouboue (celle qui a trompé son mari, a frappé sa mère et son père ) parce qu’ils la raisonnaient, ne voulant pas s’encombrer d’un enfant du péché le lui a laissé en bonne et due forme… !’
‘…Oui et ensuite… ?’



...............................................


Pendant que maman me raconte…Rentre un client pendant la conversation.

‘…Je veux acheter un petit chinois… !’ Le client.
‘…10 €… !’

Ma mère…

‘…Tu lui as vendu quoi à ce monsieur… ?’
‘…Un petit chinois… !’
‘…Quoi tu vends des petits chinois* maintenant… ?’ (*Produit long acte, retard éjaculation)



C'est au PTB SIÈGE ÉJECTABLE....MONOLOGUES ETC....

Comme vous êtes tous fatigués, je vous donne la page.

[harissa.com]
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
07 janvier 2010, 09:57
LE SKETCH CONTINUE DANS SA LANCÉE....

‘…ALLO BEBERT… ? XVI.

LE JEUNE BRAHAM HASSAN.

Le demi-frère retrouve.



Un client.

‘…Oui, un petit chinois, chef… ?’
‘…Oui Albert… !’
‘…10 EUROS… !’
‘’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’
Maman pleure sur les petits chinois embouteillés.

‘…Vous en voulez 10… ?’
‘…Tu en vends par groupe aussi…?’
‘…Oui, mais là je donne un PETIT CHINOIS GRATUIT EN PRIME… ! 11 à la douzaine… !’
‘’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’’
‘…Pour demain vous en voulez 100, Monsieur…. ?’

A Suivre….

TOUJOURS LA BAS AU PTB SIÈGE ÉJECTABLE...VOUS CONNAISSEZ LE LIEN QUI EXISTE ENTRE MOI ET MAMAN ENFIN...????

Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
07 janvier 2010, 10:51
Le célibataire,

Celui d’entre deux âges
Pas encore tout à fait grabataire,
Le retardataire sans sa belle paire
A usé sa vie de célibataire entre quatre murs.
Entre ses meubles.

Un beau compère souvent locataire.

Lorsqu’il rentre chez lui,
Il prend possession de son p’tit coin
Mais avant il a prit soin de mettre ses escarpins
Son pyjama bling blig à petits pois et ses chaussettes
Dans son terre à terre, son ‘ deux pièces’
Là où personne ne l’attend, yes.

Sauf peut être un p’tit basset, un chinchilla gris
Ou un cacatoès qui se fiche bien de sa rentrée.
Une chatte siamoise et oui c’est comme ca
Pour les cœurs endurcis en veilleuse
Qui n’entretiennent que des sentiments aigris.
Pour presque tous les célibataires rabougris.

Dans leur petit coin sur leur divan bien propret
Ils sont assis bien emmitouflés
Devant une télé lasse de solitude.
Ces maniaques du net aux bonnes habitudes
Tentent souvent de briser leur ‘amertude’
Ces silences de leurs belles soirées devant un écran à la recherche d’illusions.

Et lorsque par chance, ils tombent sur une âme sœur isolée
Ou sur un ‘frère’ abandonné, ils se mettent à rêver.
Ils dessinent dans leur tête, des profils de mannequins,
Des portraits à la Claudia Shiffon , à la BRAD PITT,
Des torses bien huilés, des mécaniques rodées,
Ou alors à des jambes de miss et des seins à la BB.

Souvent ils découvrent des asperges effilochées
De vieilles fringues chiffonnées
Avec des airs de Dianes sécheresses.
Chasseresses.

Les voilà réfléchir sur la suite à donner,
Car après les échanges innocents, arrivent les propos de cul
Juste pour jouir sous le pupitre, et gicler leur vieux pus.

Et puis d’un clic tout s’éteint, les voilà bien déçus
Dans l’obscurité et le silence
Qui s’emparent des célibataires à l’abri de leurs remparts.

Le célibataire, l’homme isolé, l’incapable,
Celui qui a raté mille occasions d’aimer
Se retrouve toujours seul au lever du jour.

Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
07 janvier 2010, 12:46
SPECTACLE DE RUE...A BARBES.

‘…CHAUDS LES MARRONS….CHAUDS LES MARRONS…!’
Mais lui, il ne dit rien ce vendeur de MARRONS GRILLES.


J’ai un trou de mémoire. Et je n’arrive pas à le combler.
J’émets seulement une hypothèse, où ais je déjà entendu ce cri… ? A Tunis ou à la Goulette… ?’

Des marrons chauds j’en ai mangé dans la rue mais où… ? Je me souviens avoir croqué des morceaux de noix de coco, bu leur liqueur, apprécié les nougats au détail etc….

Mais ce putain de cri, je ne m’en souviens pas. Est-ce devant le ciné Rex à la sortie d’un film indien… ? Arbi… ? FrançISSE… ? D’aventure… ? Niet, ca ne me revient pas et je n’ose pas demander aux vieux d’ici parce qu’eux même ne s’en souviennent surement pas, à moins d’un miracle providentiel. MaiIIIs ici les miracles HARISSIENS, ca n’existent pas, même PASSS en rêve. PARCE QUE PERSONNE NE REVE ICI.
ET OUIIII...! Ca couine mais ca ne RÊVE PAS.

Dois-je questionner notre Meyer NATIONAL… ? Braham NOTRE ISRAÉLIEN INTERNATIONAL qui a oublié sans doute le gout des marrons… ? Henri le rabbin POUR LE DÉTOURNER DE SES LIVRES DE PSAUMES… ? Ou alors peut être que … ! Non… ! Je ne lui demanderai pas car mes relations d’avec elle sont aussi froides qu’un fond de baquet de granite.

Donc voilà que devant ma boutique et cela depuis trois semaines, mon fournisseur de pop cornes, un pakistanais, avec papiers et formalités, change de métier au gré des saisons sans changer bien sur son mobilier.

En fait de mobilier, il a un caddy FRANPRIX qu’il transforme. La transformation ne lui coute rien puisque popcorns et marrons grillent sur le même support. Dans le caddy, se trouve un large ‘kanoun’ ( La carcasse d’une grosse boite de peinture), son chaudron rempli de braises.
Sur le chaudron un large gril. Disons plutôt un couvercle de diamètre appréciable, troué. Sur ce tablier rond en fer, le couvercle, sont disposés ses marrons, mais bien disposés comme des petites figurines de soldats de plomb sur le feu de la cuisson.

Disposées en forme de spirale.

De ma porte vitrée, je le regarde faire. Il est à quelques mètres de mon entrée (Je lui ai demandé gentiment de s’éloigner un peu, à cause de l’odeur de la fumée acre qui déborde sur le trottoir, s’élève dans les airs mais rentre dans la boutique et asphyxie mes produits.)

Il rempli donc son bac de charbon à ras le bord, ensuite il verse du pétrole sur un appendice de papier journal visible à l’œil nu, sorti des entrailles de sa ‘mine à charbons’. Il allume sa mèche imbibée de carburant.

Il laisse prendre le foyer sous les coups de boutoir de son éventail.
Pendant ce laps de temps de prise du feu, il confectionne d’assez larges cornets en papier journal, tiens un vieux souvenir, une manœuvre artisanale de mon époque, ensuite, il les entube les uns dans les autres.
Son feu entre temps a prit et il passe donc à la disposition de ses marrons mis sur ce grand couvercle brulant.

Il ne dispose ni de pinces ni d’objets adéquats pour retourner les petits fruits gainés mais préalablement éventrés.
Une incision nécessaire pour la bonne cuisson de l’intérieur du fruit.
15 minutes plus tard, ses marrons commencent à noircir. L’écorce sous l’action du feu s’effrite légèrement et laisse entrevoir la couleur intérieure de la châtaigne.

Tout est fait main. Il place et déplace avec dextérité ses petits gagne pain.

Je n’ai pas l’impression que les morsures du chaud lui brulent les doigts.

Enfin prêt, son premier lot, une quarantaine de pièces, est mis autour du couvercle chaud pas loin de l’âtre.
Il attendra les premiers clients de passage alléchés par cette odeur campagnarde qui circule en plein boulevard.
10 marrons le cornet et pas une de plus pour 2 €. C’est le tarif, déduction de la T.V.A.

Notre homme tient compte par contre des réclamations s’il arrivait qu’une ou deux châtaignes présentent un vice de forme. Perso, j’en prends 12 afin de ne pas réclamer plus tard.
Il peut rester quatre à cinq heures debout sous le froid à vendre sa cam.

Comme je suis son comptable, il se fait tous les après midi entre 50 et 60 € soit 300 € semaine. C’est méritant et surtout que notre bonhomme est un bon travailleur qui ne mange pas le pain des français, mais nourrit les noirs et le blanc que je suis de Barbés de féculents grillés que j’adore. Il est père de famille et entretient 9 enfants au pays.

On communique par gestes et rigole même s’il ne comprend rien de ce que je dis.

Je l’ai presque adopté ce pakistanais fort aimable.
Il y a trois jours, trois policiers sont venus le contrôler. Dans pareil cas, en général et tous ceux qui sont dans sa situation précaire, prennent leurs jambes à leu cou tout en laissant leur fond de commerce sur le trottoir, à charge aux policiers d’en débarrasser les lieux.

Mais Ô surprise, l’un des trois policiers lui remet ses papiers sans aucune forme de procès.

Le laissant continuer à travailler.

C’est vraiment MARRANT.


Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
07 janvier 2010, 13:59
Avec le temps qu'il fait, c'est plutôt les marrons glacés.

Pièces jointes:
marrons_glaces_07.jpg
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
08 janvier 2010, 00:31
Un peu FONTAINE, un peu MOLIÈRE,
Un soupçon de CHÂÂTITUDE mais jamais
TYRAN...IRANAIS OU TIRE AUX FLANCS.
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
08 janvier 2010, 01:45
L’EMMERDEUR.


Dans notre quartier à la Goulette Casino, y’avait ma bande, la bande à Pasteur du nom de la RUE.
Une belle bande de jeunes omni sport, omni vice omni jeux etc….Omni embrouilles.

Une trentaine de jeunes âgés de 8 à 15 ans qui se retrouvait tous les soirs après l’école pour jouter.

Et dans une bande constituée, il y a tous les caractères,de l'imbécile heureux à l'imbécile malheureux, du con au couillon, du téméraire au peureux, du bien éduqué à l'impoli, du vœu pieux au morveux mécréant bref une mini jeune société de quartier, écolière bien sur.

Et puis parmi notre bande, il y avait l’emmerdeur, celui qui n’est jamais satisfait du rôle que le chef lui assignait. Si on lui disait de jouer le rôle du bandit, il refusait préférant être policier et ainsi de suite. Il est celui qui pose les questions les plus hasardeuses comme par exemple

‘…C’est bizarre les amis, je ne vois plus Claudine avec ses deux amies… ? Ca fait un bon de temps qu’ils ne jouent plus pendant la récré… ?’

La bande bien sur constate qu’effectivement Claudine, l’inséparable amie du duo Marlène et Alain s’évitent et même que la Claudine, une gentille fille qui est loin d’être une fouteuse de merde connue et reconnue, s’abstient de les fréquenter depuis qqs semaines, allez savoir pourquoi mais qui d’entre nous oserait lui demander qqs explications… ? Personne parce que les affaires de CLAUDINE sont ses affaires mais pas celles de notre bande. Alors, devant l’ignorance des faits, la bande suppute, oui elle suppute, échafaude des thèses surtout que la Claudine n’est pas fille commode, prête à se laisser influencer par Marlène connue surtout dans sa classe pour donner des leçons de morale. Même le prof n’échappe pas à ses remises à l’ordre. ‘…C’est vous qui devriez m’écouter MEEEEE…SIEUR… ?’

Pas comme notre ami Gilbert qui craint son amie Bea la gentille futée qui, sur un simple coup d’œil, le remet à l’ordre. Et là Gilbert obéit, il rentre dans les ordres.

Claudine est libre, Gilbert ne l’est pas. Il aurait voulu parler à Claudine en cachette pour en savoir un peu plus sur son absence mais Claudine est connue pour être une effrontée. Elle ne reconnait jamais ses tors et jamais ne demande pardon encore moins s’excuse mais comme elle le dit souvent à la volée ‘…Moi, je ne suis soumise à personne… !’
Donc Claudine fait le vide autour d’elle.

En ce moment, le vide devient une absence grave et dans la cour, chacun se regarde et demande où elle a bien pu partir… ?
S’il n’y avait pas un emmerdeur dans la bande comment savoir pourquoi Claudine n’apparait plus… ?

Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
09 janvier 2010, 12:33
‘…ALLO BEBERT… ? XVII.
LE JEUNE BRAHAM HASSAN.
Le demi-frère retrouve.



‘…Yé si Youssef, loucen tnéjem tech’keut… !’ ….Si tu peux te taire… !’ Il s’est tût la vérité par respect pour moi et mes enfants. Le garçon devait avoir 18 ans, il se baisse et m’embrasse et il me dit ‘… Enti okhti… ?’ ( Tu es ma sœur… ?’

Je fais semblant de rien son père s’étant aperçu de ma gêne lui dit de rentrer dans sa chambre.

FIN.

AU PTB SIÈGE...DANS LA RUBRIQUE MONOLOGUES....


Nouveau sketch/récit LE CHIEN DE LA VOISINE.
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
10 janvier 2010, 12:18
Paris le 9/01/2010.

UNE MISSIVE AU FOND DE SON SAC.


‘…papa maman je veux Me marier avec
Claude VIVRE ma vie AVEC lui
Il me RENDRA heureuse Toute
Ma VIE il est si gentille aVec
MOI POUR TOUJOURS… !







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Mon ainée aimée a prit l’habitude de nous écrire
Des p’tits mots en certaines circonstances,
Sur un support de papier vierge humble à en tête de fleurs.
A sa convenance.

Sa missive se termine par un cœur.
Quatre initiales ordonnées s’entrelacent.
CLYC…CLYC…CLYC…CLYC…
Si tendres et si beaux que mon cœur album,
A sa lecture, frémit par tant de bon baume.
Boum …Boum… Boum….

Dans son sac, sa missive repliée en quatre repose
Car pour la lire, elle n’ose
Par respect pour nous qui lisons sans surprise.
Mais à lui, elle les lui dit sans les écrire
Sans gêne et sans détour.

Un simple message d’amour, un souhait un désir
Sur des lignes étroites en désordres
En gros caractères irréguliers mais qu’importe l’ordre
La nature elle même bafouille parfois sans que l'on sache la cause.
Elle exprime son vœu qui se lit dans ses yeux,

Pour lui, lui qui l’aime et bien sur pour nous, aussi.

A nous de le découvrir au fond de son tendre cartable.
Et sans qu’il soit traduit, nous connaissions son vocable.
Ses mots innocents, puérils sortis de son joli et beau cœur
Qui bat pour celui qui la rend heureuse par tant bonheur.

De simples mots si justes qui rentrent dans notre cœur.
Et sans trop de commentaires, nous les chérissons sur l’heure.

Ils savent aimer, sans doute encore plus fort,
Comme ceux et celles prient dans le tourbillon de l’amour,
Sans aucun effort.
Il y là à fierté à exprimer son amour
Même si,
Ils ne ressemblent pas au monde des biens faits
.

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