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LE PTB ET MOI ZOUZ.

Envoyé par albert 
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
21 août 2010, 13:37



LE LCL ET LES AUX TOMATES.

20 ans au LCL. Une grande fidélité.
J’en ai eu des conseillers, hommes et femmes dans cette grande institution.

Pour la plupart formés à la bonne école.
Une relation vraiment humaine, très conviviale et parfois j’échangeais, surtout avec les dames, quelques confidences intimes et même des anecdotes assez drôles.

LE LCL a perdu depuis un peu de son indépendance.
Quant en est t’il depuis bientôt dix ans. … ?
Les conseillers ont fondu comme peau de chagrin et aujourd’hui, les agences se retrouvent désertes.

Il y a bien un agent de sécurité qui tourne en rond mais un seul bureau ou deux pour recevoir les clients sur rendez-vous. Il faut passer aussi des SAS.

Puis petit à petits les dépôts de chèques ne se font plus en mains propres mais ils sont glissés dans une boite insipide. Et je ne vous raconte pas le nombre de chèques qui s’oublient d’être crédités.
Puisqu’il la décharge n’existe plus.

Bref, aujourd’hui, j’apprends que les services caisses ont disparu et ce sont des automates qui prennent tout en charge.
Étant novice dans la matière, j’ai donc demandé de l’aide pour verser l’argent de ma société.

Et là, j’apprends que la fente de la dévoreuse ne peut pas avaler plus de 1000 euros en grosses coupures sinon, elle la rejette.

Voilà donc la bonne aventure que j’ai eu dans l’agence Voltaire puisque celle du fbg est en travaux comme la plupart des autres LCL sur mon parcours.
Je rentre avec le reste du pognon à verser puisque la veille, ma grosse enveloppe me fut retournée pour cause de panne à mon agence habituelle.
Il est donc 8heures 45 et je pousse la porte de l’agence Voltaire. Personne.

J’ouvre ma sacoche et je jette un coup d’œil à droite et à gauche si dés fois, il n’y a pas un noir ou un arabe un peu louche. Je sors mes enveloppes au moment même ou rentre un malabar (carambar) de couleur.
Là, je remets mes enveloppes dans ma attache case et j’attends. Mais le malabar me regarde. Je le regarde. Le croisement des regards durent 1 minute. Je transpire et je suis mal à l’aise. Enfin, il s’éloigne un instant, il va dans un autre automate, je me sens rassuré.

J’ouvre une nouvelle fois ma sacoche et vite fait je compose le code de ma CB. Une enveloppe sort. Je la remplis de billets et je fais bouffer la fente. Un ticket sort. Je passe à la seconde enveloppe, idem. Je surveille cependant le noir. Je passe à la 3 iéme enveloppe au moment où je vais l’introduire, le noir vient vers moi. Je me dis ‘ Ca y est, il va me braquer. Puis, il me dit ‘…Dis moi ti sé comment ca marche cette merde… !’ Là, mon enveloppe s’arrête à mi chemin par la peur. Je pousse fort mon fric tant et si bien que l’enveloppe se déchire et donc ne passe plus, j’annule et je reprends mon enveloppe que je fourre dans ma sacoche.

‘…Pardon ??? Pour la machine, celle là est en panne, si tu veux, je viens t’aider dans l’autre… !’

Je l’aide et au bout de cinq minutes, il apprend la manœuvre. Il est heureux. Moi, j’attends qu’il sorte.

Il sort alors que rentre un arabe qui n’a pas bonne mine. Je sors dehors fumer une clope et j’attends.

Il est 9 heures 30 et je n’ai pas fini mon versement, enfin la mine pas très catho sort et je rentre pour achever mon versement. Ouf, tout est passé et je me sens rassuré, j’ai 4 tickets en mains alors qu’avant j’avais qu’un feuillet de versement. L’opération durait avec la caissière 10 minutes maximum. Sans avoir peur.

Dans cette affaire c’est que vous sortez votre argent sans aucune sécurité et vous êtes à la merci de n’importe quel malfrat.
Demain je fais une réclamation au sujet des AUX TOMATES.
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
22 août 2010, 06:55
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
22 août 2010, 11:45
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
22 août 2010, 12:25
Y’éli …..Y’éli

Aâ’ssoubatec terj’ri
Khé’li rasséc yertah
Ou badénèc.
El noum rah ââlic
El sbah nbé
Ouenti âânic dlam.

O Toi
Dont les nerfs sont à fleur de peau
Laisse reposer ta tête
Et ton corps.
Ton sommeil s’est perdu
Et le jour vient de naitre
Et toi tu es encore dans ta nuit.

Y’éli ….Y’éli

Aâ’ssoubatéc mhaï’rin
Lil ou nââr khemem’te
Aâla gouféc lââziza… ?

O Toi…
Aux nerfs agités
La nuit et le jour a tu pensé
A ta chérie de santé… ?

Mé ten’sech e’li jrew
Ouélli mejrew’ch
Fél hofra sec’nine…. !

N’oublie pas que ceux qui ont courru
Et ceux qui ne l’ont pas fait
Sont tous logés à la même enseigne… !

Khoud rouhouc bél sbar
Ou col hajjé fél dounia
Telca hel.
Me tkhe’fich mél e’yem
Ou cimé coullou él chiyéb
Nââr hassabi oué nââr ââjel alla maou’téc.

Prends tout avec patience
Et chaque chose dans la vie
Trouve une solution.
Ne crains rien des jours
Et comme le dise nos anciens
Un jour de nerfs est un jour qui te rapproche de la mort.

Khoud él dounia oueli mefié
Bel dahk ouél tbalbiz
Ou zid cemel bél tfed’lic.

Prends la vie et tout le reste
Avec rires et amusements
Et ajoutes y de la dérision.
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
22 août 2010, 12:50
Je vous donne la recette du bonheur.

Écoutez donc la voix de BREITOU qui vient vers vous.

Le bonheur ne se peint pas.
Il se chante certes et s’écrit.
Il se vit certes mais pour le sentir il faut attendre.
Parfois un long délai.
Mais il existe.

Et lorsqu’il vous arrive vous êtes dans un état de plénitude.
En général il se ressent à l’approche d’un certain hiver.
Lorsque beaucoup de printemps, d’étés et d’automnes sont passés.

Écoutez la voix de Breitou, elle n’est pas théâtre mais juste mélancolique parfois.

Lorsque les saisons seront passées sans que ne surviennent tragédies, fél bhar, ou malheurs.

Le bonheur, c’est cette grande photo sans doute la dernière, comme une photo de classe mais sans élèves, entouré avec vos enfants et petits enfants et pourquoi pas avec vos arrières petits enfants.

Vous êtes là avachi, assis tenant une canne, votre vieille compagne prés de vous, les yeux baissés usés, d’avoir trop regardés, les rides pendantes mais dignes et le front ceint d’un beau fichu blanc.

Vos petits enfants sont assis devant vous et lorsque le photographe aura cliqué pour l’éternité ce joli décor, vous vous retournez et vous dites d’une belle voix sans doute éraillée…

‘…Merci mon D ieu, d’avoir traversé cette vie entourée par les miens, sans absence. Et tant d’épreuves. Et là je goute le vrai BONHEUR que D ieu me fait vivre… ! Merci MON D IEU de m’avoir épargné douleurs, souffrances et disparitions… !’

Ce n’est pas un secret mais juste une belle fin de vie bien remplie.
Je vous souhaite d’en arriver là car le BONHEUR il existe.
Alors si qq’un parmi vous sait dessiner le bonheur, qu’il me le dessine.

Ou qu’il le chante.
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
23 août 2010, 12:29
Oué’lecen oué mécen

Loucen é’li mécen
Cen ou’allah cen
Ye nari bihoul allah
m’raouah’eni nââr.

Et si ce qui arrive
Arrive si tant il existe
Que D ieu est partout
Mon jour, par sa grâce
Viendra pour m’en aller.

Cen chababi é’li fét
Oué loucen,
Yer’ja el téli méni nbé’dél
Hatté hajé, lé grhami ou hobi
Lé ékhe’ouéti ou zéméléti.
El mnih ouéle él kbih,
Lé dari oullé jdoudi ouélé
Cray’ti, dini oué siess’ti
ou tab’yati.

Il eut ma jeunesse celle d’autrefois
Et si elle me revenait
Je ne la changerai jamais
Pour rien au monde,
Mes passions et mes amours
Le bon et le mauvais.
Mes frères et mes amis
Ni ma maison ni mes ancêtres,
Ma culture ma religion mon éducation
Et mes anciennes habitudes.


Oué’lécen ou mécen
Loucen e’li mécen
Yorjà’li b’ sdod’fa
Bess méllah él rahim
Méni msseyeb m’hassi’si si
Ouélé nessé chébèbi él jamil.
E’ye nââm, yocht yem’con baz’ouala
Méllè hamdoullah iyé é’li radat’ni
Rajoul.

Et arrive ce qui arrive
Même si ce qui est passé
Me revient par surprise
Par la grâce du tout Puissant
Je ne lâcherais pas mes sentiments
Sans oublier bien sur mon belle adolescence
Oui, j’ai vécu certes autrefois dans l’indigence
Mais grâce au Suprême Maitre, c’est par elle
Que je suis devenu un homme.



E’li hfa’tou fél dénia é’di
Bcol saraha, iye él ghadra
Ghadra motrobiya fi cloub
Eli calou zéméleti
Moujouda.

Ce qui j’ai appris dans cette vie
Avec sincérité, je vous le dis
C’est que la traitrise bien éduquée
Dans le cœur de ceux qui se disent
Mes amis, existe.

El ghi’ré tokh’ssol
Ou mé tét sââ’mah.
Hatta licoun ou é’li coun
Oué’lé cen ou mécen.

La jalousie fait bcp de tords
Elle ne se pardonne pas.
Arrive ce qui arrive.
Maintenant ou après.
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
25 août 2010, 12:37

LE NON-VOYANT.

Le non voyant tâte, touche
Perçoit avance par sa canne.
Ainsi il évite nids de poules
Nez de trottoirs et obstacles.

Jamais il ne fait de queue de poisson.

Qu’en est t’ils de tous les voyants… !
Lorsque prit par l’amour, ils deviennent aveugles.
La passion extrême fait d’eux des esclaves
Soumis à l’autre au point d’en perdre la raison
Parfois.

L’amour est aveugle dit ‘on
Il rend sourd aussi cependant.
Et si le cœur a ses raisons
A trop aimer
Nul voyant ne garde son esprit.

A trop aimer
Adieu frères, sœurs, mère et père.
Et amis aussi.

Et qui du voyant ou du non voyant
Voit t’il la souffrance qui l’attend… !!!

Vive l’AMOUR PASSION.

Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
26 août 2010, 22:08
Passe ton chemin.


Croiser le chemin d’un inconnu
Ou d’une inconnue peut être providentiel.
Bénèfique.

Et si à la longue cet inconnu tombé du ciel
Devient au fil du temps un véritable ami
Cela est sans doute une chance.



Le besoin d’un ou d’une amie sincère
Est un sentiment humain
Tant qu’il est emprunt de respect.
Sur son parcours parfois on tombe
Sur un individu au masque mesquin
Un personnage d’intérêt
Qui jure de sa bonne foi
Et qui sent en vous la bonne poire
Ou le bon pigeon.



‘…Honnêtes naïfs au cœur sincère
Que n’avez-vous tant éprouvés
Par tant de fausseté… ? Lachetè
Un voyou parfois se cache
Sous ses mots ronflants et charmants.



Croiser le chemin de qq’un
C’est partager un parcours.
Si long ou si court soit t’il

Il ne me viendra jamais à l’esprit
L’idée de lui couper son chemin.


Je peux Passer mon chemin
Mais jamais piétiner le sien.
Mais dans tous les cas
Nous PRENONS tous sur le même chemin.
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
28 août 2010, 13:54
Il y a des soirs un peu particuliers.

Où l’envie prend soudain le dessus sur le non dit.

Des soirs de soulagement où le consistant voile l’écran.

De s’exprimer dans le calme et le paisible, oui loin de cette télé dévoreuse de silence.

‘…Chérie, viens approche toi… ! Comme tu es belle, comme ton regard n’a pas changé, il est resté pareil à celui de tes 18 ans, de ce fameux soir où pas loin du café vert nous nous donnions rendez-vous en cachette, loin de tes frères et surtout de ta maman qui t’épiait, d’autant plus que j’avais la renommée d’être un ‘gentil dragueur’, presque un voyou… ! Tu étais timide, jolie… ! Que lorsque tu me pinçais dans la voiture à cause des 14 jeunes filles qui m’ont prit pour leur taxi BB… ! Je m’en souviens encore sous ce soir pluvieux. Nous étions toi et moi… ! Comme une belle paire de boutargue…35 ans plus tard nous revoilà tjs comme une paire de boutargue bronzée mais un peu rassie, la cire est entrée dans mes oreilles et je n’entends que ce qui me convient… ! Approche chérie… ! Avant nous parlions de nous…De nos projets… ! Grâce à D ieu nous avons pu les honorer… ! Puis sont venus les enfants, de belles filles et maintenant, nos petits enfants courent sous le lit, tu t’imagines, quel bonheur d’écraser à deux heures du mat un jouet qui chante… ! Crois tu chérie que nous parlerons un jour de nos arrières petits enfants… ? Mais dans quel état serions nous ye z….i Hein… ? Une paire de boutargue cramée sans cire, nue, qui laisse nos veines bien en relief apparaitre… ? Chérie tu dors… ? Je t’aime… ! N’oublie par chérie, je dois partir avant ok.. .??? Dors ma belle dors… !’

Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
30 août 2010, 13:51
Une dame noire rentre dans ma boutique encens et ballout.

‘…Monsieur, j’ai un souci et mon mari a un problème… !’
‘…Donc récapitulons, vous vous avez un souci et votre con cubin a un problème… !’
‘…Il n’est pas con, vous savez mais voilà j’ai comme l’impression que son problème devient mon souci… !’
‘…Récapitulons, donc votre mari par son problème vous con tamine et vous voilà avec un souci… !’
‘…C'est-à-dire que la semaine dernière, il avait un souci et moi j’avais un problème et voilà que mon problème est devenu souci pour lui et le sien est devenu problème pour moi… !’
‘…Récapitulons… !’
‘…Combien de fois vous allez récapituler… ?’
‘…Il faut que je cerne le problème avec exactitude… !’ Donc si je résume avant que votre souci ne devienne problème votre mari n’avait qu’un souci ensuite il y a eu transhumance… !’
‘…Je ne comprends pas ce mot transmance… !’
‘…IMIGRER… !’
…Mais mon mari n’est pas un sans papier Monsieur, il est né ici il est français… !’
‘…Ce qui sans doute lui causait au départ un problème et à force de vous en parler, il a glissé chez vous sans problème son problème ce qui vous cause aujourd’hui un souci… !’
‘…Ecoutez avant il n’y avait aucun souci ni problème mais depuis qqs temps, j’ai le souci et son problème me cause du souci… !’
‘…Vous voulez quoi enfin de compte, régler son problème ou votre souci… ?’
‘…Un souci est moins grand qu’un problème… ?’
‘…Mathématiquement oui, un problème c’est grave et peut durer alors qu’un souci est passager… !’
‘…Pouvez vous au moins régler mon souci… ?’
‘…Mais je crois qu’il vaut mieux régler le sien, un problème ne trouve de solution que s’il est prit à temps alors que votre souci peut attendre… !’
‘…Approchez vous… !’
‘…Soyez brève… !’
‘…Il ne BANDE PLUS… !’

‘…MEEEEEERDE ALORS MAIS ENFIN IL N EST PAS LE SEUL… ! TOUTE LA France NE BANDE PLUS… !’
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