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Antisemitisme

Envoyé par sarel 
Re: Antisemitisme
14 juillet 2010, 09:44
Boycott culturel d’Israël à Aix-en-Provence


13 juillet 2010

Mon amie Esther Orner, écrivaine israélienne de langue française, était sensée participer à un colloque à l’Université de Provence, Aix-Marseille I, organisé à l’initiative du département de Lettres modernes, intitulé: Ecrire aujourd’hui en Méditerranée et prévu en avril 2011.

Dimanche dernier, Esther, enfant caché, a participé à un témoignage filmé pour Yad Vashem. Elle a accepté avec beaucoup de réticence bien que la Shoah et ses conséquences sur sa biographie soient au coeur de son écriture ou peut-être à cause de ça. A la fin de son témoignage, (drôle de coïncidence), elle a ouvert son courrier et lu une lettre provenant de l’un des organisateurs du colloque d’Aix. En voici un extrait:

Je t’ai parlé à plusieurs reprises du colloque « Ecrire aujourd’hui en Méditerranée ». Au tout début, il avait été entendu que seraient invités des écrivains de tout le pourtour méditerranéen, dont entre autres quelqu’un d’Israël; j’avais alors proposé ton nom, parlé de ton travail, et apparemment aucune objection n’avait été formulée. Mais tout récemment, lors de notre dernière réunion du comité scientifique, il a été dit que certains écrivains arabes, invités, ne viendraient pas si un(e) écrivain(e) israélien(ne) était présent.

Esther, malgré le choc, a répondu avec son humour habituel:

Si je comprends bien, Israël ne fait pas (ou plus) partie du pourtour de la Méditerranée. (…) Je ne m’inquiète pas pour moi-même mais pour la délégitimation d’Israël qui est en marche et que les Européens puissent participer à cela montre qu’ils n’ont rien appris de l’Histoire.

Le professeur, qui a annoncé la nouvelle à Esther Orner, a décidé de démissionner du comité scientifique de ce colloque. Elle a été la seule à le faire.

Combien d’auteurs, de scientifiques israéliens boycottés dans le secret des comités d’organisation?

Moi, je suis inquiète.

[kefisrael.com]
Re: Antisemitisme
19 juillet 2010, 08:20
Le nouvel antisémitisme décortiqué - Les canaux de la haine :


[www.conceptwizard.com]
Re: Antisemitisme
20 juillet 2010, 09:06
Boycott d'Israël : bientôt la rupture - Par Pierre Lefebvre et Liliane Messika - Pour Primo - 19 juillet 2018

De plus en plus et que ce soit dans les domaines universitaire, technique, de la recherche médicale ou des animations culturelles, le boycott devient la référence, celle qui donne le droit à de pauvres petits universitaires engoncés dans leurs préjugés élevés au rang de certitudes d’être à la pointe du combat contre…

ils ne le savent pas exactement quoi mais peu importe, ils sont contre.

Un film israélien déprogrammé en France pour d’obscures raisons, la visite d’une troupe israélienne annulée du jour au lendemain…

Dans leurs colloques internationaux, ces petits censeurs accueillent de manière très aimable et souvent empressée des films chinois, indiens, des penseurs africains, des écrivains arabes.

Parmi les pays arabes, combien de démocraties ? Même question pour les pays africains, aux sanglants despotes. Et en Inde, quel est le sort reservé aux "intouchables" ?

Apparemment, leur boycott à géométrie variable ne leur pose pas de problème de conscience.

Conscience ?

A l’université, boycotter du chinois n’est pas politiquement correct. Et il y aura toujours la belle-sœur d’un professeur dont le rejeton, à peine le bac en poche, voudra aller goûter aux délices de l’Orient, au moyen d’une année d’échanges “culturels” en totale immersion.

Et puis, pourquoi boycotter la Chine et ses professeurs ? Les censeurs des films et chorégraphies israéliennes estiment que pour guider un pays grandiose et magnifique comme la Chine sur les chemins de la démocratie, la carotte des échanges culturels est plus efficace que le bâton de la réprobation médiatique quand un opposant politique est abattu d’une balle dans la nuque.

Petites raisons et intérêts personnels auront toujours le dernier mot dans le monde universitaire français dont la lâcheté est le signe distinctif.

Ces professeurs-là prennent d’autant moins de risque professionnel à boycotter Israël que le nouvel antisémitisme déguisé en antisionisme est revendiqué comme une opinion honorable par les grands penseurs de la France 2010: Dieudonné, Alain Soral, Pascal Boniface...

Si quelqu’un s’avisait, en revanche, de critiquer le régime d’un pays africain ou arabe, il pourrait – ô rage, ô désespoir –, être soupçonné de racisme.

Et l’on n’ose imaginer le tollé si quelqu’un publiait les caricatures d’un prophète !

Alors il a suffi que quelques invités arabes à un colloque prévu en 2011 menacent de ne pas y participer si une présence juive y souillait l’atmosphère pour que président d’université, professeurs et administratifs baissent culotte. A croire qu’ils aiment cette position, les bougres et les bougresses.

Sans voir que les jambes blettes apparaissant entre le pantalon plié en tire-bouchon et les chaussettes nuisent grandement à leur prestige universitaire.

Lorsqu'ils se pencheront sur la chaise pour subir le châtiment suprême (celui dont parle Brassens dans Le Gorille), nous serons là pour rigoler un bon coup et en boire un autre à leur santé frémissante au sortir de l’épreuve.

Honte à ces écrivains arabes qui n’ont pour culture générale que la haine, le mépris et le rejet de l’autre.

Honte surtout à ces petits fonctionnaires français qui pratiquent à nouveau l’obéissance, comme lorsque Pétain le leur demandait, et qui détournaient les yeux pudiquement lorsque leurs collègues juifs, chassés du lycée ou de l’université, venaient prendre leurs petites affaires dans la salle des professeurs.

Ils ne devraient plus avoir le droit de se présenter devant des élèves.

Boycotter, c’est mépriser, abattre, nier l’autre, bref, le tuer.

Si un colloque sur "La route de la soie et son influence sur la politique extérieure du Guatemala" était organisé dans une université française, ces gens là prendraient-ils le risque d'inviter un intellectuel tibétain avec des écrivains chinois ?

Inviteraient-ils un écrivain hutu si des intellectuels tutsis leur en faisaient le reproche ? Bien sùr que non. Cette position serait immédiatement condamnée par l'ensemble de la communauté scientifique et universitaire européenne.

Mais puisqu'il s'agit d'une juive, alors on peut se laisser aller à ses plus bas instincts et la tête haute. Du moment que des intellectuels arabes en font la demande, "Dehors les Juifs". Tolérer la censure et le boycott, c'est laisser s'installer le gouffre, le précipice, la rupture.

Laissons une amie de l’écrivain boycotté à Aix en Provence nous narrer la fin de l’histoire.


Lire : Boycott culturel d’Israël à Aix-en-Provence ( publie le 14 juillet 2010 par Meyer )
Re: Antisemitisme
20 juillet 2010, 10:58
Dernière minute.
Ce président d'Université est à féliciter.
Je propose de le faire par courriel :
presidence@up.univ-mrs.fr


Communiqué de Presse

Marseille, le 20 juillet 2010

Un colloque « Ecrire aujourd’hui en Méditerranée : échanges et tensions »,
programmé en mars 2011 à l’Université de Provence prévoyait la rencontre
d’universitaires et d écrivains issus de l’ensemble du pourtour méditerranéen.
La présidence de l’université a été informée du refus de certains participants de
dialoguer avec un auteur et universitaire israélien. La décision a été prise
d’annuler la manifestation.

« L’université étant universelle, toute entrave à l’universalité est contraire à
l’essence de l’université. Tout universitaire qui met comme condition à sa
participation à un colloque la non participation d’un autre universitaire falsifie
l’esprit de l’université et par là-même s’en exclut.

L’annulation du colloque « Ecrire aujourd’hui en Méditerranée : échanges et
tensions », répond à un souci de respect de l’esprit universitaire, qui est d’abord
un respect des personnes. On ne colloque pas avec qui exclut le dialogue ».

Jean-Paul Caverni
Président de l'Université de Provence Aix-Marseille I


[www.univ-provence.fr]
Re: Antisemitisme
20 juillet 2010, 13:33
Dois-je aussi me taire...???
Re: Antisemitisme
20 juillet 2010, 14:42
On va organiser un colloque harissien où chacun aura droit à la parole.
Re: Antisemitisme
20 juillet 2010, 22:09
Bonne idée surtout pour ceux qui on abuse.
Re: Antisemitisme
21 juillet 2010, 05:21
À PROPOS DU BOYCOT CULTUREL D’ISRAËL À AIX EN PROVENCE.

LETTRE OUVERTE À Mme VALERIE PECRESSE, MINISTRE DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE,

À MONSIEUR FREDERIC MITTERAND, MINISTRE DE LA CULTURE ET DE LA COMMUNICATION.

Par Arnold Lagémi (Comité de soutien à Ester Orner)

Madame la Ministre,

Monsieur le Ministre,

L’éviction de l’écrivain Israélien Esther Orner, du colloque prévu à l’Université d’Aix en Provence, Aix, Marseille 1, sur le thème : « Ecrire en Méditerranée, » au motif, que « certains participants Arabes ne s’y associeraient pas, si un envoyé d’Israël devait s’y joindre » nous amène à estimer opportun de solliciter votre concours pour une intervention réparatrice d’une violation flagrante des règles de droit.

En effet, que l’Université Française devienne une officine de propagation de l’antisémitisme et du racisme crée la malheureuse opportunité de vous conduire à aider au rétablissement de l’équité et de l’ordre républicain.

L’honneur de la France, étant directement et, au premier rang, concerné par cette lamentable affaire, ne saurait laisser insensible les représentants de l’Etat que vous êtes.

L’outrage à caractère raciste imposé à cette représentante de la nation israélienne, se manifestant en France, et, par le biais d’un symposium organisé par une organisation universitaire française, pose de, prime abord, la responsabilité de l’Etat sur le territoire duquel pareille infamie est commise. Il porte préjudice à la République en bafouant sa dignité, tout en mettant à l’épreuve par un procédé intolérable, sa capacité et sa volonté à une réaction légitime.

Monsieur le Ministre de la Culture, vous occupez le fauteuil d’un illustre défenseur des libertés, en l’occurrence, André Malraux, qui, jusqu’à la veille de sa mort, parcourut le monde, en quête, de combats pouvant engager le renom, la grandeur et l’influence de la France.

L’occasion de vous inscrire dans un combat tout aussi fameux vous est offerte.

Gageons, Madame, Monsieur, que vous saurez déployer dans ce lamentable incident, tous vos efforts pour qu’aux yeux des Français d’abord, et au regard du monde ensuite, votre action confirme que la France reste toujours la France et que, s’attaquer à son honneur, c’est tenter de l’atteindre dans ce qui fait d’elle une Grande Nation.

C’est, précisément, ce qui est en train de se passer à Aix en Provence, sous le couvert de l’Université !

En espérant un prompt rétablissement du droit, soyez assurés, Madame la Ministre, Monsieur le Ministre, de notre respectueuse considération.


Source : information de Rachel Samoul transmise par le Dr Georges Amshalom à Terredisraël.
Re: Antisemitisme
21 juillet 2010, 05:27
Festival d'Avignon : le poison antisémite gâche le talent d'Angelica Liddell


"La Casa de la fuerza", texte et mise en scène Angelica Liddell. Festival d’Avignon, Cloître des Carmes

La brillante expression d’une juste révolte au féminin qui tourne détestable quand elle réveille les démons de l’antisémitisme.

Consacré au martyre vécu par les femmes sauvagement violées et assassinées dans l’indifférence générale à Cuidad Juarez dans la province mexicaine du Chihuahua, La Casa de la fuerza (La Maison de la force) mélange les genres dans des performances saisissantes où les drames intimes et sociétaux se tutoient.

Revisitant les oeuvres de Velasquez, Goya, Millet ou Gauguin, les images produites par Angélica Liddell construisent les étapes d’une liturgie de la douleur qui prend les allures d’un remake du chemin de croix. Des traces sanglantes de scarifications imprimées sur des tissus et exhibés à la face du public comme autant de répliques du Saint Suaire, au rite du lavement des pieds et aux dessins de cœurs sur des T-shirt avec des seringues remplies de leur propre sang, Angélica Liddell et ses deux comédiennes déclinent, version SM, une re-visitation baroque des rites d’auto-flagellation chers aux pénitents de l’Eglise.

On pourrait s’en réjouir…Sauf quand arrive ce moment où Angélica Liddell superpose au récit d’une séparation cauchemardesque entre deux amants dans un hôtel à Venise, des images d’archives du conflit dans la bande de Gaza. Parmi elles, comme un gag, une photo de Woody Allen en repérage sur le Grand Canal. Et voici le réalisateur tout à coup démasqué et désigné par une apostrophe sans appel qui provoque des rires dans le public : « Ironie du sort : un juif à Venise »…

Ce faisant, Angélica Liddell, enfourche l’obscène d’un antisémitisme qui ruine le rêve de justice qu’elle prétend défendre sur le plateau. Commettant l’impardonnable, elle se transforme en passeuse d’un poison de l’esprit devenu monnaie courante au prétexte d’une juste colère née du soutien à la cause palestinienne martyrisée dans la bande de Gaza.

L’image dure une seconde, mais cette dénonciation d’un juif à la vindicte populaire pèse tout à coup très lourd dans la balance au regard des cinq heures d’un spectacle qui ne laisse plus, dès lors, qu’un désagréable goût de cendres dans la bouche.
Re: Antisemitisme
24 juillet 2010, 02:08
Discours prononcé à Colmar par Ivan Geismar, Président du Consistoire israélite du Haut-Rhin lors de la cérémonie marquant la Journée nationale en mémoire des victimes des crimes racistes et antisémites de l'État français en présence du Préfet qui n' a fait aucun reproche

Monsieur le Préfet du Haut Rhin, Monsieur le Député

(Monsieur le Maire Adjoint représentant ) le M le Maire de la Ville de Colmar, Monsieur le Délégué Militaire Départemental,

Messieurs les parlementaires, Messieurs les représentants des autorités Civiles, Militaires, Judiciaire et Religieuses

Monsieur le Consul d’Israël, Monsieur le Grand Rabbin

Monsieur le Président Régional du Conseil Représentatif des Juifs de France

Madame, Messieurs les Membres et anciens membres du Consistoire

Monsieur l’Aumonier Militaire Régional, Messieurs les Rabbins

Messieurs les Présidents et Administrateurs des Communautés Juives

Mesdames, Messieurs,

Je vous remercie d’honorer de votre présence cette cérémonie commémorative des victimes des crimes racistes et antisémites de l’Etat français et d’hommage aux « Justes » de France

Permettez-moi d’emprunter au Président Jacques Chirac qui a institué cette journée du souvenir quelques passages du discours qu’il a prononcé le 16 juillet 1995

« Il est, dans la vie d'une nation, des moments qui blessent la mémoire, et l'idée que l'on se fait de son pays.

Ces moments, il est difficile de les évoquer, parce que l'on ne sait pas toujours trouver les mots justes pour rappeler l'horreur, pour dire le chagrin de celles et ceux qui ont vécu la tragédie. Celles et ceux qui sont marqués à jamais dans leur âme et dans leur chair par le souvenir de ces journées de larmes et de honte.

Il est difficile de les évoquer, aussi, parce que ceseures noires souillent à jamais notre histoire, et sont une injure à notre passé et à nos traditions. Oui, la folie criminelle de l'occupant a été secondée par des Français, par l'Etat français.

Il y a cinquante-trois ans, le 16 juillet 1942, 450 policiers et gendarmes français, sous l'autorité de leurs chefs, répondaient aux exigences des nazis.

Ce jour-là, dans la capitale et en région parisienne, près de dix mille hommes, femmes et enfants juifs furent arrêtés à leur domicile, au petit matin, et rassemblés dans les commissariats de police.

On verra des scènes atroces : les familles déchirées, les mères séparées de leurs enfants, les vieillards - dont certains, anciens combattants de la Grande Guerre, avaient versé leur sang pour la France - jetés sans ménagement dans les bus parisiens et les fourgons de la Préfecture de Police.

On verra, aussi, des policiers fermer les yeux, permettant ainsi quelques évasions.

Pour toutes ces personnes arrêtées, commence alors le long et douloureux voyage vers l'enfer. Combien d'entre-elles ne reverront jamais leur foyer ? Et combien, à cet instant, se sont senties trahies ? Quelle a été leur détresse ?

La France, patrie des Lumières et des Droits de l'Homme, terre d'accueil et d'asile, la France, ce jour-là, accomplissait l'irréparable. Manquant à sa parole, elle livrait ses protégés à leurs bourreaux.

Conduites au Vélodrome d'hiver, les victimes devaient attendre plusieurs jours, dans les conditions terribles que l'on sait, d'être dirigées sur l'un des camps de transit - Pithiviers ou Beaune-la-Rolande - ouverts par les autorités de Vichy.

L'horreur, pourtant, ne faisait que commencer.

Suivront d'autres rafles, d'autres arrestations. A Paris et en province. Soixante-quatorze trains partiront vers Auschwitz. Soixante-seize mille déportés juifs de France n'en reviendront pas.

Nous conservons à leur égard une dette imprescriptible. »

Aujourd’hui, 15 ans après ce discours, que voyons-nous ?

Des pseudos historiens relativisent ou vont jusqu’à nier la shoah .

Nous assistons aujourd’hui à la montée d’un antisémitisme sournois qui s’abrite sous le masque pervers de l’antisionisme.

Un enseignement de l’histoire de plus en plus chahuté ; des professeurs ou des membres de l’éducation nationale refusent ou sont empêchés d’enseigner la Shoah.

Sous couvert d’humanitarisme, des partis politiques violent le droit de la République en empêchant la libre circulation et la vente de marchandises en provenance d’Israël sans aucune réaction ou presque.

Est-il normal que les lieux de Culte soient obligé d’être surveillés en permanence ?

Est-il normal qu’un citoyen français soit molesté parce qu’il porte une calotte ?

Est-il normal qu’Israël soit mis systématiquement au ban des nations ?

C’est le seul pays qui a droit à cette faveur internationale alors qu’il ne fait que se défendre contre des mouvements islamo-terroristes qui ont juré sa perte.

La délégitimation d’Israël, pays qui apporte pourtant chaque jour des bienfaits à l’humanité entière par la qualité des ses recherches scientifiques, est en marche, avec l’aide notamment de certains élus pour qui quelques voix valent bien un pacte avec le diable.

Personne ne dit ici que les actions d’Israël sont toutes parfaites et ne méritent aucune critique, les israéliens sont d’ailleurs les premiers à s’en charger. Mais quand la critique devient systématique et vire à l’obsessionnel, on est en droit de penser que l’antisionisme est bien devenu l’antisémitisme des temps modernes. Surtout quand les juifs français et européens deviennent eux-mêmes des boucs émissaires

Est-il normal, qu’afin d’exercer un chantage, des groupes islamo-terroristes enlèvent, d’autres pays, coopérateurs, journalistes, parmi lesquels, ne l’oublions pas, notre frère et concitoyen Guilad Shalit !

Guilad Shalith est rappelons-le, retenu par le Hamas depuis 1437 jours sans qu’aucune organisation n’ait jamais été autorisé à le rencontrer.

Oui, c’est vrai que dans notre pays ces réalités sont le fait de minorités agissantes vouées au radicalisme.

Il est nécessaire que les Pouvoirs Publics, dont nous connaissons la totale et entière implication pour enrayer ces phénomènes, puissent mettre ces individus et groupuscules hors d’état de nuire et à nouveau faire régner la fraternité entre tous les citoyens de notre pays..

La présence ici même de l’ensemble des représentants des différents cultes que je salue avec respect montre que nous sommes tous engagés dans le même combat.

Que notre pays la France soit toujours fidèle à ses principes et protège ses citoyens.

Je vous remercie pour votre attention.


Source : Texte diffuse par INFO’SION , Pierre Caïn
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