ATTENTION....
Cette forme d’articles n’est pas une attaque personnelle envers qui que ce soit.
Ma fonction d’emmerdeur gentil me donne le droit de relever ce que je lis avec un regard tendre de bébé cadum. Alors ne vous m’éprenez pas sur mes intentions.
Sinon, je vous laisse tous barboter dans vos marcs à café.
Toutes ressemblances avec des personnes qui se reconnaîtront n’est pas une pure coïncidence mais hélas un sentiment que je ressens.
Et que je décrits selon ma fonction. A ma façon.
Je suis votre curé béni, inspiré par vos messes quotidiennes qui font des dégâts.
Mes chers coNpatritotes,
Honorables citoyens,
Piètres et pieux fidèles juifs et non juifs,
Chers Ouailles à la bonne gouaille,
Je suis MONSEIGNEUR LELEPRE
In nominis patris culum validus fortus.
En d’autres temps, nous aurions lu un certain E.T. l’icône de la PAIX ET DE LA SAGESSE intervenir pour assainir l’atmosphère avec ces mots paternels qui font chauds au cœur et qui remettent la bonne ambiance. Hélas, le vieux singe, n’est plus là, laissant à l’abandon cette belle et verte prairie presque ensanglantée. Les mots sont durs et les grimaces vont bon train.
Sainte Pécadille priez pour nous, nous humbles pécheurs abandonnés à notre triste sort.
Notre E.T. s’est évaporé avec la bénédiction de son bon vouloir.
Revenons à un sujet plus délicat.
Brabi, même un vendredi soir, à une heure bien tardive de Shabbath Onegh, certains bien aimés ne chôment pas sur Adra.... ? C’est vous dire la passion du Merluchon. J’ignorais que le Merluchon avait tant d’importance au point de nous inonder un sacré soir par une anthologie aussi grosse que le sont mes .....Hemos. Sacré de Sacré de non d’un cigare péteux.
La vaisselle est Kacher mais le reste, reste à prouver.
C’est toujours une âme de vaisselle qui ira au ParaAAAdiIIIIce blanc juif.
Bref, ceci n’est que prétexte pour une banale entrée en matière.
Pendant quelques jours, je n’ai rien dit d’intéressant sauf que de relever quelques formules assez plaisantes venant de chez Madame de la Coutumière, de chez Monsieur Bramagobert, quelques répliques mi-figues mi-raisins de Madame la Cannoniére dont nous avons hautement apprécié ce visage à la coupe Cheveux d’ange, FARINEUX, GRACIEUX, RADIEUX, CE SOURIRE MYSTERIEUX, CE REGARD ENJOLIVEUR MMMMMMM..... ! Il ne restait plus qu’à verser quelques petites pattes blanches et bien talquées dans le faitout avec qqs gousses d’ail, une frisette de persil, un soupçon de sel, une larme de poivre doux, un zeste, le mien, de coriandre pour en faire une belle jardinière, chère à ma grand- Mère Meiha z’al. En tout cas, elle est encore glamour et surtout appétissante, enfin pas pour tout le monde. GRRRRRR.....J’aime les...... Biens en chaire.
Après tout, qu’elle age elle a hein ??.... Pas loin de 35 vieux Printemps.
(Aânda ehdiq, 68 ans ye JMAYAAAA.... ! Houtte ââliya ou l’ayoun el jraba me yahkmouh fihé, que les yeux des rats ne lui portent pas le mauvais oeil) Pour un peu je serai tombé ....De ma chaise par la beauté de MREIMA. Une vraie EMM...BELLIE.....
Franchement, ce n’est pas honteux de se voir ainsi encadrer... ????? Alors qu’on est MAMMIE DIX FOIS.... ?????
Encore passe pour moi, je suis hyper-photo-tménique, Elsa aussi enfin, mais ELLLe.... !
LA CATA....AAAAAAAAAA.... !
Je n’oublie pas aussi et SUUUUrtout de parler de Madame Sale( Elsa) les Amendes poursuivie par un certain Mongi, un Aâjeb el AïnieEEEn, alias plein de pseudos derrière son cul, qui n’a daigné lâcher sa proie de singette que sous les coups de boutoir de icelles Madame La Més-Ange de Canterburry CO et de la première citée, car faute de répliques sur Hadjeb el Ayoun, un bled perdu dans la grande dorsale Tunisienne, mal indiqué et surtout inconnu du grand public où l’on bouffait du chat à la nuit sereine, au moyen âge bien sur.
Comme à Gafsa où la chair du chien était très apprécié,il y a fort longtemps.
‘....Monsieur vous voulez nous faire souffrir par des photos de votre bled..... ?
Bref, il s’en alla dans la confusion la plus totale remettant à D ieu son triste sort de courrouce. Echappant ainsi un assassinat programmé. En tout cas, il a tenu parole, mche la queue entre les jambes.
Au moment où je presse mon article, l’individu en question a été vu sur un borrico.
L’homme et la bête n’en faisant qu’un, ils gravissent les pentes du JBEL RAS EL POUPA pas loin de EL ZBOUB EL HAFIE. Un douar perdu dans le chott El Jerid.
Revenons à nos singeons.
Bref, je croyais avoir affaire à des gens intelligents qui savent deviner et apprécier les dessous des mots lorsqu’ils sont pleins d’émotion mais comme vous êtes tous piqués par la politique
‘...Et voilà, je monte d’un cran, je descends d’un étage, et voilà que je suis en bas donc faut que je remonte, ah, je suis là ce matin..... ?? Attendez, je vais envoyer l’ascenseur, et vas y que j’ouvre une rubrique et tu en veux et bien tiens en voilà une autre... ! Ah bon.... ? Ce n’est pas suffisant... ? Attend, voilà, et vas y que j’ouvre, au lieu de fermer de temps en temps leur bec fins car le Neutr’ Ogéna en question, je ne suis pas raciste ni Maciste, nous a ému.
Oui, moi perso, il m’a ému. Je ne dirais pas jusqu’aux larmes, mais Emu vraiment ému car comme je vous le disais tout à l’heure, vous ne donnez aucune importance aux mots si doux, si tendres, ces mots choisis par DU BALAI et La Boetie , des mots qui vous font dresser les cheveux sur la tête, à défaut sur la poitrine, à défaut ....Zib Zib Zib ZERGLION...§§§§...Comme mon Zip, j’allais dire aux couilles, mal élevé que je suis... !
Ce mot Messieurs et Mesdames et bien, il vous a échappé sinon vous l’auriez relevé.
Il suffit d’un mot dit avec CONVICTION et SINCERITE pour que parfois on change d’opinion sur une personne que l’on croyait dépourvu d’amour à un âge où il s’amenuise.
MA BIEN AIME....ZEKCH.....Oui, j’ai bien lu ma BIEN AIMEE.....
’..OOOOO...Tendresse délicate....
Amour infini de mes vieux jours....
Ma grâAAAAce... ! Enfouie dans mes yeux
Le vent caresse ma langue d’ Oc
Et volent vers toi, ma chère côte
Bleue, mes mots oints aux pétales de Rose.
Mais où était-je depuis ces si longues années moroses ... ???
A pécher sous les mauvaises eaux le pâle menu fretin
Alors que vous fûtes là, pas très loin de mon harpon, gredin
Que je suis, sacripan, malotru, être aveugle, mesquin.
Et la buée de mon masque qui cachait à ma vue
Cette finesse, cette classe que je n’ai retenue.
Comme je me repends, moi, imprudent
Coureur de vermicelles, de sardines, de mollusques
Me voilà enfin délivré de vous, indignes poissons
Qui aviez gâché ma vie en vous chassant.
ÔÔÔ....ôôôô... ! MA Bien aimée ;
Pardon mille fois, enfin me voilà...!!!’
L’amour, messieurs, était là sous vos yeux et vous n’avez rien dit, vous qui relevez, archiver, tout et tout, rien et rien, tant et tant de belles choses.
L’amour, ce cri du cœur, est tombé dans mes ouies et je jouis par ce bon et beau mot.
Qui me rappelle l’époque de la CARTE DU TENDRE car le NETRO’GENA est un homme d’amour comme vous avez pu le constater depuis son entrée.
Alors soyez compatissant envers lui, lui qui nous envoie de si belles choses cousues mains mais jamais photo-copié.
'...Impies 12 fois que vous êtes,
Vous n’avez rien dans la tête.
Vous semez mille fois tempête
Mais ne savez faire la fête
Lorsque le beau devient amoureux
Il faut savoir le rendre heureux....!'