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LE PTB ET MOI ZOUZ.
Envoyé par albert
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 23 septembre 2009, 09:23 |
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 23 septembre 2009, 09:49 |
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 23 septembre 2009, 11:27 |
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 23 septembre 2009, 11:30 |
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 23 septembre 2009, 12:56 |
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20°
Clément Hassan ne retournera jamais revoir Monsieur Camus, pour la bonne raison que sa Fernande, lui demande officiellement de le remplacer derrière le comptoir. Trop fatiguée pour continuer à vaquer à ses occupations, à rester des heures debout, à servir une même clientèle avinée. Elle en parle à son Clément....
DANS LE RECIT '...GUET...' AU PTB SALLE POUPÉE.
A Suivre...
Clément Hassan ne retournera jamais revoir Monsieur Camus, pour la bonne raison que sa Fernande, lui demande officiellement de le remplacer derrière le comptoir. Trop fatiguée pour continuer à vaquer à ses occupations, à rester des heures debout, à servir une même clientèle avinée. Elle en parle à son Clément....
DANS LE RECIT '...GUET...' AU PTB SALLE POUPÉE.
A Suivre...
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 23 septembre 2009, 13:44 |
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Paris le 2/09/2004.
Tous les personnages cités dans cette nouvelle sont imaginaires. Ainsi que les faits et ne peuvent constituer un plagiat d’aucune œuvre connue.
GRRRRRRRRRRRRRRR....
AU THÉÂTRE CE SOIR.
Résumé des scènes précédente.
Madame Veuve Chartrain est assassiné dans la grand salon de Mr Chambéry, un riche châtelain. Ce dernier a réunit huit connaissances afin de fonder une association caritative. L’inspecteur Boulakia et son collègue Gilbert sont sur l’enquête. Les investigations ont commencé. Les premiers interrogatoires préliminaires sont assez vagues. Des traces de terre sont relevées sur l’escalier de service. Tous les ôtes vont être entendus.
LE TALC.
Inédit.
Acte I. Scène IV.
AU PTB BIEN SUR...LE VRAI...LE SEUL L AUTHENTIQUE...!!!!
Tous les personnages cités dans cette nouvelle sont imaginaires. Ainsi que les faits et ne peuvent constituer un plagiat d’aucune œuvre connue.
GRRRRRRRRRRRRRRR....
AU THÉÂTRE CE SOIR.
Résumé des scènes précédente.
LE TALC.
Inédit.
Acte I. Scène IV.
AU PTB BIEN SUR...LE VRAI...LE SEUL L AUTHENTIQUE...!!!!
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 23 septembre 2009, 13:51 |
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 24 septembre 2009, 04:02 |
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BREYTOU
D’après moi la Ghrama est une coutume importante qui a servi à forcer les gens a faire plus attention a la Propriété des autres dans notre société.
La malhonnêteté pourrait inciter certaines personnes de dire « je l’ai perdu ou il s’est casse »
Dans la Bible on trouve quelques lois semblables, mais par le temps cette coutume est devenue loi immuable couverte de superstition.
BRAHAM.
LA GHRAMA.
Qu’est ce que la GHRAMA… CHEZ LES JUIFS TUNISIENS ...?
Un mot ancien qui a perdu au fil du temps de son importance.
LA GHRAMA ne s’applique plus aujourd’hui dans notre société moderne.
Comment le traduire… ? Préjudice… ? Dommage… ? Compensation… ? UN DU QUI NE PEUT ÊTRE REMBOUSE… ?
De quoi s’agit t’il… ?
Si une personne commet un acte involontaire comme par exemple casser un objet de peu de valeur appartenant à autrui, le propriétaire de cet objet selon cette vieille superstition ne peut demander son remboursement de crainte qu’il soit touché par un mal sur sa personne ou sur un membre de sa famille.
On emploie donc pour cela le nom de ‘…ZAR’OUEZ… !’Ce qui veut dire SUPERSTITION.
L’adjectif superstitieux se dit ‘…M’ZAROUEZ… !’ Rajel oulle mrââ m’zarouez ( a) …Un homme ou une femme SUPERSTIEUSE. Qui croit à la superstition.
Le propriétaire de l’objet en question, par crainte d’encourir LA GHRAMA évite donc de demander le remboursement de facto. Si la valeur de l’objet est insignifiante mais qui tout de même peut être affective pour le propriétaire.
Par contre le fautif peut, si l’occasion se présente, mais rien ne l’y oblige, faire une geste compensatoire envers la victime sans qu’il soit précisé que cela se rapporte à la perte de l’objet.
Dans tous les cas, cette offrande, cette compensation ne doit jamais être invoquée envers l’autre, la victime, mais elle comprendra par là que le fautif s’acquitte de son acte involontaire. L’offrande peut dépasser la valeur de l’objet ou de même valeur approximative.
La GHRAMA ne s’applique pas si l’acte est fait volontairement, par vengeance surtout, ou à l’occasion d’une dette qui n’a pas été remboursée.
Comme le dit mon ami BRAHAM, plus haut,
‘…La malhonnêteté pourrait inciter certaines personnes de dire « je l’ai perdu ou il s’est casse »’
Et là, ce prétexte fallacieux met en porte à faux le malheureux qui, dans pareil cas, ne peut rien demander puisque la preuve du délit volontaire ou pas n’apparait pas.
On dit dans ce cas là ‘…Mchet (Mché) Kobara, ye Khouye… !’ N’en parlons plus, elle ou il ( l’objet) en question) est parti en sacrifice… !’ Une manière d’apaiser l’autre, s’il est sincère, fautif ou pas de ce dégât ou de la perte.
Aujourd’hui donc LA GHRAMA n’a plus cours, seuls les TRIBUNAUX de justice sont en mesure d’évaluer le préjudice à payer en cas de dégâts matériels importants commis par un tiers envers autrui qu’il soit juif ou pas.
D’après moi la Ghrama est une coutume importante qui a servi à forcer les gens a faire plus attention a la Propriété des autres dans notre société.
La malhonnêteté pourrait inciter certaines personnes de dire « je l’ai perdu ou il s’est casse »
Dans la Bible on trouve quelques lois semblables, mais par le temps cette coutume est devenue loi immuable couverte de superstition.
BRAHAM.
Qu’est ce que la GHRAMA… CHEZ LES JUIFS TUNISIENS ...?
Un mot ancien qui a perdu au fil du temps de son importance.
LA GHRAMA ne s’applique plus aujourd’hui dans notre société moderne.
Comment le traduire… ? Préjudice… ? Dommage… ? Compensation… ? UN DU QUI NE PEUT ÊTRE REMBOUSE… ?
De quoi s’agit t’il… ?
Si une personne commet un acte involontaire comme par exemple casser un objet de peu de valeur appartenant à autrui, le propriétaire de cet objet selon cette vieille superstition ne peut demander son remboursement de crainte qu’il soit touché par un mal sur sa personne ou sur un membre de sa famille.
On emploie donc pour cela le nom de ‘…ZAR’OUEZ… !’Ce qui veut dire SUPERSTITION.
L’adjectif superstitieux se dit ‘…M’ZAROUEZ… !’ Rajel oulle mrââ m’zarouez ( a) …Un homme ou une femme SUPERSTIEUSE. Qui croit à la superstition.
Le propriétaire de l’objet en question, par crainte d’encourir LA GHRAMA évite donc de demander le remboursement de facto. Si la valeur de l’objet est insignifiante mais qui tout de même peut être affective pour le propriétaire.
Par contre le fautif peut, si l’occasion se présente, mais rien ne l’y oblige, faire une geste compensatoire envers la victime sans qu’il soit précisé que cela se rapporte à la perte de l’objet.
Dans tous les cas, cette offrande, cette compensation ne doit jamais être invoquée envers l’autre, la victime, mais elle comprendra par là que le fautif s’acquitte de son acte involontaire. L’offrande peut dépasser la valeur de l’objet ou de même valeur approximative.
La GHRAMA ne s’applique pas si l’acte est fait volontairement, par vengeance surtout, ou à l’occasion d’une dette qui n’a pas été remboursée.
Comme le dit mon ami BRAHAM, plus haut,
‘…La malhonnêteté pourrait inciter certaines personnes de dire « je l’ai perdu ou il s’est casse »’
Et là, ce prétexte fallacieux met en porte à faux le malheureux qui, dans pareil cas, ne peut rien demander puisque la preuve du délit volontaire ou pas n’apparait pas.
On dit dans ce cas là ‘…Mchet (Mché) Kobara, ye Khouye… !’ N’en parlons plus, elle ou il ( l’objet) en question) est parti en sacrifice… !’ Une manière d’apaiser l’autre, s’il est sincère, fautif ou pas de ce dégât ou de la perte.
Aujourd’hui donc LA GHRAMA n’a plus cours, seuls les TRIBUNAUX de justice sont en mesure d’évaluer le préjudice à payer en cas de dégâts matériels importants commis par un tiers envers autrui qu’il soit juif ou pas.
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 24 septembre 2009, 04:58 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 11 161 |
Je m’instruis encore et encore de toutes choses.
En feuilletant mon canard le FIGARO, mon quotidien matinal, le MONDE celui du soir et l'Enchainé DU MERCREDI, je lis en pages intérieures, les extérieures sont faites pour être en premières pages, qu’un monsieur BCBG commercialise par le biais de sa société ce qu’on appelle ‘…COMMENT ABORDER UNE FEMME… OU UN HOMME !' En clair DRAGUER.
Cela s’adresse bien sur aux hommes timides ou réservées, complexés, ainsi aux femmes de même condition, qui n’osent malheureusement, pour plusieurs raisons, aborder une future compagnie.
Sauf pour les animaux bien sur.
J’en parle parce que mon travail entre autre me fait découvrir combien de femmes et d’hommes de toutes les couleurs, me demandent des produits d’ATTIRANCE. Parce que me disent t’ils ou me disent t’elles…’ Albert, comment faire pour CHARMER un homme ou une femme… ?’
ET moi le CHARME EN TOUT GENRE CA ME CONNAIT.
Donc ils, elles me demandent de les secourir par le biais de la MAGIE.
Et comme je suis le ROI DES MAGICIENS EN OR, je leur fourgue un tas de poudres, de lotions etc…Pour soulager leur phantasme. Et dés fois ca marche...…Après 10 ans de MIXTURE.
Donc, fort de ce principe qu’il faut OSER pour SE POSER EN DRAGUEUR, j’apprends s qu’il faut user de NATUREL, DE SIMPLICITÉ, de JAUGER la FUTURE VICTIME EN QUESTION, avec beaucoup de tact ET D'INTELLIGENCE SURTOUT.Donc paraitre COOL surtout envers les DAMES, ou DEMOISELLES.
POUR LES VIEILLES, elles tombent comme des fruits murs.
User du RIRE. Le rire est LA CLÉ DU SUCCÈS. Les timides l’ignorent.
Donc, je me suis inscrit à ces cours et j’en suis sorti GRANDI.
Plus grand que FREDDO devant le seuil de sa maison. PRIX DE 6 SÉANCES….1500 €. Une bagatelle et ca vaut le coup.
Sans perdre de temps, je m’installe dans mon wagon de métro, avec le CANARD ENCHAINE ouvert comme un SEFFER TORA. A ma droite, une très jolie FEMME. 25 ans d’après sa denture.LÈVRES RETROUSSEES...NEZ RABOTTE...SEINS MASTIQUES...Etc...
Vraiment belle, à rendre timide les plus timides des hommes mais comme j’ai fais des cours, ma timidité s’est évaporée sur le champ.
La jeune dame, sans m’aborder, jette un coup d’œil furtif sur ma page intérieure.
Je m’en aperçois et là, je flaire le bon coup.
‘…Vous vous rendez compte…GISCARD ET DIANA… ? Une idylle qui aurait cru cela… ?’
‘…C’est presque du PEOPLE… !’
‘…Quand même… ! Un président qui se met à table, qui réssurgit et fait parler de lui si habilement…. !’
‘…Vous savez aujourd’hui… ! Monsieur… !
‘…Jérôme… !’
‘….Eloïse… !’
‘…Enchanté… ! Tout est bon pour sortir de l’oubli… !’
‘…C’est un pavé dans la marre qu’il lance dans une COUR ROYALE… !’
‘…Ah pour être ROYALE, ce pavé vaut son pesant d’or… !’
‘…Surtout lorsqu’on connait la pudeur des anglais… !’ Elle.
‘…Pudeur… ! Pudeur… !’ Vous oubliez les frasques de CHARLES POPEYE AVEC SON OLIVE… !’
‘…La pipe lui coute peut être sa COURONNE… !’
‘…Et ses échanges mal sains surpris par le MI5.. !’
‘…C’est inadmissible… ! ‘ Elle.
‘…Ils auraient pu quand même se couvrir ces deux là… ! Être plus discrets dans leurs conversations intimes… ! ÊTRE DANS SA CULOTTE… ! Vraiment… !’ MOI.
‘…Si elle en porte… !’
‘…Aahahah… ! C’est le pire que l’on puisse entendre… ! Comme on dit chez nous à MATMATA ‘…LA HONTE VIENT TOUJOURS DU SOMMET… ! Pauvre DIANA… !’ Moi.
‘…Si belle si élègante… !’
‘…Si SAINTE NITOUCHE, tu ne trouves pas Eloïse… ? LA CAMIGLIA pour sur que…Hein… ! ’
‘…Oui Jérôme n’en dis pas plus … ! Cela me rappelle une histoire concernant ma famille, mon oncle un noble, mais vieux célibataire qui s’est amouraché d’une roturière, balayant d’un revers de manche tous ses héritiers… Et bien, tu sais quoi… ? Elle l’a soumise à tous ces caprices… ! Au point de l’avoir délesté de presque tous ses biens… ! Ô zut ma station, tiens voilà mon portable, appelle moi, je te raconterai la suite en sirotant ensemble un café… !’
Elle me donne son portable.
Deux jours plus tard.
‘…Allo Eloïse… ?’
‘…Oui… ?’
‘…C’est Jérôme, c’est pour la suite si tu veux bien… !’
‘…Ah non Jérôme, je suis désolée, je m’apprêtais à chercher mes trois jumeaux à la crèche avec mon mari… !’
‘…Alors bonne chance… !’
Voilà ca c’est du béton. Grâce au CANARD, j’ai fais FLOP. Moi le GRAND JERO...MIMO.
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 24 septembre 2009, 09:28 |
Membre depuis : 18 ans Messages: 4 016 |
La frontière qui interdit aux femmes de passer chez les hommes, consiste en un long rideau de toile dans la syna De Charenton.
Le grand Gymnase est transformé en une salle de prières, remplaçant ainsi depuis quelques années Le THÉÂTRE DES DEUX RIVES de cette même ville.
Ce rideau blanc et transparent permet aux époux de saluer leur famille.
Moins confortable que ce dernier, mais plus spacieux, il peut accueillir jusqu’à 3000 personnes environ.
Les premières rangées, à droite et à gauche de l’entrée des sportifs religieux, sont réservées. Dans les premiers temps au début de son ouverture, on en comptait 20 sur les 40, des deux cotés.
A présent, seules les trois dernières sont libres et anonymes/ elles et ne portent aucun nom de famille.
Chez les dames, la plupart des rangées sont payantes.
La téba fait face aux quatre grands battants amovibles.
Le tabernacle est juste à gauche de l’entrée.
L’ambiance est conviviale et presque tout le monde se connait et se salue.
Le premier soir, il n’y a pas grand monde et l’air circule sous les remarques de Madame SAADA, allah lei yectala ââda, la sentinelle qui s’égosille pour imposer l’ordre et remettre à juste raison, les ‘indisciplinés’. Hélas, les juifs étant ce qu’ils sont, ils resteront toujours les meilleurs ‘bruiteurs’ dans les synagogues des sefarades.
C’est de tradition et sans cela, les offices manquent de peps.
On verra toujours nos petites têtes brunes et blondes courir d’entre les allées. Se frayant un passage pendant les amidots. Lââda. Je verrais le mien en faire autant et malheur à celui qui lui fera une remarque. Je le bouffe avec son livre de prière.
Certains adolescents font mieux, ils enjambent les rangées pour aller rejoindre le père afin de ne pas déranger les pieux.
Le silence dans nos lieux de culte tient du miracle et comme les miracles sont rarissimes, cette année encore nous aurons le grand privilège d’entendre hurler Madame SÂÂDA ET EPOUX, toutes les heures, houspiller les ‘femmes indolentes’ qui rechignent à retenir leur progéniture casse cou qui s’en donne à cœur joie en bravant les rubans rouges de sécurité, ceux là même qui interdisent d’aller se répandre dans les gradins bleus.
Le lendemain, dés que le SHOFFAR se fait entendre, certains jeunes trop pressés de casse la croute, n’hésiteront pas à sortir leur petit boulou*,(gâteau oriental) recouvert de papier alu, de la poche, histoire de se faire remonter le ventre sans les bretelles.
La porte de sortie est prise d’assaut et les femmes cherchent leur poussette dans une cacophonie indescriptible.
Les mêmes échanges à chaque sortie du jeun ‘…Ah cette année, je n’ai rien senti… !’
A la Goulette, je m’en souviens encore, je faisais la tournée, avant de rentrer chez moi, des embrassades et des passations des vœux. Je connaissais toutes les familles et respect oblige, je respectais la coutume.
A Charenton, je ne connais personne sauf mes enfants.
Ce qui me dispense de tout ce cérémonial, et surtout il me fait gagner du temps pour me restaurer rapidement.
Et puis comme le veut la tradition aussi ‘…Rabi Le i naqess sghair, hatte fi béjoulét omou… !’
Que D ieu épargne nos enfants et nos bébés de tout malheur… !’ Amen.
En attendant, je vous souhaite à tous nos VRAIS JUIFS de passer un EXCELLENT KIPPOUR.
Comme ‘…LE VEUT VOTRE CŒUR.. !’ Traduisez en judéo… !’
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