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Antisemitisme
Envoyé par sarel
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Re: Antisemitisme 13 mai 2011, 14:46 |
Des passerelles à l'antisémitisme Chavez et BDS France - Le radam indépendant - 12 mai 2011
Dans la foulée de l'incident flottille de Gaza le 31 mai 2010, le président Hugo Chavez et son appareil gouvernemental ont une fois de plus recours à des allégations anti-sioniste, y compris les fausses théories du complot à propos d'Israël.
Pour le régime de Chavez, il ne suffit pas de rompre les relations diplomatiques avec l'Etat d'Israël en 2009. Cette fois, M. Chavez a diffusé à la télévision nationale que le Mossad veut le tuer, ranted que «l'Etat génocidaire d'Israël" finances de l'opposition vénézuélienne, et maudit l'État d'Israël, en disant: «Je tiens à condamner avec du fond de mon âme , du fond de mes tripes: État d'Israël! Damn Damn vous terroristes et assassins! vous "
Chavez essaie de se vacciner contre les accusations d'antisémitisme par cyniquement affirmer qu'il n'est pas contre les Juifs. «Ils m'accusent d'être un ennemi des Juifs ... Ils savent qu'ils ont toute notre affection et respect ... je doute fort qu'un Juif Venezuela soutiendrait une atrocité comme celle-là [perpétrés par Israël]." Ce stratagème pour inciter les Juifs du Venezuela de se prononcer contre Israël est une tentative à peine voilée à intimider, qui ouvre la porte à l'antisémitisme contre la communauté juive locale s'ils ne parviennent pas à répondre à l'appel de Chavez.
Vénézuélienne, Nicolas Maduro, ministre des Affaires étrangères est allé encore plus loin, remettant en question la loyauté des juifs du Venezuela en tentant de leur coin en dénonçant les déclarations auraient été faites par un responsable israélien et en les rendant côté le point de vue du gouvernement.En outre, Maduro a décrit un scénario par lequel toute attaque potentielle au Venezuela ou à sa communauté juive peut être attribuée à le Mossad israélien - une théorie du complot similaire à celui habituellement utilisé par les antisémites qui prétendent les Juifs et Israël étaient derrière les attentats terroristes tels que l'attaque 1994 AMIA à Buenos Aires ou même 9 / 11. En outre, le site Web de l'ambassade du Venezuela dans les postes des États-Unis déclarations Maduro en appelant l'Etat d'Israël un «soi-disant« État.
Depuis l'affaire de la flottille, il n'ya pas eu d'agressions physiques contre des juifs ou des institutions juives. Néanmoins, la communauté juive au Venezuela a été saisi d'une augmentation des incidents antisémites dans la dernière décennie, a permis par l'environnement hostile créé par le gouvernement et ses médias.
Les deux raids perpétrés par le gouvernement contre le complexe communauté juive en 2004 et 2007 n'ont pas encore été expliqué. L'enquête de l'attaque contre la synagogue Tiferet Israël par un gang violent antisémite en 2009 a manqué de force probante. Graffitis anti-juive écrits sur les murs des institutions juives et les entreprises appartenant à des Juifs ont été ignorées par le gouvernement. Le discours antisémite dans les médias contrôlés par le gouvernement n'est pas contestée.
Avant de prendre la parole de Chavez au pouvoir au Venezuela, des sentiments antisémites ont été négligeables. Actuel de l'antisémitisme dans ce pays est, par essence, un sous-produit de l'hostilité du gouvernement a envers l'État d'Israël.
Cette hostilité est liée à l'agrément Chavez avec le président iranienMahmoud Ahmadinejad , dont l'antipathie enversIsraëlet le peuple juif, et le parrainage des groupes terroristes est bien documentée. En outre, la proximité du régime de Chavez avec la Syrie, un autre Etat considéré par les Etats-Unis en tant que sponsor de la terreur, de préciser le régime des préférences de géopolitique bolivarienne du. du soutien de Chavez pour certains islamistes radicaux et les effets sur la communauté juive locale a également été documentée dans les rapports précédents par l'Anti-Defamation League.
Le gouvernement vénézuélien a souvent recours à des théories du complot bouc émissaire et blâmer les «autres» et les présenter comme un ennemi de la Révolution bolivarienne du Venezuela, afin de détourner l'attention des problèmes locaux. Si les objectifs sont les gouvernements de «l'empire américain", Israël, la Colombie ou la totalité de ce qui précède, le régime de Chavez concocte fausses allégations dont les plantes semences haineux dans l'esprit des partisans du gouvernement et certains d'entre eux de prendre ses repères en tant que carte blanche pour vilipender ces prétendus ennemis.
Cette diffamation est particulièrement présent dans les médias gérés par le gouvernement et la dite "alternative" les médias dirigés par des sympathisants du gouvernement qui sont intimement liées avec l'appareil gouvernemental.
Plus particulièrement, le site Web Aporrea.org, dont le fondateur et webmaster jusqu'en Février 2009 a été Martin Sanchez, le Venezuela et le consul général de San Francisco, est un forum gênant pour antisémite sentiments anti, rempli de stéréotypes qui rappelle les Juifs de la fictionProtocoles des Sages de Sion .
En plus des médias, la majorité des rassemblements anti-israéliens qui ont eu lieu au Venezuela entourant l'affaire flottille ont été parrainés, organisée ou annoncées par le gouvernement. En conséquence, la rhétorique anti-sémites et les comparaisons nazis présents à ces manifestations témoignent de la complicité du gouvernement.
Ce rapport met en lumière la façon dont la rhétorique anti-sioniste entourant l'affaire flottille de Gaza crachés par Chavez et ses cohortes a permis sympathisants du gouvernement vénézuélien de porter à l'avant-garde de leurs canards antisémites.
une extrême partialité Le gouvernement vénézuélien a vis-à-vis du conflit au Moyen-Orient a une fois de plus ouvert la porte à l'utilisation de vieux stéréotypes antisémites tels que le contrôle sioniste de gouvernement, les médias et les finances, les revendications des Juifs comme assassins du Christ », «appels à boycotter les entreprises qui auraient été détenues par des Juifs, et l'utilisation de l'imagerie nazie pour décrire l'État juif.
Une fois de plus, un environnement de sentiment anti-sioniste en ondes liées au gouvernement vénézuélien est en train Juifs en danger.
Source :
Anti-Defamation League - traduction de l'anglais
Dans la foulée de l'incident flottille de Gaza le 31 mai 2010, le président Hugo Chavez et son appareil gouvernemental ont une fois de plus recours à des allégations anti-sioniste, y compris les fausses théories du complot à propos d'Israël.
Pour le régime de Chavez, il ne suffit pas de rompre les relations diplomatiques avec l'Etat d'Israël en 2009. Cette fois, M. Chavez a diffusé à la télévision nationale que le Mossad veut le tuer, ranted que «l'Etat génocidaire d'Israël" finances de l'opposition vénézuélienne, et maudit l'État d'Israël, en disant: «Je tiens à condamner avec du fond de mon âme , du fond de mes tripes: État d'Israël! Damn Damn vous terroristes et assassins! vous "
Chavez essaie de se vacciner contre les accusations d'antisémitisme par cyniquement affirmer qu'il n'est pas contre les Juifs. «Ils m'accusent d'être un ennemi des Juifs ... Ils savent qu'ils ont toute notre affection et respect ... je doute fort qu'un Juif Venezuela soutiendrait une atrocité comme celle-là [perpétrés par Israël]." Ce stratagème pour inciter les Juifs du Venezuela de se prononcer contre Israël est une tentative à peine voilée à intimider, qui ouvre la porte à l'antisémitisme contre la communauté juive locale s'ils ne parviennent pas à répondre à l'appel de Chavez.
Vénézuélienne, Nicolas Maduro, ministre des Affaires étrangères est allé encore plus loin, remettant en question la loyauté des juifs du Venezuela en tentant de leur coin en dénonçant les déclarations auraient été faites par un responsable israélien et en les rendant côté le point de vue du gouvernement.En outre, Maduro a décrit un scénario par lequel toute attaque potentielle au Venezuela ou à sa communauté juive peut être attribuée à le Mossad israélien - une théorie du complot similaire à celui habituellement utilisé par les antisémites qui prétendent les Juifs et Israël étaient derrière les attentats terroristes tels que l'attaque 1994 AMIA à Buenos Aires ou même 9 / 11. En outre, le site Web de l'ambassade du Venezuela dans les postes des États-Unis déclarations Maduro en appelant l'Etat d'Israël un «soi-disant« État.
Depuis l'affaire de la flottille, il n'ya pas eu d'agressions physiques contre des juifs ou des institutions juives. Néanmoins, la communauté juive au Venezuela a été saisi d'une augmentation des incidents antisémites dans la dernière décennie, a permis par l'environnement hostile créé par le gouvernement et ses médias.
Les deux raids perpétrés par le gouvernement contre le complexe communauté juive en 2004 et 2007 n'ont pas encore été expliqué. L'enquête de l'attaque contre la synagogue Tiferet Israël par un gang violent antisémite en 2009 a manqué de force probante. Graffitis anti-juive écrits sur les murs des institutions juives et les entreprises appartenant à des Juifs ont été ignorées par le gouvernement. Le discours antisémite dans les médias contrôlés par le gouvernement n'est pas contestée.
Avant de prendre la parole de Chavez au pouvoir au Venezuela, des sentiments antisémites ont été négligeables. Actuel de l'antisémitisme dans ce pays est, par essence, un sous-produit de l'hostilité du gouvernement a envers l'État d'Israël.
Cette hostilité est liée à l'agrément Chavez avec le président iranienMahmoud Ahmadinejad , dont l'antipathie enversIsraëlet le peuple juif, et le parrainage des groupes terroristes est bien documentée. En outre, la proximité du régime de Chavez avec la Syrie, un autre Etat considéré par les Etats-Unis en tant que sponsor de la terreur, de préciser le régime des préférences de géopolitique bolivarienne du. du soutien de Chavez pour certains islamistes radicaux et les effets sur la communauté juive locale a également été documentée dans les rapports précédents par l'Anti-Defamation League.
Le gouvernement vénézuélien a souvent recours à des théories du complot bouc émissaire et blâmer les «autres» et les présenter comme un ennemi de la Révolution bolivarienne du Venezuela, afin de détourner l'attention des problèmes locaux. Si les objectifs sont les gouvernements de «l'empire américain", Israël, la Colombie ou la totalité de ce qui précède, le régime de Chavez concocte fausses allégations dont les plantes semences haineux dans l'esprit des partisans du gouvernement et certains d'entre eux de prendre ses repères en tant que carte blanche pour vilipender ces prétendus ennemis.
Cette diffamation est particulièrement présent dans les médias gérés par le gouvernement et la dite "alternative" les médias dirigés par des sympathisants du gouvernement qui sont intimement liées avec l'appareil gouvernemental.
Plus particulièrement, le site Web Aporrea.org, dont le fondateur et webmaster jusqu'en Février 2009 a été Martin Sanchez, le Venezuela et le consul général de San Francisco, est un forum gênant pour antisémite sentiments anti, rempli de stéréotypes qui rappelle les Juifs de la fictionProtocoles des Sages de Sion .
En plus des médias, la majorité des rassemblements anti-israéliens qui ont eu lieu au Venezuela entourant l'affaire flottille ont été parrainés, organisée ou annoncées par le gouvernement. En conséquence, la rhétorique anti-sémites et les comparaisons nazis présents à ces manifestations témoignent de la complicité du gouvernement.
Ce rapport met en lumière la façon dont la rhétorique anti-sioniste entourant l'affaire flottille de Gaza crachés par Chavez et ses cohortes a permis sympathisants du gouvernement vénézuélien de porter à l'avant-garde de leurs canards antisémites.
une extrême partialité Le gouvernement vénézuélien a vis-à-vis du conflit au Moyen-Orient a une fois de plus ouvert la porte à l'utilisation de vieux stéréotypes antisémites tels que le contrôle sioniste de gouvernement, les médias et les finances, les revendications des Juifs comme assassins du Christ », «appels à boycotter les entreprises qui auraient été détenues par des Juifs, et l'utilisation de l'imagerie nazie pour décrire l'État juif.
Une fois de plus, un environnement de sentiment anti-sioniste en ondes liées au gouvernement vénézuélien est en train Juifs en danger.
Source :
Anti-Defamation League - traduction de l'anglais
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Re: Antisemitisme 23 mai 2011, 04:27 |
RTL Belgique: toujours la même hargne contre Israël - 22 mai 2011
Comme la RTBF, l'autre chaîne belge francophone RTL fait preuve d'une grande férocité contre Israël et d'une grande sollicitude envers les Palestiniens. Malgré l'incroyable frénésie que lui inspire l'affaire DSK - décortiquée en long et en large et se targuant d'"en donne tous les détails" sur son site - RTL n'oublie pas Israël. Oh que non!
"Dit-on"
Le JT du 20 mai s'est intéressé au discours du Président Barack Obama sur les frontières de 1967 et à la réaction en Israël. Grâce à un habile montage assorti de commentaires négatifs, le journaliste Jean-Pierre Martin présente Israël comme un pays d'extrémistes. Par contre pas un mot sur le Hamas ni sur le terrorisme qui a des ramifications jusqu'en Europe. Et il affirme :
"Benjamin Netanyahou est, dit-on, prêt à tout pour empêcher la réélection du Président américain..."
Un "on dit" qui sert à faire entendre sa propre opinion ou perception par l’évocation d’une rumeur, existante ou créée pour les besoins de la cause.
Faisait-il référence aux propos du ministre Karel De Gucht sur le "[pouvoir du] lobby juif à Capitol Hill, le parlement américain. C'est groupe le mieux organisé de pression qui y existe. En d'autres termes, il ne faut pas sous-estimer l'emprise du lobby juif sur la politique américaine"?.
Propos appuyés par Le Soir: "Karel De Gucht brave les tabous." "Faut-il dire tout haut ce que tout le monde pense tout bas ?"
Continuer à agiter de vieilles lunes comme le lobby juif dont l’action de l’administration américaine montre précisément les limites est intellectuellement malhonnête.
Sur un autre registre, mais dans le même esprit, le journal norvégien Aftenposten titre : Des Juifs riches menacent Obama. (Aftenposten: ‘Rich Jews threaten Obama’)
Qui tire les ficelles ?
Source : [philosemitismeblog.blogspot.com]
Comme la RTBF, l'autre chaîne belge francophone RTL fait preuve d'une grande férocité contre Israël et d'une grande sollicitude envers les Palestiniens. Malgré l'incroyable frénésie que lui inspire l'affaire DSK - décortiquée en long et en large et se targuant d'"en donne tous les détails" sur son site - RTL n'oublie pas Israël. Oh que non!
"Dit-on"
Le JT du 20 mai s'est intéressé au discours du Président Barack Obama sur les frontières de 1967 et à la réaction en Israël. Grâce à un habile montage assorti de commentaires négatifs, le journaliste Jean-Pierre Martin présente Israël comme un pays d'extrémistes. Par contre pas un mot sur le Hamas ni sur le terrorisme qui a des ramifications jusqu'en Europe. Et il affirme :
"Benjamin Netanyahou est, dit-on, prêt à tout pour empêcher la réélection du Président américain..."
Un "on dit" qui sert à faire entendre sa propre opinion ou perception par l’évocation d’une rumeur, existante ou créée pour les besoins de la cause.
Faisait-il référence aux propos du ministre Karel De Gucht sur le "[pouvoir du] lobby juif à Capitol Hill, le parlement américain. C'est groupe le mieux organisé de pression qui y existe. En d'autres termes, il ne faut pas sous-estimer l'emprise du lobby juif sur la politique américaine"?.
Propos appuyés par Le Soir: "Karel De Gucht brave les tabous." "Faut-il dire tout haut ce que tout le monde pense tout bas ?"
Continuer à agiter de vieilles lunes comme le lobby juif dont l’action de l’administration américaine montre précisément les limites est intellectuellement malhonnête.
Sur un autre registre, mais dans le même esprit, le journal norvégien Aftenposten titre : Des Juifs riches menacent Obama. (Aftenposten: ‘Rich Jews threaten Obama’)
Qui tire les ficelles ?
Source : [philosemitismeblog.blogspot.com]
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Re: Antisemitisme 29 mai 2011, 14:20 |
A peine 70 ans pour voir renaître les bibliothèques Judenrein d’Europe - Par Amos Lerah – JSSNews - 29 mai 2011
L’histoire honteuse de l’autodafé des livres juifs ne s’est donc pas terminée avec la seconde guerre mondiale. Il aura fallu de quelques décennies pour que le monde occidental ignore les réminiscences de sa haine antisémite. Les Écossais ont repris le flambeau et personne ne s’en émeut.
Le premier autodafé occidental daté remonte à il y a presque 1.000 ans. Le pape Grégoire IX, en 1239, avait appelé à brûler les Talmud. 80 ans plus tard, à Toulouse, l’Inquisition catholique brûle les livres de Rachi en 1319. A Venise, 1.000 exemplaires du Talmud ont été détruits dans des évènements identiques.
Au cours du printemps allemand de 1933, les étudiants, professeurs et bibliothécaires ont travaillé sur une liste de livres “dégénérés” juifs. La liste comprenait Stefan Zweig, Erich Maria Remarque, Thomas Mann et Heinrich Heine, dont la conversion au christianisme n’a pas essuyé la tâche du Juif. Dans le plus grand événement organisé en périphérie de Berlin, 18.000 livres juifs ont été détruits.
La haine contre l’intellectualisme orgiaque israélien a récemment sorti une fois de plus sa tête hideuse de l’eau du Loch Ness. Dans le plus grand calme, sans la moindre contestation l’Écosse vient donc d’interdire des livres dans les bibliothèques publiques, avec pour seul motif que ce sont des Juifs israéliens qui en sont les auteurs (car les musulmans israéliens ne sont pas interdits).
Partout à travers l’Europe coule à présent une rivière d’argent du sang qui incite au boycott contre les Juifs et ce sont bien souvent les journalistes et des universitaires les premiers bénéficiaires. Voici quelques exemples : La nouvelle flottille pro-Hamas a tenu sa première conférence dans le bâtiment de l’Association des Journalistes de Rome. A Oslo, des centaines de personnalités du monde culturel viennent de promouvoir le boycott des Juifs d’Israël. Il est impossible de faire une liste exhaustive des actions économiques à l’encontre d’Israël, avec du venin anti-juif aussi puissant que celui du pire des serpents à sonnette.
Le processus dé-légitimation d’Israël, qui a commencé avec les Soviétiques, continue donc sa course petit à petit avec par exemple, un éditorial dans The Guardian intitulé « Israël n’a aucun droit d’exister ». La semaine dernière, le célèbre réalisateur danois Lars von Trier défini Israël « une douleur dans le cul ».
Toutefois, la décision des buveurs de Whisky est une première. C’est la première fois qu’une région européenne est officiellement purifiée de la présence de livres juifs depuis 70 ans. Les bibliothèques judenrein en Écosse sont un nouvel exemple du dicton d’Heinrich Heine qui dit que « là où on brûle des livres, à la fin ce sont les hommes que l’on brûlera ».
L’hiver dernier, les terroristes de Gaza ont lancé des obus au phosphore contre des civils israéliens. Ce sont des armes chimiques capables de brûler la peau de l’homme. La presse internationale et les stations de télévision n’ont pas rapportées les nouvelles. En effet, la peau brûlée des juifs n’a jamais été d’un grand intérêt pour l’occident.
L’histoire honteuse de l’autodafé des livres juifs ne s’est donc pas terminée avec la seconde guerre mondiale. Il aura fallu de quelques décennies pour que le monde occidental ignore les réminiscences de sa haine antisémite. Les Écossais ont repris le flambeau et personne ne s’en émeut.
Le premier autodafé occidental daté remonte à il y a presque 1.000 ans. Le pape Grégoire IX, en 1239, avait appelé à brûler les Talmud. 80 ans plus tard, à Toulouse, l’Inquisition catholique brûle les livres de Rachi en 1319. A Venise, 1.000 exemplaires du Talmud ont été détruits dans des évènements identiques.
Au cours du printemps allemand de 1933, les étudiants, professeurs et bibliothécaires ont travaillé sur une liste de livres “dégénérés” juifs. La liste comprenait Stefan Zweig, Erich Maria Remarque, Thomas Mann et Heinrich Heine, dont la conversion au christianisme n’a pas essuyé la tâche du Juif. Dans le plus grand événement organisé en périphérie de Berlin, 18.000 livres juifs ont été détruits.
La haine contre l’intellectualisme orgiaque israélien a récemment sorti une fois de plus sa tête hideuse de l’eau du Loch Ness. Dans le plus grand calme, sans la moindre contestation l’Écosse vient donc d’interdire des livres dans les bibliothèques publiques, avec pour seul motif que ce sont des Juifs israéliens qui en sont les auteurs (car les musulmans israéliens ne sont pas interdits).
Partout à travers l’Europe coule à présent une rivière d’argent du sang qui incite au boycott contre les Juifs et ce sont bien souvent les journalistes et des universitaires les premiers bénéficiaires. Voici quelques exemples : La nouvelle flottille pro-Hamas a tenu sa première conférence dans le bâtiment de l’Association des Journalistes de Rome. A Oslo, des centaines de personnalités du monde culturel viennent de promouvoir le boycott des Juifs d’Israël. Il est impossible de faire une liste exhaustive des actions économiques à l’encontre d’Israël, avec du venin anti-juif aussi puissant que celui du pire des serpents à sonnette.
Le processus dé-légitimation d’Israël, qui a commencé avec les Soviétiques, continue donc sa course petit à petit avec par exemple, un éditorial dans The Guardian intitulé « Israël n’a aucun droit d’exister ». La semaine dernière, le célèbre réalisateur danois Lars von Trier défini Israël « une douleur dans le cul ».
Toutefois, la décision des buveurs de Whisky est une première. C’est la première fois qu’une région européenne est officiellement purifiée de la présence de livres juifs depuis 70 ans. Les bibliothèques judenrein en Écosse sont un nouvel exemple du dicton d’Heinrich Heine qui dit que « là où on brûle des livres, à la fin ce sont les hommes que l’on brûlera ».
L’hiver dernier, les terroristes de Gaza ont lancé des obus au phosphore contre des civils israéliens. Ce sont des armes chimiques capables de brûler la peau de l’homme. La presse internationale et les stations de télévision n’ont pas rapportées les nouvelles. En effet, la peau brûlée des juifs n’a jamais été d’un grand intérêt pour l’occident.
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Re: Antisemitisme 03 juin 2011, 16:08 |
Portugal : l’or des Juifs de la Shoah pour sauver l’économie ?? - Par Shraga Blum - 3 juin 2011
Le « Wall Street Journal » révèle une histoire qui pourrait bien faire beaucoup de bruit prochainement. Les autorités du Portugal, dont l’économie se trouve dans une situation catastrophique, envisageraient d’utiliser un « trésor enfoui » dans leurs banques et leur mémoire, l’or volé par les nazis et déposé au Portugal lors de la 2e Guerre mondiale.
Durant la Shoah, le Portugal gouverné par le général Salazar, d’idéologie fasciste, avait adopté une politique officiellement neutre. Mais en réalité le gouvernement de l’époque adopta une attitude ambigüe : d’un côté, il permit au Royaume Uni et aux Etats-Unis d’utiliser ses bases aériennes des Açores, mais entretint durant toutes ces années des relations commerciales fructueuses avec l’Allemagne nazie.
C’est dans ce cadre que ce pays, comme l’Espagne et la Suisse devint un abri pour l’or nazi, volé dans les banques des pays conquis, mais dont une bonne partie appartenait à des Juifs. Les deux pays ibériques détenaient un métal très convoité pour les usines de guerre allemandes, le « Wolfram », et ils livrèrent de grandes quantités de cette matière première aux Allemands contre de l’or. On estime que Lisbonne fut le 2e bénéficiaire de ces réserves d’or après Berne en Suisse, et que les quantités d’or acquises par le gouvernement Salazar avoisinaient les 400 tonnes, soit aujourd’hui une valeur 18 milliards d’euros ! Avant d’arriver au Portugal, cet or aurait transité par la France, avec les bons soins du gouvernement de Vichy, avant d’être amené par voie ferrée à travers les Pyrénées. Après la guerre, une partie de cet or aurait servi à rénover le sanctuaire de Fatima, lieu vénéré des catholiques ! Aujourd’hui, ces lingots frappés de la croix gammée sont entreposés dans les coffres d’un « lieu sûr », dans une rue qui a été appelée à cet effet… « La Voix dorée » !
Le Portugal est aujourd’hui considéré par les spécialistes comme « le pays qui prend le chemin de la Grèce et qui menace toute la zone financière de l’euro », et les pays de l’UE ont déjà discuté de l’éventualité d’accorder une aide de 78 milliards d’euro pour sauver le Portugal de la faillite.
Mais au début du mois de juin, un membre du parlement allemand (l’Allemagne était déjà réticente à l’injection d’argent en Grèce) a fait cette déclaration surprenante : « Avant de recevoir des aides de l’UE, le Portugal ferait mieux de vendre son ‘trésor familial’ et notamment ses importantes réserves d’or, afin d’éponger ses dettes ». Le député du Bundestag spécifiait ainsi « que l’Allemagne serait prête à racheter l’or portugais ».
Le « Wall Street Journal » révèle que cette proposition est « hautement problématique, car en l’occurrence il s’agirait que les Allemands rachètent de l’or que leurs pères ont volé aux Juifs » !!
Au cas, ou pris à la gorge, le gouvernement portugais actuel en venait à prendre cette décision sinistrement symbolique, les organisations juives et l’Etat d’Israël réagiraient-ils ?
Le « Wall Street Journal » révèle une histoire qui pourrait bien faire beaucoup de bruit prochainement. Les autorités du Portugal, dont l’économie se trouve dans une situation catastrophique, envisageraient d’utiliser un « trésor enfoui » dans leurs banques et leur mémoire, l’or volé par les nazis et déposé au Portugal lors de la 2e Guerre mondiale.
Durant la Shoah, le Portugal gouverné par le général Salazar, d’idéologie fasciste, avait adopté une politique officiellement neutre. Mais en réalité le gouvernement de l’époque adopta une attitude ambigüe : d’un côté, il permit au Royaume Uni et aux Etats-Unis d’utiliser ses bases aériennes des Açores, mais entretint durant toutes ces années des relations commerciales fructueuses avec l’Allemagne nazie.
C’est dans ce cadre que ce pays, comme l’Espagne et la Suisse devint un abri pour l’or nazi, volé dans les banques des pays conquis, mais dont une bonne partie appartenait à des Juifs. Les deux pays ibériques détenaient un métal très convoité pour les usines de guerre allemandes, le « Wolfram », et ils livrèrent de grandes quantités de cette matière première aux Allemands contre de l’or. On estime que Lisbonne fut le 2e bénéficiaire de ces réserves d’or après Berne en Suisse, et que les quantités d’or acquises par le gouvernement Salazar avoisinaient les 400 tonnes, soit aujourd’hui une valeur 18 milliards d’euros ! Avant d’arriver au Portugal, cet or aurait transité par la France, avec les bons soins du gouvernement de Vichy, avant d’être amené par voie ferrée à travers les Pyrénées. Après la guerre, une partie de cet or aurait servi à rénover le sanctuaire de Fatima, lieu vénéré des catholiques ! Aujourd’hui, ces lingots frappés de la croix gammée sont entreposés dans les coffres d’un « lieu sûr », dans une rue qui a été appelée à cet effet… « La Voix dorée » !
Le Portugal est aujourd’hui considéré par les spécialistes comme « le pays qui prend le chemin de la Grèce et qui menace toute la zone financière de l’euro », et les pays de l’UE ont déjà discuté de l’éventualité d’accorder une aide de 78 milliards d’euro pour sauver le Portugal de la faillite.
Mais au début du mois de juin, un membre du parlement allemand (l’Allemagne était déjà réticente à l’injection d’argent en Grèce) a fait cette déclaration surprenante : « Avant de recevoir des aides de l’UE, le Portugal ferait mieux de vendre son ‘trésor familial’ et notamment ses importantes réserves d’or, afin d’éponger ses dettes ». Le député du Bundestag spécifiait ainsi « que l’Allemagne serait prête à racheter l’or portugais ».
Le « Wall Street Journal » révèle que cette proposition est « hautement problématique, car en l’occurrence il s’agirait que les Allemands rachètent de l’or que leurs pères ont volé aux Juifs » !!
Au cas, ou pris à la gorge, le gouvernement portugais actuel en venait à prendre cette décision sinistrement symbolique, les organisations juives et l’Etat d’Israël réagiraient-ils ?
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