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LE PTB ET MOI.

Envoyé par albert 
Re: LE PTB ET MOI.
01 avril 2008, 05:01
HOUTTE AALIQ ELSA, comme tu es intelligente.
Re: LE PTB ET MOI.
01 avril 2008, 05:17
La fortune...? un don ???
Ma chance....!

Qui court derrière la fortune... ?
Pas moi je vous le dis avec ma plume.
La fortune, je n’en connais ni l’odeur
Ni la couleur, et j’en parle bien sur.
Si elle voulait de moi,comme présent,
Je l'aurais acceptè selon mes conditions.

Si mon père m’en avait déposé
J’aurai su comment en parler
Mais voilà, il n’était pas fortune
Et je l’en remercie.

Au commencement,
Adam, n’avait point d’argent
Pas même un vêtement,
Une feuille de vigne
Pour cacher ses deux raisins.

Et voilà que D ieu lui accote une femme,
Une fortune et on connaît le reste.
Une femme est un trésor.
Elle vous donne le meilleur.
Point d’écus mais qu’échos
De beaux enfants.
Des petits-enfants.
Voilà ma fortune.
Et je l’aime sans trop de tunes.



Re: LE PTB ET MOI.
01 avril 2008, 05:43
Il y a les bonnes diseuses de bonne aventure
Celles qui lisent la destinée dans les paumes des mains.
Et ceux tournent un balancier pour prédire lendemains.

Moi, je suis un grand diseur de bêtises
Une profession de foi qu’on se le dise.
Toutes les fois que j’ouvre mon bec
On me réprimande net et bien sec.

Pourtant je tourne ma langue 8 fois
Par précaution, j’en ai ajouté une.
Avant d’ouvrir mon orgue à paroles
Je réfléchis mais manque de bol
Je suis toujours dans mes bêtises.

On me le dit sans respect mais avec franchise.

Parce que femme et enfants savent que vieux lion ne hurle ni rugit
Et qu’il n’a plus de recours.
Je me plais à être un âne soumis car l’age aidant est venu à leur secours.
Et moi je joue avec ma petite basse-cour* (Mes petits-enfants.)
Faisant fi de tous ces beaux mamours.




Pour ceux qui prennent le TGM en marche se réfèrer à la page précédente.Début de mes CONNERIES. Merci.
Re: LE PTB ET MOI.
01 avril 2008, 06:05
Un jour, d’ici un ancien grand homme
Chuchota que NEGRE comme bonne
M’aidait.

On cria haro à l’imposteur
Et la rumeur prit de la valeur.

‘...Celui qui écrit n’est pas celui qui dit... !’

Sans preuve il alla sur moi, un temps, ‘médit’.
Un Mal fou lui en prit pour convaincre une plèbe
Acquise, mais à l’affût de bien bonnes nouvelles.
Le glaive qui s’abattit sur moi et mon nègre
Fit fuir ce dernier me laissant amer et aigre.
Sur la paille.

Ce qui s’est dit autrefois fut emporté.
Car de Nègre nenni il n’y eut, sauf un Albert
Qui relève tous les défis.



Shabbat Challom.
Re: LE PTB ET MOI.
01 avril 2008, 06:24
Question a deux Balles...

A combien d'internautes nous tournons ici????
Re: LE PTB ET MOI.
01 avril 2008, 06:47
Pas même un doudou
Pour me réconforter
Lorsque le noir m’envahit.

Adresse :
Péniche Antipode / Face au 69 quai de la Seine / Paris 19ème (75019)
réservations : 01 42 03 39 07

Métro : Riquet (ligne 7) ou Jaurès (lignes 2,5,7)

Age : à partir d’un an jusqu’à 5/6 ans.
Durée : 40 minutes

Conseillé pour les papys et les mamys ... accompagné(e)s des petits-enfants bien sûr !


Pièces jointes:
doudou perdu-comp.jpg
Re: LE PTB ET MOI.
01 avril 2008, 07:46
JE SUIS Lààààààààààààààààààà,,,

Qui a dit qu'il était perdu ?


Pièces jointes:
doudou.jpg
Re: LE PTB ET MOI.
01 avril 2008, 09:08
Albertino,

Le violon Juif 1, 2 et 3.
Très bien reçu et émouvant
disent mes sahbis d'Israël
Je t'offre un café.


Par Camus.directeur de AMIT.

Il n'est interdit à personne de montrer ces talents au PTB.
Que la relève soit assurée par des jeunes comme vous.
Ainsi soit t'il.
Re: LE PTB ET MOI.
01 avril 2008, 09:28
Lorsque tout s’effrite
Par en couilles frites
Il faut savoir prendre du recul
Pour mieux ramasser pécule.

Mes recettes sont faibles
Je ne puis tenir sans elles.
Je dois faire du grand chiffre
Sans passer par des sous-fifres.

Un théâtre s’entretient
Pour assurer son demain.
Car le lendemain est loin.
Déjà. Et qui sait si le pingouin
Que je suis, sera bien malin
Pour vivre cent ans sous son méridien.

Payer des fantômes d’acteurs exigeants
Pères et mères de famille bien en charges
Et surtout de renom mais jamais en marge
N’est pas une mince affaire pardi,
Surtout lorsqu’on vit dans ce Paris.

Je me dois donc de les choyer,
D’être un père doux pour eux.
Sans jamais trop les noyer
Sous le labeur, les déranger
Car je pense à leur foyer.

Je connais le chômage.
Ce mal du siècle qui, même bien payé,
Rapporte ennui, vices et moins d’entrain.

Alors amusez vous autant qu’il vous plait, nases,
Je compte vos délires comme un compteur de gaz.


L'inspiration n'est pas un droit divin
Elle vit en chaque humain.


Re: LE PTB ET MOI.
01 avril 2008, 09:46
J'ai vecu, il y a deux jours, un truc extraordinaire.
Et si je tarde à le raconter c'est parce que on ne me croira pas.
Je ne veux pas passer pour un déluré, un fou, alors que la réalitè est pourtant vraie.

En soixante quatre de vie, c'est bien la premiére fois qu'en pleine nuit, j'ai vécu celà dans mon salon vers les 3 heures du mat alors qu'un pipi me pressait. Pourtant je ne bois d'alcool.
Et j'avais les yeux bien ouverts ainsi que mes sens en éveil.

Je ne sais pas comment vous convaincre de la réalitè, mais un chose bizarre m'est apparue.Maintenant je sais que celà exsite.

Je réflèchis sérieusement à la question.
Je doute que mon imagination fertile m'aie jouè un tour pareil.

Et pourtant, j'ai vu et vécu croyez moi.
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