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DURBAN 2 (et 3 ?)

Envoyé par Victor 
Re: Je vous propose cette pétition - DURBAN 2
16 mars 2009, 00:13
Re: Je vous propose cette pétition - DURBAN 2
16 mars 2009, 02:58
A la reflexion, c'était génial d'être bourré, parce que cette pétition mérite d'être partout et encore ailleurs.

Continue à boire un petit coup, Blata, à ma santé s'il te plait, merci.

Très bonne journée à toi.
Re: Je vous propose cette pétition - DURBAN 2
16 mars 2009, 03:24
girelle a écrit:
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> A la reflexion, c'était génial d'être bourré,
> parce que cette pétition mérite d'être partout et
> encore ailleurs.
>
> Continue à boire un petit coup, Blata, à ma santé
> s'il te plait, merci.
>
> Très bonne journée à toi.

j'ai pu constater que les signataires affluaient
c'est le plus important
merci à toi
Re: DURBAN 2
23 mars 2009, 07:24
Rama Yade contre le boycott de Durban II

23/03/2009 à 06h51
F. Ro.

Il ne faut pas boycotter la prochaine conférence de l’ONU contre le racisme mais y participer pour défendre fermement ses convictions. C’est ce qu’a affirmé Rama Yade, ce week-end, lors d’un débat organisé par Libération à Rennes, en compagnie de l’éditoraliste Jean Daniel. Précisant sa position sur la conférence dite de Durban II, qui s’ouvrira le 20 avril à Genève, la secrétaire d’Etat chargée des Droits de l’homme a assuré qu’«il fallait y rester et se battre». D’ores et déjà, plusieurs pays, dont les Etats-Unis, ont assuré qu’ils ne se rendraient pas à Genève, après le fiasco de la première édition, qui s’était déroulée en 2001 à Durban (Afrique du Sud). A l’époque, le texte, élaboré par un groupe de travail dirigé par la Libye, avait accusé Israël de «racisme» et d’«apartheid» envers les Palestiniens. La semaine dernière, les Européens ont tenté de se mettre d’accord sur un document de compromis, très consensuel. Mais pour l’instant, les 27 membres de l’Union n’ont pas encore arrêté une position commune.

[www.liberation.fr]

Re: DURBAN 2
23 mars 2009, 07:56
Peine d'amour perdue !, par Amir Gutfreund

LE MONDE | 21.03.09


Arrivée au pouvoir de la droite israélienne inquiète les Européens, dit-on. Et quand l'Europe s'inquiète d'Israël, moi, Israélien, je commence à "flipper" dur. Je sais d'expérience que ce genre d'inquiétudes finit toujours par avoir des conséquences néfastes.

Aux dernières élections, j'ai voté pour le perdant, autrement dit : à gauche, et même, le bulletin que j'ai glissé dans l'urne est allé à un parti qui s'est pris une raclée monumentale. Mais pour ce qui est de mes angoisses sur le programme de la droite de mon pays, ça va : je peux gérer. Les initiatives européennes, non.

En somme, tout le problème vient de moi. J'adore l'Europe, et ma conception de l'avenir est toujours dépendante d'une vision du monde qui a pour base le mode de vie européen. Bref, je suis un amoureux ! Et justement pour ça, en vertu du pouvoir prophétique typique du soupirant éconduit, j'ai la faculté d'anticiper mes déconvenues. Oui, je suis un homme de gauche, autrement dit quelqu'un qui veut la paix à tout prix et qui est prêt, pour cela, à d'énormes concessions ; et en même temps, les dernières élections ne m'ont pas surpris. Je ne les interprète nullement comme si les Israéliens étaient bouchés à l'émeri devant la paix, mais comme une réaction aussi instinctive que salutaire.

Ce qu'Israël demande ? Une pause. Qu'on nous permette d'hésiter encore un peu avant d'en venir à des décisions irrévocables. Les raisons qui ont poussé l'opinion publique israélienne "à droite" ne me sont pas étrangères, tout électeur "de gauche" que je sois. Le fait est que c'est facile d'en faire abstraction quand on habite une des plaisantes cités d'Europe : tout accord de paix, aussi précaire soit-il, représente en effet pour Israël la mise en jeu de sa propre existence. La preuve ? Une concession sur certains territoires situés en bordure du centre d'Israël nous laisserait un territoire dont la largeur ne dépasserait pas parfois 15 km. Oui, 15 ! Chers lecteurs, l'un d'entre vous pourrait-il se sentir vraiment au large en vivant enserré dans des frontières plus étroites que celles de Paris ?

Au cours des dernières décennies, la paix a paru à portée de main, puis tout est parti en vrille, et je me demande finalement si elle était si proche, cette paix, ou si nous avons rêvé de châteaux en Espagne. Les choses montrent en tout cas qu'aucune de nos avancées dans cette direction n'a été payée de retour, à savoir comme elle aurait dû l'être en bonne logique : par une amélioration de la situation. Au contraire, le cauchemar n'a fait qu'empirer. Les leaders de droite ont donc beau jeu de se camper devant nous en jactant, et nous lancer des : "On ne vous l'avait pas dit ? Pas vrai qu'on vous l'avait dit ?" Et on leur lâche à mi-voix : "Oui, vous l'avez dit", tout en cherchant à expliquer pourquoi ils n'ont raison qu'en surface. Mais on s'empêtre ; quelque chose en nous est tenté de se joindre à la course côté droit pour pouvoir hurler avec elle : "On vous l'avait bien dit, non ?" Et avoir enfin raison.

J'ai une appréhension bien à moi concernant la victoire de la droite en Israël. Je ne prends pas à la légère les risques que comporte un tel gouvernement. Mais il n'y a pas besoin d'être de droite pour sentir qu'un changement profond s'est récemment opéré dans la réalité qui est la nôtre au Proche-Orient. Un facteur nouveau, dont les Européens se sont insuffisamment rendu compte, est intervenu, je veux parler de l'intégrisme islamique.

Rituellement, quelqu'un vient faire miroiter aux yeux des Palestiniens la promesse de succès supplémentaires, de victoire totale pourvu qu'ils se retiennent, pourvu qu'ils sachent résister au compromis en cours. Depuis quelque temps, ce sont les islamistes qui officient. Par là je ne vise pas tout l'islam ni tous les musulmans (je n'ai, moi, aucun goût pour les manifs monstres dont le clou est de brûler ma fiole en effigie !), mais, sans conteste, un vent d'extrémisme islamique souffle.

Si naguère le conflit israélo-palestinien a pu être soluble dans le cadre d'un partage des ressources, de solutions humanitaires, c'est sûr qu'aujourd'hui, alors que les données du problème n'ont apparemment pas changé, aucun espoir de ce type n'est plus envisageable.

Des pans entiers de la population palestinienne croient désormais dur comme fer les promesses d'un djihad mondialisé. Et c'est bien là que le bât blesse : le problème - le conflit - est en apparence seulement resté ce qu'il avait toujours été. Erreur ! Il a changé de bases, et, je le déplore, une grande partie des pacifistes, dans notre région et partout ailleurs dans le monde, n'a pas vraiment pris conscience du tour de passe-passe auquel s'est livrée ici l'Histoire.

Il y a dix ans, en effet, j'étais convaincu que des concessions israéliennes conduiraient à la paix. Désormais, je suis au contraire persuadé que les retraits les plus spectaculaires ne serviront à rien : de paix il n'y aura pas. Pas maintenant. Ceux qui ont en main la gestion des relations israélo-palestiniennes ne sont pas des responsables qui la désirent, pas plus qu'ils n'agissent en vue du bien des Palestiniens. Israël n'a jamais été et ne sera jamais réfractaire à la paix, comme on essaye parfois de le laisser croire.

Cela vient peut-être de ce que la société israélienne vit selon des normes occidentales, confortables aux points de vue économique et culturel, et que, du coup, nous serions censés n'avoir aucune inclination au changement. A l'inverse, le camp palestinien, celui de la pauvreté et de la souffrance, devrait être enclin à exploiter le moindre lumignon de paix.

Mais j'ai l'impression que cette situation s'est inversée. Côté israélien, les coeurs se serrent à l'idée que rien d'extraordinaire ne peut sortir du contexte actuel. C'est pour cela aussi que de fieffés hommes de droite avaient soutenu Oslo et que la majorité des Israéliens, la droite comprise, étaient favorables au retrait unilatéral de Gaza, fût-ce à contrecoeur. Côté palestinien, un processus inverse s'est enclenché ; on s'y enthousiasme maintenant pour les opportunités que recèle l'attente : obtenir plus, et à de meilleures conditions dans l'avenir.

Peut-on espérer convaincre les Européens que cette mutation a bel et bien eu lieu ? L'espoir, je le devine, est faible. Surtout quand on constate la paralysie qui les saisit dès lors qu'ils doivent affronter le radicalisme musulman. Cet islam-là, indépendamment de ce qui se passe en Israël, tétanise les Européens. Ils le craignent et s'y opposent, mais redoutent plus encore que leur opposition les fasse paraître sous un jour arrogant, raciste, colonialiste. Stigmatiser l'arrivée de la droite au pouvoir en Israël et en faire le noeud du problème, c'est tellement plus facile ! Moi, l'amoureux transi et déçu, je peux déjà imaginer les gros titres de la presse européenne l'année prochaine.

La mise à l'épreuve suivante de l'Europe est pour bientôt. Elle aura lieu en Suisse à l'occasion de la conférence contre le racisme qui a déjà eu droit au sobriquet de "Durban II". J'imagine déjà la scène. Le délégué d'un pays où des fillettes de 8 ans sont mariées de force à des vieillards proclamera son indignation devant la situation des droits de l'homme en Israël ; le délégué d'un Etat qui subventionne la terreur partout dans le monde portraiturera Israël en Etat terroriste.

L'ambassadeur d'une nation où un tribunal a prononcé une peine de viol collectif sur une jeune fille dont le frère avait attenté à l'honneur d'une autre femme dissertera sur la politique scandaleuse d'Israël par rapport à ses minorités. Et celui d'un pays qui fomente la guerre à toutes ses frontières parlera de l'inquiétude qui l'étreint face au bellicisme israélien.

Mais l'image qui serait la plus terrible pour moi, ce serait celle de diplomates européens cravatés écoutant les orateurs avec attention et une mine sérieuse. Ah oui, ils seront beaux à voir, avec leur costume sur mesure, avec leurs bésicles à la dernière mode conservatrice, avec dans l'expression du regard mille ans de civilisation dominatrice. "Durban II" est un événement si parodique, si grotesque, qu'on pourrait croire qu'il a été taillé pour dessiller les yeux des incrédules, pour faire bouger les lignes.

Mais ce réveil de la conscience européenne n'aura sans doute pas lieu. L'Europe, qui représente le véritable objectif de l'intégrisme islamique, continuera à se préoccuper de ce qui arrive en Israël. Comme si le plat de résistance devait s'inquiéter de l'apéritif.

Et pourtant, dans un sursaut d'optimisme, je voudrais m'efforcer de donner des aliments à l'amour sincère que je porte à l'Europe, à ma conviction que sa culture a encore quelque chose à proposer au reste du monde. Ce serait un code confidentiel entre nous, la marque que quelque chose a enfin changé : quand la conférence de "Durban II" sera ouverte, que commenceront les discours délirants sur Israël, vous allez créer la surprise.

Oui, vous allez vous précipiter à la tribune et vous tenterez d'expliquer aux extrémistes ce que vous pensez d'eux. Essayez, vous, au moins une seule fois, de les tarabuster.

Ce n'est pas facile, mais c'est infiniment moins inquiétant comme horizon que ne l'est pour nous, Israéliens, le jeu que vous nous poussez à jouer. Et ce sera le signal que, oui, peut-être, ça va enfin changer !

Traduit de l'hébreu par Nicolas Weill

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Ecrivain israélien

Né en 1963, il a suivi une formation de mathématicien au Technion d'Haïfa et est ancien colonel de l'armée de l'air. Son premier roman, "Les gens indispensables ne meurent jamais ", publié en 2000, a reçu le prix Sapir. Il a été traduit en français en 2007 et publié chez Gallimard. Ce récit raconte de façon sensible le choc générationnel entre jeunes Israéliens et survivants vieillissants d'une Europe où a eu lieu la Shoah.

Amir Gutfreund
Article paru dans l'édition du 22.03.09
[www.lemonde.fr]

Re: DURBAN 2
23 mars 2009, 11:43
21 mars 2009
Nos raisons européennes contre Durban 2


Au pouvoir en Libye depuis 39 ans, Kadhafi préside aujourd'hui l’Union africaine. Il voudrait se faire appeler "roi des rois de l’Afrique". En attendant cette consécration, sa dictature pétrolière présidera la conférence mondialiste sur les droits de l’homme qui doit se tenir à Genève fin avril, mais qu'on persiste à appeler Durban-2. Et elle sera épaulée par trois champions de la démocratie : l'Iran, le Pakistan et Cuba.

Le 12 mars à Nouakchott il s'était fait le chantre de ce qu'il appelle "l’universalité de la religion musulmane":
"Le Coran démontre qu’il n’existe pas de divergences entre l’islam et Moïse ainsi que ses proches fidèles, parce qu’ils étaient des musulmans. S’ils avaient vécu du temps de Mahomet, ils auraient cru en lui, tout comme il n’existe pas de problème avec Jésus et les autres prophètes, étant tous des musulmans et Mahomet le sceau des prophètes. Si discorde il y a, elle se situe entre nous et ceux qui ont refusé de suivre Mahomet, qui est un messager des juifs, des chrétiens et de toute l’humanité".
Ce peu rassurant message reprenait aussi à son compte le projet développé en 2008 au Qatar par une conférence réunissant des "scientifiques" et des docteurs de l’islam sur le thème: "La Mecque, Centre du Monde, Théorie et pratique". Il s'agit selon lui d'instituer :
"un calendrier musulman à l’image des chrétiens, et de remplacer l’heure du méridien de Greenwich par celle de la Mecque, puisque cette ville représente le vrai centre du monde par la volonté d’Allah comme la science moderne en a enfin fourni la preuve."
À l'entendre, il est du devoir de chaque musulman de propager d'abord sa religion.

Que lui importe donc en Afrique le sort des Noirs, victimes de discrimination raciale, dans son propre pays, et maintenus en esclavage dans la plupart des pays du Sahel.

En Europe, Kadhafi se félicite de la présence de millions de musulmans, et d'autre part :
"la dynamique des conversions à l’islam se poursuivra avec l’entrée de la Turquie, de l’Albanie et de la Bosnie-Herzégovine dans l’Union européenne."
Il aurait pu ajouter, à propos de cette pénétration dans les Balkans, dont il se réjouît à l'avance, qu'en Bulgarie, pays membre de l'Union européenne on commence à citer le cas de villages où règne un régime de conversions forcées à l'islam. Le cas le plus récent, à Ribnovo, dans la municipalité de Gurmen, fait l'objet depuis le 16 mars d'une procédure d'enquête de l’Agence pour la Sécurité Nationale Bulgare sur ordre du Bureau du Procureur (1).

Mais sans aller jusqu'à Ribnovo en Bulgarie, nous pourrions mesurer aussi la marche de l'Europe occidentale.

Ainsi la Belgique compte quelques longueurs d'avance sur la France encore officiellement laïque mais qui évolue vers la "laïcité positive". Au nom de ce principe, qui pourrait se montrer louable, on envisage d'enseigner les religions à l'école.

On confiera bien sûr, par principe, dans les écoles d'État, celle des confessions chrétiennes aux laïcistes les plus acharnés, les plus faussement objectifs et les plus objectivement faux. En revanche on concédera, par respect, celle de l'islam aux musulmans eux-mêmes, qui vanteront sa tolérance bien connue.

Nos voisins d'Outre-Quiévrain le font. Et, plusieurs années avant nous, ils ont d'abord reconnu en 1974 un "temporel du culte musulman" dans le cadre de la loi belge de 1870. Puis ils ont institué un Exécutif des musulmans de Belgique. Cette institution fut érigée en réalité de droit public par un arrêté royal de 1996. Ce n'est que trois années pus tard, en 1999, qu'un certain ministre socialiste de l'Intérieur nommé Chevènement fit mettre à l'étude un projet de cette nature. Et ceci finira par aboutir en 2003. Faire et défaire c'est toujours travailler, et sortir des cartons un projet de ses prédécesseurs, on appelle cela une réforme.

L'administration de la place Beauvau a toujours considéré que cette "décision"-là permettrait de contrôler les mosquées de l'Hexagone. On vantait et on se félicitait à l'avance de la mise en place d'imams loyaux à la république, dévoués à ses idéaux, peut-être même à sa police. On commence déjà à déchanter.

Mais nous n'avons encore rien vu par rapport à la Belgique. Chez nos voisins cet exécutif importe désormais officiellement en Europe le conflit du Proche-Orient. Certes, en toute honnêteté, cela se produit de toutes manières mais sans la participation des institutions.

Cet "exécutif" est en effet passé successivement sous la coupe d'influences de plus en plus radicales. D'abord en 1996 un citoyen belge converti à la religion mahométane, M. Daniel Leskens, le présida. Puis à partir de 1999 lui a succédé une équipe d'origine marocaine naturalisée. Enfin en 2005 des élections controversées, mais confirmées par l'administration ont fait basculer la structure sous la présidence et le contrôle, tout simplement d'un agent turc, de la "Diyanet".

Cet organisme administre et encadre via 60 000 fonctionnaires publics supposés "laïcs", une étiquette tout à fait théorique désormais, les activités religieuses en Turquie. Ainsi donc le président de l'Éxécutif des musulmans de Belgique, M. Beyazgül, imam hatip diplômé dans son pays, suit lui-même, comme son administration les évolutions et les directives de ce qu'on appelle le gouvernement islamiste modéré d'Ankara dirigé par le très ferme M. Erdogan. Ceux qui croient encore la Belgique déchirée entre Flamands et Wallons devraient ouvrir les yeux en descendant à la gare du Midi à Bruxelles.

Or, selon Khadafi précédant l'Europe, l’Afrique et l’Asie :
"s’orientent peu à peu vers l’islam, sonnant ainsi la fin de certaines religions appelées à être remplacées par l’islam, quoi que disent les polythéistes et les incrédules(2)."

Le comité préparatoire de Durban II est ainsi présidé par l'incontournable déléguée de la Jamahiriya arabe libyenne Mme Najat al-Hajjaji. Celle-ci dirigeait déjà en 2003 la Commission des droits de l’homme de l'ONU et elle saluait ainsi l’assemblée :
"Au nom de Dieu, le Clément, le Miséricordieux, je vous salue avec les salutations de l’islam, que la piété de Dieu vous entoure."

À l'époque elle avait su empêcher habilement tout débat sur une résolution réclamant la fin des discriminations contre les homosexuels.

En octobre 2005, l’Unesco adoptait un texte sur la diversité culturelle. La Gauche européenne avait salué cet événement. Les bons esprits le présentaient comme une défaite l'impérialisme culturel américain. On imaginait alors dans les réseaux de la bien-pensance :
"élargir la perspective actuelle des droits de l’homme à la diversité culturelle afin de contrer l’impérialisme culturel préconisé par les états occidentaux."

Et la France chiraquienne, sous le gouvernement Villepin, avait voté pour…

Mais l’Organisation islamique, elle, entend s'en servir pour contourner toute forme d'engagement en faveur des droits de l'Homme dans les pays musulmans.

La logique de la diversité culturelle permet ainsi
- d'imposer le voile, quand ce n'est par la burqah afghane
- de maintenir l'apartheid sexiste
- et d'instaurer la Charia comme source unique de droit.

À force de concessions on encourage un Kadhafi à proclamer comme il l'a encore manifesté à Nouakchott que:
"L'islam régnera sur la planète, comme Dieu l'a promis."
M. Koïchiri Matsuura, diplomate japonais qui fait office de directeur général de l’UNESCO s'est maintes fois montré complice de telles manoeuvres dialectiques des propagandistes de l'islamisme.

En 2007 l’Organisation de la Conférence islamique a fait monter les enchères. Elle est passant du stade de l'UNESCO à celui de l’ONU. Elle a fait adopter la résolution 62-154 sur "la lutte contre la diffamation des religions". Dans le préambule l'Assemblée générale de l'ONU y :
"souligne qu'il importe de multiplier les contacts à tous les niveaux afin d'approfondir le dialogue et de renforcer l'entente entre des cultures, religions, convictions et civilisations différentes, accueillant avec satisfaction à cet égard la Déclaration et le Programme d'action adoptés par le Mouvement des pays non alignés à sa Réunion ministérielle sur les droits de l'homme et la diversité culturelle, qui s'est tenue à Téhéran les 3 et 4 septembre 2007."

Pourquoi faut-il donc persister à supporter cette langue de bois mondialiste à la sauce hypocrite de l'islamisme ?

Or, à la suite de l'annonce par le gouvernement de Rome que l'Italie ne participerait pas à la conférence on a pu espérer, et il faut souhaiter encore, que les 26 autres pays membres de l'Union européenne s'aligne sur le plus courageux d'entre eux dans cette affaire et refusent en bloc tout compromis avec l'inacceptable. Le 16 mars une déclaration de la présidence tchèque allait dans ce sens.

Dans ce contexte on ne doit aucunement se féliciter d'un compromis proposé le 17 mars car, pour ne citer qu'un exemple le projet de résolution vaguement révisé s'inquiète encore que :
"les médias dans leurs diverses formes contribuent à l'incitation à la haine raciale ou des communautés religieuses."

On s'est bien garder de relever l'absence de prise en compte
- des discriminations en raison de l'orientation sexuelle telles qu'elles existent dans tous les pays musulmans,
- de la traite transsaharienne ou dans l'océan indien, telle qu'elle fonctionnent sous le contrôle d'esclavagistes musulmans,
- des discriminations que subissent les femmes, telles qu'elles subsistent dans la plupart des Etats musulmans,
- ni les discriminations de caste etc.

Et le compromis proposé ne protègera aucunement le christianisme persécuté par la plupart des pays islamistes, et privilégiera toujours la "lutte contre l'islamophobie".

[www.insolent.fr]
Pièces jointes:
kadasarko.jpg
Re: DURBAN 2
24 mars 2009, 06:20
Durban II : la France hésite encore
22/03/2009
TOVAH LAZAROFF
La France et l'Union européenne (UE) ont accueilli favorablement la décision de renoncer à des critiques visant Israël dans le texte de résolution de la conférence de l'ONU contre le racisme prévue en avril, surnommée Durban II.

Mais d'après l'ambassadeur de France pour les droits de l'homme François Zimmeray, ces changements n'ont pas encore convaincu la France ou l'UE de participer à l'événement qui devrait avoir lieu entre le 20 et le 24 avril à Genève.

La semaine dernière, le texte de l'ONU avait été modifié après que l'UE a menacé de boycotter l'événement.

"Le texte [précédent] était empli de provocations, c'était inacceptable. S'il n'avait pas été changé, nous aurions quitté [la conférence]", explique Zimeray.
"Pour la première fois, grâce à notre position ferme, il n'y a aucune mention explicite à Israël ou au Proche-Orient ; c'est un progrès."

Malgré ces changements, Israël prévoit toujours de boycotter la conférence, la dernière version contenant toujours la déclaration faite en Afrique du Sud en 2001 à Durban, où la conférence s'était transformée en un pugilat contre l'Etat juif.

Craignant que ces événements se répètent, l'Italie, les Etats-Unis et le Canada ont déjà prévenu qu'ils ne participeraient pas à la conférence de Genève.

Zimeray espère pourtant que ces pays changeront d'avis à la lumière des changements de texte, y compris Israël.

Il s'est montré particulièrement encouragé par le soutien par des groupes africains et d'Amérique latine, signifiant que des pays plus modérés ne sont plus contrôlés par des pays plus extrémistes.

[fr.jpost.com]
Re: DURBAN 2
26 mars 2009, 14:32
Delanoë appelle la France à ne pas participer à Durban II
12/03/09 - - : Droits de l'Homme

Le maire de Paris Bertrand Delanoë a estimé, mercredi 11 mars, dans un communiqué, que la France devait refuser de participer à la conférence Durban II de l'ONU contre le racisme fin avril à Genève, qui sera selon lui « une mascarade », selon la Croix du jeudi 12 mars 2009.
« Notre pays compromettrait ses valeurs et sa devise en participant à cette mascarade », affirme-t-il souhaitant que « la France, à l'instar d'autres grandes nations démocratiques, refuse de siéger dans cette conférence et de contribuer à sa préparation ».

Le député Claude Goasguen demande le « retrait » de la France des travaux de préparation de la conférence dite de Durban II
12/03/09

- - Thème: Droits de l'Homme

Le député UMP de Paris Claude Goasguen a demandé le 9 mars le « retrait » de la France des travaux de préparation de la conférence dite de Durban II de l'ONU sur le racisme, fin avril à Genève. L'élu de Paris invite dans un communiqué « les députés à se mobiliser pour obtenir une décision claire et publique du gouvernement français, en rejoignant l'appel parlementaire pour le retrait de la France des travaux de Durban II »....

Selon Claude Goasguen à l'origine de cet appel, « la convention de Durban II est un piège dont les conséquences seront plus graves que celles qui ont suivies Durban I. Les textes préparatoires sacrifient la liberté d'expression sur l'autel de la primauté religieuse. Ils confortent les discriminations à l'encontre des minorités, des femmes. Les libertés d'opinion, d'expression, de conscience ne sont plus les valeurs absolues auxquelles l'humanité tend (1) » Jacques Masdeu-Arus, député des Yvelines a par exemple d’ors et déjà annoncé qu’il signait cet appel parlementaire.

Les organisations juives de Suisse appellent au boycott de Durban II
12/03/09

- - Thème: Droits de l'Homme

Plusieurs organisations juives de Suisse exigent que Berne boycotte la Conférence contre le racisme Durban II si l'actuel projet de résolution n'est pas modifié, informe le site Internet du journal suisse le Matin, jeudi 12 mars 2009.
Ce projet « instrumentalise », selon elles, la Conférence en une « tribune antisémite ». Durban II, élaborée sous la houlette de la Libye, de l'Iran et de Cuba « est en contradiction totale avec le but initial et les conditions de son application », dénoncent l'Association Suisse-Israël (ASI), la Fédération suisse des communautés israélites (FSCI) et la plate-forme des juifs libéraux de Suisse (PJLS) dans un communiqué.

[www.crif.org]
DURBAN 2
01 avril 2009, 00:49
Durban II : pas de compromis pour l'Europe - Par EJP - Pour Jerusalem Post en francais - 31 mars 2009 -

Vigilance. Le vice-président de la Commission européenne a donné le mot d'ordre concernant Durban II.



Jacques Barrot, vice-président de la Commission européenne.

Jacques Barrot a en effet déclaré que l'Union européenne devait se tenir prête à réagir fermement si des textes inacceptables étaient proposés à la prochaine conférence de l'ONU sur le racisme à Genève.
La conférence aura lieu du 20 au 24 avril dans la cité helvétique.

"Je vous assure ici que je suivrai la préparation de cette conférence personnellement et très attentivement. Je veux être sûr que l'acquis communautaire sur la lutte contre le racisme et la xénophobie, y compris l'antisémitisme et la discrimination, ne sera pas compromis", a-t-il dit au cours d'un symposium sur la lutte contre le racisme et l'antisémitisme, la défense des valeurs européennes et la coexistence, organisé par le Congrès Juif Européen (CJE) au Parlement européen à Bruxelles.

"S'il le faut, nous sommes prêts à faire appel aux Etats membres pour qu'ils se retirent de ce processus s'il y avait avant ou pendant la conférence une violation claire des valeurs [que défend] l'UE", a-t-il indiqué.
"Il n'est pas question d'accepter un compromis à n'importe quel prix si le texte porte préjudice à ces valeurs," a-t-il ajouté.

Soulignant la hausse du nombre d'actes antisémites au cours de ces derniers mois en Europe, Jacques Barrot - responsable de la sécurité, de la liberté et de la justice au sein de l'exécutif européen - a souligné que "rien ne peut justifier le racisme et l'antisémitisme, ni la situation politique internationale, ni la situation économique ou sociale".

Il s'est engagé à faire en sorte qu'une décision du Conseil de l'UE de 2008 sur le racisme et la xénophobie soit mise en œuvre dans les 27 Etats membres d'ici 2010. Cette décision vise à rendre punissables dans tous les pays européens les comportements racistes et xénophobes, et notamment l'apologie publique, la négation ou la minimisation grossière de crimes contre l'humanité.

Il a qualifié la nouvelle déclaration de Jean-Marie Le Pen - selon lequel les chambres à gaz constituent "un détail de l'histoire de la Seconde Guerre Mondiale" - de "honte absolue".

"Il s'agit d'une provocation intolérable et d'une insulte pour tous les citoyens européens", a affirmé Barrot avant de saluer les réactions des chefs des principaux groupes politiques du Parlement européen.

Le symposium "Construire ensemble l'avenir de l'Europe" a vu la participation de dirigeants des communautés juives européennes, de leaders religieux, de parlementaires européens, d'experts et d'intellectuels.

Dans son discours d'ouverture, Moshe Kantor, président du CJE a déploré le fait que l'Europe "ne réagit pas" alors même que l'antisémitisme "est en vie, en bonne santé et en croissance".

Selon les chiffres présentés lundi par des experts - notamment l'Agence Fondamentale des Droits de l'Homme de Vienne - le nombre d'incidents antisémites en Europe au cours des trois derniers mois est supérieur au nombre total de tels incidents au cours de l'ensemble de l'année 2008, notamment à la suite de l'opération israélienne contre Hamas à Gaza.

Mike Whine, directeur du "Community Security Trust" en Grande-Bretagne a indiqué qu'au cours du mois de janvier 260 incidents antisémites ont été enregistrés en Grande-Bretagne, 352 en France, 40 en Belgique et 1000 en Allemagne. Les représentants des communautés juives des pays scandinaves et de Hongrie ont fait état des mêmes tendances.

L'éducation est l'une des manières de lutter contre le racisme et l'antisémitisme, estime Moshe Kantor, proposant à cette occasion l'établissement à Bruxelles de la première "Université de la tolérance et de la réconciliation".

Richard Prasquier, président du Conseil Représentatif des Institutions Juives de France (CRIF) a souligné qu'en France "c'est souvent à l'intérieur de la communauté musulmane que l'on a vu se développer des phénomènes antisémites". "Mais j'insiste sur le fait qu'il s'agit de minorités dans cette communauté", a-t-il ajouté, saluant la participation au symposium d'imams, notamment celui de la ville de Drancy.

"Je ne pense pas que l'antisémitisme soit une maladie. Il s'agit plutôt d'une stratégie et d'une tactique politiques", selon Richard Prasquier.

Source : [fr.jpost.com]
Re: DURBAN 2
01 avril 2009, 02:03
Durban II : une autre approche ? - Par Albert Capino - 27 mars 2009 -

S’il est nécessaire que les démocraties du monde entier n’assistent pas avec passivité à la mascarade prétendument anti-raciste programmée qu’est Durban II, il est indispensable qu’une protestation claire, véhémente et contradictoire soit émise avec force à l’encontre de ceux qui projettent d’instrumentaliser cette conférence pour la détourner de sa vocation.

Les pétitions, le boycott, ne sont pas une fin en soi. Ceux qui veulent s’opposer à ce qu’un message universaliste religieux remplace les Droits de l’Homme, doivent le confirmer par des actes : participer à une tribune où l’on cloue les valeurs de la liberté au pilori est contre-productif ? Alors tenons-en une autre, contradictoire, dans la même enceinte, à l’ONU et confrontons les conclusions de ceux qui pensent avoir trouvé un tremplin pour faire passer des résolutions iniques sous un déguisement anti-raciste.

Philosophes, journalistes, écrivains, libres-penseurs, nous prêchons dans le désert si nos gouvernements boudent ou assistent, passifs, sans rebondir sur nos idées et soutenir nos protestations.

Le combat contre le radicalisme islamiste ne se passe pas que sur Internet, dans les journaux, au micro des radios ou dans les antichambres.

Il doit éclater au grand jour, à la face de tous les tyrans qui cachent leurs turpitudes sous un vernis de moralité pour mieux assassiner les libertés.

Le texte préparatoire : tendez-leur la main…

Les retouches cosmétiques du Russe Youri Boychenko pour lisser le texte et le rendre acceptable pour les démocraties occidentales ne dénonce aucune des réalités liées aux discriminations et aux atteintes aux droits humains.

Les nations islamiques souhaitent délaisser l’anti-racisme pour se consacrer à « l’universalité de l’Islam ». Une résolution selon laquelle l’antisémitisme serait décrit comme uniformément dirigé contre Juifs et Arabes est ainsi en préparation à Genève. Le but est de cautionner le discours anti-sioniste en le rendant artificiellement distinct du discours antisémite. C’est ainsi que la conférence de Durban a dégénéré en 2001, en focalisant violemment son énergie à tenter d’assimiler le sionisme au racisme.

Abandonner le terrain à ce type d’interprétation à Genève serait une erreur : l’anti-sionisme est un crime au regard des lois internationales, car il appelle à la destruction d’une nation souveraine et dénie à son peuple le droit à l’existence. Et c’est l’instrumentalisation politique qui est faite de l’Islam, qui se sert des faiblesses des démocraties pour mieux les incapaciter.

Symétrie absurde et nazification inversée

Auschwitz et Gaza. On met sur un même plan le génocide de six millions de Juifs et un millier de victimes : on compare la plus grande entreprise d’extermination collective de l’humanité aux victimes indirectes d’une guerre.

Au lendemain de la Shoah, les survivants traumatisés ne voulaient pas en parler et le monde culpabilisé ne voulait de toutes façons pas entendre.

Ce silence lourd et prolongé pénalise aujourd’hui ceux qui se dressent contre le négationnisme.

Qui ne dit mot consent et on en vient à tenter de réhabiliter des prêtres négationnistes, à donner une tribune à l’ONU à un chef d’Etat qui nie l’holocauste, à demander des preuves scientifiques de l’existence des chambres à gaz.

Les Juifs ont échappé à la Shoah, survécu à l’extermination, mais il faudrait qu’ils se justifient encore ?

Pendant les travaux préparatoires de la conférence, on pend des mineurs et on lapide des femmes en Iran, on emprisonne et on torture arbitrairement en Libye, en Syrie, on déporte et on assassine en masse au Soudan, on bâillonne la liberté d’expression et on asservit les femmes dans une grande majorité des pays islamiques.
En Afrique, le Congo, le Rwanda, le Zimbabwe sont à la dérive, mais c’est notre civilisation qu’on veut paralyser, en brandissant l’épouvantail du « racisme », que cette conférence est précisément supposée combattre.

La vérité sacrifiée à l’audience : la manipulation des medias

Pour une certaine opinion, dont la propagande a progressivement lavé le cerveau, il n’est d’autre génocide officiel que celui de la bande de Gaza. Antonio Burgos chroniqueur habituel des quotidiens ABC et El Mundo décrit la situation en Espagne :
“ Les gars portent l’uniforme officiel des terroristes islamistes du Hamas, comme s’ils se solidarisaient avec eux face aux Juifs. Si nécessaire, ils expulseraient à nouveau les Juifs d’Espagne. Comme ils ne peuvent expulser tous les Juifs, ils se contentent de demander qu’on expulse l’ambassadeur d’Israël.
Ils se donnent des airs progressistes, mais ils tombent dans la tradition la plus archaïque. Beaucoup d’absurdes foulards palestiniens et beaucoup de tapage, mais c’est pour réveiller le vieil antisémitisme de l’Inquisition espagnole. Pour eux les Juifs sont ceux qui ont autrefois tué le Seigneur et qui bombardent maintenant Gaza.
Entre une démocratie comme l’État d’Israël et des terroristes traîne-savates, ici nous nous mettons du côté des terroristes et en outre nous adoptons leur foulard comme uniforme officiel de la « Guilde du Progressisme ».
Peu importe que ce foulard soit le symbole du fondamentalisme islamiste qui flanque les droits de l’homme tout au fond de sa djellaba.
Les progressistes l’arborent comme si c’était le dernier cri de la mode. Même les journaux télévisés de la télé publique espagnole sont faits avec un petit foulard palestinien. Présenter les terroristes comme des héros c’est ranger le foulard au rang des armes de destruction massive de la vérité, dans la manipulation contre le démocratique État d’Israël. ”

Action ne doit pas être démission

Le but d’une action doit rester l’efficacité, avec une obligation de résultat en ligne de mire, au-delà des simples satisfecits, des querelles de clochers (pardonnez l’expression), de la recherche de reconnaissance personnelle, de la gloire pour tel groupe ou de la récupération de progrès réalisés au profit de telle association, conseil, ensemble, organisation, parti ou gouvernement.

Quitte à ce qu’il y ait un choc des civilisations, mieux vaut encore qu’il passe par un affrontement d’idées. En 1938, Neville Chamberlain était revenu en Angleterre gonflé d’espoir avec un accord signé, convaincu qu’Hitler n’était pas fou ou émotif. Aujourd’hui, les Européens et la nouvelle Administration américaine tirent le même type de conclusion avec la politique iranienne.

Que chaque nation mette donc à contribution ce qu’elle a de meilleur, de manière organisée et complémentaire, afin que Durban II ne puisse reproduire la forfaiture de Durban en 2001.

À Genève, les nations libres et démocratiques doivent occuper le terrain et combattre les motions liberticides dans l’enceinte même de l’ONU : du 20 au 24 avril, qu’elles tournent le dos à la farce de Durban II mais fassent entendre leurs voix haut et fort !

Source : [www.desinfos.com]

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