Mon_Germain , grand journaliste du quotidien LE BREITOUNIA NEWS AND C0( pinage) a eut l’exclusivité d’interviewer stéphane héssel avant qu’il ne meurt sur son lit de merde. Je rappelle que ce périodique est tiré en un exemplaire et qu’aucune photocopie ne sera distribuée dans les couloirs de l’assemblée.
‘…Hessel, m’entendez vous…. ?’
‘………………………………….’
‘…Si oui faites moi un signe…. !’
‘………………………………………… !’
‘…hessel êtes vous encore là… ?’
‘………………………………………….. !’
‘…Si oui faites un geste, un signe…. !’
‘………………………………………….. !’
‘….stéphane, vous n’êtes plus là alors… ?’
‘………………………………………….. !’
‘…..MMMmmmmmm…. !’
‘…Quoi ce MMMMmmmmm…. !’
‘……………………………………… !’
‘…C’est tout hessel, c’est bien maigre, vous qui étiez si bavard…. !’
‘……………………………………… !’
‘…Du coup plus rien à dire aucun remord…. ?’
‘………………………………………… !’
‘…Vos forces vous abandonnent en direz… ?’
‘…mmm …mmm… mmmmm… !’
Il remue ses lèvres.
‘…Oui, allez faites encore un dernier effort….Pour les enfants de Gaza… !’
‘….gggggg ….ggggg…. !’
‘…Oui c’est bien je note ggggggg… ggggg…. !’
‘…Avez-vous une volonté à dire…. ? Pour les juifs… ?’
‘…………………………………………..’
‘..Rien, vous allez le regretter, ils veulent entendre une chose, de votre part…. !’
‘….jjjjjjj….jjjjjjj….. !’
‘….ggggg….et jjjjjjj…. ! C’est pas un message ca…. !’
‘… !!!!!!!!!!!!!.... !’ Il lève son petit doigt en points d’exclamation…. !’
‘…Un jour de jeun… ???....
‘… ???????.... !’ Il tord son doigt en forme de point d’interrogation… !
‘…Deux….Dix jours …Un an… ! De deuil… ? Ce signe en hameçon…. ?’ ‘…Un second MOULED… ?’
‘…………………………………… !’
‘….Il y a trois honorables religieux derrière la porte, lequel voulez vous choisir pour vos derniers saints sacrements, le rabbin, le prêtre ou l’imam… ?’
‘….iiiiiiiii….. !’
‘…Le rabbin…. ?’
Il lève son index… ! ( Qu’il se le foute dans le…c… !’
‘…Le prêtre….?’
Idem même geste.
‘…L’IMAM… ?
Là il ouvre sa bouche et enfin….
‘….Aaaaa…lah ou akkkkkk…b…. !’
‘…C’est digne de votre part… ! Bon voyage en enfer hessel…. !’
SANS PAROLES.
BYE IMAMILI NEUWS.
Pièces jointes:
> Le Hamas refuse la livraison d’une cargaison de missiles lybie;
> Un quotidien égyptien, Al-Youm A-Sabi, nous apprend ce jour, d’après des sources chez les contrebandiers du Sinaï, que le Hamas vient de refuser la livraison de 28 missiles longue portée. Ceux ci étaient passé en contrebande depuis la Lybie jusqu’à Gaza en passant par le Sinaï ces derniers jours, mais ont été refusé par le Hamas avant leur passage par les tunnels.
> article_roquette
> Le Hamas se déciderait-il à arrêter ses activités terroristes ? Une trace d’humanité serait-elle apparu dans les cerveaux baignés de haine de ses dirigeants ? Auraient-ils décidé de rendre hommage à Stéphane Hessel, qui les présentaient comme un « mouvement social comme tous les autres » ?
> Que nenni, voyons. En fait, le Hamas aurait refusé la livraison parce qu’un expert du Hamas aurait découvert que les missiles avaient été équipés de dispositifs de traquage, qui auraient permis aux Israéliens de les suivre et donc de repérer avec précision leurs lieux de stockage.
> Selon Al-Youm A-Sabi, le Hamas a arrêté de travailler avec de nombreux contrebandiers du Sinaï, les suspectant d’être de connivence avec Israël, permettant à ceux ci d’avoir par le passé équipé de nombreux armes avec ces dispositifs de localisation, et ainsi de découvrir de nombreuses caches d’armes. Les sources du journal ont indiqué craindre pour la vie des contrebandiers, le Hamas ayant promis de « sévèrement les punir ».
BYE IMAMILI NEWS. LTD.Loin de Tout le Monde.
Pièces jointes:
ÔôÔôôôô… ! Mains moites.
Sur mon clavier sec
Sec comme la croute d’un pain
Rassis.
Elles suent transpirent
Mal à l’aise, elles le sont
Quel malaise… !
Cette nostalGIEEE…
Qui tarde à m’quitter… §§§
PaAAr tant de souvenirs
Me voilà toujours partant,
En tout temps
En tout lieu
Depuis longtemps.
Autant qu’elle m’inspire.
J’attends, oui j’attends le détail,
Qui viendra remuer mes méninges.
Moi l’enfant de la Goulette,
Ôôôô… Mémoire.. . .!
Sans moiré,
Ma nuit est aussi blancheµ
Que la lune qui m’surveille.
Tout est si clair
Si limpide en toi.
Ô mon esprit
Eveillé sur mes touches
Carrées, j’t’apote j’t’apote
J’papote et j’apporte mes délires
Sans fin d’ là bas.
Quand l’envie d’écrire me prend
Je deviens sourd derrière ma porte.
Ôooo Raison
Oraison sans fin
Horizon sans fin,
Quelle liturgie vas-tu encore
M’ souffler dans mes oreilles
Enchantées….
Sur mon…..Ancienne …. CITEEEEEE..///..
CHANSON EN HOMAGE A LA B’CHICHA.
Bichonnons notre B’Chchicha
Tout en chanson, B’chichons
Là avec amour et émotion.
Mettons- y les ingrédients
Sans oublier dragées perles et pignons.
Clés bagues bracelets en ornement.
Le tout bien mélangé dans la pâte brune
Je vous assure que cela est succulent.
Quelle dégustation mes amis.
Chiche de chiche on y ajoute
Aussi du backchich dans la B’chicha.
Allons chantons tout ensemble la B’Chicha.
Bichonnons là et surtout appréchions là
Notre belle et bonne B’chicha.
Somelier Richard DE FACE BOOK.
Je suis rentré hier soir dans la fête.
Dans un mariage .
J’ai déposé mon manteau au vestiaire.
J’ai reçu en échange un numéro.
Et voilà qu’une jolie dame bien seule, bien comme il faut, dépose son manteau
Sur le plan.
Elle était bien seule, lorsqu’elle rentra dans la salle des dialogues perdus, faisant mine de chercher du regard qq’un… qq’un qu’elle ne voyait pas.
Elle était bien seule à tous les buffets, la jolie dame, elle tournait en rond d’entre les buffets, d’entre les invités, elle se frayait un chemin celle que je suivais de mon regard compatissant.
Elle semblait chercher qq’un , oui il me semblait.
Puis j’ai compris, un verre à la main, qu’elle errait toute seule à la recherche de personne car elle était bien seule.
D’entres les tables, dans la salle, elle était assise devant des verres et des bouteilles qui accompagnaient sa solitude.
Elle était pourtant bien belle la jeune jolie dame brune qui tenait son petit sac à la main.
Je la regardais en détourant mon regard car j’étais bien gênée qu’elle fusse seule.
Elle regardait la scène, les musiciens, sans trop d’attention,.
Elle feignait d’écouter ce tintamarre d’enfer la solitaire. Elle était bien seule dans ses pensées, elle feignait de s’intéresser à ce beau monde en effervescence la jolie dame aux cheveux colorés.
Elle s’ennuyait ferme toute seule, les coudes posés sur la grande table, la femme qui n’avait plus 20 ans mais surement plus que 30.
Elle était pourtant très belle dans son pantalon, bien moulé son corps l’était.
Elle n’avait personne pour être accompagnée et c’est surement par respect qu’elle est venue honorer la fête.
Puis je l’ai vue se lever, je l’ai suivie du regard, elle s’en allait prendre son manteau déposée bien avant dans le vestiaire. Elle s’en revêt puis dans le hall allume une cigarette la jeune dame seule.
Je l’ai vue pour la dernière fois, s’éloigner emmitouflée, dans son manteau blanc et le sac sous le bras, sous la pluie qui tombait, et sa fumée qui montait.
Des femmes à la fête il y en beaucoup surtout bien accompagnées mais des dames solitaires dans une fête ne sont pas à la fête dans leur tête.
Je n’ai plus besoin de le répéter, je suis un grand observateur.
Je relève tout, je mémorise et je vous livre toutes mes annotations mentales sur cette société moderne dans laquelle je vis.
Et comme tout critique averti, je compare celle d’avant à celle d’aujourd’hui.
Je m’explique.
Avant lorsque bien jeune mes parents m’emmenait dans les fêtes mariages communions ( bar mitswa) etc… Mes oreilles indiscrètes captaient tout ce qui se disait à table.
Millie la belle fille de Tita…
‘..Chefta yé hméti ( yatic lahma aala kadeq = qu’il t’arrive une viande selon ton volume) mart Rachel, él rouba mta yam cacah, rajélè bijamé fél khir ou iye tamel él yar…( Tu as remarqué la robe de Rachel,( la maman du communiant) sa robe est d’un temps révolu, son mari pourtant est riche et elle est mal vêtue, quelle honte).
‘…Echmani ye benti, kol ouhed ou kifféch i hab il yiche ( Ecoutes ma fille, chacun est libre de vivre comme il l’entend)
Aujourd’hui ce mode de critique à haute voix est dépassé c’est le regard qui parle et d’après ce regard insistant, je devine les pensées.
La ‘hmé’ ( la belle mère) passe devant madame LEVY, une femme bien comme il faut, ‘noble’ de l’ancienne hara, mais habitant le 16iéme depuis l’an 2000 après J.C.
Elle toise de haut en bas donc Madame SARFATI la belle mère habillée comme une plouc. Elle ne dit rien mais son regard parle et je lis ses pensées.
‘…Mon D ieu, pour une femme qui a fait le tour du monde, comment se peut-il qu’elle soit vêtue ainsi. C’est pas une robe qu’elle porte mais une combinaison défraichie achetée à une vente aux enchères aux puces de MONTREUIL…Quelle honte vraiment …Le mariage de sa fille et ainsi vêtue c’est indigne d’une femme pareille… !’
‘…A quoi penses-tu chérie… ? Son mari.
‘…Je suis dans mes pensées… !’
‘…Tu ne veux pas venir danser… ?’
‘…Pas pour le moment, je déguste autre chose… !’
Elle continue dans ses pensées que je lis.
‘…Et rien ne va dans, rien n’est assortie on dirait un ARA décoiffé mais qui est son coiffeur elle qui se dit branchée à la dernière mode… ! A Juan elle fanfaronne et là elle ne claironne même pas avec cette tenue mon D ieu… !’
‘…Tu ne veux tjs pas danser chérie… ?’
‘…Non je suis occupée… !’
‘…Occupée à quoi faire… ?’
‘…Je dissèque… !’ Avant ce mot était traduit par ‘…KADDAA EN RAYECH…Je déplume…’ maintenant avec le progrès c’est JE DISSÈQUE…J’analyse… !’
Bref, elle continue à disséquer au tour du mari.
‘… Lui vraiment, avant j’aurai pu dire BALEITCHOU ( nain) aujourd’hui il ne ressemble à plus rien pas même à un KAROU MAROU ( minus) mon D ieu aucune élégance, aucune prestance, rien il est l’ombre de sa femme … !’
Enfin son mari…
‘…Chérie, il est l’heure de rentrer… !’
‘….Ah tu ne veux plus danser… ?’
‘…Mais il n’y a plus personne sur la piste et tout est éteint… !’
Madame à passer toute la soirée à critiquer dans sa tête.
Elle n était pas dans la fête mais dans sa tête à se faire plaisir. Lol.
Mon-Germain est chroniqueur dans le grand journal LA BREITOUNIA AND C°(
copinage) tiré à une seul exemplaire.
Alors que notre journaliste était chez lui assis devant à visionner un épisode du DR MATCHO….Il reçoit un coup de fil de Mr HAYRAULT
‘…Mr Germain… ?’
‘…Oui Monsieur à qui ais je l’honneur… ?
‘…De la part du président normal, il souhaite vous rencontrer demain matin dans son bureau… !’
Le lendemain matin, notre journaliste passe le grand portail de l’Elysée, saluant au passage les deux moineaux de sentinelles au garde à vous. GELES comme je ne vous dis pas. L’un d’eux s’est transformé en bonhomme de neige.
Il est introduit dans le grand palais. Un secrétaire l’invite à s’asseoir.
‘…Monsieur le Président, Monsieur Germain est là… !’
‘…Ah… ! Enfin… il a daigné me recevoir… !’
‘…Pardon… ! C’est vous qui le recevez… !’
‘…A cette mémoire, que serais je sans vous HAYRAULT.. !’
Enfin Mr HAYRAULT apparait devant le célèbre journaliste.
‘..Monsieur le Président vous attend Mr Germain… !’
Il rentre.
‘…Je tiens tout d’abord à vous remercier Mr Le Président pour l’honneur que vous me faites… !’
‘…Soyez précis et concis et venons en au fait… !’
‘…Les français Mr le Président se plaignent du… !’
‘…Ils ont l’habitude et ce n’est pas moi qui va changer leurs mauvaises habitudes… !’
‘…Ils se plaignent du froid, depuis que vous êtes au pouvoir, pas un jour où le temps n’est pas maussade… !’
‘…Et puis quoi encore… ! Ils ne vont tout de même pas me faire porter le parapluie sur le dos… ?’ Je n’ai pas le pouvoir de faire la pluie et le beau temps qd même…. ! Les caprices du temps, je n’y suis pour rien enfin… !’
‘…Oui mais pour les caprices de la Val-Twit… ?’
‘…Ah là je ne peux rien faire, elle me tient par les ….. !’
‘…Ses caprices … ! Le Pape Benoit XVI a démissionné qu’en pensez vous… ?’
‘…Vous n’allez quand même pas comparer mon élection à une élection faite par qqs vieux séniles cardinaux, j’ai été élu par 90 millions de français, non… ? Tous acquis à ma cause, à mes idées… !’
‘…Votre pré pré prédécesseur Mr feu le président Mitterrand aimait à dire qu’il était la FORCE TRANQUILLE… !’
‘…En effet à sa fin, il s’est converti aux FORCES DE L ESPRIT… !’
‘…Et vous, quel genre de force êtes vous… ?’
‘…LA FORCE France SEREINE… !’
‘….CELLE QUI GRATTE LES FONDS DES TIROIRS…. !’
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