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LE PTB ET MOI ZOUZ.

Envoyé par albert 
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
22 mars 2013, 04:36


iCI PAR CONTRE...LES PAROLES SONT CLAIRES...L HISTOIRE DE JOSEPH...LE TITRE DE DIAMANTA EST UNE ERREUR.
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
23 mars 2013, 12:43
L’immeuble YACOUBIAN....SUIVI PAR LE GENERAL DOU WIYOU.

Un écrivain égyptien a placé l’évolution d’une société égyptienne ancienne à une nouvelle société contemporaine, celle qui prévaut aujourd’hui en Égypte.

La seule Égypte que j’apprécie, bien que les Pharaons furent des tortionnaires et des assassins en ces temps là envers les hébreux, c’est celle que j’écoutais dans la radio, et que je voyais à travers ces films de rêve au Rex de la Goulette.

A part cela, elle peut être ce qu’elle veut, immeuble gratte ciel, monument ville astronomique, elle me laisse de glace.
Des immeubles comme ceux de YACOUBIAN, nous n’avions pas à la Goulette. Non. Pas plus de deux étages, terrasses, nechma, querelles, balcons MAIS boulitique non…’

Et qu’est ce qui avait changé dans les mentalités entre 45…ET ..89…. ! Rien, juste que les juifs ont commencé à partir des immeubles en 56 et les autres communautés dans la même foulée au vu des événements antérieurs à 67.
67 a vide des IMMEUBLES… ! Ceux de YACOUB…COHIN…ET COMPAGNIE…

Je suis un grand rêveur, ma grande célébrité tient à mes REVES… A MES DREAMS…Un seul DREAM a fait de FEU LUTER KING…Un mort ADULE… ! …UN HERO…
Il y a des REVES qu’il ne fait pas bon de REVER….Mais si vous ne rapportez pas votre rêve en public…Vous serez un moins que rien.

Les bons mots parfois ouvrent de grandes PORTES….
LE …’…WE CAN….’ De OBAMA…Juste DEUX MOT l’ont fais devenir président de la plus grande puissance mondiale. S’il avait dit ‘…I WILL… !’ Il serait SDF à l’heure où je vous écris.
Donc rêvez mais gardez vous d’en parler.

A SUIVRE…

LE GENERAL DOU WIYOU.

Imaginez qu’hier soir, alors que je roupillais et ronflais la bouche ouverte selon ma femme, je vois dans mon REVE, un général étoilé AMERICAIN… Debout devant moi accompagné par ses officiers et une armada de GI’S.

A cette époque, j’étais MAIRE de 1945 à 56. 11 ANS DE SERVICE….Basta, m’ont dit mes électeurs. Alors j’ai démissionné par la suite en emportant bcp d’argent, normal tous les Maires avant moi l’ont fait alors pourquoi pas moi.

Donc le GENERAL DOU… WIYOU….C’est son nom de GENERAL, (Son père était durant la guerre de SUCCESSION connu sous le nom de ADOU…BAIS…. Donc l’arrière petit fils DOU WIYOU me tient ce langage dans mon bureau.
Il parle un français estropié…

‘…Méssié Braytoute…. ! Jay une prépositioNNNe à vouy fayre… !’
‘…Mon général, dans une heure je dois tenir l’assemblée des élus sur diverses questions con…!'

‘…Kon…s…tatant que vautre ville est bélle, jé voudrais vous l’eychanygé contre lé plous bel immeuble de MAN HATTAN …. ?’
Le Maire Breitou ne semble pas bien comprendre mais le général se fait PLOUSSS précis.

‘…YESSS…. ! Jé veux prendre cette ville et vouy dédommagey…. ! Beaucoup plus chér…. ! Vouy démènagerié tous vers NEW YORK….La chemaine prochaine…. !’
Breitou tombe dans les vaps et ses chaouchs lui giflent le visage pour le réveiller et lui font boire de L ATARCHIYE.

‘…SMALLAAA AALIK..YE SIDI BREITOU….E’yè koum teoué nét’lew bi él kallouss e’dè… !’
( Que D ieu t’épargne, allez lève toi maintenant, nous allons nous occuper de cette crotte médaillée… !’)
‘…Lè … ! Non mes chers amis, je vais lui parler gentiment et il comprendra… !’
Breitou se remet de son malaise, ajuste son nœud de cravate et son veston. Il regarde dans les yeux le GENERAL DOU WIYOU.

‘…Mon général, je vous remercie pour cet échange mais avant que nous réfléchissions à cette grande opportunité, je voudrais vous servir un grand apéritif pas loin d’ici…Chez madame Jiji qui habite l’OUKALLA Lumbroso. … !’
‘…Ah che chera avec plaisir mr Le Maire…. !’

Toute la smala sort. Général, officiers galonnés, secrétaires, chaouchs etc ce beau monde monte dans les jeeps et dix minutes plus tard, ils franchissent la porte de l’OUKALLA. Un vrai cauchemar pour les amerlocs qui ne croient pas leurs yeux.

‘… May ché sale ici, Mr Le Maire, cha chent mauvais, dey ordures, des odeurs naucheabondes… !’

‘…Ne regardez pas cela, Madame Jini nous attend… !’
DOU WIYOU et Le Maire rentre chez Jini. Il y a la voisine Fatouma, les enfants Moumou, Irina, le petit dernier de Fatoula Rzouga, le mari Ben Yamine bref 15 membres éparpillés entre la salle à manger et le patio. Rentre aussi BERTINO le cocher…

‘…Zaretné brekha ye GENERAL DOU WIYOU….Ekââdou …!’ JINI
(Soyez le bienvenu mon Général, prenez place…!’)
Ils prennent place autour de la vieille table et là DOU WIYOU se voit servir des petits plats de salades assaisonnés, de la boukha de l’adam hout. Un apéritif…

‘…May qu’ech ces bonnes chose Mr Breitou…. ?’
‘…Oh ce n’est rien mon Général, juste qqs délicatesses offertes par la maitresse de maison pour vous souhaiter la bienvenue… !’
DOU WIYOU….Et sa smala savourent ces petites choses, il boit la boukha, trinque avec la jmaya coupe l’adam hout etc….
‘…Mais jé rêve Mr Le Maire… ! Comment che fait t’il que si pauvres, ils nous joffrent tout chelà… !’

‘…Mon général, vous m’avez proposé d’échanger notre ville pour un immeuble à MAN HATTAN à NEW YORK… ! Or mon général vous pouvez nous offrir le plus beau et le plus haut immeuble qui soit chez vous mais jamais mes administrés ne le voudront parce qu’ici nous aimons regarder nos amis, notre petite peuple avec une petite hauteur et non pas de haut. Nous aimons regarder notre plage et notre mer à hauteur des yeux, voir le BOU KORNINE tous les matins et entendre chanter les oiseaux du matin au soir c’est le plus grand des bonheurs que nous ayons. Marcher pieds nus sur le macadam brulant, sur la plage, manger des beignets sur le toit des voitures, pisser aux coins des rues pour soulager nos vessies pleines par trop de bière, c’est notre quotidien. Ce n’est pas en haut d’un immeuble moderne avec ascenseurs à n’en plus finir qui nous fera rire tous ensemble, ce ne sont pas VOS hamburgers qui feront plaisir à nos palais tunisiens mais des casses croutes faits chez BAR DAVID. Décortiquer des glibettes les pieds allongés sur deux chaises, ce n’est pas possible dans les halls de ce gratte ciel que vous nous offrez. Non mon Général, vous pouvez nous offrir les meilleurs yachts du monde qu’elles ne valent pas les barques de Bichi. Offrez nous les meilleurs des piscines que nous préférons la piscine des blocs Mon Général. Regardez autour de vous, pour rien au monde, JINI et les autres n’abandonneront leur canapé usé et ses voisines arabes, juives etc d’ici…. ! Pour rien au monde, ils abandonneront ces poules et ses coqs qui se promènent sous la table et qui chient sous leur lit. Non, le luxe ne leur appartient pas Mon Général, que sentez-vous là … ? N’est pas l’odeur du poulpe qui mijote dans l’air. …L’odeur du couscous qui se marie avec la Mloukhiya… ? Vous sentez la chorba au poisson… ? Croyez vous que dans le building que vous nous proposez nous aurons tout cela… ? Que voulez vous qu’on aperçoive du haut de cette tour de 120 mètres de haut à part vos grandes avenues enfumées… ? Croyez vois vous qu’ils abandonneront leur bila pour la nouvelle machine à laver… ? Leur savon vert BELDI pour je ne sais quel autre savon de marque… ? Non mon Général, ici nous vivons notre bien être qui se trouve là et pas ailleurs… !’

‘…Jé crois que j’ai compris...Mais qu’est ce donc chet viande là… ?’
‘…De l’akoud mon Général…. !’
‘…May che chi bon, je crois que je vais rester vivre avec vous dans ché cas là… !’
‘…Non Mon Général, ne peuvent vivre ici que des gens comme nous. Des goulettois et même si vous proposez cela aux NABEULIENS…AUX SFAXIENS … AUX SOUSSIENS etc…Ils vous répondront de la même façon que moi… ! Nous préférons les bas étages que les hauts STANDING…MORNES …INSIPIDES ET TRISTES…. !’
‘…Alors, je pars ailleurs, et je vous remerchi pour chelà… ! Mais queche donc chette odeur… ?’
‘…Ceux sont les égouts de la ville qui débordent Mon Général, mais on aime cela aussi en temps de pluie… !’ ’

PAR ALBERT ABRAHAM SIMEONI. ALIAS SOMMELIER RICHARD.


Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
23 mars 2013, 13:20
24 Décembre 2025.

TOUS LES EVENEMENTS CITES ICI NE SONT QUE PURE IMAGINATION. LES NOMS SONT IMAGINAIRES.

ABRAHAM LE DERNIER DES JUIFS FRANÇAIS.

Scénario catastrophe.


Il avait vêtu son dernier costume noir. Celui qu’il avait porté lors du deuil de son père Roger, décédé trois ans plus tôt dans des conditions mystérieuses, en plein Paris.
Son papa n’était pas le premier a trépassé de la sorte.
L’enquête conclue à un suicide. Bien avant lui, des jeunes juifs, des pères de familles, des jeunes filles étaient portés soient disparus soient enlevés soient carrément trouvés morts sur les pavés de Paris. Toutes les enquêtes menées par la police à majorité musulmane aboutirent soit à des fugues soient à des règlements de compte soient alors purement et simplement à des crimes crapuleux dont les auteurs se trouvaient soudainement volatilisés dans la nature.
Aucune d’entres elles n’avaient abouties comme par miracle.

Le CRIF malgré ses protestations véhémentes, ne trouvait aucune oreille attentive à ce qu’elle osait appeler le crime organisé contre les juifs.....


Cette appellation dans les journaux et dans les médias se sont emparés eut pour conséquence de traduire son Président Cohen Aboussara en justice pour ‘troubles à l’ordre public pour rumeurs infondées’.
Il écopa de six mois de prison ferme assorti d’une amende de 10 000 €.
Depuis cette affaire, le CRIF musela toutes ses déclarations au public.
Les juifs Français comprirent que la France avait pris un tournant politique dangereux et qu’il fallait prendre les devants et son destin en mains.

La vente des valises dans tout l’Hexagone s’envolèrent au grand bonheur des commerçants arabes qui essaimaient Paris et toute sa banlieue.
Les familles juives, toutes tendances confondues, comprirent le message et prirent le chemin de l’exil.
Qui aux U.S.A, qui en Australie, qui en Angleterre et un grand nombre en Israël. La grande Alya commençait.

A Suivre...

2°/


La première alerte fut donnée par l’assassinat d’un jeune juif du nom d’Ilan Halimi. Un crime odieux dont les auteurs à cette époque furent tous incarcérés et jugés sévèrement mais qui laissa des traces dans la mémoire collective de toutes les familles israélites de cette époque.
Les journaux et tous les supports médiatiques abondèrent sur les faits de ce qu’ils appelèrent le crime de la bande des Barbares.

Paris se dépeuplait de ses juifs qui vendaient leur commerce à bas prix à des musulmans.
Les boucheries Cacher baissaient rideaux d’une semaine à l’autre.

Bref, Paris se vidait au grand bonheur des islamistes qui voyaient d’un œil heureux enfin, Paris s’expurger des ‘youdis’‘riches, hautains et méprisants et des roumis’.

2012, voit la naissance d’un nouveau parti le P.I.F, le Parti Islamique Français.
Il est conduit par un certain Ahmed Larroussi, un musulman algérien de la tendance chiite française. Ses interventions sont rapportées par les medias et ses sermons prônés au nom de la démocratie vont dans le sens du changement de la constitution française, une remise en cause des libertés individuelles et surtout, il parle d’imposer la charia dans ce Paris où les femmes musulmanes portent toutes le hijab.

La Préfecture de Paris sous la pression d’un grand nombre d’islamistes décréta en 2015 que certains lieux publics seront réservés aux pieux musulmans. Que les femmes auront droit de porter le voile et que tout homme qui aborderait une femme voilée sans son consentement dans un lieu public sera poursuivi par la justice. Les délations en tout genre firent le reste.

Les élections présidentielles approchaient.

A suivre...





Elles étaient pour 2020. La campagne avait même commencée avant l’heure. Puisque certains tracs circulaient déjà dans toutes les banlieues parisiennes appelant à l’élection de ce Ahmed Larroussi, dont le père fut tué dans les djebels algériens. Il était grand émir de la célèbre branche d’AL QAIDA.

La France compte 55 millions de musulmans ‘français’ pour une population globale de 85 millions. Soit plus de la moitié arabisante. 25 millions d’électeurs ‘arbi’ contre 15 ‘franciss’. La joie et la gaité sous le croissant vert, les nouvelles mamelles de la France.

( là je suis en plein délire et je n’en peux plus de rire à mesure que j’écris, si ce scénario catastrophe se produisait et que je suis encore en vie, je deviendrai si BRAHAM EL RIH MATAOUASSAT. )

Dans les lycées et écoles, on n’enseignait plus les grands auteurs classiques français mais tous les grands auteurs arabes intégristes de ces dix dernières années.
Adieu Voltaire, Hugo, Maupassant etc...

Un grand nombre de rues virent leurs enseignes se transformer en prénoms et noms de héros du monde arabe ; afghans, palestiniens, algériens salafistes morts dans le maquis, tunisiens ou autres dans les champs de batailles etc...

Les Champs-Elysées, suprême honneur, se retrouva du jour au lendemain, suite à la proposition du maire Jean Luc Ahmed Naboulssi, dénommé ‘ CHAMPS D’HONNEUR EL QAIDA...’. La résolution fut votée à main levée seul Monsieur Pignon le dernier pur français de souche à voter fut exclu, jeté dehors parce qu’il osa s’abstenir.



A SUIVRE...



Les professeurs et doyens d’académies avaient tous des sobriquets qui commençaient par Sidi el Haj... ! Ou alors ‘ EL OUSTED... !’

On comptait plus de livres musulmans que d’encyclopédies
Françaises dans les bibliothèques.

Les deux télévisions nationales étaient sous la coupe des grands magnats pétroliers du golfe persique. TF1 est devenu ‘...EL SAOUT EL ARABI EL FRANSSAOUIA...’ F2 se transforma en ‘...ARABIA LOUHIDA EL MOKODSSA...’ Les autres télés disparurent au profit de ces deux dernières.

Quant à l’armée, elle était en grande partie dirigée par un état major d’obédience sunnite. Ce qui soulevait souvent des conflits avec les deux autres tendances, salafistes, et chiites.

Le nouveau visage de la France verte commençait lentement et surement.

Tout avait commence en ce jour du mois d’Avril 2013.
La ville de Lille tombait la première dans l’escarcelle du P.I.F. Le parti Islamique Français. Un raz de marée d’une telle ampleur qui laissa le champ libre à l’élection d’un nouveau Maire en la personne d’un islamique intégriste Anouar Slahdine. Puis ce furent les élections législatives de celui qui allait représenter le département.

Là aussi, ce fut le tsunami. Aboubaker Abdelmajid El Hosseini, grand imam de Lille fut élu au suffrage par un score hors norme.


A Suivre…





La classe politique française accusa le second coup et l’assemblée nationale reçue dans son hémicycle le premier député islamique pur et dur de son histoire en la personne de ce Monsieur qui prônait déjà la charia depuis des années.

Les premiers qui s’invitèrent au départ furent les juifs.
La plupart d’entre eux, en un temps record liquidèrent leurs affaires pour aller vivre sous de meilleurs cieux.
Lille se retrouva sans ses juifs.
Eparpillés entre Paris, Marseille et Israël.
Mais ce n’était qu’un commencement.


Abraham SMADJA , sa valise fermée, à ses pieds est assis sur le rebord de son lit, vêtu de son costume noir, Monsieur Abraham Smadja, attendait d’un moment à l’autre la voiture de son chauffeur particulier qui allait l’emporter définitivement en Israël pour rejoindre sa famille.

Sa femme Esther et ses deux enfants Shlomi et Avner. Le premier avait 6 ans et le dernier 3 ans.

Il était le dernier juif à lever l’ancre.

Ses parents sont d’origine tunisienne, son arrière-arrière grand père Maurice était ‘casse- croûtier’ en 1950 dans la célèbre avenue de Londres à Tunis ‘...Chez Maurice... !’.

Maurice décède en 1958. Laissant de grands enfants.
Dont l’ainé qui reprit l’affaire de son papa à 25 ans,
René

En 1961, la famille Smadja suite aux événements de Bizerte mit les voiles. Elle était française et n’eut presque aucun mal à s’installer à Paris. René récidive à Paris.
Il commercialise ce qu’il savait faire le mieux, la vente des sandwichs.

Il prospéra, d’autant que la renommée de son papa Maurice l’avait déjà suivie à Belleville bien qu’il ne s’y installe.


A Suivre...



6°.
1963, son second fils Victor Haïm Smadja 25 ans, après de brillantes études, décroche le diplôme de médecin généraliste tandis que son frère Salomon moins âgé que lui de 2 ans, préféra se lancer dans la comptabilité. Il devient expert comptable. Il s’enrichit très rapidement, bien plus vite que son frère ainé Victor qui lui ordonnançait.

Dans la famille Smadja, les frères et sœurs sont très solidaires. Voyant que son frère aine vivotait et avait du mal à décoller, Salomon le cadet lui propose une association. Ils ouvrent sur le Boulevard Barbés, un grand agence cabinet comptable LA FIDUCIERE SMADJA.

Puis une troisième en 1975, Boulevard Richard Lenoir gérée par leur sœur Adrienne et enfin le top des top en quatre ans plus tard, en plein avenue Champs-Elysées.

Les deux frères se marient avec des filles juives françaises d’origine tunisienne.
Ils sont riches et surtout bien installés.
Seule la sœur épouse un juif polonais.

Suite aux événements malheureux qui se produisaient, Abraham Smadja est le dernier de la famille à vivre seul à Paris, dans un grand pavillon surveillé par une société de gardiennage dont le gérant est aussi le PDG de la boite qui l’emploi. Une grande maison financière de courtage dirigée par un grand homme d’affaires Si Hassan, d’origine tunisienne.

Abraham avait tout vendu dans l’espoir de partir mais il fut retenu par ce PDG très humain mais qui rechignait à le laisser rejoindre sa famille.

Ce dernier à mainte et mainte fois retenu Abraham auprès de sa lui car il lui vouait une très grande affection et amitié. Si Hassan, tout comme Abraham Smadja ont des arrières grands parents Jerbiens.

Et c’est à ce titre que Si Hassan a décidé de rendre la vie de son protégé beaucoup moins pénible que toute cette communauté qu’il voyait fondre d’année en année suite à ce changement de régime tombé quelques années auparavant suite à l’élection du nouveau Président du PIF. Si Abderrahman El Zok Glami. Un islamiste pur et dur marié avec trois épouses, dix sept enfants. Elevé à la bonne école afghane depuis son jeune âge.


A Suivre...



Si Hassan ne cachait pas son dégout envers tout cette clique au pouvoir, qui transformait la FRANSSA en un gigantesque minaret dans lequel seule la CHARIA avait force de loi.

Quiconque, qu’il soit homme ou femme en âge de prier, s’abstenait de faire les cinq prières journalières imposées par le coran sacré, se voyait dénoncer par son voisin.

Chaque mosquée du quartier possédait son registre de présence. Un seul manquement aux obligations voyait son auteur recevoir dix coups de fouet sur la place de la Jamouriya el arabiya ( République Arabe).

Si Hassan poussait même, au vu de la religiosité de son directeur, à lui faire parvenir par des moyens détournés tous ses aliments Kacher d’Israël.

Si Hassan lui avait aussi attribué un chauffeur et une voiture personnelle, une Mercédès.

Si Hassan toujours lui, prévenant a poussé son extrême obligeance à assurer sa sécurité en faisant escorter la voiture de son protégé, par quatre barbus marocains armés jusqu’aux dents. Si Hassan était celui qui, lors des élections présidentielles, avait le plus contribué financièrement au Parti du P.I.F. Pendant des années. En contre partie, ses membres lui ont promis une immunité totale à son JUIF ABRAHAM.


A Suivre...



Malgré tout ce confort, Abraham se sentait mal à l’aise dans le pays de ces ancêtres. Comment se sentir bien, dans un pays qui, aujourd’hui est devenu l’exemple même des contres libertés, de l’unique religion inscrite dans la nouvelle constitution, dans ce nouveau visage politicien qui voit depuis bientôt treize ans, la charia pure et dure s’être imposée dans tous les tribunaux et dans l’armée. On coupe la main pour un vol, on lapide pour un viol mal défini, on tranche la tête sur le billot pour un crime.

A Marseille, dans certains cas, la justice islamique permet aux citoyens de choisir la sentence. Sans se faire prier, la ville de Bellevue-La Croyante a vu la roue se dresser et tourner en place et lieu de la ville. Et tous ses habitants psalmodier le nom de Allah en fouettant jusqu’à ce que mort sans suive, un jeune du quartier qui a eut le tors d’embrasser dans un lieu public sa cousine. Le premier à ouvrir la torture fut son père qui aux cris de ‘...ALLAH OU AKBAR... !’ Donna le signal de ce que la Presse Locale appela ‘...Le plus bel exemple de pureté... !’

Durant six heures, le jeune homme décharné, brisé, écartelés, en lambeaux, n’ayant plus aucune apparence humaine et recouverts par divers excréments fut donné aux chiens de la compagne avoisinante sans aucune autre forme de respect.

Le seul moment qu’il appréciait était la montée tous les mois pour rendre visite à ses parents et aïeux. A Pantin.
Là encore, Si Hassan avait construit tout autour de chaque tombe des membres de la famille ancestrale d’Abraham , une haute clôture afin de les protéger contre les vols en tous genres, il avait même poussé son devoir de faire surveiller chaque caveau de la famille Abraham par des caméras de surveillances. A la moindre alerte, un quarteron de sa garde privée débarquait en un rien de temps.





Abraham vivant, vivait très bien protégé, exactement comme une espèce en voie de disparition. Il était le dernier de cette espèce et bien sur, il n’osait pas fuir sans le consentement de son patron de peur de se retrouver un jour lui aussi abattu. Abraham n’avait pas confiance en son PDG. Il savait que lui, Abraham, servait honnêtement ses intérêts alors qu’auparavant tous ces directeurs islamiques l’ont tous sournoisement volés, escroqués sans qu’il ne puisse réagir au vu des liens particuliers que ces derniers entretenaient de prés ou de loin au pouvoir. Alors que Abraham, sérieux, honnête n’avait aucun lien avec ces gens qui auraient bien voulu le disparaître afin que la FRANSSA soit pure.
Il avait demande à plusieurs reprises à son PDG de partir mais ce dernier garder son passeport comme otage.

‘...Sidi, à quoi cela rime que je sois ici alors que ma famille me réclame, et moi je ne peux plus vivre sans elle, alors Sidi, soit je me suicide soit vous me rendez ma liberté, je pense vous avoir bien servi Sidi... !’ Lui dit t’il une semaine avant son départ.

‘...Je comprends et je vais te rendre ton passeport, retenir un ami aussi dévoué n’est pas dans mes habitudes. Je l’ai fait par égoïsme. Tiens donc, le voilà et tu es libre, j’ai déjà donné des instructions afin que l’on te donne toutes tes indemnités et une prime exceptionnelle, que D ieu te garde ... !’

Abraham n’en croyait pas ses yeux. Son PDG venait de lui remettre son passeport, sa liberté. Il était le dernier des juifs à partir en Israël.




10°

Il se leva de son rebord de lit et s’avança vers la fenêtre qui donnait sur le grand jardin. La guérite des sentinelles était toujours là et deux agents de la sécurité en armes veillaient au bien être du bon juif Abraham.

Son regard se porta loin vers le sommet de la tour Effel au bout duquel flottait le drapeau FRANSSA, quatre bandes avec un livre de coran en son centre.
Il pouvait aussi contempler les grands arbres qui bordaient la large avenue de son quartier.
Entendre la prière du haut des Minarets.

Tous ces voisins directs étaient des notables musulmans venus investir les lieux après la fuite d’un grand nombre de riches parisiens.

Même les pigeons de Paris avaient changé de couleur, leurs ailes étaient devenus vertes du moins, il les voyait ainsi.

Son départ était prévu pour seize heures pour le Caire.
Puis Direction Tel Aviv.

Il appela le chauffeur si Azzedine, un musulman d’origine jerbienne, aux petits soins pour lui.

‘...Azzedine, je désire avant de m’envoler définitivement rendre une dernière visite au cimetière, faire une dernière prière à mes parents et aïeux... !’
‘..J’arrive Abraham... !’

Une demi-heure plus tard, la grosse limousine, toutes fenêtres fumées fermées entra par le grand portail.
Elle stationna devant la grande demeure.
Abraham était debout devant le seuil de la porte malgré le froid qui sévissait depuis une semaine sur Paris.
Un temps de deuil.

Son chauffeur porta ses deux valises tandis qu’Abraham s’engouffra à l’intérieur. Il jeta un dernier coup d’œil à son pavillon et ordonna l’ordre du départ.





11°.

Une jeep militaire bâchée suivait la luxueuse voiture qui fila à vive allure vers le cimetière de Pantin.

La sentinelle vérifia à sa rentrée et sortie, les papiers de Abraham et autorisa le passage. Pas une âme qui vive d’entre les allées, pas une fleur, pas un pot rien que des tombes laissées à l’abandon ou carrément démolies sinon disparues. Même les morts juifs ne furent épargnés de ce qu’on appela au début de la prise du pouvoir ‘...Le jour du nettoyage... !’ Sauf que les tombes furent mises à sac.
Triste souvenir d’une époque qu’on croyait révolue.

Enfin, Abraham demanda au chauffeur de s’arrêter dans l’allée des Marronniers, là où étaient ensevelis ses ancêtres et ses parents. Il descendit, se coiffa de la kippa et lentement, il foula la neige du sentier qui menait aux tombes de ses proches. Il se mit à pleurer à chaudes larmes tout en marchant et à demander pardon. Son chauffeur prit par l’émotion lui couvrit les épaules par ses bras et tous deux pleuraient à chaudes larmes, le juif et le bon musulman ne faisait qu’un par l’émotion.

Ils étaient là, tous les deux, l’un à prier en arabe et l’autre la prière des morts sans faire le kaddich.
Abraham malgré le froid, s’agenouilla sur la tombe de ses parents pour embrasser cette couche de neige qui protégeait le granit.

Il se releva et refit le chemin inverse.
Direction l’aéroport. Son chauffeur ne le quittait pas des yeux et une milice composait de quatre gardes du corps le suivait dans toutes ses démarches. Il avait en poche un document stipulant que Abraham était en instance de départ que tout devait lui être facilité.

Il enlaça une dernière fois son fidèle chauffeur puis composa le numéro de son patron afin de le saluer une dernière fois.
En homme respectueux et droit, il avait accompli avec honneur tous les devoirs d’un bon citoyen juif français avant de quitter sa patrie.

Ainsi ABRAHAM regagna son nouveau Eldorado, Israël par un après midi gris, maussade et lugubre.

Il était le DERNIER DES JUIFS FRANÇAIS.

En Allemagne....


Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
25 mars 2013, 02:27
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
25 mars 2013, 02:50
Dans qqs heures, nous serons tous à table.
Autour du shistout.
Dans qqs heures le YETMOUL.
Dans qqs hures, le shistou tournera 7 fois au dessus de nos têtes.
Dans qqs heures, nous lirons une nouvelle fois la HAGADAH la grande aventure qui a fait de notre peuple un peuple libre. Ce soir nous commémorons l’abolition de l’esclavage. Les premiers à l’avoir aboli et les premiers à l’avoir inscrit dans nos saintes écritures.
Cet exemple fut suivi par tous les peuples épris de paix, de justice et de liberté.

Dans la HAGADAH, nos rabbanims ont expliqué chacun à sa façon la symbolique des plaies mais plus est, elle donne la parole à quatre individus de différents caractères dans leur façon d’interpréter le cours de ces événements d’autrefois cela veut dire quoi… ? Cela se traduit par la libre pensée . Qu’il soit sage, benêt, instruit ou mécréant chacun a son mot à dire.

Aujourd’hui encore cette libre pensée de tout un chacun n’a jamais été remise en cause.

Nous, peuple de la liberté, avons le don d’écouter, d’interpréter, mais de ne point juger. Car nous avons compris et depuis longtemps que SEUL A CHEM juge. Pas les hommes.

Je renouvelle une nouvelle fois tous mes vœux de joie, tous mes vœux de bien être à tous nos membres d’ici et d’ailleurs.
Que la fête commence sous de bons auspices. Dans la paix et la sérénité.

Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
25 mars 2013, 09:56
tous mes voeux aussi pour toi cher ami et chers lecteurs que cette féte

apporte son lot de joie et de bonheur et la paix dans le monde et plus

particulièrement à tous les juifs à travers le monde qui se soir seront

tous réunis pour féter Bichah avec son shichtou comme tu l'écris si bien


cordialement,
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
27 mars 2013, 03:54
Premier soir de Pessah.

Une grande table et une autre de moindre importance. 15 Chaises autour de la table.

Le service de table était posé sur les deux tables depuis 18 heures.
Le shistou en seigneur bien couvert semble s’impatienter.
20 heures 13 les premiers invités. 20 heures 45 tout le monde est là soit 15 personnes triés sur le volet.

La première mi-temps du sedder commence sous de bons auspices. Ambiance, blagues à chaque arrêt d’un passouk, reprise, relance et rebelote lorsque soudain vers les 22 heures 45.
Je me lève et là je vois devant moi, presque bavant, mon voisin du dessous, bien pâle, les yeux en colère me dire…Sans dire bonsoir ni bonjour…..

‘…Ah ce n’est pas possible, ma femme est malade, le bruit des chaises, des talons etc…. !’

‘…Mais Mr Rabarot, hier matin, nous nous sommes croisés dans la rue et je vous ai averti que j’organisais deux fêtes en l’honneur des membres de ma famille … ! Vous avez sourit et vous m’avez dit ‘…Très bien… !’
Il devient menaçant mr le gendarme à la retraite et essaye de me prendre de haut, je m’avance menaçant vers lui et pour un peu nous n’étions pas loin d’en arriver aux mains si ce n’est que mes convives nous ont séparés…

‘…Dites moi Mr Rabarot, et si c’était Noel, seriez venu vous venu me voir… ? Ca fait 20 ans que je suis ici et jamais je n’ai fais de remarques aux voisins du dessus lorsque leurs enfants jouaient avec leurs billes sur le carrelage , jamais je ne me suis plains du PIANISTE DU DIMANCHE qui joue ses accords imparfaits à 9 heures du matin, jamais je ne suis venu me plaindre de vos odeurs dans le hall, du poulpe infecte que vous cuisinez, odeurs nauséabondes, jamais je ne suis venu vous dire que votre cocotte minute est sur le bord de votre fenêtre depuis deux semaines ce qui est interdit par le règlement de copropriété et vous venez me parler de nuisances ce soir alors que nous sommes tous en chaussettes… ? Que nous ne chantons pas ni dansons… ? Dites moi à ce que je sache, ce n’est pas un cimetière cet immeuble, comment faire pour marcher… ? Ramper pour vous faire plaisir ….???? Cela fait deux ans que vous êtes devenus propriétaire, locataire vous ne disiez rien, et si vous êtes président du syndic bénévole c’est nous qui l’avions décidés. Vous ne faites pas honore à votre ancienne fonction de médaillé militaire parce que tout d’abord, on dit bonsoir lorsqu’on frappe chez les gens, et on parle gentiment sans s’emporter, dc vous avez tout faux et en plus vous étiez prévenu…. ! Ce n’est pas parce vous êtes ancien gendarme que vous allez me soumettre à vos caprices de vieux… ! Donc le sujet est clos. Et demain soir c’est 30 personnes chez moi, vous voilà rassuré… ! Et si c’était Jésus et les dix apôtres qui étaient là à partager la galette vous seriez venus les gronder…. ? Nous sommes seuls à longueur d’année ma femme et moi et vous venez ce soir ‘casser’ notre fête… ? Allons allons Mr Rabarot, retournez chez vous… ! Et fermez là…. ! Priez le Seigneur que cela ne soit pas des arabes ou des africains à ma place… !’

Voilà comment je l’ai remis à sa place. Ce con.
Hier soir, nous étions deux fois plus et bien sur, il n’est pas monté.
GBAR FEL JEBANNE.

Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
28 mars 2013, 10:39
Mon_Germain grand reporter mondialement connu à la BREITOUNIA AND C°, tiré à une seul exemplaire pour ne pas concurrencer le CANARD ENCHAINE a décidé pour ne pas s’ennuyer
De travailler chez son COUSIN Albert S. Perruquier, APHRO-COSMETEUR MARABOUT.
Il accueille les clients et voilà que soudain, il voit dans l’encadrement de la porte la silhouette de notre cher et ancien président SARKO.
Personne ne le reconnait sauf MON_Germain..

Il va vers lui il est accompagné par sa femme CARLA.

‘…Monsieur l’ex président… !’
‘…Chut, oubliez ex parce que dans qqs années, je remonte sur les planches… !’
‘…Excusez- moi Monsieur le futur Président, mais que nous vaut l’honneur de votre visite….?’
‘…Ecoutez, votre renommée est reconnue de part le monde, voilà, je voudrais acheter une perruque pour me camoufler…. !’
‘…Mais vous cacher de qui Monsieur le futur… ?’
‘…Vous savez bien que je suis poursuivi…. ?’
‘….Ah, je l’ignorais mais pas qui… ? Les africains de BARBES… ? Les sans papiers … ?’
‘…Non…Non…Pas du tout, par une injustice…. !’
‘…Poursuivi par une injustice, vous… ?’ Elle est où celle là que je lui dise deux mots… !’

Carla

‘…Alors tu te dépêches chéri… ! Je dois jouer dans le métro Bastille…. !’
‘…Oui chérie, je me dépêche… ! Bon montrez qqs échantillons assez discrets quand même… ! Mr Germain… !’
‘…Bon je vous propose cinq modèles….La Chirac… !
‘…Ah non pas celle là, elle risque de ne pas tenir en place… ! J’aurai le vertige… ! Et puis la porter sur ma tête ca me fera ressembler à tête de veau… !’
‘…Bon alors, la MELENCHON…. ?’
‘…AHHHHH…Vous plaisantez, pas elle surtout pas elle, elle est si excitée que je risque de la perdre en cours de route… !’
‘…Bon alors essayez la HOLLANDE…. !’
Là il titube, il bégaye, il se retient en s’accrochant à sa femme… !’
‘…C’est pas dans vos cordes à ce que je vois… ! Alors j’ai reçu la toute dernière COUPE CARRE avec une mèche colorie jaune…. !’
‘…Comment s’appelle t’elle celle là…. ?’
‘…PERRUQUE GENTIL…. ! Elle ne coute que TROIS BALLES… !’
‘…AHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH….QUE QUE QUE JE ME MEURS….SUR LE CHAMP….. !’
‘…Allons chéri, après tout, TROIS BALLES….C’est dans nos moyens…. !’ Carla.
Il ressort plus court qu’auparavant bien CARRE.

Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
28 mars 2013, 11:42
Voilà lorsque la fête se termine, les invités sont partis.

Les enfants rentrent chez eux ainsi que les petits enfants, seuls les lampes des lustres illuminent le silence qui reprend ses droits.

Et moi je reste là assis, sur ma chaise à regarder l’insipidité qui défile devant mes yeux, cet écran monotone qui ne me raconte rien de beau.

J’ai baissé mes volets. La nuit est noire.
Salon du silence.
Vaisselles éparpillées sur la table.
Nappe tachée de vin.
Fruits non entamés.
Restes de repas s’alanguissent d’entre les bouteilles.
Le Shistou a perdu de sa Noblesse. Il ne règne plus.

Tout est sens dessus dessous comme mes pensées qui parlent toutes seules en disant ‘…MARA AAM AKHER BEL ZIEDE OU MOUCH BEL NAKSS…. !’ C’est le souhait que tout le monde juif dit dans sa tête ou en famille lorsque les joues se bisent.

Les fêtes c’est toujours beau, magnifique magique, au début et lorsque les lampions s’éteignent

On retrouve son lit à deux, l’odeur des petits enfants collés aux oreillers. Les draps défaits, les jouets épars, et je me dis en moi-même ‘…Merci Mon D IEU de ce que tu m’as donné… !’
L’argent ne rigole pas, l’or se cache, les bijoux c’est pour frimer, du tape à l’œil, mais tout cela n’est rien lorsqu’ ils viennent me dire ‘ …Papy, merci… !’ Avec des yeux rieurs en rajoutant ‘..JE T’aime papy… !’ Quel bonheur… !’
Gouter à cela lorsqu’ils nous restent plus qqs ampoules allumées pour éclairer le restant de notre vie, c’est ce dire toujours ‘…Après tout, la vie…EST BELLE…Merde… !’
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
28 mars 2013, 23:34
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