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LE PTB ET MOI ZOUZ.

Envoyé par albert 
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
13 novembre 2009, 05:16
Tres Cher Albert

Merci pour ton généreux message.
La preuve que tu as pris la bonne décision, ce sont tes deux derniers poèmes pour les Petits.

Quel délice, j’aurai tellement aimé les avoir écrits moi même, je les vis chaque jour, mais ne pouvais les exprimer comme tu le fais, toi. Merci et ne t’arrête pas !!!

Et Shabbath Shalom a toi et a tous nos amis.
.
Pièces jointes:
ShSh131109.JPG
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
14 novembre 2009, 12:02
BRAHAM a écrit.

Tres Cher Albert

Merci pour ton généreux message.
La preuve que tu as pris la bonne décision, ce sont tes deux derniers poèmes pour les Petits.

Quel délice, j’aurai tellement aimé les avoir écrits moi même, je les vis chaque jour, mais ne pouvais les exprimer comme tu le fais, toi. Merci et ne t’arrête pas !!!

Et Shabbath Shalom a toi et a tous nos amis.


Je t'ai promis de revenir, bien que mes taches m'occupent.

Je reviens aussi parce que tu honores par tes fleurs le SHABATH au PTB.
Ça je ne l'oublie pas et c'est par respect pour toi que je réécris
ce qui bourdonne dans mon cœur.

Par respect aussi pour , Mamili, Eliane, Monroe et compagnie, mes fidèles compagnes que je le fais.

La valeur des écrits ne s'apprécient que si l'on a du cœur.

Voilà donc pour vous...


CAPITAL.



J’ai repris mon stylo de pèlerin.

Sur ma ligne de métro, ma main
Bien molle depuis quelques matins,
Soudain se réveille sur mon long chemin.

Le malin sans doute, oui je suis certain.

La santé est notre seul capital.
Tout le reste que dalle.
Le fric… ? L’entretient cette belle Dame
Mais ne remplace jamais nos bambins.

Je le clame.

‘…Pour un cheval… !’ Avait t’il gueulé
‘…J’offre mon empire...!'A son valet.

D’autres auraient hurlé…

‘…Pour un bambin, ma fortune et mes biens… !’

Pour nos bambins, ‘…Mille haras… ! ‘ Je hurle

‘…Ne valent pas leurs petites rognures… !’

Nos enfants, biens de D ieu, sont notre héritage.
Les petits enfants, les intérêts que l’on partage.

Je suis très intéressé par mon vieil adage

‘ … L’enfant est l’avenir de l’homme et de la femme.. !’

Je ne me lasserai pas de le dire
Haut et fort jusque au fin fond de mon empire.

A tous nos enfants et nos petits enfants
Me faisant bien sage depuis longtemps
Je leur souhaite le meilleur des présages.

Albert.


Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
14 novembre 2009, 13:07

MAM’ZELLE SHARON.

Oui, je l’avoue.

Il m’a suffit
D’entendre ce petit mot,
15 ou 16 mois après sa naissance.

Autant de lunes sont passées depuis longtemps
Pour apprécier enfin, sur ses petites lèvres roses,
Prononcer 4 petites lettres.

Deux consonnes et deux voyelles
'...Papi...!'

Un Joli carré d’as
Qu’elle a apprivoisé sans retard,
A force d’être répété par sa mère.

Il m’a suffit d’entendre ce petit mot,
Si beau et si modeste, chouchoutter mon ouïe,
L’union de deux consonnes et deux voyelles
Qui n’ont pas perdu une seule ride,
Mais qui ont ajouté sur ma vie
Une résonnance,
Pour me dire

‘…Comme c’est Meveilleux… !’

Du coup, me voilà propulsé
Dans cet univers,
Chargé d’affection, d’amour et de douceur.
Où paissent les vieux,

Un univers où règne Reine Tendresse.

Elle triple et quadruple la fibre sur le champ.
Selon que la moisson porte ses fruits.

5 ans plus tard,

Mam’zelle Sharon se prend des grands airs.
Caprices à gogo, je suis la faute.
Qui en secret la rend ‘mah’loula*( Gatèe)
Elle m’en impose et dispose.

Bien plus haute que le rebord de la table
Elle me dicte sa volonté à l’insu de sa maman.
J’obéis et ne renie
Ni renâcle dans mon tabernacle.
Qu’elle ouvre son p’tit bec
Et Mam’zelle est servie.

Assise sur le sol marbré
Elle se prend à dessiner.
Au grenier ses vieux jouets
Elle dit qu’ils sont surannés.
Leur temps est passé.
Ils ont flétri.

Elle colorie ses ROIS et Princesses
Par des feutres couleur arc en ciel.
Elle marmonne pendant
Sur le choix du pastel.

Sans cesse sur son ouvrage
Mam’zelle peinturlure
Mille feuilles à peine consommées.

Sa sœur Léna, Titine, pour moi,
Du haut de ses trois pommes, arrive
Sur l’instant.

Elle toise sa sœur et fait sa moue.

Sa couche pendue entre ses jambes joufflues,
Elle inspecte Madame, le grand bizutage
De Mam’zelle.
Donne son avis sur la chose.

‘…C’est pas beau… !’

L’art de la critique n’a pas d’âge.
Qu’importe, elle est bien sage.

Albert.

A Bientôt BRAHAM.
RM.

Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
16 novembre 2009, 11:41
Source Wilképédia.



Chassée d'Espagne, elle s'est installée à Venise. Au XVIIIe siècle, elle s'est installé dans l'Empire ottoman, à Constantinople pour exercer le rôle de banquiers de l'Empire ottoman. A la fin du Second Empire, les Camondo se sont installés en France, à Paris, Rue de Monceau.

En 1870, Abraham Behor et Nissim de Camondo ont été nommés comtes héréditaires par Victor Emmanuel II, roi d'Italie. Leurs fils, les cousins Isaac et Moïse de Camondo ont été banquiers et collectionneurs. Isaac a légué ses collections au Musée du Louvre, Moïse a fondé le Musée Nissim-de-Camondo.

Le nom de Camondo est aujourd'hui éteint.
Généalogie

Abraham Salomon de Camondo (1781-1873)
x Clara Lévy (1791-1866)

├──> Isaac Camondo (? - 1832) (sans postérité)

└──> Raphaël Salomon de Camondo (1810-1866), banquier
x Esther Fanny Fua (1814-1880)

├──> Abraham Behor de Camondo (1829-1889), banquier
│ x (1847) Regina Baruch (1822-1905)
│ │
│ ├──> Clarisse de Camondo (1848-1917)
│ │ x (1867) : Léon Alfassa (1849-1920), banquier
│ │ │
│ │ ├──> Rachel Alfassa (1869-1889)
│ │ │
│ │ ├──> Albert Alfassa (1871-1893)
│ │ │
│ │ ├──> Georges Alfassa (1872-1919)
│ │ │
│ │ ├──> Alice Alfassa (1874-1926)
│ │ │
│ │ ├──> Maurice Alfassa (1877-1926)
│ │ │
│ │ └──> Marguerite Alfassa (1880-1961)
│ │
│ └──> Isaac de Camondo (1851-1911), banquier, collectionneur
│ avec Lucie Bertrand (n. en 1866), artiste lyrique
│ │
│ ├──> Jean Bertrand (1902-1980), romancier (non reconnu)
│ │
│ └──> Paul Bertrand (1903-1978), artiste dramatique (non reconnu)


├──> Nissim de Camondo (1830-1889), banquier
│ x (1855) Elise Fernandez (1840-1910)
│ │
│ ├──> Moïse de Camondo (1860-1935), banquier, collectionneur,
│ │ fondateur du Musée Nissim-de-Camondo
│ │ x (1891) : Irène Cahen d'Anvers (1872-1963)
│ │ │
│ │ ├──> Nissim de Camondo (1892-1917)
│ │ │
│ │ └──> Béatrice de Camondo (1894-1945)
│ │ x Léon Reinach (1893-1944), compositeur
│ │ │
│ │ ├──> Fanny Reinach (1920-1943)
│ │ │
│ │ └──> Bertrand Reinach (1923-1943)
│ │
│ └──> Jacques de Camondo


└──> Rebecca de Camondo (1832-1863)
x (1850) Michel Halfon (1829-1890), banquier

├──> Regina Halfon (1851-1922)
│ x (1870) : Isaac Illel-Manoach (1848-1881)
│ │
│ ├──> Manolo Illel Manoach
│ │
│ ├──> Robert Illel Manoach (1875-1935)
│ │
│ └──> Irène Illel Manoach (1878-1920)
│ x Camille Erlanger (1863-1919), compositeur
│ │
│ └──> Philippe Erlanger (1903-1987), historien

├──> Salomon Halfon (1854-1923)
│ x (1879) : Alice Rodrigues-Pereire (1859-1931)
│ │
│ └──> Nadine Halfon (1885-1928)
│ x Pedro Heeren

├──> Hortense Halfon (1858-1932)
│ x (1877) : David Alexandre Ellissen (1842-1891), banquier
│ │
│ ├──> Sophie Ellissen (1878-1965)
│ │ x Max Lazard (1875-1953)
│ │
│ └──> Germaine Ellissen (1882-1943)
│ x Louis Helbronner (1876-1914), avocat

└──> Esther Halfon (1859-1941)
x Moïse Hafon (1851-1923)

├──> Robert Halfon (1881-1961)

├──> André Halfon (1887-1917)

└──> Irène Halfon (1893-1972)
x (1916) Robert Anspach
(1893-1971)


Éteinte parce que déportée par les nazis et exterminée dans les camps.

Lire dans la rubrique CULTURE ' A LA RECHERCHE DES CAMONDO
.




[www.genami.org]
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
16 novembre 2009, 12:27
En visitant l'exposition La Splendeur des Camondo au Musée d'art et d’histoire du Judaïsme à Paris j'ai découvert un fruit que je ne connaissais pas : la main de Bouddha qui est un cédrat particulier (Citrus medica var. sarcodactylus) qui ressemble à une main avec de nombreux doigts.

La famille Camondo, originaire de la communauté juive de Turquie, a légué à différentes institutions des dizaines de tableaux de grands maîtres ainsi que des objets d'art de très grande valeur. Parmi eux on trouve une main de Bouddha en jade. Leur ancienne demeure, léguée à le Ville de Paris, a été transformée en musée.

On voit ci-dessous la photo du fruit [fr.wikipedia.org] et celle de l'objet en jade légué par les Camondo, originaire de Chine (XVIIIème siècle)..

Pour découvrir l'exposition (à voir absolument)

La Splendeur des Camondo
De Constantinople à Paris (1806-1945)
Du 6 novembre 2009 au 7 mars 2010

[www.mahj.org]
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
16 novembre 2009, 12:32
Le parcours de nos enfants et petits enfants ressemble fort au notre, selon l’époque.

Je n’ai pas connu dans mon jeune âge le YOUPALA. Mes enfants non plus.
Ce moyen de trottiner, premier apprentissage pour la future marche du nourrisson vers les 12 OU 13 mois, n’a plus court aujourd’hui. Il parait qu’il déforme les jambes des touts petits.
Retour donc à Mère Nature. Ils marcheront à tâtons, en prenant comme appuie dorsal le mur.

Petits pas deviendrons grands.

Arrive la crèche. J’ai échappé à cette communauté de bambins rampante. Ramper égale YAH’BOU.
La maternelle. Là aussi, chance ou malchance, je ne l’ai pas connue.
J’ai commencé à parler très tard, depuis je me suis largement rattrapé.

Puis voilà les premières petites classes. Les petits soucis commencent, croissent plus tard au lycée.

Enfin,la Fac pour les intelligents inversent les rôles des soucis. 80% pour eux 20% pour nous.
L’angoisse de l’attente des résultats.

Et surtout, que va-t-il faire… ? Mon fils… !’

Après la fac, et l'obtention du diplome, il faut travailler.

Les parents soupirent pour la troisième question qui va-t-il ou va-t-elle épouser...?

Là les grands soucis prennent la forme d’un TSUNAMI. Noire, Blanche, Jaune, youdiya, arbiya, griquiyé, griméle( athée) rabine ( religieuse)…. ? ‘…Mon fils choisi la meilleure…Dans notre religion si possible sinon nous mourrons ton père et moi… !’ Enfin il a choisi, il en parle à ses parents.

‘….BABOUSS EL BAGRA MOUCH MENE… !’

Est ce que la queue de la vache ne fait PAS partie de son corps…? C'est-à-dire qu’ils sont aussi partie prenante du choix de leurs fils. Mnihé ( bien) , douniye (méchante), a’qla (sage), maboula ( folle), msei’tna ( agitée), co’diana( fille de maison) bent nech ( fille de famille).

Bref KARRA OULLE NOUVI...? Comme au tirage des cartes dite chkoba. 2 pics, défaite, un 9 c’est la meilleure. Rarement les enfants tirent un 9 lorsqu’ils vont prendre une fille. Souvent un 4 ou un 5. Et encore. Je n’ai pas vu une seule maman tune dire ‘…MON FILS…. ? Il a eu de la chance… !’ Ça c’est pour les voisins mais une fois chez elle
c'est un autre son de cloche surtout si la jeune fille à 20 ans de différence avec son époux.

'...KHDA OU4EHDA CHERFA....!' Il a épouser une RASSIS.
Cad oumou...!' L'age de sa mère.

Si ce n'est pas '..KHDA OUEHDA KAHBA...!
il a épouser une pute.

Mon père vivant aurait dit '...NAREF ALLA RABA E'HNE...? Qu'est ce que j'en sais moi. Juron.

‘…Hou ââl mejel OULDI… ! Avec qui il est tombé… !’ ( Maleureux est la chance de mon fils… !’….. !°
Le sort de la belle fille est scellé…’…I’ YA MTANA E’DI…. ?’( Est-ce qu’elle est faire pour nous celle là….)
Comme le dit ma mére HAYE ‘…CHOUFF EL BORMA…Ye OULDI…!’ Sous entendu telle mère telle fille, regarde la maman est tu auras une idée fixe sur la fille.)

Malheureusement, combien de BORMAT ont paru sages et biens alors que les filles ressemblaient plus tard à des casseroles. Hélas le chââd et le mezel (La chance et le bonheur) ne sont faits pour tout le monde.
Vous la prenez RASS OUATI, touli GHOULLA une fois marièe.
( Tête baissée et elle devient ogresse… !)
Ou ECHCOUUUUN I NEJJEM ALLIEM… ? Cen RABI F2L CHME…!’
(Et qui oserait les confronter…? A part D ieu dans son univers… !)

Et voilà donc les parents confrontés à d’énormes soucis. Idem pour le garçon.
Les orphelins ont de la chance, ils sont dispensés de parents.

La vie suit son cours.
Et les enfants ont leur parcours.

Bref, arrive les petits enfants.
Retour à la case départ.

Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
16 novembre 2009, 12:54
Encore heureux que cela ne fussent que des CEDRATS, c'est tout dire. Meyer.
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
17 novembre 2009, 10:54
MESDAMES ET MESSIEURS,
Du moins pour ce qui en reste, donc pour les restants...



EXCEPTIONNELLEMENT ICI LA PIÈCE DE DIAMANTA.
Puis ailleurs.

Introduction/

Ceci est une chanson de geste,
Qui possède tous les éléments du drame populaire
Je l’ai entendue chantée il y a quelques années lors d’un mariage par le très célèbre DOUNKHA. J’ai été très ému en l’écoutant.
Et bien sur j’avais demandé au chanteur de me la transcrire.
Malheureusement, il ne tint pas parole.
Voilà que dans ma messagerie, j’ai la surprise de trouver la transcription des paroles de cette chanson, ce conte,
Réalisée par mon ami Braham.
Je vous en fait part avec bien sur la traduction en bas de page.
Traduction, qui sans fausse modestie ne pourra jamais
Retransmettre ni le rythme, ni la musique intérieure
Des beaux quatrains de cette Chanson
Chantée dans cette langue en judéo arabe par les juifs du Sud
Tunisien, elle prend toute sa dimension.
Les paroles sont très émouvantes,
Une aubaine pour ceux qui maitrisent la langue de nos ancêtres.
Pour essayer de combler cette lacune, j’ai apporté quelques lignes a ce chant ancien en judéo-arabe
Il y a qqs années, j’avais fait un opéra de cette pièce, passé dans l’ancien PTB, prenant comme repaires les paroles entendues lors de cette fête, qui n’ont rien a voir avec l’original du texte.






DIAMANTA

(Pour le Lecteur qui ne comprend pas le Judeo-arabe Tune
Sois patient ! La traduction suivra la transcription.)




A Suivre très prochainement.






EL HOB CIME NAWARA....SOB'LOU EL ME...OU DIME YEN'BA...!

L'amour est comme une fleur, arrosez le et il fleuri toujours.



MERCI BRAHAM POUR TA COLLABORATION.

Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
17 novembre 2009, 11:58





KASSAT DIAMANTA


Mlzoumet eltafla Eldiamanta
Qatabha Haii Sarfati, elli ma’rouf basm Akhou Beya
Au violon BRAHAM.
Kanoun…Luth CAMUS.
Flute Meyer.

Breitou chante d'une voix triste.


‘…Ahhh…Ahhhh…Ye ness, ye nessSSS….§§§§§…ESSSS….!
Yah’kiou fél medina, fél medinaAA,
Fél saoua ou fél ghéba, ou fél sah’ra , hca’ye. H’caye élli khe’let lah’raj téb’ci… !
Bcouew fél sahra, taht él rih ouel neou, taht él temra ou taht él njoum el sa’fin…
B’couew fél k’ssarat él melecin oul melecat.
Fél ghar, ou fél gourbis, mél FOUM TATAOUINE hatte TBARKA. B’couew.
Ye shems o’rcod fi âin el m’achouc calbou sécen el hazin. C’ouat alli él hob, ou mes’cin rcad, hayétou che’da ââli mec’toub âând rabi sebhanou…!!!

'...Oyez, bonnes gens, on raconte dans la medina, dans la champagne et les champs désertiques, et même dans le désert du SAHARA Une histoire qui a fait pleurer les pierres. Ils ont pleurés dans le désert, sous le vent et la pluie, sous les palmiers dattiers, sous les pures étoiles. Ils ont pleurés dans les châteaux les ROIS ET LES REINES.
Dans les ‘gorfas’ et les taudis, de FOUM TATAOUINE jusqu’à TABARKA, ils ont pleuré.
‘…SoleiIIl arrête ta course… ! Dans le regard du jeune amoureux en détresse, l’amour s’est amplifié et l’enflammé s’est endormi, sa vie ne tient plus sur ce qui est écrit chez le SEIGNEUR.…'

Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
17 novembre 2009, 12:01
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