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LE PTB ET MOI ZOUZ.

Envoyé par albert 
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
13 octobre 2014, 12:34
Yossef, c'est fait mon ami...RM
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
14 octobre 2014, 01:26
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
14 octobre 2014, 09:31
breitou a écrit:
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> Zeukch


Le pied noir dirait : Purée!!!!,Je n'ais pas lu la reponse
Le voyou mal elevé dirait: Putain !!Je n'ais pas lu la reponse
le bien elevé dirait : oh Zut alors!!Je n'ais pas lu la reponse
Et un certain autre dirait: Merde alors !!!je n'ais pas lu la reponse



ZEKCH je peux me tromper Non????
mais l'essentiel est de participer ZEKCH
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
14 octobre 2014, 11:15
Dany en fait c'est pour remplacer Zeub.... Qu'on dit Zeukch...! Lol
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
15 octobre 2014, 01:58
Les villes de France ne manquent pas de rues, avenues boulevards, parcs et jardins qui portent des noms célèbres, prestigieux de résistants, généraux maréchaux, écrivains, un prix Nobel, artistes, inventeurs, écrivains, et victimes de la barbarie nazie etc…

Ces nominations comme tout le monde le sait sont faites pour rappeler au passant un héro, un patriote, un soldat, un résistant mort au combat pour la France.

C’est une manière de rendre hommage au personnage afin que son souvenir ne s’oublie pas pour les générations futures.

Ces nominations sont proposées par le Maire qui invite le conseil municipal à donner son avis favorable ou pas. Dés que la décision est prise au trois quart des votes, le MAIRE procède.

La Maire de Valenton a décidé de mettre à l’honneur le terroriste Barghouti LE MANDELA PALESTINIEN ARBITRAIREMENT ARRÊTÉ et condamné à qqs années de prison pour assassinats et non pour ces idées politiques. Ce qui revient à dire que tout le conseil municipal a approuvé cette décision haut la main, donc complice d’un assassin qui a du sang dans la main, c’est extrêmement choquant. Et l’on comprend que pour des raisons politiques que cette dame a voulu s’attirer la sympathie d’une grande majorité d’arabes.

Ne soyons donc pas surpris si un jour, une plaque Merah verra le jour ou celle de FOFANA qq part dans une ville française.
Méditons chers amis.


Pièces jointes:
ALES BARGHOUTI.jpg
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
15 octobre 2014, 06:26
Cher Bebert,
Serais tu naif? Si Fabius se propose aujourdh'ui de reconnaitre la palestine, tu comprendras que la france n'est pas "antisemite", mais seulement "antisioniste".
A toi de trouver la difference.
Tes enfants ont fait leur alya, maintenant ils ne sont plus juifs, ils sont sionistes, ont peut deverser plus facilement la haine antijuive sur eux.
Hag sameah ya hkouya.

Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
15 octobre 2014, 13:55
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
16 octobre 2014, 22:37
Hier matin j'ouvre le CANARD ENCHAINE et je lis sur la page une..
'....Bruxelles décerne à SAPIN et Macron le prix '...NOS BRÊLES ' de l'économie....C'est le mot BRÊLES qui a attiré mon attention dc le palmipède a utilisé un mot ARABE '...BREL..!' Qui veut dire ANE...BERGHLA Mule...Etrange....! Non...!
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
17 octobre 2014, 00:19
L’Avènement du 7 NOVEMBRE 1987.

Rien ne supposait la déposition de feu Bourguiba.
Tous les tunisiens savaient que le COMBATTANT SUPREME n’avait plus ses moyens mentaux pour gérer ‘SON ENTREPRISE’.

Son entourage profitait donc de sa sénilité pour s’accaparer les pleins pouvoirs, on disait que sa seconde femme WASSILA BEN AMMAR faisait des siennes et dictait tout au ZAIEM et aux ministres.
Du coup, elle prenait de l’importance et recevait ministres et ambassadeurs.

Mais avant, Ben Ali devient ministre de l’intérieur, puis est nommé PREMIER MINISTRE. Ancien militaire de carrière et ancien directeur de la sécurité intérieure, connu pour être un fidèle des fidèles de Bourguiba et pressentant qqs luttes intestines pour le pouvoir, prend le pouvoir, un putsch, un coup d’état, avec la bénédiction des Etats Unis le propulse à la place du ZAIEM.

Ce matin là du 7/11/87 Bourguiba est dans ses appartements privés de Carthage lorsque son un planton lui fait comprendre avec mille précautions qu’il est déposé.

Le ZAIEM ne comprend pas très bien ce qui se passe. !Il a fallu toute la diplomatie d’un proche de Bourguiba pour lui faire comprendre qu’il est déposé. Il balbutiera un ‘…EUCHKOUN… ? Qui donc… !’ Sous entendu ‘…Me dépose…Son intendant et qqs proche dont son fils Habib Bourguiba Junior sont appelé à la rescousse. Ils le font sortir de son palais et directement à sa résidence d’été du Mornag où il finira ses jours.
Le peuple encore endormi se réveille sur cette nouvelle.

La route qui monte au palais de Carthage est bloquée par un char de l’armée en bas de la cote dés les premières heures du matin.

Idem du coté de SIDI BOU. Les deux cotés de la route sont fermées et les militaires veillent au bon déroulement de ‘la passation du pouvoir’.

Stupeur et consternation parmi LE CHAB, (peuple) mais aucune manifestation d’hostilité envers BEN ALI, le ZINE a prit tout le monde de court avec la complicité de qqs hauts gradés militaires.

Le 7 Novembre 1987 devient ainsi ce que LE ZINE décide l’ANNEE DU RENOUVEAU. Sic.


SECOND VOLET L AVENEMENT DE BEN ALI.

Une semaine plus tard, l’effigie de BEN ALI est sur toutes les places de la capitale et dans tous les patelins.

Elle sera aussi accrochée sur les murs des ambassades de TUNISIE, consulats etc là où la Tunisie est représentée.

Le culte de la personnalité, tout comme celui de Bourguiba prend toute son importance.

Après le règne sans partage de Bourguiba les tunisiens ont cru que, à ce RENOUVEAU mit en place à coups de panneaux publicitaires bien des choses allaient changer peut être une ouverture démocratique, une lueur de liberté de presse et de pensée, un souffle nouveau, un changement providentiel….Il n’en fut rien.

Tout était resté en état. Sauf que l’ordre sécuritaire régnait de partout dans les villes et villages.

Une main de fer dans un gant de fer s’abattit sur TUNIS ET AILLEURS.
Ben Ali veillait au grain et sa police était aux aguets.

Là encore les ‘barbus’ étaient muselés. Ils étaient surveilles de très prés. Ces derniers faisaient leur propagande en postant des tracts dans les boites aux lettres appelant le citoyen à se ‘rebeller’. Ordre fut donné à quiconque de ramener au poste de police le plus proche ces affichettes écrites en arabe. Sous peine de poursuites.

Sous le régime de Ben Ali tout comme celui de l’ancien Rais, alcool et bière n’étaient pas interdits. Les cafés et brasseries se portaient bien.

La police tolérait les petits commerces des rues bref chacun s’accommodaient de cela. Les ‘BEZNESSA’ (affairistes) n’étaient en rien inquiétaient. La vie n’était pas contraignante.

Le PSD devient Rassemblement constitutionnel démocratique (RCD) du pareil au même.

A Suivre…



Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
21 octobre 2014, 02:34
CONTES ET LÉGENDES DE TUNISIE PAR ALBERT S. OCTOBRE 2014.
(Les dates, les années et les personnages qui situent ces événements ne sont pas importantes, on ne connait pas la date de Naissance de Zeus et des autres D ieux et pourtant la mythologie en parle.)

‘….KOUSS’KOUSS…’

Ce qui va devenir le plat national connu dans le monde entier à tel point que les chinois s’en sont emparer.

Nouché alias Maïna de son vrai nom Jini est debout dans sa cuisine….Elle ouvre un paquet de semoule de la marque Bijaoui, fort connue à l’époque la HARA.

Elle verse son contenu dans une grande cuvette en bois. Ne sachant que faire de précis.

Sa fille Kamouna rentre pour se servir un verre d’eau et là qqs gouttes tombent dans la cuvette.

Au bout d’un moment, Nouché s’aperçoit que la semoule, pour une petite partie, a gonflé présentant des grumeaux. Elle s’en étonne. Elle rajoute encore un peu d’eau et qqs instants plus tard, les graines gonflent. Elle ne comprend pas très bien mais voulant continuer l’expérience, elle rajoute de l’eau mais là les graines ont prit l’aspect de grumeaux.

Mais plus encore, pris entre ses paumes pour essayer de les rendre plus fins, ces derniers collent sur ses paumes.

Elle réfléchit et remplace l’eau par de l’huile peut être qu’elle obtiendrait moins de grumeaux.

Elle jette tout ce qu’elle a fait et recommence.

Là, la semoule roulée une nouvelle fois entre ses mains huilées, commence à se présenter sous de meilleurs auspices.

Elle obtient une semoule gonflée mais crue. Lui vient l’idée de la faire cuire.

Elle n’a pas le matériel mais qu’à cela ne tienne, elle en parle à son mari Kiki forgeron qui ni une ni deux revient de son atelier avec une cuvette en fer percée en plusieurs endroits.

Il appellera cela kess’kess ‘tamis’ d’où l’expression bien connue plus tard ‘…Kess’kesslou yer’ja dimé l’asslou…Chasse le naturel….Etc…

Elle s’en saisit mais avant de faire cuire sa semoule, elle mouille un peu ses graines pour mieux leur donner du gonflant. Elle réfléchit encore et elle se dit sans doute que la vapeur d’eau émise par la cuisson pourrait encore gonfler ses petites graines…Comment faire… ? Son mari lui souffle ‘…Khoud el kass’dria e’di hatelé el mé ou mel fou khat el KESS’KESS… ! Prend ce récipient et pose par-dessus le tamis… !’

Nouché note. Elle veut faire d’une pierre d’un coup, elle met une bonne quantité d’eau dans le récipient, rajoute un peu d’huile, du sel, du safran et mieux encore coupe des pommes de terre, une tête de choux rav, un morceau de krââ ( courge).

Elle pose tout cela, kess’kess et kass’dria, sur son ‘canoun’ et attend.

15 minutes plus tard, elle se rend compte que lors de la cuisson, de la vapeur s’échappe des interstices. Qu’à cela ne tienne Kiki lui souffle ‘…Arbeta btarf kmech… !’ Ceinture le tout avec une étoffe…’

Si tôt dit si tôt fait. La vapeur ne sort plus.

30 minutes plus tard, son bouillon est chaud et sa semoule couverte par un couvercle étanche présente des graines blanches et surtout homogènes. Mais voulant encore parfaire sa cuisson, elle remet le tout une seconde fois sur son canoun. Là tout est parfait.

Elle verse sa forme bien chaude dans un grand plateau puis laisse le tout refroidir afin de réduire les grumeaux en les ‘tamisant’ entre ses mains.

Le couscous est né.

Elle sert à son mari ce délicieux met, et mieux encore, invite un jour ses voisines de cour.

Rassemblées et assises en tailleur sur une h’ssira ‘ natte’, les convives se lèchent leurs mains.

Le bruit court à la HARA que Nouché a trouvé une nouvelle recette divine….Avec le temps, elle rajoutera pour relever son bouillon un morceau de viande…Puis invente le couscous au poisson etc…

A sa mort Nouché fera don à la COMMUNAUTE ISRAELITE DE TUNIS sa recette. Elle commercialisera ce nouveau plat.

D’où que la COUMITTE s’est enrichie grâce à cela…

‘..KESS’KESS’LA DIMA TERJA L’Aâssalta.. !’

On compte depuis plusieurs sortes de 'KOUSS'KOUSS'


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