|
|
LE PTB ET MOI ZOUZ.
Envoyé par albert
|
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 03 novembre 2014, 01:55 |
SEKHINA.
Sekhina en hébreu…Chréne en judéo. Cela se traduit par chaleur mais pas n’importe laquelle.
La chaleur qui règne dans une atmosphère baignée de skhrout c'est-à-dire de bonnes ondes positives.
Au début, notre petit appartement n’avait que 50 Mètres carrés. Y vivait ma grand-mère, dans la salle à manger, puis est arrivée ma tante Poupée z’al ensuite mon oncle Jo z’al plus papa et maman. Soit 5 personnes dans 50 m2 10 mètres carrés par tête d’occupant. Mais en tenant compte des lits, meubles etc…L’espace s’amenuisait. Ce qui donnait 1 mètre carré pour chacun. Plus l’espace était étriqué et plus la SEKHINA augmentait, plus ils étaient serrés dans ce réduit et plus régnait une entente parmi les occupants.
J’arrive et j’occupe un demi mètre, je grandis et voilà un mètre carré pour moi. Arrive le second, l espace rétrécit encore et quand né le troisième il fallait se coller aux meubles pour laisser passer l’autre d’où que ma grand-mère était souvent assise pour ne pas gêner. A la naissance de Max on n’était pas loin de l’étouffement.
Je me souviens que je devais passer sous la table pour regagner mon lit ou aller aux toilettes.
Mais Ô combien était grande cette SEKHINA qui nous collait les uns aux autres comme seuls les espaces étriqués savent nous lier les uns aux autres.
Aucun de nous n’avait sa chambre et dans chaque lit dormait trois personnes. A part mes parents qui étaient des privilégiés et encore j’allais dormir entre eux pour laisser la place aux deux autres.
Plus tard, un nouvel appartement de 85 mètres carrés nous donne l’occasion d’avoir une chambre pour trois adolescents. Max était dans celle de ma grand-mère.
La SEHINA prit donc ses aises et lorsque nous étions réunis autour de la table, on la sentait bien.
Dans notre chambre ce n’était que fous rires et blagues à n’en plus finir.
Au premier départ du second, la SEKHINA perdait un peu de sa chaleur, elle se réduisit au second départ et au départ de ma sœur pour ses études, elle rétrécissait comme peau de chagrin.
Plus tard, papa s’en allait et avec lui la SEKHINA.
L’appartement devenu trop grand avait perdu un peu de son âme et elle disparut lorsque maman et mon jeune frère le quittèrent définitivement.
Pièces jointes:
Sekhina en hébreu…Chréne en judéo. Cela se traduit par chaleur mais pas n’importe laquelle.
La chaleur qui règne dans une atmosphère baignée de skhrout c'est-à-dire de bonnes ondes positives.
Au début, notre petit appartement n’avait que 50 Mètres carrés. Y vivait ma grand-mère, dans la salle à manger, puis est arrivée ma tante Poupée z’al ensuite mon oncle Jo z’al plus papa et maman. Soit 5 personnes dans 50 m2 10 mètres carrés par tête d’occupant. Mais en tenant compte des lits, meubles etc…L’espace s’amenuisait. Ce qui donnait 1 mètre carré pour chacun. Plus l’espace était étriqué et plus la SEKHINA augmentait, plus ils étaient serrés dans ce réduit et plus régnait une entente parmi les occupants.
J’arrive et j’occupe un demi mètre, je grandis et voilà un mètre carré pour moi. Arrive le second, l espace rétrécit encore et quand né le troisième il fallait se coller aux meubles pour laisser passer l’autre d’où que ma grand-mère était souvent assise pour ne pas gêner. A la naissance de Max on n’était pas loin de l’étouffement.
Je me souviens que je devais passer sous la table pour regagner mon lit ou aller aux toilettes.
Mais Ô combien était grande cette SEKHINA qui nous collait les uns aux autres comme seuls les espaces étriqués savent nous lier les uns aux autres.
Aucun de nous n’avait sa chambre et dans chaque lit dormait trois personnes. A part mes parents qui étaient des privilégiés et encore j’allais dormir entre eux pour laisser la place aux deux autres.
Plus tard, un nouvel appartement de 85 mètres carrés nous donne l’occasion d’avoir une chambre pour trois adolescents. Max était dans celle de ma grand-mère.
La SEHINA prit donc ses aises et lorsque nous étions réunis autour de la table, on la sentait bien.
Dans notre chambre ce n’était que fous rires et blagues à n’en plus finir.
Au premier départ du second, la SEKHINA perdait un peu de sa chaleur, elle se réduisit au second départ et au départ de ma sœur pour ses études, elle rétrécissait comme peau de chagrin.
Plus tard, papa s’en allait et avec lui la SEKHINA.
L’appartement devenu trop grand avait perdu un peu de son âme et elle disparut lorsque maman et mon jeune frère le quittèrent définitivement.
Pièces jointes:
|
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 04 novembre 2014, 09:00 |
Meme Handouda,
Meme Handouda me bercait dans ses bras, et je sens encore ses doigts si doux.
C'etait elle la vraie maitresse de maison, Papa Simon zicrono lebrahka, la respectait et l'aimait,il disait c'est elle qui a eleve mes enfants.
Meme Handouda a Paris en 1968 avec ma fille Valerie dans ses bras.
Elle nous avait quite en 1969
Pièces jointes:
Meme Handouda me bercait dans ses bras, et je sens encore ses doigts si doux.
C'etait elle la vraie maitresse de maison, Papa Simon zicrono lebrahka, la respectait et l'aimait,il disait c'est elle qui a eleve mes enfants.
Meme Handouda a Paris en 1968 avec ma fille Valerie dans ses bras.
Elle nous avait quite en 1969
Pièces jointes:
|
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 04 novembre 2014, 09:07 |
Meme Handouda au mariage de son neveu Maurice,a la synagogue de la rue de la Loire avec sa belle gandoura algerienne ,car elle etait de Constantine.
Pièces jointes:
Pièces jointes:
Seuls les utilisateurs enregistrés peuvent poster des messages dans ce forum.
