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LE PTB ET MOI ZOUZ.
Envoyé par albert
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 11 décembre 2014, 12:00 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 11 160 |
Deux frères goulettois Albert et Max, anciens marbriers, volleyeurs, ‘papa’ pour le premier de son fils ‘Max’ selon les myopes dignes de ce nom s'offrent tous les jours des parties de rigolades dans leur boutique COSMÉTIQUE...ESO..ET TEKHBILLE...Embrouille.
UNE HISTOIRE DE BESOIN.
Ce matin, j’ouvre la boutique à 9 heures.
Soudain une voix de noir qui n’est pas celle du Seigneur.
‘…Cela fait trente minutes que je vous attends, assis sur le banc des pûtes… !’
‘…Pardon ye oussif…Tu ne sais pas lire le panneau…OUVERTURE 9 HEURES… !’
‘…Je suis pressé…. !’
‘…Tu attends dans le froid ok et là je ferme parce que j’ai un grand besoin à faire, trente minutes… !’
‘…Tu ne peux pas me servir, j’ai besoin…
‘….Non....! mes besoins passent avant le tien…Ils étaient la bien avant toi.. !’
‘…Mais je ne vois personne… ?’
‘…Ils sont en moi, dc tu attends que je les soulage…Et si tu continues à m’agresser plus besoin d’attendre… !’
‘…Je suis prêt à payer plus cher mon besoin… !’
‘…Ah dans ce cas, tu veux que je me constipe… ?’
‘…S’il te plait Albert, j’ai justement besoin de la LOTION BESOIN… !’ Elle existe béhèmét.
Ben quand on est dans le besoin, il faut savoir satisfaire.
UNE HISTOIRE DE BESOIN.
Ce matin, j’ouvre la boutique à 9 heures.
Soudain une voix de noir qui n’est pas celle du Seigneur.
‘…Cela fait trente minutes que je vous attends, assis sur le banc des pûtes… !’
‘…Pardon ye oussif…Tu ne sais pas lire le panneau…OUVERTURE 9 HEURES… !’
‘…Je suis pressé…. !’
‘…Tu attends dans le froid ok et là je ferme parce que j’ai un grand besoin à faire, trente minutes… !’
‘…Tu ne peux pas me servir, j’ai besoin…
‘….Non....! mes besoins passent avant le tien…Ils étaient la bien avant toi.. !’
‘…Mais je ne vois personne… ?’
‘…Ils sont en moi, dc tu attends que je les soulage…Et si tu continues à m’agresser plus besoin d’attendre… !’
‘…Je suis prêt à payer plus cher mon besoin… !’
‘…Ah dans ce cas, tu veux que je me constipe… ?’
‘…S’il te plait Albert, j’ai justement besoin de la LOTION BESOIN… !’ Elle existe béhèmét.
Ben quand on est dans le besoin, il faut savoir satisfaire.
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 12 décembre 2014, 09:21 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 11 160 |
Comparaison.
Je suis revenu de Hadera avec bcp de pensées positives.
Comme lors de mon installation à Paris, j’étais très optimiste sur mes lendemains ‘…Conquérir Paris… ! Un pari fou, mais tout ce ne s’est pas passé comme je l’avais espéré. Je n’ai pas pu dés les premiers mois, m’adapter à ce nouvel environnement.
La nostalgie était en moi. Elle m’a fait souffrir. Elle a bouffé ma cervelle.
25 ans plus tard, elle agit encore sur moi mais avec bcp moins de douleur. Elle s’est atténuée et cela parce que je l’ai bcp chantée et écrite comme si je voulais l’exorciser.
Mes enfants étaient bien trop jeunes pour parler de nostalgie. Ils ne l’ont pas connue.
Durant mon séjour à Hadéra, en voyant mes petits-enfants jouer, je me suis dis que finalement la nostalgie n’atteint pas les jeunes enfants, cela appartient aux adultes. Le jeune enfant n’a pas le temps de faire la différence entre le pays où il a vécu et son nouveau pays.
La nostalgie passe au dessus de leur tête et ne s’inscrit pas dans leurs souvenirs ni dans leurs gênes.
Ils se souviennent de jardin certes mais pas tellement du cadre de leur vécu. De leurs chambres, de leur école et même si plus tard, ils veulent se la raconter, ils n’iront pas très loin.
Aucun parfum n’est venu s’incruster dans leurs narines et parler du mal du pays pour un enfant de 7 ans cela ne veut rien dire.
La nostalgie a un âge à respecter.
Elle ne s’invente pas, elle arrive après de longues années de séparation. D’absence.
Il y a ceux et celles qui en ont parle avec peu d’émotion, de larmes et ceux et celles qui en parlent comme une cicatrice qui tarde à se refermer. Et puis ceux et celles qui ont tourné la page et qui l’ont peu ressentie.
En fermant les yeux, je me dis qu’en fin de compte, elle est un bien qui donne aux nostalgiques le goût d’apprécier, de comparer deux vécus, un ancien et un nouveau.
Pour moi, il y a une grande différence entre le premier et le second.
Je suis revenu de Hadera avec bcp de pensées positives.
Comme lors de mon installation à Paris, j’étais très optimiste sur mes lendemains ‘…Conquérir Paris… ! Un pari fou, mais tout ce ne s’est pas passé comme je l’avais espéré. Je n’ai pas pu dés les premiers mois, m’adapter à ce nouvel environnement.
La nostalgie était en moi. Elle m’a fait souffrir. Elle a bouffé ma cervelle.
25 ans plus tard, elle agit encore sur moi mais avec bcp moins de douleur. Elle s’est atténuée et cela parce que je l’ai bcp chantée et écrite comme si je voulais l’exorciser.
Mes enfants étaient bien trop jeunes pour parler de nostalgie. Ils ne l’ont pas connue.
Durant mon séjour à Hadéra, en voyant mes petits-enfants jouer, je me suis dis que finalement la nostalgie n’atteint pas les jeunes enfants, cela appartient aux adultes. Le jeune enfant n’a pas le temps de faire la différence entre le pays où il a vécu et son nouveau pays.
La nostalgie passe au dessus de leur tête et ne s’inscrit pas dans leurs souvenirs ni dans leurs gênes.
Ils se souviennent de jardin certes mais pas tellement du cadre de leur vécu. De leurs chambres, de leur école et même si plus tard, ils veulent se la raconter, ils n’iront pas très loin.
Aucun parfum n’est venu s’incruster dans leurs narines et parler du mal du pays pour un enfant de 7 ans cela ne veut rien dire.
La nostalgie a un âge à respecter.
Elle ne s’invente pas, elle arrive après de longues années de séparation. D’absence.
Il y a ceux et celles qui en ont parle avec peu d’émotion, de larmes et ceux et celles qui en parlent comme une cicatrice qui tarde à se refermer. Et puis ceux et celles qui ont tourné la page et qui l’ont peu ressentie.
En fermant les yeux, je me dis qu’en fin de compte, elle est un bien qui donne aux nostalgiques le goût d’apprécier, de comparer deux vécus, un ancien et un nouveau.
Pour moi, il y a une grande différence entre le premier et le second.
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 12 décembre 2014, 09:22 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 11 160 |
LA CACHE D’ARMES 5°
Suite et fin.
RÉSUMÈ..
Je racontais, il y a qqs jours qu’un grave événement était survenu samedi dernier à la RUE DEAUDEVILLE, l’immeuble attenant à ma boutique.
Au début un fait divers, une affaire d’honneur. Une fille tabassée par son frère dans une famille turque. Le frère fuit mais il est vite rattrapé par la police. Deux heures plus tard, toute la rue est barrée et le GIGN débarque tout en noir, harnaché comme je ne vous le raconte pas.
Ma belle sœur, présente ce soir là, prit peur et ferma boutique à l’heure de la fermeture.
Mon frère très énerve et pour en savoir plus décide de convoquer le concierge d’en face MR Alonzo, un portugais qui a tout vu.
Dc une cellule de crise fut crée avec comme meneur des débats mon frère, moi et Alonzo.
Pour chaque info, le concierge/sorteur de bacs à poubelle demande à boucler ses fins de mois. Mon frère super généreux lui balance 50 € pour qqs infos à tel point que sa femme n’en peut plus.
REPRISE.
Ma belle sœur est étalée entre deux chaises, elle dort, voulant s’épargner des conneries de son mari.
‘…Ensuite Mr Alonzo… ?’
‘…Ensuite, j’ai entendu des bombes asphyxiantes, la fumée sortait de la chambre du haut… !’
‘…Bien, je note… ! Puis… ?’
‘….Le papa voulait se jeter par le premier étage… !’
‘…Je note ensuite…. ?’
‘…Pour mes fins de mois, je demande une rallonge… !’
A ce moment rentre son fils, l’ainé de mon frère.
‘…Tu ne vois pas que nous sommes en cellule de crise… ? ‘
Il lui chuchote qqs mots à l’oreille.
A sa voix, ma belle sœur se réveille…
‘…Mon fils, mon fils, si tu savais, ta maman n’en peut plus… !’
‘…Je sais maman, je sais, tout cela pour la cache d’armes… !’
‘…Même pas, ton père, ce fou, vient de donner 1000 € à ce type là qui l’embrouille… !’
L’embrouilleur…
‘…Ah madame, je ne vous permets pas, bon puisque c’est comme cela, je m’en vais… !’
‘…Attendez Mr Alonzo, donnez moi ce que je vous ai donné, je vous donne UN BILLET DE MILLE €… !
‘…Ca excite ce billet là… ?’
‘…Oui, il est sorti hier… !’
L’autre sort sa liasse et la remets à mon frère…
‘…Espèce de PORTU..GAY que tu es, PD…TAHAN…MIBOUN..NEYEK..YE YATAY…T u m’as fait marcher n’est ce pas, rien de tout cela, ni cache d’armes ni rien, LE GIGN est venu pour prévoir un meurtre et pas pour ramasser des armes…MENTEUR…GUEDEB…TFOU AALIK…. !’
Alonzo se lève tout pâle…
‘…Je voulais arrondir…. !’
‘…YATIC SAKHTA…YE ALONZO…’…Lui lance sa femme.
Enfin l’Alonzo quitte la cellule de crise avec son billet.
Sa femme, ma belle sœur…HURLE….
‘…TU LUI DONNES 1000 € ??? ALORS QUE SI JE T AVAIS DEMANDE UNE PAIRE DE CHAUSSURES TU AURAIS GROGNE… ?
‘…Qu’est ce que tu es bête, IL EST FAUX… !’
Elle se rendort sur ces entre-faits entre les deux chaises.
Tout le monde descend.
Son fils et lui rentrent à la maison…Au petit matin…
‘…TONINO….Ta mère elle est passée où… ?’
‘…Je crois qu’on l’a oubliée… !’
‘…VAS Y PRÉPARE DEUX VALISES…ON SE BARRE… !'
Suite et fin.
RÉSUMÈ..
Je racontais, il y a qqs jours qu’un grave événement était survenu samedi dernier à la RUE DEAUDEVILLE, l’immeuble attenant à ma boutique.
Au début un fait divers, une affaire d’honneur. Une fille tabassée par son frère dans une famille turque. Le frère fuit mais il est vite rattrapé par la police. Deux heures plus tard, toute la rue est barrée et le GIGN débarque tout en noir, harnaché comme je ne vous le raconte pas.
Ma belle sœur, présente ce soir là, prit peur et ferma boutique à l’heure de la fermeture.
Mon frère très énerve et pour en savoir plus décide de convoquer le concierge d’en face MR Alonzo, un portugais qui a tout vu.
Dc une cellule de crise fut crée avec comme meneur des débats mon frère, moi et Alonzo.
Pour chaque info, le concierge/sorteur de bacs à poubelle demande à boucler ses fins de mois. Mon frère super généreux lui balance 50 € pour qqs infos à tel point que sa femme n’en peut plus.
REPRISE.
Ma belle sœur est étalée entre deux chaises, elle dort, voulant s’épargner des conneries de son mari.
‘…Ensuite Mr Alonzo… ?’
‘…Ensuite, j’ai entendu des bombes asphyxiantes, la fumée sortait de la chambre du haut… !’
‘…Bien, je note… ! Puis… ?’
‘….Le papa voulait se jeter par le premier étage… !’
‘…Je note ensuite…. ?’
‘…Pour mes fins de mois, je demande une rallonge… !’
A ce moment rentre son fils, l’ainé de mon frère.
‘…Tu ne vois pas que nous sommes en cellule de crise… ? ‘
Il lui chuchote qqs mots à l’oreille.
A sa voix, ma belle sœur se réveille…
‘…Mon fils, mon fils, si tu savais, ta maman n’en peut plus… !’
‘…Je sais maman, je sais, tout cela pour la cache d’armes… !’
‘…Même pas, ton père, ce fou, vient de donner 1000 € à ce type là qui l’embrouille… !’
L’embrouilleur…
‘…Ah madame, je ne vous permets pas, bon puisque c’est comme cela, je m’en vais… !’
‘…Attendez Mr Alonzo, donnez moi ce que je vous ai donné, je vous donne UN BILLET DE MILLE €… !
‘…Ca excite ce billet là… ?’
‘…Oui, il est sorti hier… !’
L’autre sort sa liasse et la remets à mon frère…
‘…Espèce de PORTU..GAY que tu es, PD…TAHAN…MIBOUN..NEYEK..YE YATAY…T u m’as fait marcher n’est ce pas, rien de tout cela, ni cache d’armes ni rien, LE GIGN est venu pour prévoir un meurtre et pas pour ramasser des armes…MENTEUR…GUEDEB…TFOU AALIK…. !’
Alonzo se lève tout pâle…
‘…Je voulais arrondir…. !’
‘…YATIC SAKHTA…YE ALONZO…’…Lui lance sa femme.
Enfin l’Alonzo quitte la cellule de crise avec son billet.
Sa femme, ma belle sœur…HURLE….
‘…TU LUI DONNES 1000 € ??? ALORS QUE SI JE T AVAIS DEMANDE UNE PAIRE DE CHAUSSURES TU AURAIS GROGNE… ?
‘…Qu’est ce que tu es bête, IL EST FAUX… !’
Elle se rendort sur ces entre-faits entre les deux chaises.
Tout le monde descend.
Son fils et lui rentrent à la maison…Au petit matin…
‘…TONINO….Ta mère elle est passée où… ?’
‘…Je crois qu’on l’a oubliée… !’
‘…VAS Y PRÉPARE DEUX VALISES…ON SE BARRE… !'
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 13 décembre 2014, 10:29 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 11 160 |
LE TAUREAU ENRAGE.
Pour nous, Juifs de France et d’ailleurs, il ne s’agit pas d’affronter le taureau enragé mais de le contourner, de faire ce qu’on appelle en karate ‘ UN TAI SABAKI…’ Une esquive, une feinte qui laisse le taureau aller planter ses ‘Grouns’ Dans les bois.
Plus, il s’acharne à nous encorner et plus l’esquive le fait baver à tel point qu’il arrive un moment, où il halète, il ne peut bouger. Il est statique. Plus la peine de pointer l épée vers son front, il est à genoux. Et surtout pas de mise à mort parce qu’on dira de nous ‘…Regardez, ils tuent un taureau à genoux… !’
Pas de sang sur le sol, pas de queue à couper, nous les JUIFS n’aimons pas ce genre de trophée.
Nous préférons voir la bête s’épuiser d’elle-même. Sans compassion, car la bête n’a pas de pitié pour nous, aucune circonstances à lui accorder qd elle veut notre mort.
Notre disparition. La notre et toutes celles qui ne ressemblent pas à sa culture mortifére.
Pour nous, Juifs de France et d’ailleurs, il ne s’agit pas d’affronter le taureau enragé mais de le contourner, de faire ce qu’on appelle en karate ‘ UN TAI SABAKI…’ Une esquive, une feinte qui laisse le taureau aller planter ses ‘Grouns’ Dans les bois.
Plus, il s’acharne à nous encorner et plus l’esquive le fait baver à tel point qu’il arrive un moment, où il halète, il ne peut bouger. Il est statique. Plus la peine de pointer l épée vers son front, il est à genoux. Et surtout pas de mise à mort parce qu’on dira de nous ‘…Regardez, ils tuent un taureau à genoux… !’
Pas de sang sur le sol, pas de queue à couper, nous les JUIFS n’aimons pas ce genre de trophée.
Nous préférons voir la bête s’épuiser d’elle-même. Sans compassion, car la bête n’a pas de pitié pour nous, aucune circonstances à lui accorder qd elle veut notre mort.
Notre disparition. La notre et toutes celles qui ne ressemblent pas à sa culture mortifére.
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 14 décembre 2014, 02:51 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 11 160 |
DEVINE QUI FAIT SON ALYA CE SOIR… ?
MA FILLE EST SON ALYA.
Tout le monde connait ce grand film DEVINE QUI VIENT DINER CE SOIR… ? Avec Spencer Tracy et Sydney Poitiers.
Le choc de ce papa qui voit entrer chez lui ‘ce négre’ fiancé de sa fille qui désire l’épouser. Une révolution dans les mentalités américaines de cette époque.
La scène où l’on voit ce papa affalé sur une chaise à l’annonce de la décision de sa fille et son trouble face à une situation pénible.
Lorsque ma fille m’a annoncé qu’elle allait faire son Alya, j’ai revu en mémoire cette scène catastrophe de ce papa désemparé se posant mille questions pour comprendre le pourquoi et le comment.
Pourquoi et comment.. ? Que de questions posées à ma fille et que de ‘…Mais ne t inquiètes pas papa, tout ira bien… !’
Un chambardement… ? Et mes petits enfants alors… ? ‘…Mais non ne t inquiètes pas PAPA… !’ Je n’avais plus le droit de m’inquiéter avec elle. Oui plus le droit. Un droit de papa comme tous ceux qui ont des droits à soulever leur inquiétude.
Il fallait que je taise ce droit…Et consentir…. !
Après moult réflexions, je me suis résigné à accepter cette idée.
Je ne m’inquiète plus pour eux mais pour moi ma femme, et mes enfants encore ici.
Je ne regrette plus son Alya.
MA FILLE EST SON ALYA.
Tout le monde connait ce grand film DEVINE QUI VIENT DINER CE SOIR… ? Avec Spencer Tracy et Sydney Poitiers.
Le choc de ce papa qui voit entrer chez lui ‘ce négre’ fiancé de sa fille qui désire l’épouser. Une révolution dans les mentalités américaines de cette époque.
La scène où l’on voit ce papa affalé sur une chaise à l’annonce de la décision de sa fille et son trouble face à une situation pénible.
Lorsque ma fille m’a annoncé qu’elle allait faire son Alya, j’ai revu en mémoire cette scène catastrophe de ce papa désemparé se posant mille questions pour comprendre le pourquoi et le comment.
Pourquoi et comment.. ? Que de questions posées à ma fille et que de ‘…Mais ne t inquiètes pas papa, tout ira bien… !’
Un chambardement… ? Et mes petits enfants alors… ? ‘…Mais non ne t inquiètes pas PAPA… !’ Je n’avais plus le droit de m’inquiéter avec elle. Oui plus le droit. Un droit de papa comme tous ceux qui ont des droits à soulever leur inquiétude.
Il fallait que je taise ce droit…Et consentir…. !
Après moult réflexions, je me suis résigné à accepter cette idée.
Je ne m’inquiète plus pour eux mais pour moi ma femme, et mes enfants encore ici.
Je ne regrette plus son Alya.
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 14 décembre 2014, 02:53 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 11 160 |
DÉSESPÉRER.
Avons-nous LE DROIT nous juifs DE France de désespérer de ce qu’on voit et de ce qu’on entend… ?
Devons nous se résigner... ? Baisser encore la tête face à ce défi qu’on nous lance à savoir quitter le bateau qui nous as réuni en France.. ? Terre d’accueil que nos illustres héros Juifs ont tant fait et donné pour elle… ?
Beaucoup sont venus en valises ici et depuis la valise en carton s’est transformée en SAMSONITE…Samsonite… ??? J’entends SAMSON. Elle plie mais ne se casse pas. Elle résiste à tous les chocs.
Il me vient en mémoire Émile Zola et sa tribune. Dreyfus vient à ma mémoire. ‘…J’accuse… !’ Il aurait du continuer sur sa lancée et lancer cette idée ‘… L ANTISEMISIME…GRANDE CAUSE NATIONALE… ! Et bien des fautes nous auraient épargné bien des choses.
L’affaire Halimi z'al aurait pu aussi inspirer nos vaillants députes… ? Un cadavre déterré et accroché à un pic aurait aussi du prévenir tout ce qu’on voit.
Sans compter tous les petits et grands faits passés sous silence et que l’on qualifie de FAITS DIVERS… ?
Que d’occasions perdues.
Est-ce que Mr Caseneuve compte vraiment inscrire cette CAUSE dans les prochaines sessions de l’Assemblée.. .?
Sera-t-il entendu par ses pairs afin de mettre cette vermine qui pourrit la France… Sous silence… HORS D ÉTAT DE NUIRE…DIEUDONNÉ…SOREL ET CONSORTS….?
Devons nous vraiment désespérer et fuir… LA FRANCE....? Car chaque jour qui passe nous apporte son lot de maux… ! Nous commençons à être fatigués… !’
Je le lis de partout, je le vois de partout. Je le sens de partout.
LE JUIF DE France COMMENCE A ÊTRE FATIGUE.
Avons-nous LE DROIT nous juifs DE France de désespérer de ce qu’on voit et de ce qu’on entend… ?
Devons nous se résigner... ? Baisser encore la tête face à ce défi qu’on nous lance à savoir quitter le bateau qui nous as réuni en France.. ? Terre d’accueil que nos illustres héros Juifs ont tant fait et donné pour elle… ?
Beaucoup sont venus en valises ici et depuis la valise en carton s’est transformée en SAMSONITE…Samsonite… ??? J’entends SAMSON. Elle plie mais ne se casse pas. Elle résiste à tous les chocs.
Il me vient en mémoire Émile Zola et sa tribune. Dreyfus vient à ma mémoire. ‘…J’accuse… !’ Il aurait du continuer sur sa lancée et lancer cette idée ‘… L ANTISEMISIME…GRANDE CAUSE NATIONALE… ! Et bien des fautes nous auraient épargné bien des choses.
L’affaire Halimi z'al aurait pu aussi inspirer nos vaillants députes… ? Un cadavre déterré et accroché à un pic aurait aussi du prévenir tout ce qu’on voit.
Sans compter tous les petits et grands faits passés sous silence et que l’on qualifie de FAITS DIVERS… ?
Que d’occasions perdues.
Est-ce que Mr Caseneuve compte vraiment inscrire cette CAUSE dans les prochaines sessions de l’Assemblée.. .?
Sera-t-il entendu par ses pairs afin de mettre cette vermine qui pourrit la France… Sous silence… HORS D ÉTAT DE NUIRE…DIEUDONNÉ…SOREL ET CONSORTS….?
Devons nous vraiment désespérer et fuir… LA FRANCE....? Car chaque jour qui passe nous apporte son lot de maux… ! Nous commençons à être fatigués… !’
Je le lis de partout, je le vois de partout. Je le sens de partout.
LE JUIF DE France COMMENCE A ÊTRE FATIGUE.
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 14 décembre 2014, 12:18 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 11 160 |
ESPÉRER.
Le juif peut-il encore espérer bien vivre dans un environnement hostile… ?
Le juif a tjs vécu d’espoir même dans les situations les plus sombres.
Le juif porte en lui le REVE d’une vie meilleure. D’où qu’il se déplace continuellement pour mieux s’installer.
Parti de la Mésopotamie, après des siècles et des siècles de troubles, il a suivi les cotes de la Méditerrané écumant dans son sillage sa présence.
Après la France, Espagne, dont il a connu la souffrance, la tragédies, les tortures et la mort, il s’installe au Maroc, en Algérie, en Tunisie Libye alors que d’autres ont pris le plus court chemin l’Égypte. Le Liban etc… Tjs avec l espoir de s’implanter, de vivre et d’avoir un destin.
Les juifs allemands ont tjs espérer, rêvé d’un retournement de situation mais hélas, ils ont payé le prix fort comme les Polonais et les autres juifs de l’EST de l’Europe.
Israël n’était pas encore là.
Lorsqu’un juif réside, s’implante qq part, il a le sentiment d’y vivre pour toute l’éternité.
Or notre histoire contredit tout cela.
Qqs générations de juifs notables ne voulant point perdre leurs privilèges ont changé leur manière de vivre et même changé de nom afin de se donner bonne conscience. Se fondre dans la population autochtone.
Nous les juifs de la Hachoué, de la misère avons tjs espéré en des lendemains meilleurs.
Nous avons eu raison d’avoir débarrassé le sol arabe de notre présence pour aller vivre en Israël le pays de l’espoir, et fier d’avoir accompli un vœu, un souhait qui tenait à notre cœur libre.
La boucle est bouclée.
Le juif peut-il encore espérer bien vivre dans un environnement hostile… ?
Le juif a tjs vécu d’espoir même dans les situations les plus sombres.
Le juif porte en lui le REVE d’une vie meilleure. D’où qu’il se déplace continuellement pour mieux s’installer.
Parti de la Mésopotamie, après des siècles et des siècles de troubles, il a suivi les cotes de la Méditerrané écumant dans son sillage sa présence.
Après la France, Espagne, dont il a connu la souffrance, la tragédies, les tortures et la mort, il s’installe au Maroc, en Algérie, en Tunisie Libye alors que d’autres ont pris le plus court chemin l’Égypte. Le Liban etc… Tjs avec l espoir de s’implanter, de vivre et d’avoir un destin.
Les juifs allemands ont tjs espérer, rêvé d’un retournement de situation mais hélas, ils ont payé le prix fort comme les Polonais et les autres juifs de l’EST de l’Europe.
Israël n’était pas encore là.
Lorsqu’un juif réside, s’implante qq part, il a le sentiment d’y vivre pour toute l’éternité.
Or notre histoire contredit tout cela.
Qqs générations de juifs notables ne voulant point perdre leurs privilèges ont changé leur manière de vivre et même changé de nom afin de se donner bonne conscience. Se fondre dans la population autochtone.
Nous les juifs de la Hachoué, de la misère avons tjs espéré en des lendemains meilleurs.
Nous avons eu raison d’avoir débarrassé le sol arabe de notre présence pour aller vivre en Israël le pays de l’espoir, et fier d’avoir accompli un vœu, un souhait qui tenait à notre cœur libre.
La boucle est bouclée.
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 14 décembre 2014, 23:11 |
Membre depuis : 13 ans Messages: 377 |
Comment peut on faire confiance a ces gens qui ont collabore avec les nazis qui ont entasse des femmes et des enfants uniquement parcequ'ils etaient juifs,dans les trains de la mort?
Achem nous avait promis qu'Il nous ramenerait en erets-Israel.
Aujourdh'ui les portes sont grandes ouvertes,mais comme a la sortie d'Egypte certains regretaient de laisser leur "biens".
Il faut avoir confiance qu'en Achem!!!!
Achem nous avait promis qu'Il nous ramenerait en erets-Israel.
Aujourdh'ui les portes sont grandes ouvertes,mais comme a la sortie d'Egypte certains regretaient de laisser leur "biens".
Il faut avoir confiance qu'en Achem!!!!
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 15 décembre 2014, 11:53 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 11 160 |
L’Asile des vieux de Hadéra.
Je vous dis que Hadera me rappelle la Goulette.
A qqs mètres de la maison de ma fille et de mon gendre, alors que je faisais une promenade sous une pluie fine, je remarque un hospice.
Genre l’O.S.E de la Goulette.
Je fais qqs pas à l’intérieur de l’enceinte et là je vois assis les uns en face des autres, un groupe de vieux.
Une animatrice était au centre et s’acharnait à vouloir les faire chanter.
Les uns étaient avachis sur leur canne tandis que d’autres avaient l’air ailleurs. Les vieilles femmes en face, somnolaient.
Aucun d entre eux ne chantaient. Faire chanter des vieux qui dorment est un exploit.
L’animatrice s’est mise à danser puis elle prend par la main un vieillard en casquette pour l’entrainer au centre, lui faire qqs pas.
Est-ce que les vieux ont encore la force de danser… ?
Le vieux était embarrassé et il aurait pu dire ‘…Fok ââlliye.’…Bref, l’ambiance était sereine tranquille mais sans chanson ni danse.
Alors, je me suis mis à rêver. Je me suis dis qu’elle chance pour moi, si je devais habiter prés de ma fille, je ne serais pas loin d’elle.
Assis avec une canne, l’air béat, un béret sur la tête, à essayer de chanter.
Ma fille passera me voir tous les jours, et pour mes anniversaires, elle me confectionnera une jolie pièce montée garnie d’un petit bonhomme par-dessus tenant une canne. Une vieille cerise que je serai.
Mes petits enfants auront grandi entre temps et bien sur, ils passeront me voir avec leur attache case sous les bras pour m’embrasser et moi qui lève les yeux pour leur dire ‘…Euch’koun enti… ? Tu es qui toi… ?’
Puis un jour la chaise sera vide et mes petits grands enfants ne passeront plus.
Le temps lui n’oubliera jamais de passer.
Je vous dis que Hadera me rappelle la Goulette.
A qqs mètres de la maison de ma fille et de mon gendre, alors que je faisais une promenade sous une pluie fine, je remarque un hospice.
Genre l’O.S.E de la Goulette.
Je fais qqs pas à l’intérieur de l’enceinte et là je vois assis les uns en face des autres, un groupe de vieux.
Une animatrice était au centre et s’acharnait à vouloir les faire chanter.
Les uns étaient avachis sur leur canne tandis que d’autres avaient l’air ailleurs. Les vieilles femmes en face, somnolaient.
Aucun d entre eux ne chantaient. Faire chanter des vieux qui dorment est un exploit.
L’animatrice s’est mise à danser puis elle prend par la main un vieillard en casquette pour l’entrainer au centre, lui faire qqs pas.
Est-ce que les vieux ont encore la force de danser… ?
Le vieux était embarrassé et il aurait pu dire ‘…Fok ââlliye.’…Bref, l’ambiance était sereine tranquille mais sans chanson ni danse.
Alors, je me suis mis à rêver. Je me suis dis qu’elle chance pour moi, si je devais habiter prés de ma fille, je ne serais pas loin d’elle.
Assis avec une canne, l’air béat, un béret sur la tête, à essayer de chanter.
Ma fille passera me voir tous les jours, et pour mes anniversaires, elle me confectionnera une jolie pièce montée garnie d’un petit bonhomme par-dessus tenant une canne. Une vieille cerise que je serai.
Mes petits enfants auront grandi entre temps et bien sur, ils passeront me voir avec leur attache case sous les bras pour m’embrasser et moi qui lève les yeux pour leur dire ‘…Euch’koun enti… ? Tu es qui toi… ?’
Puis un jour la chaise sera vide et mes petits grands enfants ne passeront plus.
Le temps lui n’oubliera jamais de passer.
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 16 décembre 2014, 02:05 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 11 160 |
HANOUKA…LES JOURS DE LA LUMIÈRE.
Noel pour les chrétiens est aussi pour eux le soir des lumières.
La lumière qui illumine le vert de la nature.
7 soirs consécutifs pour illuminer nos foyers et nous faire oublier les ténèbres, le brouillard.
7 jours de la semaine où l’appel de la lumière nous rappelle ces temps sombres.
7 jours de ‘ner’, qui nous font tjs espérer qu’elle est celle qui efface le mal.
Le symbole de la lumière signe d espoir et d’espérance pour rappeler au monde qu’il suffit d’une petite luciole pour y voir clair.
A chacun de vous, et qui que vous soyez, mes amis que ces lumières éclairent notre esprit, quelles soient porteuses de bien, de guérison, de bien être, de joie et de bonheur car il suffit d’un rien, d’une petite fiole d’une mèche qui grésille pour faire illuminer nos regards et rappeler au monde aussi qu’une mauvaise étincelle inconsciente peut tout faire basculer.
Ce que nous les juifs, chrétiens et musulmans etc… nous ne voulons pas.
HAG SAMEH.
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