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LE PTB ET MOI ZOUZ.

Envoyé par albert 
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
03 décembre 2014, 01:52
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
03 décembre 2014, 03:01
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
04 décembre 2014, 09:29
NOVEMBRE 2014.

PLAGE DE HADERA

L’inconnu de la plage.

Un monsieur sur la plage
Seul et solitaire,
Sous les gros nuages
D’un temps presque d’hiver,
Cet inconnu bien sage
Joue du clavier,
Assis devant une mer en rage,
Indifférent au paysage.

Que peut-il lire sur sa page
Une info ou un passage
D’une histoire qui passe,
Un courriel un message
Peut être des images.

Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
04 décembre 2014, 10:07
NOVEMBER IN HADERA.




Depuis.

Je suis entre deux sentiments. La faute à qui… ? A ma fille, à mon gendre qui ont décidés de faire leur Alya…. ?

A présent, mon cœur est coupé en deux. Il se partage deux villes, une ancienne, LA Goulette celle de ma patrie et une nouvelle celle de ma fille HADERA.

J’ai donc le cul assis entre deux chaises, entre deux belles montures qui ont en commun le ciel bleu et le même soleil, la même mer mais qui, hélas, ne se parlent pas.

Je reste fidèle à l’une et avec le temps, je ferai aussi de la nouvelle un autre sujet aussi enrichissant que le premier. Qui pourrait me le reprocher car je suis conscient que deux parallèles, deux antagonismes peuvent un jour se rapprocher et se rencontrer. Avec le temps.

Ma fille mon gendre et mes petits enfants ont fait un choix, qui pourrait le leur reprocher alors que nous approuvons ma femme et moi ce choix au vu de ce qui se passe en France.

Ils ont la mer, le soleil, la plage, de nouveaux amis, une nouvelle langue, un autre environnement qui n’est pas loin de ressembler à ce que j’ai vécu dans ma jeunesse.

Mes petits gosses seront la hauteur.

Parce que là bas, ils sont libres comme des oiseaux sortis de leurs cages, de la peur et de la crainte.

Tel est devenu le juif consciencieux qui ne sent plus à l’aise dans ce monde qui ne respecte plus rien.

Là bas, ils sont juifs à part entière.
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
04 décembre 2014, 10:09
NOVEMBRE 2014.

HADERA. Israël.

J’ai volé ces images,
D’immeubles modernes
Qui bordent la plage
Et surplombent la mer agitée.

Le paysage en bleu ‘grisé’
D’un automne pluvieux
Bénéfique à ce qu’on m’a dit
Tranche par moment
Avec l’apparition des rayons
De soleil.

Mon regard s’est posé
Sur des allées fleuries
Promenades des vieux retraités
Et des couples enlacés.

Aux pieds des immeubles
Trois marches cimentées.
Un beau café sur la plage,
Il donnait.
J’étais là assis bien entouré
Par mes petits enfants et mon gendre.





Pièces jointes:
IMMEUBLES AU BORD DE MER.jpg
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
04 décembre 2014, 11:57
Signe des temps.

J’ai refoule le sable de la plage
De Hadera, il était mouillé
En ce mois de Novembre,
Par tant de pluie du ciel verse.

J’ai fermé les yeux et me suis envole
Vers une ancienne plage aux échos
Connus. J’avais 20 ans c’est si loin
Mais à 70 ans on retient
Ces choses là bien plus encore
Qu’à 20 ans.

La mer venait effacer mes pas
Comme si j’avais encore 20 ans
Et même à 70, elle efface encore
Les empreintes qu’on laisse derrière soi.

Mais jamais ne s’oublient les pas
Qu’on imprime sur les sols stables
Ou mouvants et on laisse en soi
Le gout amer d’une réalité vécue

Qui..... ne revient..... plus.


Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
06 décembre 2014, 09:36
NOVEMBRE 2014.

HADERA. Israël.

LA COLLINE.

§§§§§§§§§§§§§§§§§

Que la colliiIIIne est belle
Moi qui, en a vu d’autres ailleurs
Là bas où les blés sont d’or,
La meEEr à ses flancs s’reeveille
Aux heures où le soleil
Monte dans un ciel gris.

§§§§§§§§§

Et l’écho chatouille mes ouïes,
Et qd rêverais-je ce rocher
Sur ce front de mer, posé,
Et mon front en fut marqué
A l’ombre de mes petits enfants
Qui jouaient sur leur sable ‘mouillant’.

Il a reflété les doux visages de ceux que j’aime,
Et qu’importe si le souffle marin,
Par grandes touches salines, a caresse mes
Vieilles cotes exposées au temps,
Au vent du nord
Bien trop malin.

Des pêcheurs et pécheresses
Debout, Anonymes, inconnues
Aux profils blancs baAAsanés,
Sur des rochers pointus,
Des passionnés de la ligne,
Comme j’en ai connu
Défient vent et pluie.

Que la pêche soit stérile ou porteuse
Ils ramèneront chez eux
Le plaisir de la touche.

Quant à moi, j'ai ramène
Ma petite touche d’un pays qui bouge.

Que la colliiIIIne est belle
Pour….TANT…J’en ai connue..UUe...
D’aussi belles… !!§§§§§





Pièces jointes:
QUE LA MONTAGNE EST BELLE.jpg
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
06 décembre 2014, 10:50
Soldat,

Jeune soldat D’Israël
Presque imberbe
Je t’ai vu marcher
La tête haute
Et ton arme
Bien basse.

Je t’ai croisé soldat
Sur le quai,
La kippa clouée sur ton chef.

Tu marchais lentement
Vers ton train
Le regard bien humble
Et la barbe bien taillée.

Soldat,
Tu m’as aidé
A porter ma valise
Quand je peinais
A la faire monter
Dans ce wagon.

Toda. Toda.

Et toi la soldate
Aux cheveux blonds
Tes lunettes cachaient ton regard
Tu m’as montrer
Mon chemin.

A Toi et à Elle
Je vous dis merci.
TODA. TODA.

Comme ils sont humbles
Dans leur apparat qui les rend
Merveilleux.



Pièces jointes:
soldat.jpg
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
06 décembre 2014, 12:02
LA MAISON DE L ALYA.

C’est une GRANDE maison
Un grand foyer, un âtre
Où brûle un grand feu d’espoir.
Et quand le seuil est franchit
La joie vous prend, c’est la vie.

On y trouve toutes les fleurs
Tous les airs et les refrains
Des champs ouverts
De grands prés verts
Des chants d’été et d’hiver.

Il n’y a pas de portes
Chacun est libre de venir
De rester, de partir
Et revenir mais l’avenir
Est bien sous ce toit ouvert.

Pensez y car un jour viendra
Où un avion vous emportera
Sur cette terre de joie, là bas.


Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
07 décembre 2014, 01:39
LE CELEBRE CHANTEUR DOUKHA N EST PLUS. Hommage.

J’ai connu Doukha lors d’une soirée chez mon beau frère Alain. Il y a 25 ans. Alain et sa femme SANDRA, clôturaient ainsi une semaine de mariage. Tous les proches étaient invités et bien que le salon fut petit pour accueillir tout ce beau monde, je découvre un monsieur, un chanteur aux accents tunes, jovial, Doukha en costume blanc, cheveux gominés, lunettes à propos et je découvre surtout son entrain à faire bouger les gens.

Il enroulait toujours son fil du micro dans sa main droite tandis que l’autre main rythmait ses pas de danse. Il adorait trépigner.

Son charme fou et son sourire ravageur parlaient pour lui et personne ne restait insensible à ses cadences.

De temps à autre il lançait un gentil mot à ses admirateurs qu’il connaissait bien.

L’homme n’était pas avare de son temps, il était généreux et surtout comblé les désirs de ceux ou celles qu voulaient entendre une de ses chansons préférées.

Je découvrais aussi cette fameuse chanson de DIAMANTA qui me fit couler des larmes.

Et puis je n’oublierai pas son ‘…Bekh’bekh ye Maurice… !’ Lancée à son 'tâârman.'

Notre chanteur en blanc vient derentrer au Paradis fleuri avec son costume blanc.

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