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LE PTB ET MOI ZOUZ.

Envoyé par albert 
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
16 septembre 2017, 11:18
CHEZ MABEL’S….BOUTIQUE ESOTERIQUE...AFREUDISIAQUE...GODES MOUVANTS
ET FIXES….GÉNIES ET ENCENS….

Tout baigne dans l’huile…

Il y a des matins bien mouillés et dés après midi secs et chauds.
Celui d’aujourd’hui est à marquer d’une pierre blanche.

Miranda la femme de mon frère prend son service vers les 14 HEURES 30 tous les samedis.

A peine rentrée, elle m’annonce que sa maman vient l’aider POUR surveiller. Sa maman Henriette, 93 ans peine marcher, elle s’aide par une canne, je vois dc sa maman rentrer péniblement, je l’embrasse et la fait asseoir, je lui prépare un nescafé serré et je lui DEMANDE si elle peut remplir des petites bouteilles d’huile d’onction bénite‘ huile de tournesol’, mesquina elle me répond ‘OUI… !’

Je pose dc devant elle 5 bouteilles d’huile d’un litre et 100 petites bouteilles fumées avec leur bouchon. L’espace étant exiguë, je lui demande de faire attention…Elle me dit ‘...Va , ne t ‘inquiète pas, j’ai l’habitude du travail/… ! J’ignorais qu’ elle avait cette habitude, la vielle, lejjem fi dara en Israel comme elle vit seule, elle doit remplir de milliers de petites bouteilles d’huile de Jérusalem. Bref...Je l’embrasse et je m’apprête à partir rassuré qd soudain, elle dit ‘...Yaël, je vais aller faire pipi…. !’ Elle se leve, prend sa canne, s’appuie sur le petit plan de travail qui tient par le grâce de D ieu et je ne vous dis pas le fracas qui emplit la boutique…..TOUTES LES PETITES BOUTEILLES CHUTENT à TERRE….LES 5 BOUTEILLES D’ UN LITRE D HUILE PAR TERRE..ÉCLATEES …..EXPLOSÉES. ..UNE MARRE D HUILE s est formée sous les pieds de la vieille et de sa fille, milles tessons baignent dans l’huile...Yael ‘...SURTOUT…NE BOUGE PAS MAMAN...La vieille ‘...JE N EN PEUX PLUS JE VEUX FAIRE PIPI…. !’ MOI ‘…?NE BOUGEZ SURTOUT PAS VOUS DEUX...J ‘apporte un tire ‘huile…. ! LES DEUX...’..C EST QUOI UN TIR HUILE… ? ‘..UN BALAI….. Dis je….La vieille têtue comme une mule pose sa canne devant elle, je sens qu’elle va se casser la figure...’ Yael...’...Non , N AVANCE PAS… !’ J’ai juste le temps de poser ma veste que je vois la vieille mule dire ‘...TU VOIS YAEL...Je peux avancer….MERDE LA VIEILLE GLISSE DE TOUT SON LONG AVEC SA CANNE DE MERDE….YAEL ..HURLE..’…..MAAAAAMANNNNNNNN….Moi...HENRIEEEEEEETT….E !’ Henriette est allongée sur la flaque d’huile et les tessons….’..JE SENS COMME DES ÉPINES QUI RENTRENT DANS MON DOS… !’ Vite on la relève,elle est dégoulinante d’huile D ONCTION….Le numéro de mon frère s’affiche ‘..QU EST CE QUI SE PASSE. ?? ‘...TA BELLE MÈRE EST TOMBÉE DANS L HUILE…. !’ ‘...PRESSEZ LA POUR RÉCUPÉRER L HUILE AU MOINS…!’...JUSTE A CE MOMENT LA RENTRE UN OUSSIF….’...JE VOUDRAIS UNE BOUTEILLE D HUILE D ONCTION…. !’ Mon frère...’...BEBERT...REFILES LUI LA BELLE DOCHE HUILEUSE… !’
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
18 septembre 2017, 02:07
Un manuel ne suffirait pas.

J’ai bcp plus utilisé mes mains, mes bras, mes pieds en 70 ans de vie commune avec mes membres que j’ai bcp délaissé mes méninges...Et j ai fais le bon choix, je les ai gardées en bonne santé 5 sur ùoi, et jamais l’une d’entre elles ne s est cassée car comme vous le savez en entend nombre de fois ‘….Je me suis cassé les méninges en cherchant…. !’ Or je n’ai jamais vu une méninge plâtrée coincée sous les aisselles d’un ou d’une amie...Un bras, une main un pied certes oui, c est apparent mais une méninge ou à plus fortes raisons des, non, je suis sur de ne pas en avoir vu….Les méninges c’est important bien plus que les membres, ceux là se rafistolent….Par contre une fois que les méninges sont malades, il n’y a strictement rien à faire sauf à attendre qu’elle guérissent….

J’ai donc bcp plus travailler avec mes membres supérieurs qu’avec la tête, sans oublier mes membres inférieures qui m’ont permis de fuir le danger lorsque je vivais en Tunisie. Il y avait des moments où je devais prendre mes jambes à mon cou et là encore, je n’ai jamais vu un cou porter des jambes, attention je n’imite pas RAYMOND DEVOS mais je constate que certaines expressions bien imagées méritent d’être mises en avant et là, me revient cette expression EN AVANT TOUTES…..Il s’agit de la machinerie d’un bateau, ce qui sous entend qu’il faut avancer et envoyer la vapeur mais nous, sommes nous des machines à vapeur pour nous LANCER TOUTES EN AVANT….Dans une France de FENEANTS ET DE GÉMISSEURS comme l’a dit notre HOBEREAU MACRON…. Qui prend plaisir à fuir son Elysée….Il est mieux dehors que dedans et mieux, ses joues sont d’un rose, les juifs tunes diront OUJOU WARDA….Un visage de ROSE mais je là à sentir la Rose, je ne sais pas...Je ne l’ai pas encore embrasser...Ah, zut, zekch zeb où en étais je….Dans les meringues ou les méninges… ? Dans les membres, et mes membres d’ici ont la chance d’être des internautes qui réfléchissent, des gens biens, aussi bien tunes berbères arabes que juifs berbères tunes….Il y a un métier que je n’aurai pas aimé pratiqué c est Psychologue, tout ce qui touche au comportement humain et diagnostiquer qqs folies, qqs déviances, qqs trucs qui ne sont pas normaux….Et que le psy juge anormaux...Là, la vérité c est au dessus de mes forces, annoncer à un patient qu’il a un problème psychique j’en pleurerai de peine ce qui compte c est que je me sens bien dans ma peau et que je vais consulter une amie d’ici pour faire un bilan psy parce que ca va pas du tout mais alors pas du tout...Il s’agit là de ma boule les amis...
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
22 septembre 2017, 00:24
Moi donc...

J’aurai pu courir derrière les grands arts,
Battre la glaise ou entrelacer les mots rares
Poser des portées entre 5 lignes bien droites
Composer, créer, inventer ou battre la mesure…

Je me suis laissé plutôt conquérir
Par les jeux de rues et des terrasses…
Mais jamais par ceux de hasard.
Je fus une victime innocente
Du ballon rond laissant l'ovale de coté.

J’ai suivi dans mon ciel des vols
D’étourneaux, l’étourdi que je fus
Oublia de noter les coups de martinets,
Sans parler des katrates* en prime (* avc en arabe)
Qui sur ma tête pleuvaient drus.
Que de fois j’ai compte les couleurs
Des arceaux de l’arc en ciel mais hélas
je ne trouvais jamais le compte exacte.

J’ai couru bien plus derrière les chiens
Sans jamais tenir un brave livre dans la main…
Mon nez collé à la vitre, dans le train
Les flamands roses, me saluaient en chemin.

J’ai fui les discussions savantes,
Pour moi, elles étaient stériles,
Entre amis calés dans les sciences car
J’estimais n’avoir pas trop de sapience,
Ma caboche était plutôt bien animée
D’idées bizarres saugrenues, sans consistance.

55 ans plus tard, me voilà devenu Maître à pensées…
Tout de travers.
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
22 septembre 2017, 03:29
Comme vous tous et toutes, je fus enfant.
Je ne m’en rappelle plus ou peu.

Comme vous tous et toutes, je fus adolescent.
Je m’en rappelle plus et peu bcp.

Je fus adulte comme vous tous et toutes
Je m’en rappelle surtout et bien.

Ben me voilà déjà bien plus qu’adulte….
Je crois même que j’ai dépasse ‘l’adultesse’
Pour rentrer dans la vieillesse DéjàAAAA saperlipopette
Alors dites moi s’il vous plaît, il y a quoi après…
Que je veux ignorer… ????
Surtout ne m’effrayez pas…. !

___________________________________________________________




CRIS D AUTREFOIS.

‘….YE SALAG EL WAHLIN….
‘….YE SALAG EL WAHLIN….
J’ai connu ce cri d’approche…

‘….Caramels gaufrettes… !’
Ils sonnent encore dans mes oreilles…

‘….FRIGOLOOOOOS….. !’
Ah celui là qui des goujlettoisl‘ignorent…

‘….CALDI CALDI…
KAKI KAKI…. !’

Mais celui qui me faisait frémir
Le hurlement de maman sur le balcon
‘..BEBERRRRRRRTT…. !’
Fej’ya …..
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
24 septembre 2017, 11:26
LEHAIM

Au cours de cette année juive…
J’ai dégusté bcp de verres de lumière…
Aucun d’eux n’ a été amer….

El kess él mor , c est le verre de l’amertume
Or il s’en trouve ici et ailleurs qq’uns
Qui l’ont porté à leurs lèvres et bu.

Comprendre ce que je sous entends
est facile car chez nous les juifs tunes
Le kess de l’amertume est le verre de la tristesse
Du deuil du chagrin celui qu’on n’aimerait pas goûter
Avant longtemps. Certains de mes amis l’ont goûté.
A ceux là, je leur dis que tout passe sauf l’oubli.

Aux autres, les verres de la VIE , ceux qu’on lève
A bout de bras et dire LE HAIM….A La vie….
Lever son verre à la santé, au bonheur, à la réussite
Des enfants, à l’amitié à la paix aux chansons
Aux gens du rire, aux poètes, aux humains,
Aux gens malades, aux souffrants pour qu’ils guérissent…
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
25 septembre 2017, 02:19
Ijje ouni ye neyeq, ye tahan, ye miboun, col ââm ouenti tssali ou tââmel lahram ou baad dji béch treqebli él ââvounot aala rassi...!!!
Pièces jointes:
coq.jpg
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
27 septembre 2017, 02:48
Pourquoi,,,, S’étonner…

Si je vous dis que parfois,
L’envie me prend de m’asseoir
De poser comme un SDF
Mon fessier rabougri...
Sur le bord d‘un trottoir…

Sur le bord d’un trottoir...
De lever les yeux vers le ciel gris de Paris
Et voir passer des oiseaux blancs
Qui n existent que dans mon imaginaire…

Cette envie de me déchausser…
De relever les rebords de mon jean
Plonger mes pieds nus
Et laisser mes orteils goutter à l’eau
Sale des caniveaux de Paris…

Battre fort avec mes mains
Ce petit plan d’eau sombre
Qui coule d’entre mes jambes
Mais qui ne ressemble pas au reflet de l’onde
De mon pays , celui de mon enfance …

Cette enVIEEE  soudaine,
De tapoter et faire gicler bien haut l’eau claire
Et la sentir couler sur mon front nu
Comme une suée de bonheur ….

Que je ne retrouve plus….

_______________________________________________

J’aimerai tant…

Te prendre par la main
Refaire le chemin
Sans jamais quitter ta main…
Marcher comme je marchais
Sur la gréve des eaux salées
Calmes et rageuses par moment,
Du pays de mes ancêtres,

J’aimerai tant….
Que tu me prennes par la main
Refaire le chemin à l’envers …

Rebrousser chemin sans quitter ma main
Pour revoir, repiétiner ce que j’ai connu
déjà il y a fort longtemps…

J’aimerai tant ma chère vieillesse
Que tu prennes la main de ma jeunesse…
Emmener faire un tour mano nel mano
Là bas, ma vieille frimousse,
là bas où tout a changé,
Car sur les quais du canal, l’italien n’est plus. 
Le juif s’est dissout dans la mémoire collective.

La rumeur dit qu’il aura un musée,
Ou peut être un un zoo...
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
27 septembre 2017, 03:19
Là où D ieu
M’à fait naître …….

Entre quatre murs étriqués…
là où l’air sentait le pet….
Les kippas étaient rares

Ô Mon D ieu
Ô MON D IEU……..
Bébé que je fus
Par ma fenêtre, je voyais
La rue sans kippas….
MEHILA...

Odieux paysage sans foi
Qui du balcon à ma fenêtre
Les prières ne s’entendaient
Qu’entre des murs blancs
Chantées par des vieux pieux assis sur des bancs
Marrons ou sur des tapis de paille tressés…

MEHILA...MAIS….MAIS….

D ieu était à l’abri des intempéries
Cloître entre des murs à sa gloire élevée…

il n’ a jamais prit le chemin de la rue…
Encore moins les avenues et les boulevards
En otage, D ieu se lit dans les ouvrages
Et pas clamés haut et fort sur des murailles
De banlieues, D ieu n est pas un Dazibao
……MAIS…….. Il est dans les vidéos….

ME….HI...LAAAAAA...
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
03 octobre 2017, 01:11
La machine à écrire…

Je n’imaginais pas un jour tenir une plume. Bien que le clavier remplaçât cette dernière, j ai eu du mal à maîtriser ce qui allait être mon compagnon durant qqs heures, là bas en Tunisie bien avant de m’envoler pour Paris...Sans plumes. Je voulais coucher mes souvenirs sur des pages blanches.

Une vieille machine à écrire de marque REMINGTON, dénichée aux puces de la Hafssia, fit l’affaire. Une machine usée dont j’appréhendais son caractére. Je devinais sans y avoir mis encore les doigts pour pianoter, la souffrance que j’allais endurer pour aligner qqs phrases. C’était la première fois qu’une machine à écrire bien vétuste faisait son entrés dans le salon. Elle faisait donc connaissance avec la télévision, les chaises, le frigo etc et enfin avec moi.

Je me plaçais donc après avoir dîné, le cœur en alerte et les sens aiguisés, devant ce ‘piano ‘miniature afin tester le clavier. Mon index hésitait à caresser les touches, de crainte qu’il fut happé par je ne sais quel jnoun….

J’enfonçais mon doigt sur une lettre d’AZERTY et là j’ai compris, au vu de la résistance de la touche, que j’allais m’angoisser passablement, le temps d’apprivoiser cette chose dont certaines lettres alphabétiques étaient inexistantes ou mal placées.

Pour trois lignes tapées, 45 mots étaient handicapés soit d’un E, d’un A d’un R ...Je devais donc à chaque fois pousser le tambour vers l extérieur pour rajouter la manquante….ou effacer avec du typex la lettre mal orthographiée. Un calvaire qui faisait perler mon front à tel point que mon angoisse se lisait sur le ciré de la table, je suais à grandes eaux.

Pris par un sentiment de rage, je levais la main pour claquer le coté latéral droit de cette lenteur. Puis me ravisant, je lui trouvais des circonstances atténuantes, sa vieillesse et surtout mon choix, ce choix qu’elle n’a pas demandé. Je m’interdisais donc de la frapper mais je pris la décision de la rendre à son propriétaire. Elle était sous garantie…..

Albert SIMEONI.
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
03 octobre 2017, 02:13
LA GUITARE.

Bien avant la machine à écrire, je découvrais dans mes 22 ans, allongée de tout son long sur le lit de mon jeune frère Richard, une guitare vernis dite sèche….Mon frère s’était pris, qqs mois auparavant de passion pour cet instrument à cordes.

J’ai voulu en savoir plus sur cet instrument dont les sonorités m’enchantaient lorsque de derrière la porte , j’écoutais ce premier, jouer avec son ami MARZOUK du Jingo REINHARD.

Ils s’enfermaient dans sa chambre et les voilà tous les deux pris par une sorte de frénésie et les notes émises tantôt aiguës, tantôt basses donnaient la mesure à l’ambiance qui régnait dans cet espace pas plus grand qu’un cagibit.

Ca grattait fort et bien, avec de temps à autres des reprises, des arrêts et par moments des tapes sur le bois, un petit tambourinage.

Je profitais donc d’une pause des deux musiciens, pour prendre entre mes bras, cette chose vernis. cette caisse à résonance, pour tenter de découvrir son mystère intérieur. Retenant mon souffle puis le libérant, je calais sous mon aisselle le corps de l’instrument tandis que par ma main droite, je donnais aux cordes qqs coups sur les cordes. Et ce qui en sortit me fit comprendre à mon grand regret que jouer de la guitare n était pas de mon ressort. Des sons affreux, des lamentations, des gémissements saccadés firent sursauter maman qui faisaient frire ses boulettes dans sa luxieuses cuisine ‘...Ye ouldi .. !’ Me dit telle ‘..El mah’chi qaad yegh’li…. !’ Mon fils, les boulettes mijotent plus que d’habitude…. !’ Je compris là que les boulettes de maman souffraient des sons émis par ma guitare. Je stoppais sur le champ ce grattage lugubre afin d’éviter d’être responsable d’une mort lente de boulettes due à une œuvre sans pareille .
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