Bienvenu(e)! Identification Créer un nouveau profil

Recherche avancée

LE PTB ET MOI ZOUZ.

Envoyé par albert 
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
20 mai 2010, 07:37
Dans sa boutique dans un coin de Paris , que je ne divulguerai pas ,A... S... ,Bb pour les copains, attendez son premier client.
C'est une femme qui entre , ya fetah yac rezak murmura Bb pour un début de journée , il espérait mieux , au moins une personne plus avenante .
le moins qu'on puisse dire sur cette cliente , c'est qu'elle était loin d'être belle .
Elle n'était pas moche comme un poux , mais plutôt , comme une punaise , et pas une simple punaise , une de celles qui ont longtemps pompé un pauvre cabot .
A peine entrée l'enflure ouvre sa bouche , découvrant une dentition , qui n'aurait pas été acceptée , pour la publicité Colgate.
__ Je voudrai quelque chose pour mon homme , il est indifférent , et me délaisse depuis longtemps.

Je le comprends pensa au fond de lui Bb et à haute voix .
__ Vous voulez dire un philtre d'amour.
__ Non pas un philtre , il m'aime mon Jules ,plutôt quelque chose pour le réveiller , j'ai beau tourner autour de lui en petite tenue , ça ne lui remue pas d'un centimètre .
Le pauvre ,comme je le comprends, elle était deja assez repoussante habillée , ya ba3nek déshabillée, puis a haute voix
___Vous voulez dire un aphrodisiaque ?
__ Oui c'est ça
B,b pesa minutieusement une poudre , qu'il emballa dans un sachet .
__vous lui ferez , une infusion , le matin avant le café , avec une petite cuillerée de cette poudre , et vous m'en donnerai des nouvelles , ça fait 150 francs(c'etait avant l'euro).
elle paye sans lésiner , et disparut, au grand soulagement de bb.

Le lendemain , il la voit réapparaitre furieuse comme un hippopotame.
__ Mais qu'est ce que c'est , cette m. que vous m'avez vendu ,J'en ai donnée a mon homme , une heure après il a préparé une valise en hâte, et il a quitté la maison ,il a même emporté le reste de la poudre ,oui il a pris la poudre et il est parti. ça ne se passera pas comme ça , vous allez m'indemniser , ou me donner quelque chose , qui le fera revenir . .
Bb , n'y comprenez , on lui avait dit beaucoup de bien de cette poudre , et il connaissait le conjoint de cette mégère , un type sympa plutôt timide qui venez de temps en temps boire un coup , au bistrot du coin , sans lever les yeux sur les nanas , et sans gêner personne .
__Écoutez Madame , tout ce que je peux faire , c'est de vous rendre vos 150 francs .
Il lui tends les billets , elle les empoche et disparait .

Un moi plus tard , devinez , qui apparait chez Bb ?
Le type de la poudre, le conjoint disparu , et devinez ce qu'il voulait ? encore de cette poudre.
__ Je ne comprends pas lui dit Bb , je vois que cette poudre vous fait du bien , alors pourquoi avoir quittée votre compagne .
__ Écoutez M. S. c'etait assez commode d'avoir quelqu'un pour vous chouchouter, préparer votre café , et vos dej , mais maintenant , que je bande ,je ne vais pas gaspiller ça , sur une comme elle .

Il le comprenait Bb , depuis cette mésaventure il s'est peut être appauvri de 150 francs , mais le vocabulaire français s'est enrichi d'une nouvelle expression "la poudre d'escampette"
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
20 mai 2010, 10:36
Hloue l'histoire Freddo, en plus cette poudre je la commercialise qui fait bcp d'effets.
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
20 mai 2010, 10:38
LA SUITE...LE FACTEUR...


Après avoir placé mes quatre sous bien au chaud, du moins c’est ce que je croyais, voilà que six mois plus tard, alors que j’avais donné des instructions au con de directeur belge, j’entends la porte de la maison ( celle de la Goulette) frapper vers les 10 heures du matin, un samedi.

Une voix que je reconnais à travers le grand portail bleu, c’est le timbre du facteur Hamouda. Célèbre facteur, l’homme à la bicyclette. J’ouvre et il me tend une lettre, une grande enveloppe avec comme en tête le nom de la banque en grand et en gras.

Je regarde Hamouda et je lui dis '...Mais elle n’est pas à moi… !’ Aâjéb… !’ Qu’il me dit ‘…Albert, c’est toi non…. ?’ ‘..Oui mais des Albert, il y a en trois dans ma rue… !’ ‘…Siméoni… ?’ ‘…Pas possible… !’ Mon visage était devenu pâle, bakhara, couleur soufre, au vu du pli qu’il me tendait. Dois-je le prendre ou ne dois-pas le prendre. Hamouda él boustagi attendait, un pied sur la première marche et l’autre sur l sol.

Je lance qqs regards furtifs dehors afin de vérifier si par hasard, une voiture suspecte n’est pas garée. Au plus, me suis-je dis au cas, où des inspecteurs s’aviseraient de descendre et me surprendre, je déchire le pli en un rien de temps et je bouffe le principal en ayant pris le soin de fermer la porte à double tour.

Rien à l’horizon, je prends le pli et fissa fissa, je me cloitre.
J’ouvre la grande enveloppe et bien sur, je trouve tout un listing de valeurs boursières. Bien aligné.

Je pique une colère interne que je maitrise. Et sans plus attendre, je me prépare à déchirer le tout en mille morceaux lorsque soudain j’entends la porte frapper. Alors là les amis, mon cœur tressaute.
C’est eux, je suis cuit, bonjour le trou noir du commissariat, les questions et les coups.

En plus, je suis juif trafiquant donc double ration.

Je me vois le visage en sang, les pommettes fendues, l’œil pendant mais pas avant mais après, les dents cassées, bref la torture en bonne et due forme pour avouer sur pièces le délit.

Je laisse frapper tout en déchirant le pli à une vitesse vertigineuse. Je réfléchis à la manière de broyer le listing et je pense mettre le tout dans le fond de la cuvette du wc et tirer la chasse. 1 kg de papier à faire passer en un seul coup. Les coups sur la porte redoublent, la chasse est tirée mais voilà que par le volume du pli, l’eau et le listing se sont un peu gonflés faisant ainsi monter l’eau au ras du bord de la cuvette. Je suis mort. Pour aider la chose, je plonge ma main dans le tas de papier tout en retirant la chasse. Une partie semble passer tandis qu’une autre monte vers le haut inondant tout mon bras, je remets ma main et re-retire la chasse, là tout passe à mon grand soulagement. Avec ma sueur qui perlait au dessus de la cuvette.

Je remercie les saints juifs de m’avoir aidé et je vais ouvrir la porte.
C’était maman qui revenait avec son couffin.

‘..Winec… !’
‘…Cent fél krââ… !’ J'étais dans le merde.

Le lundi j’appelais Monsieur le directeur d’une cabine téléphonique pour lui faire la remarque sur cet envoi qui a mit ma vie en danger.
Il me dit tout connement…

‘…Avez-vous une autre adresse en Tunisie… ?’
‘…Oui Monsieur, le cimetière du Borgel… ! La tombe de mon père… !’

Depuis, les courriers allaient chez mon frère à Marseille.



Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
20 mai 2010, 11:32
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
20 mai 2010, 11:36
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
20 mai 2010, 23:59
breitou a écrit:
-------------------------------------------------------
> Hloue l'histoire Freddo, en plus cette poudre je
> la commercialise qui fait bcp d'effets.
Quand , tu seras en Israel , apporte moi , un bon pacquet .
Ce n'est pas pour moi , mais pour un copain, comme j'ai peur que tu l'empoisonne , je l'essayerai , d'abord sur moi , et si je la juge trop dangereuse pour son cœur, je prendrai le danger sur moi.
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
21 mai 2010, 00:41
PROCHAINEMENT...

SALLE RACHEL.

'...LE CARNET DE BAL...!'

Nouvelle inspirée par LOLA.

SALLE RACHEL.
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
21 mai 2010, 00:41
Ok Freddo, pour toi c'est grattos au vu de l'effet bidon qu'elle a.
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
21 mai 2010, 12:01
MESDAMES ET MESSIEURS

En l'honneur de ma fidèle lectrice matinale Lola,qui loin de m'avoir lâché continue à me lire et à me suivre, j'ai concocté pour elle, comme je l'ai fais pour mon amie TITRITE, une nouvelle imaginaire dont elle fut l'inspiratrice il y a qq mois, en insérant un carnet de BAL au CLUB 55, le TB.

De là est partie une promesse que je tiens aujourd'hui à honorer.

Recevez Madame Lola, toutes mes sincères amitiés et ma gratitude.

Albert.

Départ de la nouvelle Dimanche si D ieu veut vers les 10 heures du matin.




Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
22 mai 2010, 13:07
J’y pensais souvent parce j’avais promis.

Or une promesse c’est un pacte non écrit entre deux esprits.

Deux personnes dont l’une par hasard à publier une ancienne chose dans le TB.

L’autre l’a vue et bien sur, cette chose l’a inspirée sur le champ et sans réfléchir, il promet d’en faire ne nouvelle car Albert saute sur toutes idées recevables et même irrecevables. Il y a six mois, Albert écrivait un brouillon, tout au long de son parcours METRO, huit pages au début ensuite six autres pour griffonner encore une dizaine de pages.Soit faites le compte, j'ai pas encore fumé.

Une fois le récit terminé, Albert l’avait mit dans une chemise afin de le recopier sur son ordi.

Hélas, bien des jours sont passés et nulle trace du dossier.

Après une bonne heure de déception, voilà que sans se décourager, il réécrit l’histoire du CARNET DE BAL, en changeant du tout au tout la trame. Car entre temps, il reçut qqs infos pour mieux donner une certaine réalité à la nouvelle. Un semblant de colonne vertébrale sur laquelle les héros peuvent s’adosser.


Il lui a fallu exactement 6 jours pour tout mettre en ligne.

Vous serez en présence de cette dame Aline sexagénaire qui narre sa jeunesse, ses promenades avec son père et ensuite son papi, puis la rencontre d’avec son oncle Adam, un homme généreux, riche, puis il y aura Alex, ce jeune étudiant juif bref, IL Y A le PONT QUI RELIE DOUCEMENT TOUS CES PERSONNAGES ENTRE EUX.

Je vais donc retoucher légèrement certains chapitres et ensuite à demain… !!!

J'attends vos sentiments Lola et Titrite et Mamili si elle veut.

POUR MADAME LOLA demain LE CARNET DE BAL. Soyez à l'écoute.µ
RM.
.






LA VIE EST SIGNE DIVIN.
Seuls les utilisateurs enregistrés peuvent poster des messages dans ce forum.

Cliquer ici pour vous connecter






HARISSA
Copyright 2000-2024 - HARISSA.COM All Rights Reserved