Bienvenu(e)! Identification Créer un nouveau profil

Recherche avancée

ben alors !!! DSK

Envoyé par elsa 
Re: ben alors !!! DSK
06 juillet 2011, 01:59
[www.marianne2.fr]


Nafissatou risque l’expulsion des Etats-Unis
Re: ben alors !!! DSK
06 juillet 2011, 02:28
Affaire DSK : le dealer contacté par Nafissatou Diallo est son mari


Deux jours après la libération sur parole de Dominique Strauss-Kahn, les révélations sur la personnalité de Nafissatou Diallo, l’accusatrice de DSK, s’enchaînent dans les médias.

Aussi rapidement qu’ils avaient condamnés DSK, plusieurs journaux américains tirent dorénavant à boulets rouges sur la femme de chambre de 32 ans, dont la loi américaine interdit de révéler l’identité. Pour autant, l’enquête De son côté, l’ancien directeur général du FMI occupait toujours dimanche la maison du sud de Manhattan dans laquelle il a été confinée pendant six semaines jusqu’à ce qu’un juge new-yorkais lui rende sa liberté de mouvement aux Etats-Unis vendredi.

En France, la thèse du complot resurgit, notamment avec un député strauss-khanien qui évoque désormais de mystérieuses « connexions » entre le Sofitel et des « officines » à Paris. Et sur le plan politique, la question du report des primaires du Parti socialiste pour la présidentielle est ouverte, alors qu’un sondage exclusif Harris Interactive pour « Le Parisien »- « Aujourd’hui en France » montre que les Français sont partagés sur un retour de DSK sur le devant de la scène politique française.

Le détenu que Nafissatou a joint au téléphone était... son mari. Présenté d’abord comme une connaissance, puis comme son petit ami, le détenu avec qui Nafissatou Diallo a eu une conversation téléphonique, au lendemain de ses accusations de viol à l’encontre de DSK, était en fait son mari. La femme de chambre guinéenne de 32 ans aurait rencontré ce Gambien dans le Bronx, confirme au « Parisien » une source proche de la mosquée où se rendait Nafissatou. Selon les infomations du « Journal du Dimanche », elle se serait mariée religieusement il y a un an avec ce dealer. Impliqué dans un trafic de drogue, c’est lui qui aurait profité de la naïveté de Nafissatou, assurent certains membres de la communauté guinéenne. Jusqu’à présent, on savait qu’elle avait été mariée une fois en Guinée, pays qu’elle avait quitté à la mort de ce premier mari.

Dans cette affaire, la donne a changé depuis que le procureur Cyrus Vance a révélé les mensonges de la femme de chambre sur son passé mais aussi ce qu’i s’était passé après son agression présumée. Elle a menti pour obtenir l’asile aux Etats-Unis en 2004, a-t-il écrit jeudi dans une lettre aux avocats de la défense. Elle a également menti sur ce qui s’est passé après l’agression présumée dans la suite 2806 du Sofitel de New York. Nafissatou Diallo avait raconté qu’elle avait attendu dans le couloir que DSK quitte la suite et avait immédiatement rapporté les faits présumés. Elle a depuis admis qu’« elle avait nettoyé une autre chambre et était retournée dans la suite 2806 et avait commencé à la nettoyer avant qu’elle ne rapporte l’incident à son superviseur », écrit M. Vance. Elle a également fait une fausse déclaration d’un second enfant à charge pour frauder les services fiscaux, selon le procureur.

Les avocats de DSK nient toute relation tarifée. Citant une source non-identifiée proche de la défense de DSK, le tabloïd New York Post affirme que Nafissatou Diallo se prostituait régulièrement et que Dominique Strauss-Kahn aurait refusé de la payer après leur relation sexuelle. Elle était « bien au courant de son statut de VIP » et comptait bien en tirer profit, selon le tabloïd, qui n’avait pas eu de mots assez durs pour attaquer DSK au début de l’affaire. Une affirmation fermement démentie par les avocats américains de Strauss-Kahn. « Il n’y a pas eu de dispute entre les parties parce qu’il n’a pas été question d’argent », déclarent-ils dans un communiqué.

LeParisien.fr

Re: ben alors !!! DSK
06 juillet 2011, 12:11
Affaire DSK: le père de Tristane Banon, ancien Conseiller économique et financier de Yasser Arafat

La journaliste et écrivaine Tristane Banon, qui accuse Dominique Strauss-Kahn de tentative de viol, est la fille de l’élue PS Anne Mansouret, et de Gabriel Banon, ancien conseiller économique et financier de l’ancien leader de l’OLP Yasser Arafat. Gabriel Banon était un proche d’Ibrahim Souss et de Souha Arafat, l’épouse du leader palestinien, et associé à l’un des proches de cette dernière, Pierre Rizk, l’ancien Chef du renseignement des Phalanges libanaises, qui avait été l’un des acteurs des massacres de Sabra et Chatila en septembre 1982.
Re: ben alors !!! DSK
06 juillet 2011, 12:31
De Yasser Arafat à Dominique Strauss Kahn : l’étrange famille Banon - Par Jonathan-Simon Sellem – Pour JSSNews - 6 juillet 2011

Alors que la justice américaine s’apprête à relâcher Dominique Strauss Kahn et à renvoyer l’ancien directeur du FMI en France, DSK devrait de nouveau faire face à la justice pour des accusations de viols lancées par Tristane Banon. Si tout le monde à déjà son opinion sur cette affaire qui ne prend forme que 9 ans après les faits, il nous a semblé nécessaire de tirer un petit portrait de la victime présumée pour tenter de comprendre son passé, son présent et son futur.

Car si tout le monde connaît la terrible enfance de Tristane et sa mère qui lui conseilla étrangement de fermer son clapet lors de la présumée tentative de viol, beaucoup moins nombreux sont ceux qui connaissent le père de Tristane Banon. Et pourtant…



Son père, Gabriel Banon, est un juif de Casablanca au Maroc. Après avoir présidé plusieurs sociétés, Gabriel Banon est parachuté conseiller spécial à l’industrie de Georges Pompidou [jssnews.com] . Et c’est bien plus tard, en 1993 lors des accords d’Oslo que sa vie prendra tout son sens. C’est à cette époque que son ami Yasser Arafat, le leader terroriste palestinien, tombe sous le charme de Gabriel Banon. De conseiller de Pompidou, il passe au statut de conseiller de Yasser Arafat. Les deux hommes deviendront d’excellents amis. A la muqqata, Gabriel Banon est notamment chargé de demander à Israël le versement des fonds de pensions. Et malgré son rôle de travailleur pour le gouvernement palestinien, il reçoit (étrangement) une concession personnelle pour pouvoir lancer un nouveau service de téléphonie mobile à Gaza et dans les Territoires disputés. Encore que, connaissant le niveau de corruption sous Arafat, cette affaire semble ridicule.

Entre temps, au lendemain du meurtre d’Yitzhak Rabbin le 4 novembre 1995, Gabriel Banon crée la Lettre Economique Palestinienne. Wikipedia nous apprend que


De longues négociations avaient eu lieu depuis septembre 1995 entre l’un des principaux hebdomadaires de la communauté juive de France, Tribune Juive, et le conseiller de Yasser Arafat, Gabriel Banon, pour étudier la possibilité de réaliser et de publier la première interview du leader de l’OLP dans ce magazine, alors détenu par l’ancien dirigeant d’Europe 1, Jacques Abergel. Néanmoins, plusieurs facteurs ont fait achopper ce projet à plusieurs reprises. Tout d’abord, la vive rivalité existante entre le conseiller Gabriel Banon et la Déléguée Générale de Palestine à Paris, Leila Chahid, pour s’arroger le droit de parole au nom de l’Autorité Palestinienne. Par ailleurs, le fait qu’à cette époque et en dépit des déclarations très claires de Yasser Arafat parlant des articles de la charte nationale palestinienne appelant à la destruction d’Israël, en les déclarant comme « caducs » lors d’une conférence de presse donnée à Paris le 2 mai 1989, cette charte était toujours en vigueur six ans plus tard. Exprimant sa volonté de s’adresser directement aux communautés juives européennes afin de les inviter à s’engager dans la consolidation du Processus de paix, Yasser Arafat reporte plusieurs fois cet entretien, estimant que celui-ci devrait avoir lieu après son élection comme Président de l’Autorité Nationale Palestinienne. Néanmoins, le choix de Tribune Juive – qui publie en septembre 1995 un portrait de couverture du conseiller Banon, était justifié par la ligne éditoriale audacieuse de l’hebdomadaire qui, sous la conduite de son directeur de la Rédaction Yves Derai et par l’implication prononcée de son

Il faut noter également que le fils du conseiller d’Arafat, Patrick, œuvrait épisodiquement comme pigiste à Tribune Juive, et que Pierre Lellouche, avocat né à Tunis, professeur de géopolitique et conseiller diplomatique de Jacques Chirac, élu député RPR en 1993 dans le Val d’Oise, avait épousé la fille du conseiller, la sculptrice Annie-Laure Banon.

Enfin, Gabriel Banon était alors proche d’Ibrahim Souss et de Souha Arafat, l’épouse du leader palestinien, et associé à l’un des proches de cette dernière, Pierre Rizk, l’ancien Chef du renseignement des Phalanges libanaises, (« « Akram » de son nom de guerre, décédé dans des conditions mystérieuses à Paris en 2010), qui avait été l’un des acteurs des massacres de Sabra et Chatila en septembre 1982, pour la mise en place du réseau de télécommunications dans les Territoires palestiniens Wall Street Journal. Finalement, c’est le sort qui changea la donne à l’automne 1995

(…)

Cependant, les tensions entre Gabriel Banon et Leila Chahid, loin de s’apaiser, suscite plusieurs polémiques autour de Yasser Arafat dans ce qui ressemble à une guerre de représentation. De plus, un désaccord survient entre Gabriel Banon et Pierre Rizk. Ce dernier, en charge des intérêts de Suha Arafat et de l’enfant qu’elle vient d’avoir avec le « Rais », éloigne la femme du Président de l’Autorité Nationale Palestinienne de Gabriel Banon, et interfère dans la méthode de règlement du dossier délicat des Fonds de pension palestiniens par ce dernier. Parvenus au point de rupture, les deux hommes s’affrontent et en janvier 1997, le Président de l’Autorité Nationale Palestinienne limoge son conseiller économique, accusé par Pierre Rizk de vouloir détourner une partie des Fonds de pension.

La découverte d’une malversation commise par Gabriel Banon entraine le brusque départ des deux co-rédacteurs en chef adjoints et le retrait de l’Agence Wafa de La Lettre Economique Palestinienne, qui voit son dernier numéro publié en mars 1997. Poursuivi devant les tribunaux par les deux journalistes, Gabriel Banon et la société Pax Economica sont condamnés en 1998. Mais depuis, l’homme d’affaires a fermé les bureaux de ses sociétés à Paris et invoque son immunité au titre de résident américain. Proche de l’ex-conseiller du Roi du Maroc André Azoulay, il vit depuis principalement à Casablanca d’où il dirige sa multinationale Strategic Partners group , basée à Gibraltar, et où il signe régulièrement des chroniques dans Maroc Hebdo International.




Après avoir appris une grande partie du Coran par cœur dans les écoles coranique marocaines, Gabriel Banon écrit un livre mémoire dans lequel il raconte sa vie d’amitié avec Yasser Arafat. Il y parle des relations du chef de l’OLP avec l’argent, la riche diaspora palestinienne et le monde arabe. On y lit aussi bien les dessous des négociations de Camp David ou de Taba que des commentaires d’Arafat sur le terrorisme, la corruption ou encore les Juifs.

En résumé, c’est l’histoire d’un juif qui apprend le Coran, qui travaille pour Pompidou et fait un enfant qu’il ne reconnaitra que pour verser une pension alimentaire à la mère socialiste. Puis il devient conseiller financier de Yasser Arafat, reçoit des marchés obscurs dans le domaine des télécommunication. Son associé, dès cette époque, est alors un homme connu pour son rôle considérable dans les massacres de palestiniens dans les camps de Sabra et Chatila. Mais cela ne gênera sa carrière en rien, ni ses amitiés avec Souha Arafat, la femme de Raïs qui aujourd’hui encore est soupçonnée de vivre avec les 800 millions de dollars qui ont disparu des caisses palestiniennes à la mort du chef terroriste. Et le fait que Gabriel Banon ait détourné de l’argent des fonds de pension palestiniens (raison pour laquelle il a été viré par Arafat) n’aura jamais fait de lui un prévenu devant la justice de Ramallah.

Mais cela ne s’arrête pas là puisqu’en 2005, à la demande d’un autre grand démocrate, il devient conseiller en sécurité économique auprès de Vladimir Poutine.

En plus de son nom tristounet, d’une mère carriériste et d’un père au service du blanchiment d’argent pour une organisation terroriste (OLP), Tristane ne verra jamais son père qui préfère verser à sa mère une pension alimentaire (venant de l’argent donné par les européens aux palestiniens ?) que de l’amour nécessaire à la bonne éducation d’une fille aujourd’hui perdue pour la société.
Re: ben alors !!! DSK
06 juillet 2011, 14:23
la photo qui fait le tour de facebook en long et en large !!
dans 7 ans, ils vont avoir du fils a retorde les mecs !!!!

Pièces jointes:
tristane.jpg
Re: ben alors !!! DSK
07 juillet 2011, 11:29
Re: ben alors !!! DSK
07 juillet 2011, 15:18
Re: ben alors !!! DSK
07 juillet 2011, 15:23
breitou a écrit:
-------------------------------------------------------
> LE CAS BANON.




- Pauvre Anne , t triste ?
- Ba non!
Re: ben alors !!! DSK
08 juillet 2011, 05:04
De Yasser Arafat à Dominique Strauss Kahn : l’étrange famille Banon



Alors que la justice américaine s’apprête à relâcher Dominique Strauss Kahn et à renvoyer l’ancien directeur du FMI en France, DSK devrait de nouveau faire face à la justice pour des accusations de viols lancées par Tristane Banon. Si tout le monde à déjà son opinion sur cette affaire qui ne prend forme que 9 ans après les faits, il nous a semblé nécessaire de tirer un petit portrait de la victime présumée pour tenter de comprendre son passé, son présent et son futur.

Car si tout le monde connaît la terrible enfance de Tristane et sa mère qui lui conseilla étrangement de fermer son clapet lors de la présumée tentative de viol, beaucoup moins nombreux sont ceux qui connaissent le père de Tristane Banon. Et pourtant…



Son père, Gabriel Banon, est un juif de Casablanca au Maroc. Après avoir présidé plusieurs sociétés, Gabriel Banon est parachuté conseiller spécial à l’industrie de Georges Pompidou. Et c’est bien plus tard, en 1993 lors des accords d’Oslo que sa vie prendra tout son sens. C’est à cette époque que son ami Yasser Arafat, le leader terroriste palestinien, tombe sous le charme de Gabriel Banon. De conseiller de Pompidou, il passe au statut de conseiller de Yasser Arafat. Les deux hommes deviendront d’excellents amis. A la muqqata, Gabriel Banon est notamment chargé de demander à Israël le versement des fonds de pensions. Et malgré son rôle de travailleur pour le gouvernement palestinien, il reçoit (étrangement) une concession personnelle pour pouvoir lancer un nouveau service de téléphonie mobile à Gaza et dans les Territoires disputés. Encore que, connaissant le niveau de corruption sous Arafat, cette affaire semble ridicule.

Entre temps, au lendemain du meurtre d’Yitzhak Rabbin le 4 novembre 1995, Gabriel Banon crée la Lettre Economique Palestinienne. Wikipedia nous apprend que

De longues négociations avaient eu lieu depuis septembre 1995 entre l’un des principaux hebdomadaires de la communauté juive de France, Tribune Juive, et le conseiller de Yasser Arafat, Gabriel Banon, pour étudier la possibilité de réaliser et de publier la première interview du leader de l’OLP dans ce magazine, alors détenu par l’ancien dirigeant d’Europe 1, Jacques Abergel. Néanmoins, plusieurs facteurs ont fait achopper ce projet à plusieurs reprises. Tout d’abord, la vive rivalité existante entre le conseiller Gabriel Banon et la Déléguée Générale de Palestine à Paris, Leila Chahid, pour s’arroger le droit de parole au nom de l’Autorité Palestinienne. Par ailleurs, le fait qu’à cette époque et en dépit des déclarations très claires de Yasser Arafat parlant des articles de la charte nationale palestinienne appelant à la destruction d’Israël, en les déclarant comme « caducs » lors d’une conférence de presse donnée à Paris le 2 mai 1989, cette charte était toujours en vigueur six ans plus tard. Exprimant sa volonté de s’adresser directement aux communautés juives européennes afin de les inviter à s’engager dans la consolidation du Processus de paix, Yasser Arafat reporte plusieurs fois cet entretien, estimant que celui-ci devrait avoir lieu après son élection comme Président de l’Autorité Nationale Palestinienne. Néanmoins, le choix de Tribune Juive – qui publie en septembre 1995 un portrait de couverture du conseiller Banon, était justifié par la ligne éditoriale audacieuse de l’hebdomadaire qui, sous la conduite de son directeur de la Rédaction Yves Derai et par l’implication prononcée de son
> Il faut noter également que le fils du conseiller d’Arafat, Patrick, œuvrait épisodiquement comme pigiste à Tribune Juive, et que Pierre Lellouche, avocat né à Tunis, professeur de géopolitique et conseiller diplomatique de Jacques Chirac, élu député RPR en 1993 dans le Val d’Oise, avait épousé la fille du conseiller, la sculptrice Annie-Laure Banon.
> Enfin, Gabriel Banon était alors proche d’Ibrahim Souss et de Souha Arafat, l’épouse du leader palestinien, et associé à l’un des proches de cette dernière, Pierre Rizk, l’ancien Chef du renseignement des Phalanges libanaises, (« « Akram » de son nom de guerre, décédé dans des conditions mystérieuses à Paris en 2010), qui avait été l’un des acteurs des massacres de Sabra et Chatila en septembre 1982, pour la mise en place du réseau de télécommunications dans les Territoires palestiniens Wall Street Journal. Finalement, c’est le sort qui changea la donne à l’automne 1995
> (…)
> Cependant, les tensions entre Gabriel Banon et Leila Chahid, loin de s’apaiser, suscite plusieurs polémiques autour de Yasser Arafat dans ce qui ressemble à une guerre de représentation. De plus, un désaccord survient entre Gabriel Banon et Pierre Rizk. Ce dernier, en charge des intérêts de Suha Arafat et de l’enfant qu’elle vient d’avoir avec le « Rais », éloigne la femme du Président de l’Autorité Nationale Palestinienne de Gabriel Banon, et interfère dans la méthode de règlement du dossier délicat des Fonds de pension palestiniens par ce dernier. Parvenus au point de rupture, les deux hommes s’affrontent et en janvier 1997, le Président de l’Autorité Nationale Palestinienne limoge son conseiller économique, accusé par Pierre Rizk de vouloir détourner une partie des Fonds de pension.
> La découverte d’une malversation commise par Gabriel Banon entraine le brusque départ des deux co-rédacteurs en chef adjoints et le retrait de l’Agence Wafa de La Lettre Economique Palestinienne, qui voit son dernier numéro publié en mars 1997. Poursuivi devant les tribunaux par les deux journalistes, Gabriel Banon et la société Pax Economica sont condamnés en 1998. Mais depuis, l’homme d’affaires a fermé les bureaux de ses sociétés à Paris et invoque son immunité au titre de résident américain. Proche de l’ex-conseiller du Roi du Maroc André Azoulay, il vit depuis principalement à Casablanca d’où il dirige sa multinationale Strategic Partners group , basée à Gibraltar, et où il signe régulièrement des chroniques dans Maroc Hebdo International.
>


Après avoir apprit une grande partie du Coran par cœur dans les écoles coranique marocaines, Gabriel Banon écrit un livre mémoire dans lequel il raconte sa vie d’amitié avec Yasser Arafat. Il y parle des relations du chef de l’OLP avec l’argent, la riche diaspora palestinienne et le monde arabe. On y lit aussi bien les dessous des négociations de Camp David ou de Taba que des commentaires d’Arafat sur le terrorisme, la corruption ou encore les Juifs.

En résumé, c’est l’histoire d’un juif qui apprend le Coran, qui travaille pour Pompidou et fait un enfant qu’il ne reconnaitra que pour verser une pension alimentaire à la mère socialiste. Puis il devient conseiller financier de Yasser Arafat, reçoit des marchés obscurs dans le domaine des télécommunication. Son associé, dès cette époque, est alors un homme connu pour son rôle considérable dans les massacres de palestiniens dans les camps de Sabra et Chatila. Mais cela ne gênera sa carrière en rien, ni ses amitiés avec Souha Arafat, la femme de Raïs qui aujourd’hui encore est soupçonnée de vivre avec les 800 millions de dollars qui ont disparu des caisses palestiniennes à la mort du chef terroriste. Et le fait que Gabriel Banon ait détourné de l’argent des fonds de pension palestiniens (raison pour laquelle il a été virée par Arafat) n’aura jamais fait de lui un prévenu devant la justice de Ramallah.

Mais cela ne s’arrête pas là puisqu’en 2005, à la demande d’un autre grand démocrate, il devient conseiller en sécurité économique auprès de Vladimir Poutine.

En plus de son nom tristounet, d’une mère carriériste et d’un père au service du blanchiment d’argent pour une organisation terroriste (OLP), Tristane ne verra jamais son père qui préfère verser à sa mère une pension alimentaire (venant de l’argent donné par les européens aux palestiniens ?) que de l’amour nécessaire à la bonne éducation d’une fille aujourd’hui perdue pour la société.

Jonathan-Simon Sellem – JSSNews
Re: ben alors !!! DSK
08 juillet 2011, 05:38
Gabriel Banon a vécu à Nice pendant un an ou deux, il y convainquait un hotelier propriétaire d'une chaine d'hotels de venir à Gaza dans des conditions très favorables.

Son gendre Lellouche et sa fille les rejoignaient de temps en temps, la si élégante Madame Banon et lui même.

L'affaire hotelière ne s'est pas faite.

Puis, je ne sais pas ce qui s'est passé, son appartement de l'avenue de Suède fut mis aux enchères publiques...
Seuls les utilisateurs enregistrés peuvent poster des messages dans ce forum.

Cliquer ici pour vous connecter






HARISSA
Copyright 2000-2024 - HARISSA.COM All Rights Reserved