ADOBAÏ: "Je me souviens de Clifford", de Paul Germon

 ADOBAÏ: "Je me souviens de Clifford", de Paul Germon

 

ADOBAÏ pourrait être traduit du judéo-arabe par "Parbleu" ou "Ciel".

Ce récit, teinté de musique, illustre un exil méconnu, celui d'une communauté vieille de plus de 2000 ans. L'auteur campe le décor à travers son expérience personnelle, le Tunis des années 1950-60. Il raconte le déchirement de l'exil, masqué par l'humour et la joie de vivre propres aux natifs de la Tunisie, le choc de la rencontre avec la société française des années 60, avec la France idéalisée, l'attachement à la République ou encore l'enracinement dans une société ouverte.

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