LE COUFFIN DE GLIBETTES, par Roger MACCHI
Souvent la pluie qui s’abat sur les vitres, les soirs sombres de l’hiver parisien, me fait rechercher le soleil dans le secret de mon cœur. Alors revient instantanément à la bouche, le goût sucré des abricots de mon enfance, à la chair pulpeuse et au parfum subtil.
- En savoir plus sur LE COUFFIN DE GLIBETTES, par Roger MACCHI
- 2 commentaires
- Se connecter ou s'inscrire pour publier un commentaire