Iran : Qui s’y frotte s’y pique - David Bensoussan
Nombreux ont été les khoméniphiles qui ont espéré un meilleur avenir pour l’Iran et pour les relations de ce pays avec les autres nations du monde. En vain.
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Nombreux ont été les khoméniphiles qui ont espéré un meilleur avenir pour l’Iran et pour les relations de ce pays avec les autres nations du monde. En vain.
Israël mettra fin à la menace du Hamas « en le désarmant, en interdisant son réarmement et en démontrant une fois pour toutes que menacer Israël est sans conteste, contraire à ses intérêts ». Le Hamas s'en trouverait « affaibli et prévenu face à Israël mais suffisamment fort pour gouverner Gaza
Organisée par le gouvernement américain, la cérémonie de signature a apparemment mis fin aux hostilités entre Palestiniens et Israéliens, le dirigeant de l'OLP Yasser Arafat affirmant que les accords « donneraient une réelle chance à la paix ».
Le titre et le sous-titre comportent trois mots qui méritent qu'on s'y arrête. « Renouveau » [traduction du terme anglais reclamation, NdT] fait référence au souvenir quelque peu nostalgique évoqué par Braude des bonnes relations israélo-arabes qui existaient il y a un siècle.
En réponse à son homologue Palestinien qui s’est exprimé quelques heures avant, Benjamin Netanyahou a martelé dans son discours aux Nations Unis que « Mahmoud Abbas doit stopper ses horribles propos antisémites contre le peuple juif et l’Etat juif » !…
La puissance du séisme (de magnitude 7 selon le Centre marocain pour la recherche scientifique et technique, 6,8 selon le service sismologique américain), a eu un effet dévastateurs sur de très nombreuses constructions, souvent anciennes et fait craindre de nouvelles victimes sous des amas de gravats.
Il s’est exprimé dans les colonnes du Times of Israel et sur la chaîne à capitaux saoudiens Al-Hadath. Lui, c’est Raphaël Luzon, le président de l’Union des juifs libyens. Il est l’architecte des rencontres secrètes qui ont débouché sur celle de la ministre libyenne des Affaires étrangères, Najla Mangoush, avec son homologue israélien Eli Cohen, à Rome, il y a deux semaines.
Les quatre romans historiques publiés par Bat Yeor depuis 2019 décrivent de manière fine et intense la longue marche du projet sioniste de renaissance d'un Etat juif indépendant et souverain au coeur du Moyen-Orient et la très virulente hostilité qu'il a suscitée dès ses débuts de la part des pays et mouvements arabo-musulmans religieux et nationalistes.
Les réalités ont changé au Moyen-Orient. Certaines entités étatiques traditionnellement antinomiques se parlent, conscientes de ce que les réalités ont changé. Alors que dans la guerre froide les pays se définissaient comme alignés aux États-Unis ou l’URSS ou encore comme non-alignés, la conjoncture actuelle en est une de pays multi-alignés.
Ce que l’Iran qualifie d’axe de la résistance, soit l’Irak, la Syrie, le Liban et le Yémen, est un ensemble de pays dysfonctionnels dans lesquels les milices régionales et les mercenaires chiites font la loi. L’Iran a occupé le vide laissé par les Américains en Irak et a profité du bouleversement qui a accompagné le printemps arabe pour prendre pied dans ces pays.