Coutume des Juifs de Tunisie : SEOUDAT YTRO ou CH-OUDAT YTROU, LA FETE DES GARCONS
C'est une TJTT [tradition juive tunisienne typique] que l'on nomme aussi : La Fête des Garçons
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C'est une TJTT [tradition juive tunisienne typique] que l'on nomme aussi : La Fête des Garçons
Le Rosh Hodesh el Benat, ou "Tête du mois des filles", tombe le 1er jour du mois hébraïque de Tevet et honore les filles par de somptueuses fêtes et des cadeaux
En 1774 le consul d amerique a Tunis s appelait Emmanuel Noah.
C'est ce judaïsme tunisien tolérant, sans être réformiste loin de là, qui a permis à des dizaines de milliers de juifs de continuer à l'être, bien qu'ils n'aient de compte à rendre à personne.
Aujourd’hui on parle des coutumes culinaires de Rosh Hachana ! Du Maroc, de Pologne, d’Oran ou de Russie, mesdames Bensoussan, Perez et Toledano nous mettent l’eau à la bouche.
Exit la tradition tunisienne des mariages de sept jours et sept nuits. Aujourd’hui, la nouvelle génération veut se marier plus rapidement, mais surtout plus simplement. Que ce soit pour des raisons financières ou organisationnelles, le mariage traditionnel n’a plus la côte !
La légende dit que les Cohanim (pluriel de Cohen), les prêtres du Dieu d’Israël, à la destruction du premier temple, sont arrivés à Djerba où ils auraient construit la synagogue de la Ghriba avec une pierre du Temple détruit.
Dans les deux cas le mot "Tkoufa" est suivi du nom du mois du passage de saisons, et pour cela on l'y trouve répété 4 fois. A ma connaissance, seulement ici, après une période de plus de quinze siècles, sur le Zodiac des Antiques Synagogues et de nos jours, sur la Feuille de Miel Tunisienne.
Le sel est connu depuis la Préhistoire pour ses caractéristiques d'assaisonnement et de conservation des aliments.Il fut probablement précocement utilisé dans les rites religieux. On connait de tels usages chez les Hébreux, les Grecs et les Romains de l'Antiquité.
La famille Bokobsa, aujourd'hui connue pour son empire de vin casher, est célèbre avant tout pour son spiritueux tunisien, la boukha. Cette eau-de-vie à la figue créée il y a deux siècles est aujourd'hui entre les mains de la septième génération familiale. Une tradition de père en fille.