Un compatriote français, HERVE GOURDEL, un jeune papa, un sportif chevronné, un passionné de l’ascension, un fou des hauteurs, un amoureux des hautes cimes, portant bien sa tête sur ses épaules se retrouve décapité, étêté, tranché, a tête roulant sur le sol.
60 millions de nos compatriotes sont saisis d’effroi par ce crime abominable autant qu’ils le furent pour les autres américains, anglais etc…
Par la voix de notre Président, et du haut de la tribune de l’Assemblée des NATIONS UNIS, a condamné ce meurtre barbare et a prit l’engagement de continuer à lutter contre le terrorisme.
Ne pas oublier que ce terrorisme dit islamo phobique n’est pas nouveau en France…Attentat de Copernic, Métro ST MICHEL, etc.. puis pas loin de nous celui de Toulouse sans compter les actes d’antisémitisme donnent l’ampleur de ce qui nous attend dans les semaines prochaines.
Notre pays déjà engagé hors de ses frontières va avoir du pain sur la planche, comment éradiquer ce fléau qui chaque jour prend son expansion… ? Le combattre à la source… Combattre l’hydre à 7 têtes qu’on trouve en Libye, en Algérie, en Afghanistan, en Irak en Syrie au Liban, au Yémen… ? Où donner de la tête… ? On y perd son latin et bcp vont perdre leur vie.
Israël, depuis déjà une décennie, avait prévenu les pays occidentaux de cette plaie qui gangrène certaines régions du monde, il avait tiré la sonnette d’alarme mais hélas, ce beau monde occidental regardait ailleurs, préférant surtout ménager les pourvoyeurs de fonds , ces donateurs qui eux même commencent à trembler pour leurs privilèges, s’attachant à stigmatiser le pays des juifs.
Deux sortes de terrorisme à la clé, celui du solitaire, Mr tout le monde et celui des clans, des groupes..Qui n’en finissent pas de naitre et de renaitre.
L'agence Moody's est déjà sceptique sur le budget de la France, notre économie va encore souffrir d’une rallonge militaire…MAUDIT SOIT MOODY’S.
Ce n’est pas à un ministre de l’environnement quelconque que je m’adresse mais à celui qui a crée l’environnement avant que cela ne se crée par les autres. Donc crée par lui-même sans qu’il le sache. LE JUUF TUNE.
Ce n’est pas l’environnement qui crée le JUIF mais le JUIF TUNE qui crée l’environnement, toujours festif, même dans la peine, il rigole. Même quand il entoure sa maman, il a un fou rire.
Qu’un Juif TUNISIEN sorte de son environnement, qu’il s’expatrie ailleurs et voilà son ancien environnement mourir après lui car nul AUTANT QUE LUI ne sait donner à son ENVIRONNEMENT LA VALEUR QU’IL MERITE.
D’après vous qui fréquentaient le plus le JUIF EN TUNISIE si ce n’est l’arabe… ? Parce que dernier sait parfaitement bien qu’avec le juif il est sur de GAGNER à tous les coups alors qu’en compagnie de son compatriote il l’a dans le c….l
Le juif TUNE, fut le seul, de mémoire d’artiste (moi) , a avoir su créer un environnement bien spécifique, PROPRE A LUI.
Il aime d’abord s’entourer, se faire entourer, inviter, proposer, discuter, apérètiver, kiffer, rire en bonne compagnie, dire souvent ‘… E’ne. ?. Nét’néyec mél dénié… !’ (Il s’en fout de la vie…) E’ne… ? NET RÂÂ’AZ ME DENIE… !’( Il s’en fout de la vie… !’ Ce qui sous entend, que son unique plaisir est de VIVRE…DE GOUTER PLEINEMENT en bonne compagnie et de SON ENVIRONNEMENT ce que lui procure la VIE.
Il importe tjs son kif partout où il pose ses FESSES.
Il est partout et si vous voulez reconnaitre un ami JUIF PERDU DE LONGUE DATE….Cherchez SON ENVIRONNEMENT…IL SENT SOUVENT LA BOUKHA.
Dans qqs années la France…..Se trouvera dans la même situation que les…. !!! Allez devinez qui…
Question d’environnement toujours… !’
Regardez bien cette photo… ! On y voit un décor et quel décor, une station d’essence. Dans Paris INTRA MLUROS du coté des ARCHIVES.
Regardez donc ce bel environnement mta kif…Un tonneau comme support, un squelette de châssis sans doute pour promener la tfina… !
Ces jeunes d’avant, presque imberbes, papas et mamans aujourd’hui sont riches, et goulettois…. ? Et oui ils le sont, car les goulettois de générations en générations tiennent leur l’ADN du KIF dans le sang… par leurs aïeux.
Un d’entre eux est grimpeur de tours, l’autre jeune rabbin, l’autre vendeur de capotes, un autre vendeur d’essence et de bois de chauffage, celui qui tient le verre porte un nom d’indien COTCHI…L’autre le menton en l’air tamise l’air…
Voilà un ENVIRONNEMENT qui, au départ n’en était pas un, mais QUIII au bout de dix ans et devenu UN LIEU TOURISTIQUE…Un endroit où les touristes s’invitaient à gouter minina, pkaila etc…
Depuis cet ENVIRONNMENT est fermé.
Vous avez la preuve que NOUS LES JUIFS sommes les BATISSEURS DES ENVIRONNEMENTS DE JOIE.
Là où PASSE LE JUIF…IL RASSASIE SON MONDE PAR CELA.
Je pense à la France….Je ne m’inquiète pas pour ISRAEL le meilleur ENVIRONNEMENT POUR NOUS. ?
1956. Les français partent pour le France. Les italiens pour l’Italie et un grand nombre de juifs immigrent en Israël.
1961. Bizerte, le dernier bastion tombe et là encore départ pour la France.
1967. Le départ de nombreuses familles vers la France suite à la grande panique.
1973. L es familles juives qui hésitaient à partir déménagent.
Les juifs tunes pour la plupart s’installent à Paris, à Marseille( pas loin de la Gare St Charles) dans les conditions que l’on connait.
Les années passent. De la Brasserie connue la VIEILLEUSE à Belleville, notre communauté se disperse dans d’autres quartiers ‘huppés’ et cela grâce à leurs enfants qui ont pour la plupart réussis.
Les cafés de la Nation, Gambetta plus loin Les Lilas etc….Voient nos femmes juives assises plus à l’aise et tjs volubiles.
Arrive le temps des vacances et la ruée vers Rimini, puis changement de Cap Juan les Pins est pris d’assaut.
Depuis qqs années, des vacanciers juifs français revenus de vacance d’Israël font l’éloge de certaines villes balnéaires….Ils parlent de Natanya et de son ambiance.
En qqs années, cette ville est devenue le centre d’attention de ces familles juives anciennement tunisiennes et à présent françaises.
Comme le disent ces estivants devenus Natanyens on trouve tout le bien du monde là bas.
Le bouche à oreille fait son effet et des français juifs commencent à investir dans cette ville qu’ils trouvent conforme à leurs espérances.
La mer, la plage tjs d’actualité et surtout le réveil de la fibre juive au vu de ce qui se passe depuis en France tendent les familles juives françaises à faire le saut.
L’Alya est mise à l’honneur et le gouvernement israélien n’a plus besoin d’encourager cette première, elle devient impérative.
Natanyia est devenu le centre d’Intérêt des anciennes familles tunisiennes qui ont trouvé dans cette magnifique ville en bordure de mer tout ce qui pouvait ressembler à leurs anciennes habitudes.
Le Kikar, durant deux mois, sent la brik, la pizza, la musique orientale qui côtoie les chansons israéliennes, le bien vivre et toutes les commodités retrouvées après des années de mobilisme et d’errance.
Le juif ( tune) français a trouvé là bas ce dont il rêvait. L’ambiance de ses aïeux.
Y compris le Chouk qui n’est pas loin de ressembler à celui du marché central de Tunis ou à celui du Bahri tout en bleu et blanc.
C’est le titre bien connu du grand Charles Aznavour. Le maitre incontestable des paroles et de la musique au même titre de Brel, Brassens etc…
Là bas au pays qui n’est plus le nôtre mais qui est resté une relique dans notre cœur, chacun de nous, bien jeunes à cette époque insouciante ne se voyait nulle part sauf que de finir ses jours au pays.
Le destin en fut autrement.
Le père boucher voyait donc son fils prendre un jour la relève. Illusion perdu, il est parti à 18 ans faire le commis-boucher à BELLEVILLE.
Le comptable voyait son fils embourbé dans les comptes et dans la paperasse, peine perdu, à 18 ans, il est coursier à Paris.
Le riche bijoutier du souk voyait son fils un jour prendre sa place derrière le comptoir, à 18 ans, il part à Paris et le voilà devenu ‘trousseautier’ en Guadeloupe.
Le riche G…….Du Colisée pensait laisser son magasin achalandé de poste de TV de radios etc pour passer la main à son fils, hélas à 18 ans, il part à Paris, tombe amoureux d’une black française, laisse tomber ses études et le voilà devenu vendeur de WC portables dans la jungle des Antilles. Il a 4 enfants et pense revenir à Paris pour monter une affaire, trop tard, le créneau est épuisé.
L…..Goulettois, mateur, sans grand métier, part à Paris avec femmes et enfants, là bas, il fait la débrouille pour nourrir s famille sans attacher trop d’attention à ses enfants. L’un d’eux sort major de L’E.N.A. L….Ignorait ce qu’est l’E.N.A.
Personne ne se projetait dans l’avenir puisque personne ne pensait s’en aller, tout le monde voyait son chemin tout tracé mais les événements ont tout chambardé.
Maman m’a dit, le jour où je lui annonçais que le conseil de classe avait décidé de mon orientation…’
‘…Mais qu’est ce que tu vas devenir mon fils… ?’
J’ai baissé les yeux et je n’ai pas pleuré, j’avais le don du volley mais cela n’était pas reconnu comme métier. J’ai laissé le destin s’occuper de moi. Ni certif ni brevet, ni bac en mains je ne me voyais pas assis sur les bancs de la SORBONNE.
Sans mon papa, je n’aurai pas eu d’avenir, j’ai donc appris ce métier de Marbrier. C’est lui qui m’a choisi et pas moi.
Plein aux as, je déménage à Paris. JE NE ME VOYAIS PAS en tête d’affiche.
Puis les noirs sont venus par hasard. Ils me font vivre aujourd’hui après les arabes et grâce à D ieu je me suis converti dans la magie occulte, les cosmétiques et le ballout.
Ah si vous me voyais mes amis aujourd'hui ….Alors que je ne me suis jamais vu auparavant….
Un ami de longue date, Abraham Bar Chay natif de Gabés, immigré de longue date en Eretz s’installe finalement dans la ville de Kiriat Tivo’n.
Je mets donc à profit mes vacances de l’été 2014 pour enfin lui rendre visite.
Il m’indique, la veille par téléphone le chemin à prendre et comme convenu, je prends le bus pour Haïfa. Là, je suis perdu car j’avais mal compris mon ami. Je pensais qu’il m’attendrait au sortir de la station or des sorties, il y en avait pas mal. Sortie Est, Sud, Ouest et Nord.
Une heure à tourner dans le hall et point de mon ami à l’horizon. J’appelle, il est sur messagerie. Je rappelle aucune liaison. Au bout d qqs minutes, enfin il m’appelle pour me dire où j étais.
Bref, il était ailleurs dans une autre station qu’il appelle Tahouna Markaze, soit encore plus loin que la gare routiére de Haifa.
En Israël, bcp de Tahanat Markaze, c’est un pays où chaque ville à ses THAHAN.
Je change donc de bus pour me retrouver plus loin mais tjs dans Haifa.
Il m’indique enfin la bonne station, celle de notre rendez-vous.
Il fait très chaud et enfin après diverses péripéties, on se rencontre au pied d’un grand centre commercial.
Mon ami peine à marcher, une canne le tient en équilibre. Après les salutations d’usage..
‘..Albert, avant d’aller chez moi, tu va venir visiter la synagogue de Aâcoo...!' Tout ceux qui vont le voir, Braham se fait fort de les enmmener visiter la belle syna.
C’est Perla son épouse qui tient le volant.
Nous prenons une autoroute et après une demi-heure de route, enfin nous voilà stationner devant le portail de cette syna, une œuvre d’art. Son intérieur, ses murs sont incrusté de pierres mosaïque et retrace des fresques bibliques.
Un million de petites pierres assemblées.
Tous les murs des étages sont ainsi carrelés. C’est plus que de l’art c’est un enchantement fait main.
Nous reprenons donc la route pour son chez lui.
En cours de chemin, je croise des maisons arables suspendues sur des flancs de commune.
Elles ressemblent en tout point de vue à des diars plutôt qu’à des immeubles de grand standing. Braham me dit qu’ils sont là depuis 48.
La maison, disons le pavillon de mon ami, trône sur une colline et de là toute la ville de KIRIAT TIVO’N est à ses pieds.
La grande maison posséde est entouré par un jardin et le regard du visiteur s’accroche automatiquement aux diverses fleurs que mon ami entretient.
BRAHAM est un vieux monsieur, papi, très instruit, tri-langue, maniant le vrai judéo arabe, le français à merveille et l’hébreu bien sur, écrivain, politicien, archéologue, mécène il possède un grand bagage intellectuel, peintre, ingénieur etc… Il est reconnu presque comme savant. Grand voyageur, il a fait presque le tour du monde
Sur Harissa.com, ses articles sont très apprécies.
Installé sur le grand palier de sa maison, j’ai EU tout loisir à contempler ce qu’il a fait de ses propres mains.
Puis est arrivé le plombier, un technicien, car mon ami a eut un problème de lave vaisselle, l’ancien, vieux de 30 ans l’a lâché. Pour enfiler un tuyau d’arrivé d’eau, ce dernier a mit 3 heures, chez DARTY une demi- heure montre en mains.
Enfin, après cela, arrive le bol de bouillon, son bouillon maison, fait de mais essoré dont il a le secret puis à un autre bouillon dont j’ai oublié le nom.
Puis arrive dans une poêle, les côtes d’agneau dans leur jus.
Le plombier juif turc partage après ses efforts mérités la collation….Là je suis surpris parce qu’en France, rares sont les techniciens qui s’offrent un pareil régal.
‘…Kolli Braham, c’est tjs comme cela ici… ?’
‘…Pas du tout ye habibi… ! C’est une coïncidence… !
Un plombier qui tombe juste sur une coïncidence c’est rare.
Aux dernières nouvelles, mon ami Braham veut se faire construire une piscine.
J’imagine déjà, le nombre d’employés à nourrir après la fin de son chantier.
Il se fait tard et madame Perla est censée me raccompagner à la TAHANA MARKAZE du bus.
Elle se trompe et c’est le train qui m’attend.
Bcp mieux que le bus parce que le trajet est plus court et que Natanya se trouve sur la ligne de chemin de fer.
Nous avons donc fait des amis Kherrédinois grâce au volley-ball.
Les Tunisois-kherrdinois aimaient bien s’installer après la sieste au café Vert. Ils aimaient bien jouer au foot entre eux et rares sont nos amis qui étaient conviés à ces joutes.
Descendants de je ne sais quelle caste, ils avaient leur habitudes entre eux et bien qu’amis avec eux, nous étions exclus de leur petit groupe sauf certains qui pour des raisons inconnues ou occultes se sont incrustés parmi eux.
Les filles Kherrédinoises avaient pour ‘ordre’ de ne fréquenter que leurs semblables. Exit le juif goulettois.
La fréquentation d’un goulettois n’était pas tolérée.
Un vrai casus belli.
A l’Olivier Rouge, dancing très prisé à cette époque, les kherrédinois ( sesà étaient souvent ensemble alors que nous, goulettois étions seuls bien que nous les connaissions tous ‘nos amis’ de la plage.
Plus tard ce fut la BARAKA, idem…Les goulettois out de leur table de resto, tout se passait entre eux.
Ils étaient plus nombreux que nous et plus argentés et nous moins friqués. Et surtout sans fille alors qu’eux en avaient deux assises sur leurs genoux.
Comme je l’ai dis plus haut qqs uns d’entre nous se sont intégrés dans leur clan pour profiter un max de leurs filles et de leurs plaisirs ‘secrets’.
Bien avant l’avènement de la télé, un événement extraordinaire s’est produit à la Goulette.
L’ouverture d’un cinéma par Mr Lahmi z’al et son associé technicien mr Berdah Mr ‘…Il va pleuvoir… !’
La Goulette à l’instar de la capitale avait enfin ses deux cinémas, le REX et le second le cinéma Théâtre moins prisé.
Une distraction venait donc s’ajouter à nos distractions disons le tjs les mêmes.
Pour couronner le tout un café nommé Rex s’installe juste en face et une pâtisserie CHEZ CURATOLO vient compléter ce décor.
La boucle est bouclée. Dc avant les séances, les jeunes goulettois se ‘caféiser’ ou titiller les cartes, la bellotte, avant l’entrée de la séance en fait dés que la sonnerie annonçait le début du spectacle.
Mr Dario, en homme consciencieux hélait à tous ces goulettois comme un annonciateur des bonnes causes, le début du film. Et là tout le monde se levait de sa chaise pour prendre place.
Il y avait deux séances par jour, une, vers les 15 heures et l’autre en soirée 21 heures. Les vendredis soir le cinéma était complet.
Le jour de Pourim les enfants de l’OSE avaient droit à une séance @#$%& vers 10 heures du matin.
Ce qui faisait le charme de ce cinéma était sa convivialité où tout un chacun ne se gênait pas pour lancer qqs remarques plaisantes ou déplaisantes à la surprise des spectateurs.
Le seul spectacle qui a fait pleurer un certain jour jeunes et moins jeune fut MOTHER INDIA. Ce jour là et pour la première fois, aucun bruit, une retenue exemplaire qui a fait dire à DARIO, ‘…En dalli él film e’de béch en khélli char mââ’lec… !’( Je pense laisser ce film durant un mois en tête d’affiche… !’ Il est resté DEUX MOIS.
Un succès formidable qui ne désemplissait pas la salle.
A la sortie du film, Dario debout sur le seuil de la plus haute marche, saluait tous les spectateurs dont certains osaient même l’embrasser en lui disant ‘…Rabi lei i nahiq ye Victor… !’ ( Que D ieu te garde) .Victor z’al tout ému, les remerciait tout en les invitant à venir voir le prochain spectacle ‘…La fille de PERSONNE… !’ Là encore un film poignant qui à fait dire à L’Oncle ‘…Rabec…ye Dario, ouffiné mél bké hatit né ouehed okhar hjin… !’ (Juron, on vient de finir les pleurs et tu nous remets un autre à la suite encore plus triste… !’)
Dario prêtant l’oreille lui assura que le prochain film sera meilleur ‘…LE GUEPARD…’ La salle était vide ce jour làparce que les goulettois n’avaient rien compris au film.
Le Cinéma REX perdit son attractivité avec la parution de la Télévision.
Mais le cinéma Rex sonne tjs dans nos oreilles comme le TEMPLE du Bonheur pour un grand nombre d’entre nous.
Le Guépard (Il Gattopardo) que mentionne Breitou à la fin de son récit précedent, est un très beau film franco-italien de Luchino Visconti, sorti en 1963, avec des acteurs prestigieux : Burt Lancaster, Alain Delon, Claudia Cardinale, Serge Reggiani. Ce film obtint la Palme d'Or au Festival de Cannes 1963.
Il se déroule en Sicile en 1860. Il décrit la décadence de l'aristocratie qui cède progressivement son pouvoir à la bourgeoisie.
Le scénario est une adaptation du roman de Giuseppe Tomasi di Lampedusa.
La bande annonce (on disait le lancement à l'époque)
[www.allocine.fr]
Ce n'est pas la voix de Claudia Cardinale qu'on entend dans le dialogue en italien. Au début de sa carrière les producteurs la faisait doubler en raison de sa voix rauque. Par la suite elle ne fut plus doublée.
Dans la video ci-dessous on a un montage de prises de vue de Tunis et de sa banlieue dans les années 50 et au début des années 60.
Vers la fin on a plusieurs séquences prises sur des plages. A l'instant 5'20", très brièvement, on aperçoit Claudia Cardinale avec d’autres jeunes. Il s'agit d'une séance d’essais de cinéma qui reprend à l'instant 6' 09", puis C.C. réapparaît à plusieurs reprises à 6'24". Il s'agit du tout début de C.C au cinéma .
Ballade autour de Tunis des années 50/60 (Montage Aldo Fanelli-Matta)
Le 7 mai 2018 : malheureusement cette précieuse vidéo n'est plus disponible.
Ce sont probablement les ayants-droit qui l'ont fait retirer.