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Antisemitisme

Envoyé par sarel 
Re: Antisemitisme
21 mars 2011, 01:56
COMMUNIQUE DU 17 MARS 2011

APPEL A MANIFESTER DEVANT CANAL PLUS LE 21 MARS 2011 A 18 HEURES



A partir du 21 mars 2011, la chaine CANAL PLUS va diffuser une série de quatre épisodes appelée « The Promise » (« Le Serment ») qui donne de l’Etat d’Israël, une image détestable allant au-delà de la caricature la plus abjecte et la plus nauséabonde.

Cette diffusion durant la semaine de « l’apartheid Israélien » décrétée par des organisations, islamo-gauchistes pro-palestiniennes, n’est ni un hasard, ni une coïncidence.

Elle prouve que des forces obscurantistes et fascislamistes ont pénétré en profondeur à CANAL PLUS et grignotent son intégrité.

Ce faisant, la chaine CANAL PLUS se rend complice, soutient, et donne un gage de légitimité à un boycott illégal, raciste et antisémite, organisé par des bandes de nervis pro-palestiniens à l’indignation sélective, animées par la haine de l’Occident, et de l’Etat Juif, dernier verrou au Proche Orient avant que ne déferle sur l’Europe, la vague verte et obscurantiste de la morale islamique.

Le peuple juif à toujours du lutter pour survivre et réussir à créer l’Etat d’Israël, miracle de réussite, de prospérité et de liberté, au milieu d’un océan de misère et de tyrannie arabe.

Si elle veut pouvoir continuer à vivre en France dans la dignité et éviter un retour aux plus sombres périodes de l’histoire, la communauté juive française ne doit pas se défiler pour défendre Israël,

Personne ne le fera à sa place.

Il y a des occasions où les juifs de France, ainsi que tous leurs amis, doivent savoir se faire violence et modifier leurs agendas pour se mobiliser avec courage, s’unir et se réunir afin de dire « Assez ».

Il y a des occasions où les juifs de France doivent montrer qu’il faut compter avec eux dans ce pays, et manifester physiquement leur refus et leur détermination face à la calomnie que veut relayer un grand média français au mépris de toute éthique et de toute honnêteté intellectuelle.

C’est pourquoi, l’UPJF, appelle toutes les personnes juives et non juives, amies d’Israël, quelle que soit leur sensibilité politique à venir manifester le 21 mars 2011 à 18 heures devant le siège de Canal Plus 1, place du Spectacle 92130 Issy-les Moulineaux (RER Issy Val de Seine) afin de rappeler avec fermeté et détermination qu’ils n’acceptent pas d’un grand média français, qu’il adopte une attitude raciste et antisémite qui ne pourra qu’aviver encore un peu les tensions, les violences et la haine, entre les communautés françaises, et contribuer à troubler l’ordre public.

Comme l’a dit l’ancien Premier Ministre Espagnol José Maria Aznar : Si Israël tombe, nous tombons tous.

Nous ne laisserons pas tomber Israël !

Le Bureau UPJF

TRES IMPORTANT...!


A demain, à 18h, mobilisons-nous tous, avec les copains et copines, amants et maîtresses, mais nous devons obligatoirement être un millier, au minimum...!

L'heure est grave pour Israël et les Juifs de France.

Alors soyons responsables, pensons aussi à l'avenir de nos enfants et petits-enfants et venons tous manifester à 18 h , devant le Siège de Canal +, 1- Place du Spectacle, à 50m de la Station RER Val de Seine, à Issy-les-Moulineaux .
Re: Antisemitisme
22 mars 2011, 01:47
Pétition : Le massacre du patrimoine juif de Cavaillon (Vaucluse)


L’association « Kabellion » qui œuvre pour la protection et la mise en valeur du patrimoine de Cavaillon communique :

Le patrimoine juif de Cavaillon est menacé. L’un des plus importants et des plus anciens ensembles immobiliers appartenant au patrimoine juif de France se trouve à Cavaillon. Il s’agit d’une « Carrière » ou ghetto juif du XVIIIe siècle parvenue intacte jusqu’à nous avec son puits, ses maisons dont du celle du rabbin, la boulangerie rituelle, le mikveh ou bain rituel juif et bien sûr, la très belle synagogue.

Cet ensemble est menacé en grande partie par un projet immobilier mené par la Fondation Calvet d’Avignon. Le projet de la Fondation Calvet, une destruction inacceptable du patrimoine cavaillonnais…


Attenant à la synagogue, l’îlot Jouve est l’âme de la Carrière juive de Cavaillon. Il comprend la maison du rabbin, les bains rituels, une cour intérieure et de beaux éléments architecturaux du XVIIIe siècle constituant l’essentiel du ghetto juif.


La destruction par un projet immobilier de cet ensemble unique et encore intact est à la fois une atteinte irrémédiable à un élément majeur du patrimoine culturel français ainsi qu’au patrimoine cultuel juif.

Le projet de la Fondation Calvet a pour seule motivation l’argent…
 La Fondation Calvet n’agit pas en institution culturelle, mais en promoteur immobilier !

Contrairement à ce qu’elle prétend, elle n’a aucun projet muséographique crédible à Cavaillon ; elle a laissé son patrimoine à l’abandon pendant 70 ans et souhaite à présent réaliser une opération financière en massacrant et en vendant à la découpe le cœur du ghetto.

Le projet de la Fondation Calvet trahit la mémoire de la famille Jouve.
 C’est avec confiance que la famille Jouve avait légué ce patrimoine à la Fondation Calvet afin de le rendre inaliénable en raison de sa valeur historique, et pour que ce lieu remarquable profite aux habitants de Cavaillon. 
 La famille Jouve envisageait d’installer en ces lieux un projet culturel avec les archives, une bibliothèque, un musée. Ce sera finalement un projet financier de logements à vendre… 


Le projet de la Fondation Calvet trahit l’esprit du legs et en dépossède les véritables destinataires : l’ensemble des Cavaillonnais.
 Ce projet immobilier est honteux et constitue une injure à la mémoire des Jouve.


Malheureusement, la famille Jouve n’a plus de descendant pour réclamer des comptes à la Fondation Calvet : c’est donc aux Cavaillonnais d’exiger le respect de leur mémoire !

Une seule solution : la cession de l’îlot Jouve à la ville de Cavaillon.
 En considérant que le très important legs des Jouve a presque uniquement profité au Musée Calvet d’Avignon, par décence et par équité la Fondation Calvet s’honorerait de ne pas attenter à leur maison, et de la laisser désormais aux Cavaillonnais.


La Fondation Calvet y gagnerait en crédibilité culturelle. C’est la condition pour que le projet immobilier se transforme en projet culturel.


Quel est l’intérêt de l’îlot Jouve ?


Notre pays possède de nombreux lieux de mémoire pour la culture juive dont certains sont protégés au titre des monuments historiques. L’immense majorité de ce patrimoine témoigne de la gravité des événements historiques qui se sont déroulés sur notre sol : camps, centre d’internement, monuments de martyrs et cimetières sont les témoins d’un patrimoine marqué par la mort.


A Cavaillon, le patrimoine juif est en totalité dédié à la vie. Il témoigne de l’existence heureuse d’une communauté en Provence à la fin du XVIIIe siècle. 
 Même si ce quartier est appelé ghetto, les édifices que nous découvrons témoignent d’une intégration réussie de la population juive au sein de la communauté catholique de l’époque.


Par ailleurs, la communauté juive de Cavaillon s’étant dispersée pendant tout le XIXe siècle, il n’y avait plus d’habitants juifs au moment des heures funestes de la Seconde Guerre Mondiale. Le site cavaillonnais est donc exempt des événements qu’ont pu connaître les autres ghettos de l’Est de l’Europe. 
 Le Patrimoine juif de Cavaillon est ainsi le seul exemple européen témoignant de la vie harmonieuse d’une communauté juive pendant tout le temps de sa présence à Cavaillon.


C’est donc un témoignage unique au monde.

Quel est le vrai projet de la Fondation Calvet ?


La Fondation Calvet a déjà tenté de vendre l’îlot à un promoteur afin d’y réaliser un immeuble de logements en 2007 et ce, malgré l’opposition de la municipalité. Depuis, elle n’entretient qu’à minima cet ensemble immobilier qui est fermé au public et abrite des collections dont l’état de conservation ne cesse de se dégrader. 


Le projet immobilier est toujours d’actualité et le permis de construire peut être déposé à tout moment. Il est d’ailleurs présenté sur le site de la Fondation Calvet via la rubrique les musées et l’onglet « musée Jouve » ou « Musée juif comtadin ». Les plans y sont consultables à partir de l’onglet « participez à la réhabilitation du ghetto juif ».


Ces documents montrent très nettement que les constructions existantes, majoritairement à un étage, reçoivent deux étages supplémentaires, ce qui dénature de façon irrémédiable ces édifices. Cette surélévation nécessite surtout de démolir les constructions anciennes, pour reconstruire derrière les façades une structure nouvelle en béton armé capable de supporter les nouveaux étages. En terme technique, l’habillage d’un immeuble neuf avec des façades anciennes s’appelle un « façadisme » : cette supposée réhabilitation n’est autre qu’un vulgaire façadisme dissimulant la destruction du ghetto juif cavaillonnais.
 Lors de cette opération immobilière, la totalité de l’îlot juif est vendue à un promoteur pour y aménager des logements. Les espaces difficilement transformables en appartements, c’est-à-dire le rez-de-chaussée, ne sont pas aménagés, à charge pour la ville de financer les 800 000 euros de l’aménagement avec l’argent du contribuable pour y créer un petit musée (un musée ridicule pourrait-on dire !) alors que la Fondation se sera enrichie au détriment des Cavaillonnais par la vente de la totalité de l’îlot. Après les travaux, l’immeuble sera ensuite revendu à la découpe aux futurs acquéreurs des logements.

Les soutiens reçus par l’association Kabellion :

La Société pour la Protection du Paysage et de l’Esthétique de la France (SPPEF) et sa revue « Sites et Monuments » – Le Consistoire central de France – Le Musée d’Art et d’Histoire du Judaïsme à Paris – L’Association Culturelle des Juifs du Pape (ACJP) – La Ville de Cavaillon…

Signer la pétition



[www.jforum.fr]
Re: Antisemitisme
22 mars 2011, 12:35


LES CLOWNS COMMENCENT VRAIMENT A DESERTER LES CIRQUES !!!
Re: Antisemitisme
23 mars 2011, 04:53


Vidéo exclusive: Stéphane Hessel prêt à cogner un militant antiraciste

[jssnews.com]
Re: Antisemitisme
24 mars 2011, 11:34
Antisémitisme ordinaire à Garges Les Gonesse.


mercredi 23 mars 2011
Samedi 19 mars 2011 au soir, les fidèles réunis à la Synagogue fêtent Pourim. Les enfants s’amusent dans une belle pagaille, et comme de coutume, ils allument des pétards, qui ne manquent pas, bien évidemment de gêner certains. Les parents laissent les enfants se livrer à des jeux d’enfants, mais qui n’en demeurent pas moins dangereux, et source de nuisance.

Voilà que d’un coup une grosse pierre vient frapper brutalement une fenêtre, briser une vitre, et cette irruption brutale sème une panique et un effroi compréhensible.

La synagogue de Garges Les Gonesse se trouve enclavée au beau milieu de barres d’immeubles HLM, dont un à proximité la surplombe. De cet immeuble des détritus sont régulièrement jetés des fenêtres. Pots de yaourt, œufs, ou tous les autres résidus viennent rappeler le rejet des uns envers les autres, et parmi les autres les fidèles de la synagogue.

Cette situation est maintenant quasi intégrée par les juifs, piégés à Garges. Ceux qui peuvent partir de cette ville où rien ne les retient partent, et ceux qui n’ont d’autre choix que d’y rester subissent cela comme une fatalité ou un moindre mal.

La mairie est indifférente au sort de la communauté juive, bien que dirigée par un maire UMP. Les autorités de police font ce qu’elles peuvent. Les dirigeants communautaires (un président et un secrétaire général) sont quant à eux désabusés. Les agressions ne font pas toujours l’objet de plainte auprès de la Police. Seul le Président Monsieur Alain Bensimon se charge de cette démarche de temps à autre, à laquelle le rabbin s’oppose de manière régulière. Le rabbin lui-même malmené à plusieurs reprises s’est toujours refusé à porter plainte, même quand ses enfants ont été victimes d’agression. La peur de prétendues représailles ne peut justifier ce comportement. Mais voilà c’est ainsi.

Le BNVCA informé de l’incident, a fait son communiqué pour dénoncer l’acte antisémite. Le Président monsieur Alain Bensimon a quant à lui porté plainte contre X, et la police mène son enquête.

Cet acte sera répertorié parmi les actes antisémites de 2011, et le SPCJ dont l’action se limite à reprendre les statistiques officielles et à faire la synthèse avec les actes antisémites recensés par le BNVCA pourra faire état de cette nième agression ordinaire dans son prochain rapport. Quant à l’action du SPCJ sur cette affaire spécifique, elle a été nulle.

Certains diront que c’est un incident de voisinage, que les uns et les autres sont en partie responsables. Mais quand "les autres" fêtent bruyamment des évènements sportifs ou autres, personne n’a vu de juifs leur lancer des pavés. Le "deux poids deux mesures" est devenu la norme.

Le français ordinaire ne supporte plus ces agressions permanentes que l’on appelle "incivilités" pour ne pas pointer du doigt les problèmes et leurs auteurs. On n’ose plus appeler un chat un chat. Pas de débat sur la laïcité en France car se serait ostraciser une communauté nous dit-on. Faisons bien attention à nos propos pour ne pas gêner la deuxième religion de France. Par contre quand des juifs innocents se font assassiner à Itamar en Judée Samarie, alors là on ne se gêne pas. Une famille de "colons" comme on dirait une famille de "coupables" a été tuée, nous dit-on. Voilà que des civils, hommes, femmes et enfants même en bas âge sont des victimes et des coupables. Coupables d’être juifs, coupables de vouloir habiter sur leur terre ancestrale. Là aucune retenue, aucun discernement, aucune décence n’empêche l’expression antisémite devenue pavlovienne. Toutes les dépêches AFP sont entachées de qualificatifs méprisants à l’égard des israéliens.

C’est dans ce contexte aussi qu’on lieu des élections cantonales en France, et que les préparatifs pour les présidentielles de 2012 donnent lieu à des débats avec un arbitre bien gênant à savoir le FN.

D’un côté la gauche alliée avec l’extrême gauche, de l’autre l’UMP dont la survie politique est liée à sa capacité de siphonner les voix du FN. Le problème est qu’on ne sait pas qui va siphonner les voix de qui.

Dimanche prochain c’est le FN qui va récupérer un grand nombre de voix de l’UMP.

Nous devons choisir entre un antisémitisme de gauche et un antisémitisme de droite. Alors que des maires socialistes passent, leur temps à faire la coure à l’islam radical, que certains font alliance avec Euro-Palestine avec la délégitimation d’Israël au programme, on nous demande de voter pour eux. C’est ce que l’on appelle un "Front Républicain", à savoir ceux qui nous interdisent de parler de la Shoah et qui ne se gênent pas pour faire l’apologie des terroristes du Hamas et du Hezbollah (voire les mairies Communistes).

Le Front National n’est pas du tout une solution, pire c’est un piège tendu à la démocratie après un simple ravalement de façade. Doit-on oublier les propos et les actes de Jean-Marie le Pen ou de Bruno Gollnisch ou des autres révisionnistes et antisémites qui composent le noyau dur du FN ? Certainement pas !

Donner des instructions aux juifs de base pour ne pas voter un tel ou un tel quand on habite les beaux quartiers, c’est bien. Mais quand ceux, qui habitent les HLM, vivent tous les jours les "incivilités" et qui s’en exaspèrent, sont de plus en plus, faute de solution, tenter "le n’importe quoi pourvu qu’on s’en sorte" voilà qui devrait nous faire réfléchir. Cela fait bientôt une vingtaine d’années que les politiques trahissent promesse après promesse. Il semble maintenant que les digues se fissurent, gare à la vague qui pourrait se transformer en tsunami politique.

Pendant ce temps l’assassinat horrible d’Itamar et les actes antisémites n’intéressent personne.

Les actes antisémites sont devenus ordinaires. Garges, Sarcelles et bien d’autres communautés ne sont plus des villes attractives, bien au contraire. Ni les conférences, ni les manifestations de toute nature, où les uns et les autres se mettent en scène, ne sont de nature à modifier les choses sur le terrain. L’indifférence est devenue le maître mot. Quelle institution s’occupe vraiment des communautés de banlieue ? Disons le haut et fort : AUCUNE. Nous pourrions donner ici plusieurs exemples de ce désintérêt. il suffit de voir l’état de la synagogue.

Cette indifférence nous rend tous responsables de notre sort collectif. Bien évidemment à un degré plus élevé pour ceux qui se mettent en avant, en se disant dirigeants communautaires. Ceux qui participent au morcellement et à l’émiettement de la communauté en créant par ici et par là des offices, qui ne répondent à aucune nécessité, sauf à diviser un peu plus la communauté, aggravent quant à eux la situation.

L’antisémitisme est devenu ordinaire, en partie parce que nous avons baissé les bras et sommes devenus indifférents à nous-mêmes.

Où est l’union communautaire ? Que faisons-nous concrètement pour résoudre nos problèmes ?

Malheureusement pas grand-chose.

JForum.fr
Re: Antisemitisme
25 mars 2011, 03:05
elsa a écrit:
-------------------------------------------------------
> Frappé à la tête, il sombre dans un coma profond
>
>
> Deux jeunes qui avaient frappé, dans la nuit de
> samedi à dimanche, devant une discothèque du VIème
> arrondissement de Paris, un homme de 27 ans, le
> plongeant dans un coma profond, ont été
> interpellés.
>
> Dimanche vers 4 h45, d'après une source policière,
> la victime était en train de discuter avec son
> amie âgée de 23 ans devant la discothèque le Next
> One, rue Bernard Palissy (VIème), quand trois
> individus ont proposé à la jeune femme de
> l'alcool.
>
> Aussitôt, son ami s'est interposé et l'un des
> individus lui a cassé une bouteille sur la tête,
> la victime est alors tombée au sol et l'un des
> agresseurs lui a porté des coups de pieds à la
> tête avant que le trio ne prenne la fuite. Plongée
> dans un coma profond, la victime, dont les chances
> de réveil sont quasi inexistantes selon une source
> proche de l'enquête, a été transportée à l'hôpital
> Lariboisière.
>
> Lors de leur enquête, les policiers ont découvert
> que les trois agresseurs s'étaient présentés peu
> avant minuit le même soir à la discothèque dont
> ils avaient été refoulés par le service de
> sécurité, compte tenu de leur état d'ébriété.
>
> Dimanche, les policiers de la police urbaine de
> proximité (PUP) ont interpellé les trois auteurs
> soupçonnés de ces violences, l'un âgé de 18 ans
> qui aurait cassé la bouteille sur la tête du jeune
> homme, un des ses complices, âgé de 19 ans, qui
> aurait porté les coups de pieds et enfin le
> troisième, âgé de 18 ans. Ce dernier qui aurait
> été présent lors des faits mais n'aurait pas
> participé aux violences, a été mis hors de cause
> et remis en liberté. Les deux autres, au terme de
> leur garde à vue, devaient être déférés mardi au
> parquet de Paris en vue de leur mise en examen
>
> Source LE PARISIEN
>
>
> ET LIONEL EST MORT HIER ...................



Lettre à mon fils Lionel,
.par Sabrina Allouche, vendredi 25 mars 2011, 07:04.


2 Ans que tu es parti...

2 ans que je n'ai pas vu ton visage, ton beau sourire, 2 ans que je n'ai pas entendu ta voix, que le nom de « Lionel » ne s'affiche plus sur mon portable, que je n'entends plus « Saluté » lorsque tu rentres, que ta belle robe d'avocat est accrochée et attend depuis deux ans que tu la vêtes, que la porte de ta chambre est close, que je ne suis plus montée au premier étage de la maison, que mes yeux ne regardent plus les escaliers qui vont vers ta chambre, que je prends tous les jours ta voiture pour me sentir avec toi, sentir ton odeur et que je n'ai pas osé encore ouvrir le coffre, 2 ans, 24 mois, 731 jours, une éternité, hier, je ne sais plus...on dirait que même les murs de cette maison que tu aimais tant, pleurent ton absence, alors dès que je peux, je la fuis, parce que tu n'es plus, parce que ton vide prend trop de place. Et pourtant, tu n'es pas marié, si tu l'avais été, bien sur tu serais venu me voir, tu n'es pas à l'étranger, tu m'aurais téléphoné, comme tu le faisais. A présent, j'ai bien compris que tu es définitivement parti, j'ai compris que tu ne reviendras plus, mais où es tu ? Tu ne viens pas me voir lorsque je dors, tu ne me tranquillises pas, et pourtant cela ne te ressemble pas, mais es tu bien là où tu es ? N'as tu pas froid ? Est ce que ce monde meilleur existe ? Dis moi, rassure moi mon amour, viens au moins dans un rêve me raconter… Est ce que je suis sur le chemin que tu veux, est ce que je ne me trompe pas ?


La vie sans toi n'a plus de sens, il me manque quelque chose d'indéfinissable, de très fort, un ressentiment d'une amputation vitale mais invisible, voilà c'est ce que je ressens, La vie est trop triste, sans soleil, il fait tous les jours gris et froid dans mon cœur, et pourtant je suis bien vivante, je suis bien réveillée... alors je coure, je m'inonde de travail, je feins de penser a autre chose, mais tu ne me quittes pas, mes pensées n'appartiennent qu'à toi. Lorsque j'ouvre les yeux, c'est ton beau visage que je vois et quand je dois les fermer aussi, alors je suis volontaire pour tout et j'avance, vers où, vers quoi, pourquoi faire, je ne sais pas, je veux que tout passe vite, j'ai cette angoisse de sombrer, et cela je ne le veux pas. Il faut que tu saches que je puise ma force en pensant à toi et à l'amour si profond et si pudique que tu me portais. Tu m'appelais ton roc, tu étais fier de moi, bien sur tu ne le disais pas, mais ton regard était si pur et si transparent que l'on devinait chaque émotion qui émanait de toi. Il faut que tu saches que je ne veux pas te décevoir, je resterai forte pour toi, je me battrai jusqu'à en mourir pour toi, et c'est pour toi, encore, que je reste égale a moi même, comme avant.


Dès que je suis seule, je regarde tes photos et crie ton nom, ce hurlement sort des entrailles de ta maman, peut être l'entends tu ? Je ne veux pas que ton nom devienne tabou. Le nom de Lionel est et restera à jamais au présent, tu es là, je le sais, je le sens, mais je ne te vois pas...


Le mot je t'aime, le plus beau mot de la langue française, n'est décidément pas assez grand, car celui auquel je pense est infiniment plus beau et plus fort. Alors, ce mot qui n'existe pas, qui n'a pas encore été inventé, je ne le connais pas, mais te le dis...


Ta maman.

.
Re: Antisemitisme
03 avril 2011, 00:45
Cette nomination qui embarrasse l’Élysée.


Le futur délégué interministériel à l’Outre-mer Claudy Siar est rattrapé par ses positions passées. Embarras au Château.

C’est une polémique dont se serait bien passé l’Élysée. Dans sa dernière édition, Le Canard enchaîné rapporte les propos du futur délégué interministériel à l’Outre-mer Claudy Siar, nommé lundi dernier, au sujet de Dieudonné. "Je serai l’un des principaux artisans de la manifestation de soutien à Dieudonné. (...) La polémique s’est focalisée sur le prétendu antisémitisme de Dieudonné, alors qu’il ne l’est pas", déclarait-il après le sketch de "l’humoriste", qui s’était lancé dans l’imitation d’un colon israélien sur le plateau de Fogiel.

Contacté par Le Point.fr, l’animateur de Couleurs tropicales sur RFI, propriétaire de Tropiques FM, jure ne plus avoir aucune accointance avec Dieudonné et tient à rappeler le contexte de l’époque : "Nous étions en février 2004, Dieudo venait de faire son sketch. Je lui ai manifesté mon soutien, comme Jamel Debouze, Djamel Bourras et Manu Dibango. Je l’ai fait au nom de la liberté d’expression. Je disais alors : On peut ne pas aimer son sketch, mais il doit pouvoir s’exprimer. On doit pouvoir critiquer Ariel Sharon, comme Netanyahou aujourd’hui, sans être censuré. La rupture entre eux remonterait à 2006, quand Dieudonné, depuis Alger, compara la Shoah à une pornographie mémorielle. C’en était trop. Je lui ai dit qu’il faisait chier, que c’était fini. Depuis, je ne sais pas ce qu’il devient." Dieudonné était récemment à Tripoli afin de manifester son soutien au colonel Kadhafi...

Le Canard enchaîné révèle également des déclarations déconcertantes de Siar concernant, cette fois-ci, la Tribu Ka. Voilà ce que Claudy Siar disait de cette association antisémite prônant la défense du "peuple noir", aujourd’hui dissoute : "On a un extrémisme qui résulte du rejet constant de nos populations dans notre propre pays. À un moment donné, il est normal que les gens se radicalisent. (...) Je ne jetterai jamais la pierre à la Tribu Ka, par exemple, même si je ne suis pas d’accord avec certains de leurs propos." Là encore, le successeur de Patrick Karam prend ses distances : "J’ai écrit un communiqué en 2005 expliquant pourquoi je me désolidarisais de la Tribu Ka. Je n’ai jamais été proche de ces gens-là, à tel point que je les ai interdits d’antenne sur ma radio." Le futur délégué interministériel, qui prendra ses fonctions le 18 avril, esquisse toutefois un mea culpa : "Avec le recul, je peux estimer que mes choix étaient de mauvais choix." Contacté par Le Point.fr, l’Élysée affirme qu’il n’était pas au courant des propos de Claudy Siar.

Re: Antisemitisme
05 avril 2011, 01:10
cher mr LADOUDA l'article presente se termine , par une question
"que faisons nous pour resoudre nos problemes "?
il est necessaire de reconnaitre apres avoir accepte l'indifference
que la solution est inevitablement dans l'anlyse du probleme .
il n'y a pas de route 'pas de chemin a suivre pour le juif qui compte trouver sa securite dans des lois specialement 'etrangeres"pour lui .
le rabbin n'a pas intervenu pas parce que il sait que sa vraie place n'est pas a "garges "
il est temps de prendre ses responsabilites et le volant en main .
Si les parents se sont trompes de route il est temps de voir les choses plus clairement et prendre des decisions adequoites.

bien a tous sarel
Re: Antisemitisme
06 avril 2011, 00:58
Cher Sarel,

Qu'est ce qu'une " Loi spécialement étrangère ?", n'est il pas écrit dans le Grand Livre,,, " De la loi du pays où tu vies, tu feras ta loi ? Et pourquoi donc le Rabbin n'aurait il pas sa place même à Garges ? Les desseins du Judaïsme ne prônent ils pas de propager le Verbe, plutôt que le replis sur soi ? laissant bien sure à chacun la liberté de conduire sa vie où il lui plait d'exister.
Re: Antisemitisme
06 avril 2011, 01:09
«Chrétiens allemands», une catastrophe protestante (1933-1944) Par Marc-André Charguéraud


Jusqu’à la défaite, ils demandent l’élimination des Juifs.

On aurait dû les appeler « chrétiens nazis ». Les deux termes semblent antinomiques. C’est pourquoi, en 1933, Karl Barth, le célèbre théologien suisse, disqualifie sans appel ces protestants : « A côté des écritures sacrées qui sont la seule révélation de Dieu, ils réclament une seconde révélation, celle du peuple allemand et de sa politique actuelle. Nous devons donc admettre qu’ils croient à « un autre Dieu ».[1]

Barth a raison, les professions de foi des « Chrétiens allemands » dépassent l’entendement. Ce sont des renégats dans toute la force du terme. Dans un guide publié en 1932, ils proclament que « la distinction entre les peuples et les races (…) est un ordre voulu par le Dieu du monde ». De ce fait, « le mariage entre les Allemands et les Juifs doit être interdit ».[2] En 1933, leurs déclarations les égarent. Ils appellent les protestants à « participer à la grande heure qui vient de sonner (celle des nazis) et y reconnaître une mission de Dieu confiée à son Eglise ».[3]

A leurs yeux, « l’Eglise doit s’intégrer dans le Troisième Reich, être mise au rythme de la révolution nationale, être façonnée par les idées du nazisme ».[4] L’hérésie patente bascule dans le ridicule et l’absurde lorsque les « Chrétiens allemands » en appellent à Hitler pour interpréter les Ecritures et proclament que Dieu a marqué l’Allemagne de son sceau.[5] Une attitude d’autant plus scandaleuse que les « Chrétiens allemands » ont adopté ces concepts païens nazis de leur propre initiative, sans avoir fait l’objet de pressions.

Après tant de blasphèmes et de ruptures théologiques, comment est-il concevable qu’en juillet 1933, lors de l’élection des dirigeants protestants, deux tiers des votes des paroissiens se soient portés sur des représentants des « Chrétiens allemands ? »[6] Ces fidèles sont, sous la conduite de leurs pasteurs, descendus aux enfers. Ils sont marqués au fer, même si au sein de cette nébuleuse se croisent des participants plus ou moins radicaux.

Parmi les meneurs les plus engagés se trouvent les initiateurs, deux pasteurs de Thuringe, Siegfried Leffler et Julius Leutheuser. Parmi les modérés on compte Wilhelm Niemöller, un sympathisant qui déclare à ses paroissiens : « En ce qui concerne ma position envers les Chrétiens allemands, j’en suis un membre et je le resterai ». Mais à la fin de l’été 1933, Wilhelm Niemöller coupe les ponts et rejoint son frère Martin à l’Eglise confessante qui, sous l’impulsion de ce dernier, s’élève avec succès contre cette théologie dévoyée.[7]

Un feu de paille ?[8] Un scandale éclate lors du rassemblement des « Chrétiens allemands » au Palais des sports de Berlin le 13 novembre 1933. Un orateur, le Dr. Krause, n’hésite pas à demander en termes vifs que le protestantisme allemand déjudaïse l’Eglise ainsi que la Bible.

Cela revient à abandonner l’Ancien Testament et à expurger le Nouveau de ses composantes juives.[9] Les démissions se multiplient. Malgré ces importants revers, à la fin des années trente les « Chrétiens allemands » comptent encore 600 000 fidèles.[10] Plus grave, ils conservent une position dominante au sein des Facultés de théologie. En 1937, 12 recteurs sur 15 sont affiliés aux «Chrétiens allemands», 14 sont professeurs sur 73 et 51 professeurs associés sur 102.[11]

La situation est d’autant plus critique que les « Chrétiens allemands » n’ont rien abandonné des principes païens nazis. Les déclarations aberrantes et inconditionnelles de leurs plus hautes autorités continuent. Un article paraît le 15 novembre 1936 dans Kommende Kirche, une publication dont le responsable est Heinz Weidemann, l’évêque de Brême. « Dieu a envoyé Hitler au secours du peuple allemand (…) Adolf Hitler est le porte-parole de Dieu. Aider Hitler dans sa tâche, c’est servir Dieu, saboter son travail, c’est servir le diable ».[12]

En avril 1938, Leffler affirme dans une allocution au Palais des Sports de Berlin : « Etre chrétien ne signifie pour nous rien de plus que de posséder la force de soutenir le programme national-socialiste ».[13] De son côté, fin novembre 1938, l’évêque de Thuringe Martin Sass écrit après la Nuit de cristal que « l’incendie des synagogues est le moment du couronnement du combat divinement béni du Führer pour l’émancipation définitive du peuple allemand ».[14]

Six mois plus tard, le 4 avril 1939, les « Chrétiens allemands » fondent l’Institut pour la Recherche et l’Elimination de l’Influence Juive dans la Vie des Eglises Allemandes. Un intitulé en forme de programme que l’Institut résume de la manière suivante : « L’influence corruptrice juive a aussi été active dans le christianisme au cours de l’histoire. Le devoir obligatoire et sans échappatoires de l’Eglise et du Christianisme est de se débarrasser du Judaïsme. C’est une obligation pour le futur de la chrétienté ».[15]

Jusqu’à la fin les « Chrétiens allemands » se déchaînent. Dans une lettre d’information datée du 29 avril 1944, ils insistent : « Il n’y a pas d’autre solution au problème juif que la suivante : (…) la bataille (…) jusqu’à ce que le monde soit totalement entre mains juives ou complètement purgé du judaïsme (…) nous pouvons fièrement proclamer devant le monde entier, le monde d’aujourd’hui et de demain, que nous avons saisi l’opportunité avec la ferme intention de résoudre la question juive une fois pour toutes ».[16]

Le monde nazi s’écroule, mais la détermination, l’aveuglement devrait-on dire, des « Chrétiens allemands » reste intact. Cette page atroce du protestantisme allemand est trop souvent ignorée du grand public. On dénonce le vote massif des protestants qui a permis l’accession au pouvoir de Hitler mais on ne parle pas assez de leur soutien à l’élimination des Juifs et l’on évoque rarement le déviationnisme théologique insensé et la haine viscérale du judaïsme qui ont définitivement disqualifié de trop nombreux pasteurs et dirigeants de l’Eglise protestante allemande.

Copyright Marc-André Charguéraud. Genève. 2010
Contact : « andre.chargueraud@bluewin.ch »

Trouvez sur mon blog : La Shoah revisitée (http://la.shoah.revisitee.org) d’autres articles récemment publiés.
[1] BERGEN Doris, Twisted Cross : The German Christian Movement in the Third Reich, Chapel Hill N.C. 1996, p. 20. Peuple allemand dans le sens du Volkstum germanique.

[2] IBID. p. 23.
[3] REYMOND Bernard, Une Eglise à croix gammée : Protestantisme allemand au début du régime nazi, 1932- 1935, L’Age d’Homme, Lausanne 1980, p. 117.
[4] CONWAY J. S. La persécution nazie des Eglises 1933-1945, Editions France Empire, Paris 1969, p. 95.
[5] LITTELL Franklin H. The German Church Struggle and the Holocaust, Wayne University Press, Detroit 1974, p. 137.
[6] BERGEN, op. cit. p. 5.
[7] IBID. p. 13.
[8] REYMOND, op. cit. p. 122. HOCKENOS Mattew, A Church Divided. Protestants Confronts the Nazi Past, Indiana University Press 2005, p. 4. 41 millions d’Allemands étaient enregistrés comme protestants.
[9] IBID. p. 121.
[10]HOCKENOS, op. cit. p. 6.
[11] BERGEN, op. cit. p. 177.
[12] GUTTERIDGE Richard, Open thy Mouth for the Dumb : The German Evangelical Church and the Jews 1879-1950, New-York, Harper Row, 1976, p. 164.
[13] IBID. p. 191.
[14] IBID. p. 190.
[15] BERGEN, op. cit. p. 142.
[16] IBID. p. 26.



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