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La neutralité de la Suisse

Envoyé par Victor 
Re: La neutralité de la Suisse
27 octobre 2009, 01:41
Des pirates attaquent le DFAE
ESPIONNAGE | Le Département fédéral des affaires étrangères (DFAE) a été victime d’une attaque informatique par des "inconnus" qui ont utilisé un logiciel spécial pour "obtenir des informations ciblées"


ATS/AFP | 27.10.2009 | 06:31

Impossible pour l'heure de savoir quels sont les dommages qu'ont pu commettre leurs virus. Le département cherche maintenant à savoir si les services ont été endommagés, a-t-il expliqué lundi dans un communiqué. Des informaticiens ont fait les démarches nécessaires pour empêcher que des données puissent être transmises à l'extérieur. Ils ont également rendu impossibles des manipulations de l'infrastructure informatique par des tiers.

«Concrètement, les collaborateurs du DFAE ne peuvent provisoirement plus utiliser internet mais peuvent utiliser le réseau interne», a précisé à l'ATS Georg Farago, porte-parole du DFAE. Un retour à la normale est prévu dans les prochains jours.

Le 22 octobre, des informaticiens du DFAE et de Microsoft ont découvert que le département de Micheline Calmy-Rey était l'objet d'une attaque de virus. Des inconnus ont utilisé un logiciel spécial pour s'introduire dans l'infrastructure informatique du DFAE et obtenir des informations ciblées.
Le porte-parole du département n'a fourni aucun détail sur le type d'informations recherchées par les «hackers». Reste à savoir si des données ont été piratées et si oui lesquelles, selon le communiqué du DFAE.

Trois départements en panne

Vendredi, trois départements fédéraux annonçaient être touchés par une panne informatique: les Départements fédéraux des finances (DFF), de l'intérieur (DFI) et le DFAE.

Lundi soir, la porte-parole adjointe de l'Office fédéral de l'informatique Karolina Kohout a indiqué qu'il n'y avait pas de lien entre ces pannes. Les problèmes du DFF et du DFI n'avaient rien à voir avec ceux du DFAE, a-t-elle précisé. «C'est un pur hasard qu'ils se soient produits au même moment». Lundi, les services informatiques du DFI et du DFF fonctionnaient à nouveau, précise-t- elle.

Précédent en 2007

En 2007, des ordinateurs du Département fédéral des affaires étrangères et du SECO avaient été visés. L'attaque informatique avait été lancée fin novembre-début décembre. Le ou les pirates avaient mis en scène un concours de photographie fictif grâce à des e-mails et des sites internet truqués. Plus de 500 courriels avaient été envoyés en deux vagues.

Les messages étaient personnalisés, appelant le destinataire par son nom. L'expéditeur était un office fédéral et le prétexte de l'envoi un concours de photographie.

Pour y participer, il fallait cliquer sur un lien. Les personnes qui le faisaient voyaient apparaître une copie fidèle du site de l'office en question. En cliquant ensuite sur des photos à choix, elles téléchargeaient un maliciel, un programme informatique pirate, sur leur ordinateur.

Un fournisseur d'accès à internet en Afrique a, semble-t-il, été utilisé pour l'attaque. Ce qui ne signifie pas qu'un Etat ou des criminels africains l'ont commise.
Re: La neutralité de la Suisse
05 novembre 2009, 01:19
Berne suspend l’accord signé avec Tripoli
Valérie de Graffenried


Toujours sans nouvelles des deux otages, Berne a adopté une nouvelle stratégie. Tripoli n’ayant pas respecté les clauses de l’accord signé le 20 août, le Conseil fédéral décide de le geler. Et de montrer un peu les dents

Pas question pour le Conseil fédéral de rester les bras croisés face aux provocations libyennes. Comme Tripoli refuse de coopérer, il a décidé mercredi de suspendre l’accord signé le 20 août avec la Libye. Berne n’a toujours pas de nouvelles de Max Göldi et Rachid Hamdani, «enlevés en violation du droit international», souligne le gouvernement dans un bref communiqué. «Les autorités libyennes refusent tout droit de visite», précise la déclaration. Dans ces circonstances, il fallait donc agir pour défendre l’honneur de la Suisse. Le Conseil fédéral a aussi confirmé qu’il poursuivrait jusqu’à nouvel ordre sa «politique de visas restrictive vis-à-vis des ressortissants libyens».

La situation a empiré

Après avoir bravement tenté, par la voie diplomatique habituelle, de négocier et d’arrondir les angles après l’arrestation d’Hannibal Kadhafi à Genève en juillet 2008, Berne hausse donc le ton et bande les muscles. Hans-Rudolf Merz a été critiqué pour avoir fait trop de concessions le 20 août devant les Libyens, de s’être «aplati» devant le clan Kadhafi. Mais depuis, Tripoli n’a pas respecté les clauses de l’accord qui prévoyait notamment la mise sur pied d’un tribunal arbitral pour élucider les circonstances de l’arrestation du fils du président libyen.

Re: La neutralité de la Suisse
05 novembre 2009, 08:34
Alors Douda, tu es seul à nous parler de la "neutralité" de la Suisse à présent?
Que sont tes contradicteurs devenus?
Et les supporters de la Suisse (à chercher à la loupe!)?
Serais tu devenu le seul à relever les erreurs des helvètes?

Les autres comptent sur toi pour le faire, je vois.
Re: La neutralité de la Suisse
10 novembre 2009, 13:26
Affaire Kadhafi: la Libye remet deux Suisses à l'ambassade helvétique

Par Guysen International News (avec agences)
Lundi 9 novembre 2009 à 23:53

Tripoli a remis lundi 9 novembre à l'ambassade suisse deux hommes d'affaires helvétiques "enlevés" depuis septembre en Libye, faisant un geste de conciliation une semaine après le durcissement de ton de Berne qui a pris des mesures affectant directement le clan Kadhafi.

Les deux hommes avaient été assignés à résidence à l'ambassade suisse de Tripoli en juillet 2008, en mesure de rétorsion après l'arrestation à Genève d'Hannibal Kadhafi, un des fils du leader libyen, et de sa femme pour mauvais traitement sur deux domestiques.

Alors même que la Suisse négociait d'arrache-pied leur retour, ils avaient été placés mi-septembre dans un lieu tenu secret par Tripoli après avoir été conviés à subir des tests médicaux. L'opération avaient été qualifiée de "kidnapping" par Berne qui n'avait depuis plus aucune nouvelle des deux hommes.

Max Göldi, directeur de la filiale du groupe d'ingénierie ABB à Tripoli, et Rachid Hamdami, responsable d'une PME vaudoise (ouest), "ont été remis par les autorités libyennes, sans mention d’aucun motif, à l’Ambassade de Suisse à Tripoli", a précisé le ministère helvétique des Affaires étrangères. Ils "se portent bien, eu égard aux circonstances", a-t-il ajouté.

La réapparition des deux Suisses a été saluée dans la Confédération comme un premier succès des mesures annoncées la semaine dernière par Berne. Lasses de plus d'un an de tentatives infructueuses d'apaisement, les autorités helvétiques se sont en effet décidées à hausser le ton face à Tripoli, qui a multiplié mesures de rétorsion et humiliations envers la Suisse depuis le début de "l'affaire Kadhafi".

Elles ont tout d'abord suspendu un accord de normalisation des relations signé le 20 août à Tripoli par le président de la Confédération, Hans-Rudolf Merz. Berne a justifié sa décision par le "refus notoire de collaboration" de Tripoli alors que l'accord prévoyait le retour des deux Suisses avant son expiration le 20 octobre. Elles ont également indiqué qu'elles poursuivraient "jusqu'à nouvel ordre leur politique de visas restrictive vis-à-vis des ressortissants libyens".

Pour le directeur du Centre d'études et de recherche sur le monde arabe et méditerranéen (Cernam) à Genève, Hasni Abidi, il ne fait pas de doute que le changement de ton suisse "a porté ses fruits" et provoqué ainsi "un geste de bonne volonté des Libyens". "Le retour à l'ambassade doit être interprété comme une volonté de renouer les fils", abonde l'ancien vice-président du Parti libéral radical (droite) Léonard Bender.

Le geste libyen a été essentiellement motivé, selon eux, par la mesure limitant l'attribution de visas Schengen visant directement les membres de la famille Kadhafi.

"La mesure est assez bien ciblée car elle touche les proches du régime qui avaient l'habitude de venir régulièrement en Suisse", explique également le président du parti socialiste suisse Christian Levrat.

Après ce premier pas, jugé modeste, la plupart des observateurs se voulaient toutefois prudents lundi quant au retour attendu des deux Suisses dans leur pays.

La ministre des Affaires étrangères, Micheline Calmy-Rey, se félicitant "d'une bonne nouvelle sur le plan humanitaire", s'est gardée de tout triomphalisme. A la question de savoir si le signe était encourageant, elle s'est juste exclamé: "c'est une autre affaire"."Il faut prendre le geste pour lui-même mais se garder de spéculer sur la suite", prévient ainsi Léonard Bender. Après tout, relève-t-il, il ne fait que "rétablir" la situation antérieure. Christian Levrat n'en démord pas: "après la correction d'une mesure particulièrement injuste, tout reste encore à faire".

Côté libyen, le silence était de mise, lundi 9 novembre.

[www.guysen.com]
Re: La neutralité de la Suisse
10 novembre 2009, 22:07
apres le durcissement de ton de berne les petits suisses sont moins mous et "cas daffy" li bien tri poli.
enfin comme dirait Meyer il a peut etre laisse ses trippes au lit.
Re: La neutralité de la Suisse
24 novembre 2009, 01:35
Monsieur Merz, est-il vrai que l’or des Suisses se trouve à Fort Knox?

Publié le 15 novembre 2008 / Sur le vif
auteur: Christian Campiche

C’est le secret le mieux gardé au monde, pourtant on aimerait bien que s’ouvre la boîte de Pandore. Où se cache l’or des Suisses? A Fort Knox aux Etats-Unis, comme l’affirme la rumeur? La dernière fois que le sujet a été évoqué publiquement c’était en 2003.

Répondant au député Paul Günter qui lui posait cette question, Kaspar Villiger, le grand argentier de l’époque, s’était refusé à dévoiler au parlement où l’or suisse est entreposé. Il invoquait des «raisons de sécurité». A l’époque, l’armée américaine préparait l’intervention en Irak et M. Günter demandait au Conseil fédéral s’il le fait de savoir que l’or était entreposé dans un pays dont le chef d’Etat est un fanatique religieux ne l’inquiétait pas.

Cinq ans après, les troupes de Bush occupent toujours l’Irak mais l’actualité est désormais dominée par le krach financier qui ravage la planète. Il appartiendra aux historiens de l’économie de débroussailler ce qui peut l’être mais une chose paraît d’ores et déjà sûre: l’Administration américaine porte une lourde responsabilité dans la catastrophe actuelle.

En persistant à laisser les institutions à la merci des aventuriers de l’ultralibéralisme, elle a créé un climat favorable à d’incontrôlables dérives. Elle a entraîné dans sa folie meurtrière les dominos zélés dont font partie la Suisse et son symbole bancaire, l’UBS. D’où le lien avec l’or, voyons pourquoi.

Mercredi, en effet, le ministre du Trésor américain Paulson retournait sa veste en renonçant à son plan d’achat d’actifs invendables des banques. Il estime désormais plus simple et efficace d’investir directement dans le capital des banques. Pour un ex-entrepreneur qui a longtemps déclaré urbi et orbi qu’il ne voulait pas nationaliser les banques, le revirement est remarquable et doit sans doute provoquer quelque perplexité à Zurich où siègent les dirigeants de la BNS. Dans le sillage de Washington la Banque nationale suisse pourrait-elle à son tour changer de tactique?

Fin octobre, l’institut d’émission provoquait un séisme en annonçant l’injection de 54 milliards de dollars, des prêts destinés à garantir les actifs pourris hérités de la crise des «subprime», pour sauver l’UBS. Sur le papier, tout semble lisse. L’UBS lie ses engagements toxiques en une gerbe qu’elle enfouit, avec la bénédiction de la BNS, dans le sable des Caïmans en attendant des jours meilleurs.

Les fonds de la BNS, espèrent les artisans de ce laborieux montage, ne sont pas perdus puisqu’à terme, il sera possible de récupérer la mise, à tout le moins une partie, quand la conjoncture reviendra à de meilleurs sentiments. Mieux, ajoutent ces piliers intellectuels du système, l’argent n’est pas puisé directement dans les caisses de la BNS, il est prêté par la Réserve fédérale américaine, la Fed.

Si l’opération aux Caïmans a été critiquée par des politiciens, non sans raison, on a très peu relevé, en revanche, le rôle de caissier de la Fed dont le coup de main n’est peut-être pas si désintéressé. Et surtout pas si risqué, dans l’hypothèse où les réserves d’or de la Suisse seraient entreposées dans le Kentucky, un Etat qui n’est pas situé aux antipodes de Washington où la Fed a son siège. Quel meilleur gage de solvabilité offrir à une institution qui s’affirme plus que jamais comme le banquier du monde?

On nous promet, en décembre, un débat au parlement. Ce dernier aura à dire oui ou non aux milliards de la BNS, mais il s’agira d’un paquet dont les détails ne seraient pas négociables. A prendre ou à laisser. Et, dans cette seconde hypothèse, gare aux conséquences pour la place financière suisse, menace la BNS. On espère à tout le moins qu’avant de prendre leur décision, les députés s’enquériront de savoir s’ils ont toutes les cartes en main. Il serait très souhaitable qu’ils interpellent à nouveau le Conseil fédéral pour lui demander de s’exprimer sur un thème qui engage la fortune du pays. L’or des Suisses est-il à Fort Knox, Monsieur Merz?

*Article paru dans “La Liberté” du 14 novembre 2008

[www.horizons-et-debats.ch]
Re: La neutralité de la Suisse
30 novembre 2009, 12:19
Minarets: l'ONU se penche sur l'interdiction
30.11.2009 18:41


Le Haut-Commissariat aux droits de l'homme étudie la conformité de l'interdiction.

Alors que l'ONU étudie la conformité de l'interdiction des minarets décidée par le peuple suisse avec le droit international, la votation soulève un tollé international. Les voisins européens se disent «scandalisés», tandis que les pays musulmans accueillent le scrutin comme une «insulte».

Un porte-parole du Haut Commissariat de l'ONU aux droits de l'homme a précisé que l'ONU prendra position sur le résultat du scrutin. "Des experts sont en train d'examiner la question sur le plan légal", a-t-il affirmé. Il n'a pas indiqué quand la prise de position de l'ONU sera rendue publique.

Lors de la campagne, des experts de l'ONU avaient mis en garde les autorités fédérales à plusieurs reprises en raison du caractère discriminatoire de l'initiative.

Dans ses recommandations finales, publiées le 30 octobre, le comité des droits de l'homme de l'ONU s'était déclaré préoccupé par l'initiative anti-minarets et "la campagne d'affiches discriminatoire" qui l'accompagnait.

Un objet de vote gênant

Le secrétaire général du Conseil de l'Europe Thorbjorn Jagland a lui estimé que le vote suisse suscite des interrogations sur la pratique de référendums populaires lorsque le sujet relève des droits fondamentaux, tout en soulignant que se prononcer sur des problèmes de société est un droit en démocratie.

L'interdiction des minarets touche, selon Th.Jagland, à la liberté de religion et à l'interdiction de toute discrimination. "Si la Cour européenne des droits de l'homme était saisie d'une requête, ce serait à elle de décider si l'interdiction de construire de nouveaux minarets est compatible avec la Convention" a-t-il affirmé. Le ministre de l'Intérieur suédois, Tobias Billström, a lui aussi jugé à Bruxelles "surprenant" de soumettre un tel sujet à référendum.

L'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe s'est pour sa part déclaré "très préoccupée" par le résultat du référendum qui risque, selon elle, "d'encourager des sentiments d'exclusion et d'approfondir les clivages" dans nos sociétés.

Malaise européen face à l'islam

Les pays de l'Union européenne ont aussi déploré individuellement le vote suisse. Présente à Bruxelles lundi, la ministre suisse de la Justice Eveline Widmer-Schlumpf, n'a pas caché son embarras.

"C'est l'expression d'un préjugé et peut-être même d'une peur mais il est clair qu'il s'agit à tous égards d'un signe négatif", a déclaré le ministre suédois des Affaires étrangères, Carl Bildt, dont le pays assure la présidence de l'UE.

Le vote des Suisses choque Bernard Kouchner.

La victoire des anti-minarets dans un référendum en Suisse dimanche relève d'une peur de l'islamisation du pays qui existe aussi en Allemagne et qui doit être "prise au sérieux", estime lundi un responsable du parti de la chancelière Angela Merkel, la CDU.

Critiquer la décision suisse serait contre-productif, avertit Wolfgang Bosbach, responsable de la commission des Affaires intérieures du Parlement, dans le quotidien Berliner Zeitung. Ce résultat traduit la peur d'une islamisation de la société, et "cette crainte doit être prise au sérieux", a-t-il ajouté.

Le chef de la diplomatie française, Bernard Kouchner, s'est lui déclaré "un peu scandalisé" par un vote qui est selon lui "une expression d'intolérance". "Il ne faudrait pas donner le sentiment de stigmatiser une religion, en l'occurrence l'islam", lui a fait écho à Bruxelles le ministre français de l'Immigration Eric Besson.

Le Vatican a évoqué une "entrave (à) la liberté de religion", tout en reconnaissant l'existence d'un "sentiment d'aversion et de peur". Amnesty International a dénoncé «une violation de la liberté religieuse, incompatible avec les conventions signées par la Suisse».

Un vote récupéré par les partis d'extrême droite

Le député néerlandais d'extrême droite Geert Wilders a appelé les Pays-Bas à organiser une consultation populaire similaire au référendum sur l'interdiction de minarets tenu dimanche en Suisse, selon le site internet de son parti lundi.

«Ce qui est possible en Suisse doit également pouvoir se faire ici», a déclaré le député dans un texte publié par le site du Parti pour la liberté (PVV), qui occupe neuf sièges sur 150 à la chambre basse du parlement.

«Nous allons appeler le gouvernement à faire en sorte qu'un tel référendum soit possible aux Pays-Bas», a-t-il précisé à l'agence de presse néerlandaise ANP, saluant «un résultat fabuleux» après l'adoption de l'interdiction des minarets par 57,5% des votants suisses lors du référendum de dimanche.

Il a affirmé que son parti, qui dénonce une «islamisation» de l'Europe et qualifie le Coran de «fasciste », pouvait aussi en prendre l'initiative par le biais d'une proposition de loi.

En France, la vice-présidente du Front National, Marine Le Pen, a appelé les «élites» françaises, comme suisses, à «cesser de nier les aspirations et les craintes des peuples européens qui, sans s'opposer à la liberté religieuse, rejettent les signes ostentatoires que veulent imposer des groupes politico-religieux musulmans».

agences/sbo
Re: La neutralité de la Suisse
30 novembre 2009, 22:46
"Le Haut-Commissariat aux droits de l'homme étudie la conformité de l'interdiction."
Entierement d'accord avec lui, pour qu'il se penche parallelement sur ce qui se passe a se sujet dans les pays comme l'Algerie, le Liban, les territoires occupes par les arabes en Israel,Betlehem, Nazareth, Gaza,au Soudan, au Yemen.....
Re: La neutralité de la Suisse
01 décembre 2009, 03:13
Henri a écrit:
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> "Le Haut-Commissariat aux droits de l'homme étudie
> la conformité de l'interdiction."
> Entierement d'accord avec lui, pour qu'il se
> penche parallelement sur ce qui se passe a se
> sujet dans les pays comme l'Algerie, le Liban, les
> territoires occupes par les arabes en
> Israel,Betlehem, Nazareth, Gaza,au Soudan, au
> Yemen.....

Le Haut Commissariat aux Droits de l'Homme est dirigé par la Lybie...alors il n'aura pas trop d'efforts à faire pour se pencher...ni trop d'effort à faire pour compter les synagogues et les églises au clochers imposants auxquels on a donné récemment des permis de construire dans les pays que tu cites...il peut y ajouter la totalité des pays musulmans sans migraine due au calcul.
Re: La neutralité de la Suisse
01 décembre 2009, 04:29
Pour qui sonne le glas ???

N'oubliez pas la phrase de Malraux : " le vingtième siècle sera religieux ou ne sera pas"

Et bien dans l'expression de son vote, qui si les politiciens des autre nations européennes, avaient eu le courage de consulter sur le même sujet leurs propres concitoyen,,, il y aurait fort à parier que le résultat du vote, aurait été semblable, voir pire,,,

Le Peuple Suisse, a fait mentir cette déclaration de Malraux, en exprimant un ras le bol généralisé, face aux incessantes et éternelles récrimination de l'opium du peuple, dont on le gonfle journellement, à longueur de télévision, qui pour mieux se vendre, tisse des tapis rouges à des Ramadan, et autres prêcheurs prosélytes à la langue bien fourchus.

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