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LE PTB ET MOI ZOUZ.

Envoyé par albert 
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
29 mars 2013, 01:05
HAD GADIYA A LA SAUCE BREITOU.
Had gadiyaAAAAA
Had gadiyaAAAAAAAAAAAAAAAAAA…….§§§§§§§§§§§§§§§§§

Ouelli chrit él marti
Aktar b’zouz flouss.

( Et ce j’ai acheté à ma femme
M’a couté bien plus que deux sous)

Had gadiya
Had gadiya

Chrit el khodraAAA
E’li kassita trouf traf
E’l imarti sayarta
Oueli hatItaAAAAAA
Fouk el mida bââde el nââr.

(J’ai acheté les légumes
Que j’ai coupé en menus morceaux
Que ma femme a assaisonné
Et qu’elle a mit
Sur la table après le jour)

Had gadiya
Had gadiya

Ouelli chrit él marti
Aktar mél zouz flouss

Hatét el khodra
Kassét él lham
E’li chritéla fél sbah,
That fouk él nar.

( Et ce que j’ai acheté à ma femme
M’a couté bien plus que deux sous
Elle a mit les légumes ( dans la cocotte)
Et coupé la viande
Que j’ai acheté le matin
Sur le feu )

Had gadiya
Had gadiya

Jét el lil
Kolna kaddin
Dawrét el shistou
Sebya marat
Ghéninè Yetmoul
Ou lahme mââniya
( Est arrive la nuit
Elle a tourné le panier
7 fois, ( au dessus de nos têtes)
Nous avons chanté Yetmoul
Et lahmé mââniye.) ( la viande de la souffrance)

Had gadiya
Had gadiya

Tla él franciIIIIse
Gendarmi nazi
Dok ââl bab mtana
Khdiné fej’yaAAA
Chebitou sebya marrat
Cent béch nederbou
Arab el darou
Tââ’chkou mssar’nou.
Ou chkeut ââla toul.
( Est monté le français
Gendarme nazi
Il a frappé à notre porte
Nous avons eu très peur
Je l’ai insulté 7 fois
J’allais le frapper
Il s’est sauvé chez lui
Les entrailles entortillées
Et je ne l’ai plus entendu)

Had gadiya
Had gadiya
Jé el msokiIIII
Osbana bél kerchaAAA
Tahné ââliya kif el jrada
Mta messraiem…
Had gadiya
(Est arrivé le msoki
Et la saucisse d’abatis
Nous sommes tombés dessus
Comme des sauterelles
D’Egypte)

Had gadiya
Lol.
§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§


Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
31 mars 2013, 00:22
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
31 mars 2013, 05:23
Dans qqs jours, dans qqs lunes, nous sortons de la galette.
L’absence de la baguette de pain n’aurait duré qu’une semaine. Et bien sur les anciens diront ‘… Chey mei doum cen rabi… ! Rien n’est éternel sauf D. ieu.

Comme chaque année, tradition oblige, ma femme ira acheter ses petits pains d’origine contrôlée à Belleville, qu’elle laissera dans la voiture avant l’heure dite.

Elle préparera en attendant le moment fatidique, les salaisons. Chez nous le casse croute acheté à l’extérieur n’est pas de mise. On préfère le casse croute maison et le plat tunisien qui ne manquera de rien. Les œufs à la coque, le thon, câpres etc…
Le kif est de le partager avec les enfants et les petits enfants.
Loin d’être une corvée cette préparation je l’attends de pieds fermes.
Je pense que certains d’entre vous feront pareil. Rien ne vaut l’ambiance familiale pour déguster ces sandwichs dans lesquels nous y mettons tant de cœur.

Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
31 mars 2013, 06:16
A mon petit pain d’amour.

Tout chaud dans son panier d’osier,
Le Seigneur de nos tables
Sera de retour. Fendu
En son milieu, il recevra
Son du.

Bien huilé et harissé
Il se laissera mordre
D’entre nos dentiers
Rafistolés.

Patience chers amis
L’heure de vérité
N’est pas encore arrivée.

Loin d’être une corvée,
Cette préparation fera la joie des fins gourmets.

Merci ma chère Galette,
A L’année prochaine,
Tu iras remplacer
Celle de l’an dernier
Accrochée au dessus de ma télé.

Bonjour ma laitue,
Toi aussi au d’ssus de nos portes
Tu seras suspendue
Pour nous souhaiter
Une nouvelle verte année.




Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
04 avril 2013, 10:30
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
05 avril 2013, 13:57
L’âge usant.

A partir de quand l’âge d devient usant… ?

Le temps qui avance rend l’âge fatiguant.

A 20 ans, je n’étais pas usé.
A 30 ans, je n’étais pas fatigué.
A 40 ans, je montais encore l’échelle
Et même que je burinais pour les gens montés au ciel.
A 45 ans, j’avais encore la force de porter mes valises.
A 50 ans, 5 ans déjà à Paris, mon moral commençait
A décliner un peu. Mon physique pouvait être supporté
Par un tabouret mais sur l’échelle je commençais à ’vertiginer.’
5 ans plus tard, houtté ââliyé , soit 55, j’ai commence
A porter des lunettes, petits verres, petits degrés.
A 60, ma fille me déclare myope,
Les degrés sont montés et ma tension aussi.
Le médecin me prescrit 5 pilules,
Et mon frère me dit ‘…Ye hassra ââlik lorsque tu sautais
Par-dessus le filet…. !’
Là, je me mis à pleurer, j’ai compris.
A 68 ans, oullit mââda, je travaille assis.
Je ne monte plus l’échelle mais l’escabeau,
Je fais attention lorsque je rends la monnaie
Et je confonds Mathilde avec Rosa
Irène avec Claudia mes perruques.

Je confonds tout et même que j’ai
Embrassé une dame dans la rue
En la confondant avec ma tante Poupée
Et qui me dit ‘…Comme vous sentez BON… !’

Je rate souvent ma station de métro
Et je n’ose pas dire à ma femme
M’être trompé, d’où mon retard.
Mais…
CAR IL Y A UN MAIS….

OUI UN MAIS.../////

Jamais oui jamais je ne confondrais
La voix de mes enfants
Et celle de mes petits enfants
Avec une quelconque voix
Venue de l’étranger.
Car elles, je les reconnaîtrais toujours
Même si je n’aurai plus d’oreilles
Valides.

Je suis quand même usé.
L’âge s'usant avec le temps.

Le tempe m'usant.





Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
06 avril 2013, 12:09
Passe encore pour un jour de semaine mais un samedi matin alors que je ne fume pas et travaille pas, j’ai perdu un peu de mes nerfs à 9 Heures pile.

Par mon travail, cosméteur, marabout et sexologue depuis 22 ans, je tombe sur des gens perdus qui demandent de l’aide. Des personnes qui perdent leur repaire et que je classe parmi les catégories des ‘irrécupérables’…

Donc en ce samedi matin BIEN sacré alors que tous les bons juifs religieux et même les mécréants qui ne se convertiront jamais à aucune religion si bonne qu’elle soit, rentre une dame africaine presque en titubant, s’accrochant à ma porte d’entrée, puis une fois le seuil passé, venir s’accouder de tout son poids sur la vitrine NUMERO 1.
Elle est essoufflée la dame d’une soixantaine d’année. Elle halète et elle semble tanguer.
‘…Aidez moi s’il vous plait Monsieur… !’
Je pose mes pieds à terre et…
‘…Qu’est ce qui se passe madaAAAme… ?’
‘…Je suis MALADE, je ne tiens plus sur mes pieds, je les sens allez et venir de droite à gauche, comme si j’avais de l’eau sous les plantes de mes pieds. On m’a dit que vous êtes connus dan ce genre de guérison… !’
‘…Les plantes des pieds qui vont et qui viennent…. ?’
‘…Oui c’est votre spécialité, donnez moi quelque chose, soulagez moi aidez moi… !’
Qu’auriez vous fais à ma place lorsqu’une dame d’un certain âge vous demande de l’aide et si vous ne l’aidez pas que dira votre conscience…. ?
Je la fais asseoir sur mon tabouret et je me lave les mains avec de l’alcool. Je mets des gants. Je lui demande poser la jambe sur un montant de l’échelle afin de ben ausculter son pied qui me parait à première vue bien gonflé.
Je lui enlève une première couche de chaussette. Je sens sous mes mains beaucoup de mou.
Je procède à l’enlèvement de la seconde couche de chaussette. Et là le mou devient de plus en plus mou. Je la regarde et lui demande…
‘….Pourquoi c’est mou Madame…. ?’
‘…On m’a jeté un sort… !’
‘…Un sort MOU…. !!!’
‘….Oui ca existe en AFRIQUE ..LE SORT MOU… !’ TEL QUEL. EMET.
‘…Oui chez nous aussi… !’ Mais bon ca ne veux pas dire pareil… !’
A la seconde chaussette enlève, j’ai presque une flasque dans la paume. Et lorsque je retire la cinquième chaussettes, c’est une fine peau qui va et qui vient comme pas possible.
Je me lève.
‘…VOUS AVEZ DES PLANTES CLOQUES…. !’
‘…Comment… ?’
‘…Oui de TRES GROSSES CLOQUES que vous n’avez pas soignées en AFRIQUE et avec les années elles se sont transformées en piscines. D’où que vous allez à droite et à gauche. Le nombre de chaussettes que vous avez mises vous aident à serrer le pourtour du pied afin que vos cloques n’éclatent pas et débordent sur la rue lorsque vous marchez… !’
‘…C’est GRAVE DOCTEUR… ?’

‘….Je pense qu’il faut aller opérer pour enlever ce SORT MOU. Sinon vos pieds ne seront plus que des ballons remplis d’eau…Ils ne seront plus que GELATINE…. !’ Et dans ce cas, vous pouvez toujours refiler votre gélatine à un laboratoire pour la confection de mamelles en silicone… !’


Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
17 avril 2013, 03:27
Alors que Mon_Germain se prélassait du coté de Agadir, il a eut la grande surprise de croiser Mr l’ancien Ministre CAHUZAC. Celui que tout le monde cherche dans toute la France. Las d’être poursuivi par les journalistes, les curieux, notre personnage a fuit la France, pour échapper à la meute dans la ville de AGADIR et pour mieux passer inaperçu, il s’est réfugié dans la syna de cette ville où notre reporter la dénicher aux cotés du rabbin GABAI.

‘…Monsieur CAHUZAC est ce bien vous… ?’
‘…Oui, c’est bien moi et je souhaite que vous ne dévoilez pas ma retraite… !’
‘…Mais tout le monde vous recherche à Paris… ?’
‘…Je sais d’où mon échappée bien loin de tous ses mensonges et ces sales rumeurs qu’on colporte sur moi… ! Ici au moins on viendra pas me trouver… !’
‘…Qu’est ce qui vous a poussé à mentir au pays alors que vous saviez dés le départ que les medias iront fouiner dans vos affaires, pourquoi n’avoir pas pris de court cette découverte en reconnaissant publiquement cet ‘oubli’ concernant votre compte en Suisse…. ?’
‘…J’avais d’autres préoccupations plus sérieuses comme traquer les fraudeurs au fisc, ceux qui clament leur innocence vis-à-vis de leurs magouilles, ceux qui bafouent les règles les plus élémentaires de l’honnêteté, remplir les caisses de l’état, d’ailleurs le nombre de contrôles fiscaux sous ma courte période a été productif, redresser l’économie du pays après les déboires de l’ancien gouvernement…etc… !’
‘…Tout cela est bien mais en voulant redresser les finances comme vous le dites, vous voilà aujourd’hui accuser de délit d’évasion fiscale. Vous avancez 600 000 € alors que les rumeurs parlent aussi de 15 millions de fraudes… ?’
‘…Oui pour les premiers mais pour les seconds, fausses rumeurs et bien sur je vais attaquer pour diffamation ces mauvaises langues, ces corbeaux en tout genre qui veulent ma peau… !’
‘…Mais votre peau elle a était faite, vous reconnaissez des zones d’ombres, comment ces zones d’ombres ont t’elles pu passer inaperçues à vos yeux alors que vous avouez qu’elles vous tourmentaient au point de vous avoir fait perdre le sommeil depuis 13 ans… ?
‘…Je me suis dis que cela fait partie des risques qu’un ministre doit prendre… ! Je repoussais l’échéance, à savoir régulariser tout cela avec le temps mais voilà je n’ai pas eu le temps… !’
‘…La tentation du secret paralyser vos bonnes intentions…. ?’
‘…Oui, je me refusais de croire que j’avais un compte en Suisse d’où que moi-même je me suis mis à douter sur la véracité de ce compte. Je me disais chaque matin, non ce n’est pas moi, non c’est impossible que cela moi, qui m’a ouvert ce compte à mon insu… !’
‘…Ah donc vous ne savez pas qui a ouvert ce compte à votre place….?’
‘…Non, je ne le sais pas, j’enquête justement sur cela mais je trouverai et avec le temps je prouverai mon innocence…. ! Je ne peux le faire que loin du vacarme qui résonne autour de moi… !’
‘…Pensez-vous vraiment que qq’un vous a doublé, un clone, un sosie s’est fait passer pour vous pour déposer 600 000 € en votre nom alors que vous l’ignorez… ?’
‘…Oui, j’en suis certain et je me reproche aujourd’hui d’avoir avoué trop vite qq chose qui m’est complètement étranger… !’

‘…Oh, regardez une autruche qui passe…. !’


Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
18 avril 2013, 12:57

Les portes.

A ma connaissance, la Goulette ne possède pas de portes.

Je parle de grandes portes comme celles par exemple de BAB EL KHADRA…BAB SAADOUN etc….

Des portes célèbres à travers le monde, il y en bcp comme LA PORTE SUBLIME, Les portes de JERUSALEM…Et même AGADIR a ses portes. Et tant d’autres sans oublier les portes célestes.

Pour accéder à la Goulette, que l’on soit tune ou autres aucune présentation devant une quelconque porte. Ni au nord ni au sud encore moins à l’est ou à l’ouest.
La Goulette était donc ouverte à tout venant, aux voyageurs de passage, aux bateaux étrangers, aux immigrés fuyant toutes sortes de misère et que le destin a cloué sur notre sol.

Ils se sont enracinés et je comprends pourquoi cette ville, notre cité , a donné naissance à de nombreuses générations. Ces premières familles sont venues du fin fond de l’ESPAGNE, de L’Europe du Maroc, d’Algérie etc et elles se sont installées en premier lieu à Tunis et ailleurs et pour bcp d’entre elles l’appel de la mer et de la plage leur a soufflé la bonne adresse. LA GOULETTE.

Des portes chez nous, il y en avait bcp et chaque famille avait la sienne. Grandes, petites peintes en bleue comme la couleur du ciel. Du moins pour celles que j’ai connues. Les OUKALLAS avaient leurs portes principales et aussi chaque famille, dans ces petites enclaves, avait la leur.

La porte c’est comme la peau, elle protège l’intimité des gens dés que l’on franchit le seuil.

Il y avait des portes souvent ouvertes et il suffisait de la pousser pour rendre visite à tel ou tel ami. Il suffisait de dire ‘…C’est moi… !’ Et hop la porte s’ouvrait avec bcp de gentillesse. Une fois à l’intérieur, la maman avait toujours ces mots dans la bouche ‘….Thab tochrob haje ye OULDI…. ? Veux tu boire quelque chose mon fils… ?’ Ye Ouldi veut dire mon fils. Me voilà devenu le fils de la famille de mon ami CHARLINO par exemple, son frère, ou de FRAGI LELLOUCHE de Pierre ou Paul. Cette marque d’affiliation virtuelle imposait le respect. Et toujours ce ‘…YE OULDI ou bien YE BENTI…. !

FILS ET FILLES DE L’UNE OU DE L’AUTRE FAMILLE A LONGUEUR D’ANNEE.
Nous étions les enfants de ces familles hyper hospitalières qui nous recevaient avec joie. Une fois rentré, je m’essayais pour discuter avec l’ami du moment, parfois j’étais invité à partager le déjeuner, sans gêne car je me sentais OULED EL FAMILGLIA. C’est beau et Ô combien affectueux.

Souvent, je riais de ces situations incongrues parce que j’étais témoin de scènes bien drôles. Et lorsqu’ on est considéré comme YE OULDI, on était donc censé vivre un moment intime. Des jurons jetés en l’air pour un ragout sans sel et vice- versa. Et l’épouse qui reçoit sans broncher la colère du mari en furie.


A Suivre….

Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
18 avril 2013, 13:57
Les PORTES…2°.



On passe souvent devant une porte mais jamais par en dessous ni par-dessus. Sauf une porte de villa en fer forgé.

La porte pareille à une oreille entend et écoute. D’où les portes ont des oreilles. Les murs aussi.

Par une porte transpire parfois un drame, un événement grave, un malade qu’on cache à cause de sa tare. Il s’en passe des choses derrière une porte. Et écouter à travers les portes c’est trahir l’intimité.

Or, il se trouve des personnes indélicates qui l’ont fait pour mieux nourrir la rumeur, l’enfler et faire d’une dispute entre membre d’une famille un scandale porté à la connaissance des voisins.

Derrière une porte transpire aussi la joie. Une naissance, un feken el couhin, une brith milah, un anniversaire. Une communion d’une jeune fille catholique. Les préparatifs d’un mariage. Un henné.

Une tekhbilla ( un enchevêtrement) une ghassra ( angoisse) que sais-je encore.

Gardienne de l’intimité, la porte est pleine de messages inscrits à son fronton.

D’ailleurs ne dit-on qu’une ATBA OU BIEN EL HAFCHA….est bonne ou mauvaise. Donc à éviter parce que derrière cette porte s’est produit un événement douloureux. Oui la superstition tenait souvent au bonheur ou au malheur d’un seuil de porte.

D’où cette expression ‘…Alla le warina…. !’ Dar tahlé dar tahjen. Que D ieu nous préserve, une maison sourit une autre chagrine.

Se présenter devant une porte c’est parfois être porteur d’un message. Bon ou mauvais et combien de femmes, d’époux n’ont pas hurlé de douleurs ou de joie à l’annonce d’un courrier. Combien de membres de famille sont restés figés devant un seuil de porte et combien ils furent aussi heureux de voir leur enfant convoler en justes noces.

La porte frontière entre le dedans et le dehors. Elle est celle qui empêche une intrusion dangereuse. Elle est gardienne de la maison. Et tout comme une femme, elle peut être violée aussi par des voyous.

A ma connaissance JOSUE fut le seul personnage de la bible à avoir fait tomber portes et murailles de JERICHO. Mais plus personne après lui sauf les bombes et les guerres.

En temps de paix, seule la vieillesse d’une porte et l’ancienneté d’une maison fait disparaitre celle qui abritait joie, rires plaisirs et malheurs qui étaient inscrites en elle.


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