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LE PTB ET MOI ZOUZ.
Envoyé par albert
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 19 avril 2013, 03:55 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 11 160 |
Que de bouleversements
Chambardements
Depuis ce début d’année.
Tout a commencé par DEPARDIEU.
Notre acteur adoré n’a pas hésité
Par D ieu,
A ce faire exiler chez les russiens.
Arrive la démission de notre gentil pape
Benoit XVI jette l’éponge.
Il en avait trop sous la soutane.
Tant d' culs saints bénis
A l’huile sainte on fini par usé
Sa soupape.
Pas de répit pour Cahuzac
Pauvre ministre déposé
Prit la main dans le sac,
Il cherche à s’faire pardonner.
Un peu d’huile d’onction sur son front
Lui fera oublie avec le temps sa fonction.
Pas le temps de souffler
Voilà l’affaire Bernaim
A Thor a et à travers
Nous accouche d’un bon mensonge.
Ô mes amis quel mauvais songe.
Pas de panique, il peut se relever
En commençant une autre carrière.
Ould el bayout à la Verrière.
Chohet, bedeau puis ‘choraliste’
Plus tard rabbin sur une nouvelle liste.
Morale de l’histoire
La vérité ne s’use qu’après de bons mensonges.
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 21 avril 2013, 01:31 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 11 160 |
NOS PETITS COINS 1°
Ah si nos anciens coins pouvaient témoigner. Ils vous diront de combien leur vie était agréable.
Pas un jour qu’ils ne soient témoins des aller et venues de tous ces braves gens avec ou sans couffin à la main. Celui tenant sa vieille maman pour l’accompagner chez le médecin, ces deux là allant s’abriter sous un porche pour s’embrasser à la nuit tombée parce que cela ne se faisait pas au grand jour.
Ils vous parleraient de ces jeunes hommes qui s’agrippaient aux arbres tjs lorsqu’à la même heure pour surprendre, entre deux volets mal fermés, une jeune fille se déshabiller en toute candeur.
Nous les appelions les voyeurs, les masturbateurs de la pleine lune. Avec ou sans lunes de toutes les façons ils pratiquaient l’amour du solitaire à la moindre cuisse dévoilée. Au moindre soulèvement d’un pan de jupe que le vent trahit, a la moindre culotte féminine étendue sur une corde à linge.
C’était un métier la haute voltige.
Ah si ces anciens coins pouvaient raconter les chats de gouttière qui à la saison des amours ne finissaient pas de miauler derrière leur élue. Et ces chiens errants, sans respect pour eux, venir soulever la patte pour les arroser d’un bon jet de pipi chaud. Ils n’étaient pas les seuls à la manœuvre, il y avait aussi Gagou, Mridekh ,les yeux avinés qui venaient soulager leur vessie d’un trop plein de bière Celtia.
Et de combien de secrets, ils sont remplis ces vieux coins, de combien de drames aussi ils ont assisté et de combien de rires ils sont imbibés.
Et lorsque tout se fait silence, ils s’interpellent pour échanger leurs sentiments lorsque la rue se fait calme.
Oui, ils étaient les coins des rendez vous de ce petit monde joyeux et heureux et leur nom était bien simple à retenir ‘…LE COIN RUE PASTEUR ET RUE DE MARSEILLE… ! LE COIN DU TAKETT’S…’..LE COIN ‘…PASTEUR…RUE HAMOUDA PACHA… Etc…. Personne ne pouvait se tromper de coins.
Oui nos coins avaient une histoire, parfois merveilleuse parfois triste mais toujours intéressante.
Et si un jour vous passez devant eux, que vous les croisez VOUS QUI LEUR AVAIT JETE UN SIMPLE COUP D ŒIL FURTIF ils vous diront sobrement, ‘…Nous étions heureux en ce temps là. .. !’
Les quatre coins de mon carrefour d’aujourd’hui dans ma banlieue parisienne ne m’inspirent rien. Ils sont si froids.
A Suivre....
Ah si nos anciens coins pouvaient témoigner. Ils vous diront de combien leur vie était agréable.
Pas un jour qu’ils ne soient témoins des aller et venues de tous ces braves gens avec ou sans couffin à la main. Celui tenant sa vieille maman pour l’accompagner chez le médecin, ces deux là allant s’abriter sous un porche pour s’embrasser à la nuit tombée parce que cela ne se faisait pas au grand jour.
Ils vous parleraient de ces jeunes hommes qui s’agrippaient aux arbres tjs lorsqu’à la même heure pour surprendre, entre deux volets mal fermés, une jeune fille se déshabiller en toute candeur.
Nous les appelions les voyeurs, les masturbateurs de la pleine lune. Avec ou sans lunes de toutes les façons ils pratiquaient l’amour du solitaire à la moindre cuisse dévoilée. Au moindre soulèvement d’un pan de jupe que le vent trahit, a la moindre culotte féminine étendue sur une corde à linge.
C’était un métier la haute voltige.
Ah si ces anciens coins pouvaient raconter les chats de gouttière qui à la saison des amours ne finissaient pas de miauler derrière leur élue. Et ces chiens errants, sans respect pour eux, venir soulever la patte pour les arroser d’un bon jet de pipi chaud. Ils n’étaient pas les seuls à la manœuvre, il y avait aussi Gagou, Mridekh ,les yeux avinés qui venaient soulager leur vessie d’un trop plein de bière Celtia.
Et de combien de secrets, ils sont remplis ces vieux coins, de combien de drames aussi ils ont assisté et de combien de rires ils sont imbibés.
Et lorsque tout se fait silence, ils s’interpellent pour échanger leurs sentiments lorsque la rue se fait calme.
Oui, ils étaient les coins des rendez vous de ce petit monde joyeux et heureux et leur nom était bien simple à retenir ‘…LE COIN RUE PASTEUR ET RUE DE MARSEILLE… ! LE COIN DU TAKETT’S…’..LE COIN ‘…PASTEUR…RUE HAMOUDA PACHA… Etc…. Personne ne pouvait se tromper de coins.
Oui nos coins avaient une histoire, parfois merveilleuse parfois triste mais toujours intéressante.
Et si un jour vous passez devant eux, que vous les croisez VOUS QUI LEUR AVAIT JETE UN SIMPLE COUP D ŒIL FURTIF ils vous diront sobrement, ‘…Nous étions heureux en ce temps là. .. !’
Les quatre coins de mon carrefour d’aujourd’hui dans ma banlieue parisienne ne m’inspirent rien. Ils sont si froids.
A Suivre....
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 21 avril 2013, 02:01 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 11 160 |
Nos petits coins d’amour…2°
A la Goulette, chacun de nous à sa majorité, je dis bien majorité, avait son petit coin d’amour. Celui qui ne s’oublie pas.
Un coin d’amour c’est un petit endroit en principe secret quelque part souvent caché aux regards des passants. Situé toujours à l’ombre, le soir à la tombée de la nuit, souvent mal éclairé et s’il était trop éclairé, qqs avisés passait le matin bien tôt ou le soir bien tard pour biser d’un jet de pierre cette ampoule de néon d’un réverbère qui en faisait trop.
Souvent lorsque le temps était froid ou humide, on couvrait sa petite meuf avec notre manteau pour la subtiliser aux regards des qqs passants errants dans la rue. Il ne fallait surtout pas qui se cachait derrière ce manteau ouvert qui enveloppait son amour de jeunesse.
Ce coin dit secret n’en était pas un et tout la jeunesse goulettoise savait qui fréquentait ce coin là.
Les petits coins secrets étaient éparpillaient dans des endroits bien définis. La plage par exemple. Certains couloirs sombres qui donnaient aussi bien sur la rue que sur la plage et au moindre bruit, l’une des sorties faisaient office d’issue de secours.
Les coins les plus prisés étaient les cinémas. Là dés que la lumière s’éteignait les mains baladeuses prenaient du service. Et les bras aimaient à enlacer le dossier du fauteuil. Sauf que parfois ‘…Y’a mon frère juste derrière… !’ De quoi refroidir les meilleures intentions.
Flirter au cinéma était impensable mais le cinéma était un début de relation surtout lorsque le garçon insistait à vouloir s’asseoir prés de la pressentie. C’était déjà le signe avant coureur des intentions du jeunot. Si, par trop d’insistance, ce dernier se montrait trop entreprenant, la victime demandait à son amie de prendre sa place.
Les terrasses étaient aussi les lieux privilégiés pour ce genre de rencontres.
On fait pouvons t’on vraiment appeler ces coins là coins d’amour ou de flirt… ? Disons plutôt de flirts assez poussés mais pas d’amour. Ce mot était ‘presque interdit’ en ce temps là et nos filles étaient amoureuses mais pas au point de faire l’amour. Cela était bien maitrisé à cette époque car la décence prévalait sur tout le reste.
A Suivre...
A la Goulette, chacun de nous à sa majorité, je dis bien majorité, avait son petit coin d’amour. Celui qui ne s’oublie pas.
Un coin d’amour c’est un petit endroit en principe secret quelque part souvent caché aux regards des passants. Situé toujours à l’ombre, le soir à la tombée de la nuit, souvent mal éclairé et s’il était trop éclairé, qqs avisés passait le matin bien tôt ou le soir bien tard pour biser d’un jet de pierre cette ampoule de néon d’un réverbère qui en faisait trop.
Souvent lorsque le temps était froid ou humide, on couvrait sa petite meuf avec notre manteau pour la subtiliser aux regards des qqs passants errants dans la rue. Il ne fallait surtout pas qui se cachait derrière ce manteau ouvert qui enveloppait son amour de jeunesse.
Ce coin dit secret n’en était pas un et tout la jeunesse goulettoise savait qui fréquentait ce coin là.
Les petits coins secrets étaient éparpillaient dans des endroits bien définis. La plage par exemple. Certains couloirs sombres qui donnaient aussi bien sur la rue que sur la plage et au moindre bruit, l’une des sorties faisaient office d’issue de secours.
Les coins les plus prisés étaient les cinémas. Là dés que la lumière s’éteignait les mains baladeuses prenaient du service. Et les bras aimaient à enlacer le dossier du fauteuil. Sauf que parfois ‘…Y’a mon frère juste derrière… !’ De quoi refroidir les meilleures intentions.
Flirter au cinéma était impensable mais le cinéma était un début de relation surtout lorsque le garçon insistait à vouloir s’asseoir prés de la pressentie. C’était déjà le signe avant coureur des intentions du jeunot. Si, par trop d’insistance, ce dernier se montrait trop entreprenant, la victime demandait à son amie de prendre sa place.
Les terrasses étaient aussi les lieux privilégiés pour ce genre de rencontres.
On fait pouvons t’on vraiment appeler ces coins là coins d’amour ou de flirt… ? Disons plutôt de flirts assez poussés mais pas d’amour. Ce mot était ‘presque interdit’ en ce temps là et nos filles étaient amoureuses mais pas au point de faire l’amour. Cela était bien maitrisé à cette époque car la décence prévalait sur tout le reste.
A Suivre...
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 21 avril 2013, 02:12 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 11 160 |
Nos petits coins de tristesse.
Pour terminer enfin ce triptyque sur les coins, je me dois de rappeler aussi nos petits coins de tristesse. Ces petits refuges lorsque de trop de peine nous sommes envahis, nous allons vers eux pour nous plaindre en silence ou à haute voix, comme si ce petit coin était devenu avec le temps notre confident.
Lorsque J…avait été recalé à 18 ans au BAC, la première chose qu’il avait faite était de monter dans on petit abri à la terrasse pour pleurer des jours et des jours sur son échec. Il ne pouvait le faire dans sa chambre par fierté alors seule son petit coin lui donnait la force et le courage de gémir, de se soulager, de l’entendre et de la rassurer.
On dit souvent qu’un criminel revient à l’endroit où il a commit son délit, sa forfaiture, cela je ne peux l’expliquer mais lorsque un jeune couple se séparait suite à un différent où croyez vous que l’un ou l’autre allait se réfugier pour ‘vomir’ sa peine, sa tristesse, son désarroi si ce n’est dans son petit coin qui a vu abriter son premier amour. Oui, je suis passé par là, je suis retourné un soir pleurer sur ces marches qui ont vu mes larmes couler sur le blanc de cette matière. Et si je devais les personnaliser, je dirais qu’elles ont compati à ma tristesse.
Que dire alors de ces jeunes personnes qui ont perdu un père, une mère et que le chagrin étouffait tellement, que le petit coin venait à la rescousse pour partager et supporter leur deuil. Loin des yeux et du cœur des membres de la famille.
Car voyez vous quelque soit l’âge qu’on avait, on n’avait pas toujours envie d’associer ses émotions avec les autres. Ces moments là de solitude étaient des moments de recueillement que seul le petit coin pouvait comprendre.
On a tous besoin d’un endroit intime pour cela. Une cave, un patio, un banc etc….
J’en ai vu des tristesses, dans un coin de wagon de TGM.
Certains enlacent leur chien, leur chat, parlent avec eux pour atténuer leur douleur et souffrance.
S’adressent au ciel, à D ieu mais aussi au petit coin. C’est humain car quiconque se retrouve dans le désarroi a besoin de s’épancher à D ieu et à lui.
Alors ces petits coins ont t’il faits partie de nos vies … ? De notre mémoire… ? Oui la preuve est faite car à plusieurs reprises lors de mes séjours à la Goulette, j’avais comme l’impression d’être attiré par ceux là. Au point de venir m’asseoir des années plus tard, sur des marches, ou me tenir debout là où mes pas autrefois sont passés. J’ai refais certains chemins, certaines rues rien que pour surprendre l’écho d’une voix connue, d’un ami, d’une maman qui ne sont plus là.
C’est sans doute peu de chose me diriez- vous , certes oui mais voilà, ils font partie de mon patrimoine que l’oubli n’a point effacé.
Aujourd'hui, d'autres petits coins mais virtuel ceux là ont prit le relais mais ce n'est que du virtuel.
FIN
Pour terminer enfin ce triptyque sur les coins, je me dois de rappeler aussi nos petits coins de tristesse. Ces petits refuges lorsque de trop de peine nous sommes envahis, nous allons vers eux pour nous plaindre en silence ou à haute voix, comme si ce petit coin était devenu avec le temps notre confident.
Lorsque J…avait été recalé à 18 ans au BAC, la première chose qu’il avait faite était de monter dans on petit abri à la terrasse pour pleurer des jours et des jours sur son échec. Il ne pouvait le faire dans sa chambre par fierté alors seule son petit coin lui donnait la force et le courage de gémir, de se soulager, de l’entendre et de la rassurer.
On dit souvent qu’un criminel revient à l’endroit où il a commit son délit, sa forfaiture, cela je ne peux l’expliquer mais lorsque un jeune couple se séparait suite à un différent où croyez vous que l’un ou l’autre allait se réfugier pour ‘vomir’ sa peine, sa tristesse, son désarroi si ce n’est dans son petit coin qui a vu abriter son premier amour. Oui, je suis passé par là, je suis retourné un soir pleurer sur ces marches qui ont vu mes larmes couler sur le blanc de cette matière. Et si je devais les personnaliser, je dirais qu’elles ont compati à ma tristesse.
Que dire alors de ces jeunes personnes qui ont perdu un père, une mère et que le chagrin étouffait tellement, que le petit coin venait à la rescousse pour partager et supporter leur deuil. Loin des yeux et du cœur des membres de la famille.
Car voyez vous quelque soit l’âge qu’on avait, on n’avait pas toujours envie d’associer ses émotions avec les autres. Ces moments là de solitude étaient des moments de recueillement que seul le petit coin pouvait comprendre.
On a tous besoin d’un endroit intime pour cela. Une cave, un patio, un banc etc….
J’en ai vu des tristesses, dans un coin de wagon de TGM.
Certains enlacent leur chien, leur chat, parlent avec eux pour atténuer leur douleur et souffrance.
S’adressent au ciel, à D ieu mais aussi au petit coin. C’est humain car quiconque se retrouve dans le désarroi a besoin de s’épancher à D ieu et à lui.
Alors ces petits coins ont t’il faits partie de nos vies … ? De notre mémoire… ? Oui la preuve est faite car à plusieurs reprises lors de mes séjours à la Goulette, j’avais comme l’impression d’être attiré par ceux là. Au point de venir m’asseoir des années plus tard, sur des marches, ou me tenir debout là où mes pas autrefois sont passés. J’ai refais certains chemins, certaines rues rien que pour surprendre l’écho d’une voix connue, d’un ami, d’une maman qui ne sont plus là.
C’est sans doute peu de chose me diriez- vous , certes oui mais voilà, ils font partie de mon patrimoine que l’oubli n’a point effacé.
Aujourd'hui, d'autres petits coins mais virtuel ceux là ont prit le relais mais ce n'est que du virtuel.
FIN
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 21 avril 2013, 12:05 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 11 160 |
L’enfant de la mère
Et celui du père
Porte en lui
Les graines de la fortune
Ou celles de la misère.
L’infortune guette parfois
Au seuil de la providence.
La chance aussi, au seuil de la porte.
Chez nous on dit
Chaque homme porte en lui
Au talon de ses chaussures,
Son destin, toute sa vie.
Certains hommes bien malins
Aiment à chanter du soir au matin
Le même refrain,
‘…Je ne crois pas au destin
Je fais de lui ce que dicte ma main… !’
Oubliant par là la règle première
Surement imprimée par la main de D.ieu.
Qui peut déjouer les aléas de la vie
Pas de détours, ni raccourcis
Le chemin est inscrit.
Que l’on soit prophète, riche ou misérable
Que l’on soit libre ou bien retenu
Tout est écrit sur le front des hommes,
Des femmes, des enfants, et même les chiens
Portent en eux le destin qui les attend.
Aux talons des hommes, des femmes
Guette aussi la fatalité
La tragédie,
Et on lève les yeux
Pour se dire …//////…..
‘….Pourquoi moi… !Pourquoi lui… !
A CHEM… !’
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 22 avril 2013, 07:02 |
Modérateur Membre depuis : 18 ans Messages: 3 103 |
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 22 avril 2013, 11:50 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 11 160 |
Belle statistique. Pour atteidre les 555555, il va falloir s'armer de patience. Donc rendez vous en 2025. A moins que tu interivennes toutes les dix minutes puisque tout compte fait entre les 55555 et le nombre de ce soir, tu as boUsté l'audience.Bravo. Dc je t'attends pour le super CHIFFRE.
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 28 avril 2013, 02:42 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 11 160 |
Que je chantais
Avec mon cœur
Et ma voix rugueuse.
Tout au débuUUUt
Ma douce et chère Ghriba
Bien autrefois, tu te parais
De tes plus beaux bijoux et parures
Sertis dans notre foi et les youyous
Qui fusaient de partout
Embaumaient le ciel et l’horizon
Par toutes nos oraisons ;
Sont devenus si petits
Qu’on a peine à les entendre.
Ici.
Les temps ont changé, chers amis,
La peur s’est installée dans chère Ghriba.
Nos regards furtifs semblent voilés
Par la crainte pendue au bout de nos nez.
Donnez donnez mais à qui donner
Notre confiance s’est émoussée
Après ces trois années, qui ont vu
Déferler dans nos rues pavoisées
Les cris de la haine composés
Accompagnés de drapeau ‘nazifié’
Par ceux qui nous méprisent.
Oh VOUS qui veniez de partout
Bien avant tous les solstices
Avec vos couffins, vos bougies
Et toutes vos listes de vœux,
Et vos souhaits …. !!!!!
Qu’en est t’il aujourd’hui
Tout cela s’est restreint
Comme une peau de chagrin
Sous le ciel azur
De notre beau pays tout en bleu
Et je refuse qu’il ne soit DEVENU mesquin.
Jerba ma douce, ma tendre, ma belle,
Que je chantais autrefois
Avec mon cœur serein
Et la main sur le cœur,
Et ma voix rugueuse
Bien tout au début.
Suis-je donc arrivé à la fin
Du chemin et rester
Sans chanter ma GHRIBA la douce
Celle qui je visitais sans crainte
Dans mes yeux, me rend triste à en mourir.
Cent et milles personnes
Accompagnaient ta grande Menora
Autrefois,
Fière et imposante comme la madone
De Trapani, celle de ma vieille Sicile
Qui sous les cloches, elle souriait,
Dans mon ancienne patrie,
Te voilà aujourd’hui Ma belle MENORA
Presque seule
Presque abandonnée sur ton parcours béni,
Suivie par qqs nostalgiques
De mon payYYYYYYYYYYYYYYYYs. §§§§§§§§§§§§§§§§
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 28 avril 2013, 04:06 |
Membre depuis : 12 ans Messages: 818 |
Tant qu'il y aura des Juifs dans notre chère Djerba, la Ghriba vivra...
S'il ne devait en resté qu'UN .. ACHEM la repeuplera, il ne l'abandonnera jamais...elle ne tombera pas dans l'oubli, notre foi la protègera...
Tous les peuples qui nous ont opprimés depuis la nuit des temps n'existent plus..les derniers ne savent pas que leur tour viendra....
la terre tourne, elle est chamboulée, elle détruit ce qui doit etre détruit, gardons notre foi, "IL" viendra..il apaisera les coeurs et les souffrances de notre peuple, "IL" n'oubliera pas ses enfants..
Nos coeurs ne sont pas prèts à t'oublier chère GHRIBA, tu en as vu des choses et tu es toujours là.
bonne fète à vous tous lecteurs, chantes encore Breitou pour ton plaisir et le notre.
S'il ne devait en resté qu'UN .. ACHEM la repeuplera, il ne l'abandonnera jamais...elle ne tombera pas dans l'oubli, notre foi la protègera...
Tous les peuples qui nous ont opprimés depuis la nuit des temps n'existent plus..les derniers ne savent pas que leur tour viendra....
la terre tourne, elle est chamboulée, elle détruit ce qui doit etre détruit, gardons notre foi, "IL" viendra..il apaisera les coeurs et les souffrances de notre peuple, "IL" n'oubliera pas ses enfants..
Nos coeurs ne sont pas prèts à t'oublier chère GHRIBA, tu en as vu des choses et tu es toujours là.
bonne fète à vous tous lecteurs, chantes encore Breitou pour ton plaisir et le notre.
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 04 mai 2013, 12:41 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 704 |
Une mémoire courte chez les juifs, c’est très rare. Ca n’existe pas.
Il y a trois ans peut être quatre, Israël était visé de partout par une compagne de harcèlement menée VOLONTAIREMENT par des pays voisins comme l’ Egypte la Turquie la Syrie etc pour attirer l’attention du monde sur ses braves gens de palestiniens qui se meurent dans des CONDITIONS désastreuses à Gaza;
Gaza qui manque de tout, qui vit dans le plus grand désespoir. Tous unis dans la même galère CONTRE EL LE YOUD. Les juifs. ISRAEL C’est les juifs.
Nous étions, nous, les amoureux juifs INCONDITIONNELE d’Israël sidérés par tant de haine exprimée par ces natifs de France embarqué dans des rafiots, par la TURQUIE, ‘ancienne amie’ d’Israël.
L’image d’Israël s’écorne un peu plus aux yeux du monde, aux yeux d’un nombre incalculable de cons formés à l’ACADEMIE DE LA CÉCITÉ.
Un axe du mal ANKARA-DAMAS-TEHERAN voit le jour. Une coalition s’est formée contre l’ennemi mondial désigné ISRAËL.
A cette affaire mondiale, vient se greffer une autre affaire. Alors que toute l’actualité était braquée sur le feuilleton ‘… Embarcadères, flouka, navires etc …A destination pour Tel Aviv, arrive on ne sait d’où une révolution. Pas n’importe laquelle chers amis mais d’un pays qui est le notre et dont nos habitants n’ont jamais osé lever le petit doigt sur les deux dictatures en place.
Lever les yeux sur un policier ou mettre en doute ‘ la rigueur, l’intelligence, l’honnêteté tant intellectuel que financière etc ‘ des pouvoirs en place soit deux en 63 ans de corruption à tous les échelons ; le premier celui de Bourguiba qui a vu Madame WASSILA prendre les décisions importantes en lieu et place de son mari affaiblie et malade puis celui de BEN ALI dont la femme, coiffeuse de profession, a porté au sommet une règle presque institutionnelle, celui du partage FIFTI FIFTI avec sa ‘maffia personnelle’.
Mains basses sur tout ce qui dépasse le MILLION DE DINARS et parfois moins pour les neveux. Un système qui a rendu la famille BEN ALI tellement riche que personne n’ose la coter à la bourse des milliardaires.
Cette révolution prend sa source à SIDI BOU ZID le 17 /12/2010. Soit qqs jours avant Noel et sans doute pendant nos FETES DE LUMIERE. Hanoukka.
Surprise universelle, les TUNISIENS, en générale, doux comme des moutons ont brandi, le poing levé vers le ciel, leur colère et leur ras le bol après la mort du jeune BOUAZIZ. Fissa Fissa, le verbe DEGAGER prend de l’ampleur. Il est à la mode et on surnomme cette révolution LA REVOLTUTION DU JASMIN. Un non sens. Que vient faire le JASMIN EN HIVER…. ? Passe encore pour la MANDARINE ou l’ORANGE mais le JASMIN…. ? Qui a eu cette idée saugrenue de la nommer ainsi… ? Cette révolution commencée il y a deux ans, va tourner à une GUERRE CIVILE dont aucun tunisien libre pacifique et honnête n’en veut.
(Des groupuscules armés, des salafistes, remontent du NORD MALI sans passer par l’Algérie parce le pouvoir algérien est passé maitre dans la traque des ‘barbus fanatiques’ et rêve d’établir des sanctuaires dans le Sahara tunisien . )
Suite à cette RÉVOLUTION qui a marqué ses limites deux ans plus tard, voilà qu’ailleurs un vent de REVOLTE prend au dépourvu des pays comme L’ EGYPTE….La LIBYE…Le MAROC…etc…Bref des pays arabes mis sous tutelle par des dictateurs.
Du coup, Israël sort de l’œil du cyclone, les barques etc n’intéressent plus personne. Les révolutions arabes sont venues donner un coup de pouce à notre cher pays d’amour.
Mais alors qui donc leur a envoyé ces REVOLTUTIONS ARABES si ce n’est que pour détourner l’attention d’ISRAEL de tous ces connards fanas anti tout juif …. ? Et bien je vais vous le dire avec émotion.
Meiha z’al ma célèbre grand-mère, connue du monde entier et même par D. ieu est venue me souffler dans mon oreille en pleine nuit hier vers le MINUIT 12 exactement …
‘…Yé Biber…. ! Chouf, Kadech rabi gbir cayad i ghatina b’hantou, jébélèm ouin itlew…!’
‘…Bébert……! Relarque combine D ieu est grand et combien il nous protège par son affection… ! Il leur envoyé des choses pour qu’enfin ils s’en occupent (Sous entendu foutre la paix à Israël.)
Je me réveille en sursaut, suant comme un cochon Kacher…
‘…Mais elle est folle ma mémé de me dire cela, que vient faire D ieu dans tout cela… ? Il n’est pas responsable des faits et gestes de ses peuples qui beuglent du soir au matin leur mépris envers leurs nouveaux gouvernants… ! Ce n’est pas D ieu qui a soufflé à Bachar le meurtre programmé de milliers et milliers de ses sujets… ? La guerre en Libye… ?
Achem est un D ieu doux. Pas jaloux mais Aimant.
Une amie d’ailleurs me téléphone il y a qqs temps et me dit ‘…E’dek rabi cayad yetle biem… !’ ‘ C’est D ieu qui leur donne du boulot… !’
Avec 3500 000 de chômeurs EN France , D ieu ne peut-il pas donner du BOULOO aux français… ? Qui s’ennuient à mourir… ! Comment peut-il occuper les uns à se procurer du mal et ne pas jeter un regard compatissant, bienveillant sur nous FRANÇAIS qui somment en paix dans la FRATERNITE…LA CONCORDE..ET HOLLANDERIE… !
Je pense que deux personnes juives sur 589 001 juifs français affirmant pareille théorie est une simple coïncidence.
A 3 la encore simple coïncidence mais à partir de 4, je doute de la coïncidence, cela devient une vérité.
Je me refuse de croire à cette expression car je la trouve partisane, égoïste cette une expression communautariste.
Pourquoi D ieu déroute t’il des foyers dangereux envers Israël vers d’autres régions du monde … ? Pourquoi intervient-il depuis qqs temps pour qu’Israël réalise ses ambitions énergétiques alors que personne n’en a parlét depuis des décennies… ?
Sur 1200 personnes juives , amis et amies que j’ai pu sonder un peu partout dans le monde, 1220 m’ont répondu dans la même langue ‘…. Rabi bââ’tlem ouin yetl’ew… !’ D ieu leur a envoyé des occupations… !’)
Pas un mot de plus, pas une virgule rajoutée. Tous ayant la même réflexion.
J’ai posé le combiné du phone et me suis pris la main entre la tête, pardon la tête entre les mains. Sceptique.
Devant tant d’unanimité, de justesse, de logique, nous voyons sans que rien n’apparaisse, des faits, des événements sans doute inscrits qqs parts mais en tout cas assez réels pour qu’on ne puisse les ignorer.
Chez eux tout part en vrille malgré ce qu’on veut nous faire croire alors que chez nous nous occupons à bien faire.
Il y a trois ans peut être quatre, Israël était visé de partout par une compagne de harcèlement menée VOLONTAIREMENT par des pays voisins comme l’ Egypte la Turquie la Syrie etc pour attirer l’attention du monde sur ses braves gens de palestiniens qui se meurent dans des CONDITIONS désastreuses à Gaza;
Gaza qui manque de tout, qui vit dans le plus grand désespoir. Tous unis dans la même galère CONTRE EL LE YOUD. Les juifs. ISRAEL C’est les juifs.
Nous étions, nous, les amoureux juifs INCONDITIONNELE d’Israël sidérés par tant de haine exprimée par ces natifs de France embarqué dans des rafiots, par la TURQUIE, ‘ancienne amie’ d’Israël.
L’image d’Israël s’écorne un peu plus aux yeux du monde, aux yeux d’un nombre incalculable de cons formés à l’ACADEMIE DE LA CÉCITÉ.
Un axe du mal ANKARA-DAMAS-TEHERAN voit le jour. Une coalition s’est formée contre l’ennemi mondial désigné ISRAËL.
A cette affaire mondiale, vient se greffer une autre affaire. Alors que toute l’actualité était braquée sur le feuilleton ‘… Embarcadères, flouka, navires etc …A destination pour Tel Aviv, arrive on ne sait d’où une révolution. Pas n’importe laquelle chers amis mais d’un pays qui est le notre et dont nos habitants n’ont jamais osé lever le petit doigt sur les deux dictatures en place.
Lever les yeux sur un policier ou mettre en doute ‘ la rigueur, l’intelligence, l’honnêteté tant intellectuel que financière etc ‘ des pouvoirs en place soit deux en 63 ans de corruption à tous les échelons ; le premier celui de Bourguiba qui a vu Madame WASSILA prendre les décisions importantes en lieu et place de son mari affaiblie et malade puis celui de BEN ALI dont la femme, coiffeuse de profession, a porté au sommet une règle presque institutionnelle, celui du partage FIFTI FIFTI avec sa ‘maffia personnelle’.
Mains basses sur tout ce qui dépasse le MILLION DE DINARS et parfois moins pour les neveux. Un système qui a rendu la famille BEN ALI tellement riche que personne n’ose la coter à la bourse des milliardaires.
Cette révolution prend sa source à SIDI BOU ZID le 17 /12/2010. Soit qqs jours avant Noel et sans doute pendant nos FETES DE LUMIERE. Hanoukka.
Surprise universelle, les TUNISIENS, en générale, doux comme des moutons ont brandi, le poing levé vers le ciel, leur colère et leur ras le bol après la mort du jeune BOUAZIZ. Fissa Fissa, le verbe DEGAGER prend de l’ampleur. Il est à la mode et on surnomme cette révolution LA REVOLTUTION DU JASMIN. Un non sens. Que vient faire le JASMIN EN HIVER…. ? Passe encore pour la MANDARINE ou l’ORANGE mais le JASMIN…. ? Qui a eu cette idée saugrenue de la nommer ainsi… ? Cette révolution commencée il y a deux ans, va tourner à une GUERRE CIVILE dont aucun tunisien libre pacifique et honnête n’en veut.
(Des groupuscules armés, des salafistes, remontent du NORD MALI sans passer par l’Algérie parce le pouvoir algérien est passé maitre dans la traque des ‘barbus fanatiques’ et rêve d’établir des sanctuaires dans le Sahara tunisien . )
Suite à cette RÉVOLUTION qui a marqué ses limites deux ans plus tard, voilà qu’ailleurs un vent de REVOLTE prend au dépourvu des pays comme L’ EGYPTE….La LIBYE…Le MAROC…etc…Bref des pays arabes mis sous tutelle par des dictateurs.
Du coup, Israël sort de l’œil du cyclone, les barques etc n’intéressent plus personne. Les révolutions arabes sont venues donner un coup de pouce à notre cher pays d’amour.
Mais alors qui donc leur a envoyé ces REVOLTUTIONS ARABES si ce n’est que pour détourner l’attention d’ISRAEL de tous ces connards fanas anti tout juif …. ? Et bien je vais vous le dire avec émotion.
Meiha z’al ma célèbre grand-mère, connue du monde entier et même par D. ieu est venue me souffler dans mon oreille en pleine nuit hier vers le MINUIT 12 exactement …
‘…Yé Biber…. ! Chouf, Kadech rabi gbir cayad i ghatina b’hantou, jébélèm ouin itlew…!’
‘…Bébert……! Relarque combine D ieu est grand et combien il nous protège par son affection… ! Il leur envoyé des choses pour qu’enfin ils s’en occupent (Sous entendu foutre la paix à Israël.)
Je me réveille en sursaut, suant comme un cochon Kacher…
‘…Mais elle est folle ma mémé de me dire cela, que vient faire D ieu dans tout cela… ? Il n’est pas responsable des faits et gestes de ses peuples qui beuglent du soir au matin leur mépris envers leurs nouveaux gouvernants… ! Ce n’est pas D ieu qui a soufflé à Bachar le meurtre programmé de milliers et milliers de ses sujets… ? La guerre en Libye… ?
Achem est un D ieu doux. Pas jaloux mais Aimant.
Une amie d’ailleurs me téléphone il y a qqs temps et me dit ‘…E’dek rabi cayad yetle biem… !’ ‘ C’est D ieu qui leur donne du boulot… !’
Avec 3500 000 de chômeurs EN France , D ieu ne peut-il pas donner du BOULOO aux français… ? Qui s’ennuient à mourir… ! Comment peut-il occuper les uns à se procurer du mal et ne pas jeter un regard compatissant, bienveillant sur nous FRANÇAIS qui somment en paix dans la FRATERNITE…LA CONCORDE..ET HOLLANDERIE… !
Je pense que deux personnes juives sur 589 001 juifs français affirmant pareille théorie est une simple coïncidence.
A 3 la encore simple coïncidence mais à partir de 4, je doute de la coïncidence, cela devient une vérité.
Je me refuse de croire à cette expression car je la trouve partisane, égoïste cette une expression communautariste.
Pourquoi D ieu déroute t’il des foyers dangereux envers Israël vers d’autres régions du monde … ? Pourquoi intervient-il depuis qqs temps pour qu’Israël réalise ses ambitions énergétiques alors que personne n’en a parlét depuis des décennies… ?
Sur 1200 personnes juives , amis et amies que j’ai pu sonder un peu partout dans le monde, 1220 m’ont répondu dans la même langue ‘…. Rabi bââ’tlem ouin yetl’ew… !’ D ieu leur a envoyé des occupations… !’)
Pas un mot de plus, pas une virgule rajoutée. Tous ayant la même réflexion.
J’ai posé le combiné du phone et me suis pris la main entre la tête, pardon la tête entre les mains. Sceptique.
Devant tant d’unanimité, de justesse, de logique, nous voyons sans que rien n’apparaisse, des faits, des événements sans doute inscrits qqs parts mais en tout cas assez réels pour qu’on ne puisse les ignorer.
Chez eux tout part en vrille malgré ce qu’on veut nous faire croire alors que chez nous nous occupons à bien faire.
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