Bienvenu(e)! Identification Créer un nouveau profil

Recherche avancée

LE PTB ET MOI ZOUZ.

Envoyé par albert 
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
05 juillet 2013, 11:40
Message entendu DANY je ne vous oublie pas, jamais et surtout que vos présences ici, malgrès qqs déféctions regretables, soient tjs bénies. Il me suffit qu'un seul coeur soit heureux pour exprimer en silence ma joie. S'il s'en trouve dix alors là je multiplie par dix ma joie.

CHABATH CHALLOM OU MEBOURAKH. et QUE LE NER SOIT AUSSI AVEC TOI ET TA FAMILLE.

En attendant mes nerfs sont mis à rudes épreuves, j'ai cessé de fumer. C'est une idée saugrenue certes mais je l'ai prise au vol comme ca.

RM

Albert BREITOU. Lol.

Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
07 juillet 2013, 00:22
LE COUP D ŒIL


Une image vaut mieux que mille discours.

Que peut-il surprendre ce jeune à cette heure çi… ? Est-ce le matin, l’après midi le soir… ? A mon avis c’est le matin, en scrutant bien cette photo venue d’un temps lointain, c’est le matin.
Le soleil est encore timide et sa clarté vient caresser le bas du mur. Il doit être 9 heures ce matin là à la Goulette. Les enfants sont rentrés et assis sur leur banc de bois aux pupitres usés. Ils ont fait sortir de leurs trousses leurs petites affaires et ils sont prêts à la manœuvre.

Ce jeune, qui prend la pose et qui regarde à travers ce trou de serrure, venu surement se rassurer que son petit frère est bien rentrée dans sa classe ou alors il essaye d’admirer cette cour de recrée semée de graviers, admirer la dizaine de muriers, soldats de plomb, bien plantés.

Cette porte, je la connais bien, très bien pour avoir franchi son seuil maintes et maintes fois. Comme la plupart de tous ces bambins habillés d’une blouse blanche ou grise.

C’est le portail du CEG de la Goulette coté garçons, Prés de la grande porte, une petite porte ouvert après la fermeture de la grande. Les retardataires allaient directement au bureau du dirloc pour signaler leur retard. Puis cette petite issue fut fermée et les retardataires furent obligés de faire le tour et de passer directement chez le Mr Le Directeur Mr Pendariés, un homme sévère que tous les élèves craignaient ainsi que les mamans.
8 heures et pas une minute de plus, les enfants que nous fumes devaient s’aligner en rangs dés la sonnerie de la cloche à tirette, qui fut par la suite remplacée par une plus moderne, devant chaque classe. Il y avait un premier étage à droite de la cour, le second fut construit bien plus tard. Ces nouvelles classes venaient s’ajouter aux classes primaires, la sixième, cinquième, quatrième et troisième. Puis plus rien, ceux qui passaient en seconde devaient s’inscrire au Lycée Cailloux de la Marsa.

Au début, il n’y avait pas de mixité, les filles avaient leur école puis nous les avons vues venir vers la sixième.

Cette porte est restée gravée dans mes souvenirs. Comme dans la mémoire de toutes ces mamans modestes qui venaient y inscrire leurs enfants.

Ces mamans qui, vers le début du mois d’Octobre, tenant leurs bambins par la main, n’avaient de cœur que les voir acceptés par la direction.

L’école ne pouvait accepter plus qu’elle se devait contenir. On comptait à peu prés entre 28 ou 30 élèves par classe.

A l’âge de 6ans, je ne fus pas accepté et j’ai du attendre l’âge de mes 7 ans pour enfin intégrer la classe de Madame ALEXIA, cours élémentaire première année. Ce refus fut un choc pour maman mais une joie pour moi.

Il me vient une anecdote. Mon ami CHARLINO HADDOUCK , mon voisin de table, fut par un certain matin prit d’une grande colère. Alors que nous étions tous alignés devant la porte de notre classe, une voix se fait entendre depuis le portail juste qqs minutes avant la fermeture de la porte. Une dame MATILLA z’al , sa maman, tenait un verre de lait. Elle hurlait ‘…CHARLINOOOOOOOO…..Tu as oublié de boire ton lait…. !’ Toutes les petites têtes blondes brunes et noires, se retournèrent et admirer ce spectacle de cette maman debout en tablier de cuisine héler son fils. Lui, au vu de sa maman me dit ‘…Dis lui que je ne suis pas là… !’ Charlino avait eu la plus grande honte de sa vie.

Il y a deux ans, je lui rappelais l’incident et bien sur il approuva ce fait car CHARLINO était notre chef de bande et un chef de bande ne peut admettre être nourri au lait de vache, alors qu’il nous disait boire du lait de serpent. Tel était notre ami CHARLINO.
( ALEXIA, SANDALI, LANCON, DESENTI, BESSIERE, GASPARY, BLANCHARD, GASSION etc pour mes instituteurs.
Pendariés, Dubois etc directeurs.)

Le temps a passé, je n’ai eu droit au BAC. Trop bête pour le réussir. Je ne regrette rien ou si l’ambiance de la petite école mes anciens amis)

PAR ALBERT S.

Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
07 juillet 2013, 00:54


LA MORT DU MEGOT.

Il git éteint le bout noirci brulé
Dans un cendrier
Par tant d’aspirations.
Il est le dernier consommé
Consumé avec avidité.

Et voilà l’inspiration
Sortie de mon imagination
Pour honorer la mort d’un mégot.

Ils étaient souvent emmêlés
Les uns sur les autres,
Les autres sous les uns
En désordre surtout
Du soir au matin.

Il a, mon mégot, expiré
Lui qui attend sans doute
Son autre frère siamois
Qui ne viendra pas.


Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
07 juillet 2013, 02:36

L ENFANT GATE…MAHLOUL.

Chez nous les juifs, à l’inverse des enfants français ou autres, certains d’entre nous étaient gâtés.

Gâtés à tel point que plus tard, les parents ont perdu tout contrôle sur eux.

Le garçon EST ROI, la fille RIEN DU TOUT, elle venait bien loin derrière le frère ainé cadet ou le benjamin. Elle n’avait pas les mêmes prérogatives du garçon, le même statu.

Le mâle. Celui qui va perpétuer le nom de famille du père alors que la fille ne va rien perpétuer.

La fille étant une charge. Celle qui devait prendre époux le plus vite possible.

Elle n’avait pas une grande importance aux yeux du papa ou de la maman.
J’ai vu de ces enfants gâtés jusqu’à la pourriture.

J’ai vu de ces mamans prendre faits et causes pour leur progéniture contre vents et marrés alors qu’elle avait tors, qu’elle était dans le délit.

Au café, j’ai vu des scènes insupportables d’enfants contredire leurs parents en public et adopter des attitudes au delà du normal.
J’ai vu des enfants si gâtés, mahloulins, si effrontés que baisser les yeux devant leur mère ou leur père était impossible, j’ai vu des enfants en bas âge frapper leur mère d’un coup de pied en public, devant des personnes étrangères. Et leur passivité est restée légendaire.

J’ai vu par contre un papa français assis à table, lui sa femme et ses enfants, gifler son fils ainé de 12 ans parce que ce dernier osa se servir tout seul à table alors qu’il aurait du demander la permission pour cela.

Je n’ai jamais vu une maman dire à son fils va dans ta chambre tu seras puni mais entendu ‘…Men yaiche ââli, bara ye baba khoud e’li thab’…Va mon fils sers toi comme il te plait… !’
J’ai vu par contre des enfants chez les GHRANA ne sortir de table qu’avec la permission du père.

J’ai entendu des enfants dire ‘…Non, je n’aime pas ca… !’ Et la maman prise de court faire un autre plat à son fils chéri. HALE.
J’ai entendu des enfants en bas âge imposer leurs caprices aux parents et la maman, surtout elle , accéder à toutes leurs envies.
On dit de ces enfants ‘…MAHLOULIN AALIC EN BOUL…. ! Ils sont tellement gâtés qu’ils peuvent pisser sur leur parent sans que ces derniers réagissent.

L’éducation, El TARBYA commence dés le berceau. Pas après parce qu’après il est trop tard.

J’ai entendu par contre des enfants qui furent martyrisés. Des enfants malheureux. Qui portent en eux la trace du tabassage. Et cela est inadmissible.

EL HALE ME TENFAH...La gâterie n'est pas bonne.

par ALBERT S.


Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
07 juillet 2013, 03:52
L’enfance MALHEUREUSE.

Passer sous silence certains drames d’enfants, c’est oublier qu’un grand nombre d’entre eux sont ce qu’on appelle les souffre douleurs de certains parents.

Je ne peux l’expliquer tellement cela me dépasse. Qu’est ce qui fait qu’un enfant soit violenté, martyrisé. C’est du domaine de psy or je ne le suis pas mais je suis révolté de voir ou d’entendre des situations inimaginables. L HORREUR que je lis parfois dans les faits divers.

Je ne peux citer le cas d’une amie sur qui les parents ont reporté sur elle ‘ce qu’ils affirment être une négligence’ d’un de leur enfant parce que le jeune cadet est passé de vie à trépas, un accident.
Voilà trois cas qui reviennent à ma mémoire.
Celui d’un ami tunisien, dentiste aujourd’hui à Tunis, qui un jour, je n’ai jamais su en vérité la raison de cette confidence, me dit ‘

‘…Tu vois Albert, je ris, je fais du sport, je suis marié, j’ai des enfants heureux, ma situation est très belle et pourtant, je porte en moi une grande souffrance, une douleur qui m’a marqué à vie… !’
Il continue ‘…J’avais 10 ans et comme tout les enfants de mon âge, de mon quartier, sans doute turbulent, mon père m’enchainait sous n’importe quel temps à l’arbre du jardin. Pour des futilités parfois et maman ne pouvait rien faire, sinon, il l’a renvoyait de la maison, j’étais le seul de mes frères à subir cela. Si maman intervenait les coups pleuvaient sur elle, d’où qu’elle se cachait à la maison pour ne pas me voir à demi nu, les chaines sur ma peau, mes poignées qui saignaient.
Il m’interdisait de me laver après ce calvaire.
Il me laissait ainsi jusqu’à une heure tardive de la nuit, grelotant de froid et je me suis demandé comment j’ai pu survivre à tous ses sévices. J’ai pourtant tenu le coup puis un jour, sans aucune raison apparente, il quitta la maison. Abandonnant femme et enfants. Maman n’a jamais su où il est parti et à ce jour, je ne sais pas s’il est encore vivant, n’empêche que cette fugue fut pour moi, une vraie délivrance et je redoutais qu’il revienne un jour. Il n’est jamais revenu et j’ai pu me reconstruire tout seul avec l’aide de maman et de mes frères… !’
Le second cas fut celui aussi de ces deux jeunes frères qui pâtirent de la fuite de leur père laissant leur maman dans un grand état de détresse. Il était parti avec une autre femme. Il me raconte
‘… J’ai subi durant de longues années les pires sévices qu’un enfant puisse subir alors que mon frère en fut épargné. J’étais son souffre douleur et pas un matin qu’il ne rentre dans ma chambre pour me dire ‘…Tu n’es qu’un bon à rien… !J’avais 6 ans. Et de venir, alors que je dormais, me donner qqs coups de poings sur mes flancs. Je gardais tout cela en moi sans jamais avouer à maman ce que j’endurais. Toutes les fois qu’il rentrait à la maison, j’allais me cloitrer dans ma chambre sans pouvoir la fermer car il en gardait la clé. De ces agissements, j’ai nourri une grande haine envers lui à tel point que porter son nom me faisait horreur. Alors un jour, une fois marié, j’ai décidé de bannir son nom en premier, je l’ai mis en second parce que son nom me rappelait l’étranger qui me battait pour rien… !’
Ou alors l’histoire épouvantable de cette fillette africaine âgée seulement de 5 ans qui voyait tous les matins sa tante, la sœur de sa maman venir dans son lit pour être violée. Rester de longues heures sans manger ni boire, la marâtre lui disait ‘…Je n’ai pas encore reçue l’argent de ta maman ‘…Alors que la maman qui avait quitté son pays le SENEGAL pour travailler envoyait tous les mois plus sa contribution pour subvenir aux frais de l’enfant.

Ainsi va la vie de ces enfants qui en grandissant gardent en eux les pires sévices de leur enfance. Une enfance malheureuse qui tarde à les quitter.

Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
07 juillet 2013, 04:05
Les personnages cités dans ce SKETCH sont mes amis de FB.


Ici Mr_Germain de la BREITOUNIA AND C° qui vous parle de PANTIN.

Mes chers amis, c’est sous un soleil de plomb et un ciel serein que le dernier mégot de LA SARL MAL BORO sera dans qqs instants enterré dans son étui. Ce mégot fumé par notre AMI ALBERT fait son entrée dans l’histoire non fumeuse.

Une foule immense est venue rendre hommage au dernier des derniers mégots de notre DIRECTEUR Albert. Parmi la foule, je remarque des célébrités, des amis et amies de notre boss venus assister à sa mise en bière. Je vois Babeth, Mich Azoureal, Meyer, Cozzo, Ridha, Amina, Hug 1°, HUG 2°, Cécilia, Macya, Freddy, Mario, Jose, Fabienne, Meki, Lily, etc venus marqués par leur présence ce dernier adieu. ( Je ne peux pas tous vous citer, c’est trop long, je m’en excuse)

‘…Madame Babeth… ! Juste un petit mot, vous êtes venue (kilottée, elle doit perdre un kilo avant lundi) assister à cette triste fin qu’en pensez vous… ?’

‘…Ecoutez Mr Albert alias Somelier Breitou est un farfelu, il nous mène en bateau avec lui nous passons du chaud au froid donc si cela l’amuse et bien amusons nous… !’

Madame Macya… ! Que pensez-vous… !

Mr Meyer…Que…’ !

‘…Houed maboul fél khlé, mais bon comme je n’ai rien à faire ce matin, je suis venu perdre mon temps… !’

Mr Ridha…Que… !’

‘…Qu’est ce que vous voulez que je pense brabi, rabi yédi… ! Je suis tout le monde puisque je suis invité… !’

Mr Cozzo…Que… !’

‘…MATTO… !’



Enfin le corbillard s’annonce.

Soudain, un contingent d’hommes habillés en cigarettes fait irruption

‘…Nous sommes les représentants de la marque, il est naturel que nous venions assister à sa mise en étui.’.

‘...Ne craignez vous pas qu’on vous rabroue. .. !’ Germain.

‘…Non nous sommes bien in Flitrés de partout et notre intrusion ici dans pareils moments, nous donne le droit d’assister à sa mise en étui, après tout c’est un frère qu’on enterre. Nous allons faire après la cérémonie une distribution @#$%& de paquets pour la bonne cause et en mémoire de notre compagnon… !’

Enfin, l’étui recouvert d’or passe le portail sous les acclamations de la foule…Une centaine de voitures suit.

Elsa… ‘…Tu sais koi celui qui te suit youli meboul kifféc… !

‘…Même ici tu as des remontrances à me faire, fais les avec respects…Fait comme moi enfin, joue sérieux pour une fois… ! Ceux des gens biens, il faut qu’ils aient pour leur fumée… !’

‘…Je me demande qu’est ce que je fais ici alors que j’ai mille choses à faire… !’

‘…Messwa terbeha… ! Une bonne action que tu gagnes… ! Regardes Freddy, Macya, Ridha ils sont venus de loin pour respecter mon mégot… !’

‘…Oui bien sur, tu ne vois pas, ils t’ont envoyés des photocopies… d’eux même… !’

‘…Ah clones tu veux dire mais qd même c’est le geste qui compte… !ETRAYAD…’ Fâches-toi.

Enfin le mégot est sorti de son étui.

Un immense rire se fait entendre et pour cause, il fume encore.

Le Rabbin WINSTON.

‘…Je ne peux pas faire son éloge funèbre puisqu’il respire… ?’

‘…Tu n’es même pas capable de distinguer un mégot mort d’un mégot fumant… !’

Elsa.

‘…En dalli ghlot, je leur ai fourgué celui de ce matin… ! au TABAC-FURIUM… !’

‘..Mais tu nous serine que cela fait une semaine que tu ne fumes pas et là je vois koi… ?’

‘…J’ai un peu volé qd même bon qu’est ce que tu proposes… ?’

‘…Soudoie le rabbin et il va l’enterrer fumant… !’

Le mégot fume de plus en plus et les invités hilares n’en peuvent plus …

‘…Alors Albert… !’ Crie la foule en chœur ‘…C’est quoi cette mascarade, tu nous déplaces pour un mégot VIVANT… ?’

Macya est pliée avec des ouf et des af…Babeth s’est mis un mouchoir dans la bouche pour ne pas blesser Albert par ses rires…Une vraie catastrophe…la HONTE DEVANT UN MEGOT FUMANT….

Meyer ‘…Yé Albert, ye CHââ… !’

Ridha ‘…Satar ye jabar…! Méné dfiné e’di…!’ Drôle d’enterrement’)

Lily ‘…Justement j’ai apporté à la place une MADFOUNA… !’

Le Mégot continue de fumer…

Claudio ‘…Bungiorno Megot… !’

Elsa…’ Mahlé e’de même à midi Buongiono… !’

Albert ‘…C’est pas possible, me faire ca à moi, ce con de mégot me fait passer pour une bourrique… !’

Le RABBIN….’…Alors on fait koi maintenant, j’ai un mariage qui m’attend… ?’

‘…Ecoutes RABBIN surtout enlève de ta tête de lui verser de l’eau, tu commettras une noyade envers un mégot… !’ DENISE.

Jean ‘…Attendez je vais lui chanter une sérénade… !’

Albert ‘…I hab yektlou pour de vrai ce JEAN… ! Ouektou Jean la chanson… !’

Les agents de la Mairie arrivent. Madame Gallo leur chef.

‘…Alors messieurs ca fait une heure qu’il fume ce con et nous ne pouvons accepter d’enterrer un MEGOT qui respire… ?’

‘…Vous nous proposez quoi Madame GALLO…. ?’ Sylvain S.

‘…Emmenez- le avec vous… ?’

ELSA ‘…LA LOI INTERDIT DE TRANSPORTER UN CORPS SANS VIE… !’

‘..MAIS IL FUME… !’ Amina la sous chef.

‘…VOUS POUVEZ FULMINER SI VOUS VOULEZ MAIS NOUS NE BOUGERONS PAS DE LA TANT QU’IL EST DANS LE COMA… !’ Elsa.

‘…OUI…. ! Crie la foule en colère…’…NOUS ALLONS FAIRE UN PIQUET DE GREVE…POUR OBSTRUCTION A L ENTERREMENT D’UN MEGOT… !’ DADOUCHA.

‘…CA SENT LE ROUSSI…Chef… !’ CLO CLO.



Puis voilà que, se frayant un passage parmi La foule tendue, se présente le chef de la firme KARSON…. des CIGARES MAL BORO. Il s’adresse à la foule

‘…J’ai la solution… !’

‘..AHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH…. !’ Lance la foule impatiente de voir la solution… !’

Il sort de sa mallette un étui…

Elsa….’….C’est quoi cette chose Mr…. ?’

‘…Une seringue…!’

‘…Pourquoi faire… ?’ Elsa qui ne sait pas se taire.

‘…Nous allons procéder à une injection de NICOTINE…. !’

‘…AHHHH….EUTHANASIE … ????? ‘ HURLE LA FOULE EN DELIRE….

‘….NON….’ Hurle Elsa….’…Ce n’est pas HUMAIN….. !’

‘…Ce n’est pas HUMAIN …. !’ Lance la foule énervée…PRETE A EN DECOUDRE.

Un calicot se lève ‘….RESPECTONS LA VIE DES MEGOTS MÊME S’ILS SONT NOCIFS…. !’ FABIENNE DE LA DEGUSTATION.

‘…NOUS LAISSERONS PAS NOTRE MEGOT SE FAIRE ANESTHESIE… !’ HUG 1°.

‘…A BAS LES SERINGUES…. !’ HUG 1°

On sent la révolte qui gronde parmi la foule.

Jean s’avance les poings fermés vers le directeur DU KARSON…. ! MEYER, relève les plis de son pantalon… SYLVAIN retrousse ses manches… ! MICH s’avance menaçante, c’est la première fois que je la vois dans cet état, Macya tire sa HOUZI, Lili prépare sa MEDFOUNA pour la lancer sur la tronche du MEC….JOSE brandit un livre de THORA…’…TU RESPECTERAS LE MEGOT…. COMME TOI-MEME… !’

Mario ‘…N’ OUBLIEZ PAS CE MEGOT EST JUIF… MES FRERES JUIFS….!’ ( Tais-toi merdalic)

Elsa calme ce petit monde d’excités …

‘…Mes chers amis, juste un petit mot, laissons les choses s’acheminer vers un heureux déroulement, je pense que la sagesse doit l’emporter sur la passion, soyons patients et surtout humbles, soyons dignes de notre ami Albert qui respecte les mégots même nocifs, n’accablons notre ennemi aujourd’hui mis en étui, et n’oubliez pas qu’en chacun de nos poumons vit de la crasse noire, ne nous emportons pas surtout et soyons maitres de nos actions, remettons entre les mains de ACHEM la vie de ce mégot…A CHEM saura rendre sa justice divine acceptable pour nous tous et pour le bien de nous tous… !’

La GRANDE SAGE a parlé comme une petite rabine d’église.

‘…Quel Talent… !’ Albert.’…Dis moi d’où as-tu tiré cette grande phraséologie je te connais bcp moins disant et voilà que tout d’un coup tu palabres, tu fais la PAONNE…. !

(‘…Thab devant tout le monde, en lefec bkef…( Tu veux que je te couvre d’une baffe … !’ Elsa en chuchotant.)

A peine à t’elle fini de parler qu’un goutte de pluie s’annonce. Puis deux trois quatre…

‘…LA JUSTICE DIVIIIIIIIIIIIIIIIINE …. !’ DOV RABINOVITHORA DE CHEZ LILY.

Fissa Fissa le mégot s’éteint et profitant de la confusion et de la JUSTICE DIVINE les fossoyeurs jettent le mégot dans la fosse et referme le tout.

‘…C’est une bande de tares, des malades conduits par un fou qui trouve tjs des fous pour l’accompagner…. !’ Jose.

Ce beau monde se retrouve au café. AU BON MEGOT.

‘…Albert dis moi, ce n’était qu’un mégot de cigarette mais alors si c’était UN CIGARE…. ?’ Jean.

‘…Je l’aurai fait AU PANTHEON ou AU MONT DU TEMPLE… !’


Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
07 juillet 2013, 06:23
Je m'attendais à ce qu'on procède à une incinération. Cela aurait été à la mode et plus logique pour un mégot.

Bizarrerie(?) de la langue française : on dit feu M.Untel, alors qu'il s'est éteint.

Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
09 juillet 2013, 00:20
Meyer chez nous on incinére pas tu le sais. Hram.
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
09 juillet 2013, 00:21
KIPPOUR, NOEL …RAMADAN

J’ai vécu dans un pays,
Où la Madone jolie
Sortait applaudie
Et vénérée par tout une
Population de gens amis.

J’ai vécu dans un pays
Où les taleths* fleurissaient (châles de prières)
Tous les samedis aux seuils
De nos belles synas bénies.

J’ai vécu dans un pays
Où les modestes mosquées
Chantaient du matin au soir
De belles liturgies à la gloire de
D ieu.

J’ai vécu des RAMADANS
En toutes saisons,
Calmes sereins et paisibles
DES KIPPOURS et Chavouots
Des Noël feutrés beaux comme
Des sapins de lumière.
Sous le soleil sacré de mon pays

Je ne vis plus tout cela.


PAR ALBERT S.



Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
09 juillet 2013, 01:52
Seuls les utilisateurs enregistrés peuvent poster des messages dans ce forum.

Cliquer ici pour vous connecter






HARISSA
Copyright 2000-2024 - HARISSA.COM All Rights Reserved