|
|
LE PTB ET MOI ZOUZ.
Envoyé par albert
|
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 23 juillet 2013, 11:48 |
Membre depuis : 13 ans Messages: 1 164 |
|
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 23 juillet 2013, 12:59 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 11 160 |
PAIX SANS GUERRE.
LES ENFANTS DE LA PAIX.
A ma connaissance, il n’y avait pas de ghetto juif à la Goulette.
Encore moins un quelconque ghetto.
Ghetto est un mot étranger dans notre langage.
A la Goulette, on pouvait habiter n’importe où, dans n’importe quel quartier.
Le quartier dit de la Picolla Chichilia était le seul à majorité italienne et pour cause, la proximité du port et des quais FORT CHARLES LE QUINT. Comme la plupart d’entre eux étaient marins ou patrons pêcheurs, il était donc logique qu’ils logent a proximité de leurs embarcations. Ils formaient autour de leur église une ceinture protectrice de la MADONNE. Une seule église pour une population pieuse le dimanche quand aux autres jours, elle péchait mais jamais ne prêcher la bonne parole.
Les juifs avaient leur SYNA celle qu’on appelait ‘…DE L’HOPITAL.. !’ Pour la bonne raison qu’elle a servi durant un moment comme lieu de dispensaire pendant la période de libération de Tunis et de la Goulette etc….
A coté de cela, il y avait ce qu’on appelait des BEITHS,’ chambres’ disséminés un peu partout. Chaque père de famille avait donc l’habitude de se rendre dans son lieu de prières, généralement à qqs coudées de leur maison. Durant les YOM TOV, les fêtes religieuses importantes, certaines brasseries connues se transformaient en lieu de prière. YOM KIPPOUR était le jour où les propriétaires juifs de ces cafés/ brasserie se faisaient un plaisir de transformer leur salle d’apéro en ‘syna’
Les musulmans avaient leur mosquée, une seule à cette époque trois aujourd’hui.
Dans nos rues et ruelles les noms de famille juifs italiennes ou arabes étaient logés à la même enseigne, coté pair et impair. Coté de la bonne entente et du respect mutuel.
Lorsqu’un différend apparaissait entre famille, pas besoin d’appeler l’imam le rabbin ou le curé. Ils ne se déplaçaient pas pour des futilités et même la police se ne déplaçait que rarement pour intervenir. Tout se régler à l’amiable. Ni révoltes ni mutineries, encore moins embrasement.
Là bas nous VIVIONS EN PAIX…PAS EN GUERRE
PAR ALBERT S.
LES ENFANTS DE LA PAIX.
A ma connaissance, il n’y avait pas de ghetto juif à la Goulette.
Encore moins un quelconque ghetto.
Ghetto est un mot étranger dans notre langage.
A la Goulette, on pouvait habiter n’importe où, dans n’importe quel quartier.
Le quartier dit de la Picolla Chichilia était le seul à majorité italienne et pour cause, la proximité du port et des quais FORT CHARLES LE QUINT. Comme la plupart d’entre eux étaient marins ou patrons pêcheurs, il était donc logique qu’ils logent a proximité de leurs embarcations. Ils formaient autour de leur église une ceinture protectrice de la MADONNE. Une seule église pour une population pieuse le dimanche quand aux autres jours, elle péchait mais jamais ne prêcher la bonne parole.
Les juifs avaient leur SYNA celle qu’on appelait ‘…DE L’HOPITAL.. !’ Pour la bonne raison qu’elle a servi durant un moment comme lieu de dispensaire pendant la période de libération de Tunis et de la Goulette etc….
A coté de cela, il y avait ce qu’on appelait des BEITHS,’ chambres’ disséminés un peu partout. Chaque père de famille avait donc l’habitude de se rendre dans son lieu de prières, généralement à qqs coudées de leur maison. Durant les YOM TOV, les fêtes religieuses importantes, certaines brasseries connues se transformaient en lieu de prière. YOM KIPPOUR était le jour où les propriétaires juifs de ces cafés/ brasserie se faisaient un plaisir de transformer leur salle d’apéro en ‘syna’
Les musulmans avaient leur mosquée, une seule à cette époque trois aujourd’hui.
Dans nos rues et ruelles les noms de famille juifs italiennes ou arabes étaient logés à la même enseigne, coté pair et impair. Coté de la bonne entente et du respect mutuel.
Lorsqu’un différend apparaissait entre famille, pas besoin d’appeler l’imam le rabbin ou le curé. Ils ne se déplaçaient pas pour des futilités et même la police se ne déplaçait que rarement pour intervenir. Tout se régler à l’amiable. Ni révoltes ni mutineries, encore moins embrasement.
Là bas nous VIVIONS EN PAIX…PAS EN GUERRE
PAR ALBERT S.
|
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 23 juillet 2013, 13:00 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 11 160 |
|
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 23 juillet 2013, 13:20 |
Membre depuis : 13 ans Messages: 1 164 |
tant que D... le permet je continue a ecrire et aussi a repliquer qq fois!
de notre epoque les conflits etaient presque inexistant et comme tu l ecrit il n existait pas de guetto juif puisqu apres la seconde guerre nous avions des voisins musulmans et catholiques et l assimilation et les mariages mixtes etaient rares
je n ai malheureusement pas les qualitees appartenant ni a la politique
ni a la strategie d action
de notre epoque les conflits etaient presque inexistant et comme tu l ecrit il n existait pas de guetto juif puisqu apres la seconde guerre nous avions des voisins musulmans et catholiques et l assimilation et les mariages mixtes etaient rares
je n ai malheureusement pas les qualitees appartenant ni a la politique
ni a la strategie d action
|
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 23 juillet 2013, 13:31 |
Membre depuis : 13 ans Messages: 1 164 |
|
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 24 juillet 2013, 07:58 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 11 160 |
4 saisons et pas une de plus.
Elles se chevauchaient
Par moment, s’empiétaient.
4 amours de saisons
Aux cycles variant
Fidèles elles étaient
Bien dans leur temps.
Des amours qui naissent un temps
Fidèles deviennent infidèles
Selon les saisons
En hiver ou au printemps.
Elles,
Les saisons ont prêté allégeance
Sous le sceau du serment,
A la nature bienveillante,
Eternellement.
Des amours trahiIIIs
Samson le sait
La bible le dit.
Des amours impossibles
Qu’on a cru presque parfaits
Ont fini en tueries
S’en sont partis ROMEO
Et Juliette vers l’infini
Shakespeare l’a écrit.
Des amours trompés,
Que de soucis
Des amours de pacotille
Pour des envies,
Des faux semblants d’aimer
Mais aussi des amours pour la vie.
J’ n’ai plus 20 ans
D’puis longtemps.
J’ne cours plus
Derrière les saisons
Qui n’sont plus mes passions.
Mais…Mais …MAIIIIS….
Derrière mes enfants
Je piaffe d’impatience
De voir mes reines
Et m’petits enfants
Jouer dans mon cœur bien droit
Même si mes gestes sont maladroits.
Rois Reines chez eux, chez elles
Seigneurs chez moi, 8 saisons
Bien chaleureuses aimantes donnent
A ma raison toute la force
D’aimer mes nouvelles émotions.
Toute …La FORCE D’AIMER
Sans compter les…SAISONS.
PAR ALBERT S.
|
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 24 juillet 2013, 08:40 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 11 160 |
Ais-je encore un là bas…
Ahahaha….
Qui m’attend….
Qui espère.
Là Bas…
Ais-je encore un là bas…
Là bas, je ne sais plus où
Ouuu OUUU, là bas je m’en fout.
Là bas avez-vous encore un là bas
Qui parle de vous, de nous.
Là bas c’est nul part.
Là bas
J’ai eu ma part
Là bas c’est fini pour moi
Là bas…LA BAAAAS…
Là bas rappelez moi c’est
OU OUOUOUU…
Plus de là bas
J’ai eu trop DE là bas
Et même ici, je ne cherche PAS là bas
Moi qui ne suis pas très loin
De la RUE ..... LABAS.
|
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 24 juillet 2013, 09:13 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 11 160 |
Se donnaient la main ensemble
Ils formeraient par leurs paroles
Une longue chaine aux maillons d’or.
Si tous les poètes de l’univers
Enchainaient ensemble leurs vers
Ils formeraient une si longue
Chaine que rien ni personne ne viendrai à bout.
Est-ce donc tabou d’espérer qu’un jour
Une si belle chaine , faite de maillons d’amour
Ceint toute la terre et vu du ciel
Elle illuminera mieux encore notre monde.
|
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 24 juillet 2013, 10:23 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 11 160 |
Comme on dit chez nous ‘…Col hajje fi ouakta… ! CHAQUE CHOSE EN SON TEMPS.
Maman est décédée depuis 2 ans. Elle nous a laissé son appartement mais rien d’autres croyez moi.
Donc je mets à la vente l’appart au prix du marché. Six mois après son décès.
Il y a un temps pour tout.
Je prends les choses en mains et me voilà faire le commercial.
Autant dire que le prix du marché ne veut rien dire parce que bcp de paramètres rentrent en jeu.
Bref après moult visites, plus de 70, je tombe enfin sur un roumain prêt à signer, il a le fric. Donc l’affaire en ce qui me concerne est presque acquise. Là encore cela ne veut rien dire.
Il verse donc les 10%.
Bref après six mois, et des délais dépassés, il n’obtient pas son crédit, l’affaire est foirée. Pour éviter la restitution des 10% , bataille juridique. Inconciliable pour nous. On trouve un arrangement et bye bye le ROUMAIN.
On place l’appart dans une AGENCE connue de la place. Après deux mois et 15 jours, rien n’arrive et nous demandons à l’agence le non renouvellement du contrat. Du coup, le lendemain, eureka, elle trouve un acquéreur soit une semaine avant l’expiration du délai.
L’acquéreur veut baisser le prix. Refus de notre part. Enfin, il accepte le prix convenu mais bien inférieur à nos prétentions.
Le nouvel acquéreur verse donc 5% de la vente. Une première date est annoncée. Le notaire me dit que le couple d’acteurs est en tournée et qu’il faut repousser….Ok….La seconde date est aussi repoussée…..La troisième aussi….
Mon frère…
‘…Je crois Bébert que Maman tient à son appart… !’
‘…Tu veux dire qu’elle nous met des battons dans les roues… ?’
‘…Oui, qu’est ce qu’on va faire…. ?’
‘…Et si je monte au cimetière pour essayer de négocier avec elle… ?’
‘ ….Tu crois… ? Mon frère.
‘ ….Je ne perds rien à essayer… ! On dit que les morts entendent tout… !’
‘…Ca va être difficile surtout que le prix affiché ne l’intéresse pas, tu ne rappelles pas qu’elle en voulait tant ??? Lui.
‘…Oui mais elle doit savoir que le prix de l’immobilier a chuté qd même en deux ans… !’
‘…Je vais qd même la voir, une discussion franche s’impose… !’
Donc je suis monté la semaine dernière en moto Et je tourne je tourne qu’à la fin je demande le carré.
Bref, je suis devant la tombe.
‘…Mââââ… ! C’est moi… !’ Je prends une petite pierre et je tape
‘…Ecoute, voilà nous avons un problème avec ton appart, au lieu de nous faciliter la chose, la vente, tu nous mets des bâtons dans les roues comme le dit Max… ! On fait koi… ? Tu ne vas qd même pas venir le jour de la signature t’y opposer… ? Quand même… ? Parce que si tu as cette idée en tête, je crois que je vais enchainer la tombe… ! Je te propose qd même ta part qui se monte à 10 %....Qu’en penses tu… ? MÂÂÂ….Que je te donne tout de suite par chèque… ! C’est honnête non… ? Surtout que là bas, y’a rien à acheter ni à vendre…. ?’
Je donne encore un coup de pierre. RIEN pas même un écho.
‘…Mâââ…15 %.... ? Ok je fais le chèque… !’
Je sors mon chéquier.
J’écris le montant et voilà que je prends une de ses peurs inimaginables. Une main se pose sur mon dos. Le stylo par la peur laisse couler son encre.
‘…QUI SAIT…. ?’
‘…C’est MOI…. ?’
Je me retourne et je vois ma sœur.
‘…Mais enfin Jo, tu m’as donné une de ces frousses, j’étais entrain de faire le chèque pour ma maman, sa commission… !’
‘…Pas la peine de le faire, elle a reçu le mien et il a été débité… !’
‘…Elle ne me l’as pas dit zut… !’
‘…Tu la connais, elle ne changera pas… !’
Maman est décédée depuis 2 ans. Elle nous a laissé son appartement mais rien d’autres croyez moi.
Donc je mets à la vente l’appart au prix du marché. Six mois après son décès.
Il y a un temps pour tout.
Je prends les choses en mains et me voilà faire le commercial.
Autant dire que le prix du marché ne veut rien dire parce que bcp de paramètres rentrent en jeu.
Bref après moult visites, plus de 70, je tombe enfin sur un roumain prêt à signer, il a le fric. Donc l’affaire en ce qui me concerne est presque acquise. Là encore cela ne veut rien dire.
Il verse donc les 10%.
Bref après six mois, et des délais dépassés, il n’obtient pas son crédit, l’affaire est foirée. Pour éviter la restitution des 10% , bataille juridique. Inconciliable pour nous. On trouve un arrangement et bye bye le ROUMAIN.
On place l’appart dans une AGENCE connue de la place. Après deux mois et 15 jours, rien n’arrive et nous demandons à l’agence le non renouvellement du contrat. Du coup, le lendemain, eureka, elle trouve un acquéreur soit une semaine avant l’expiration du délai.
L’acquéreur veut baisser le prix. Refus de notre part. Enfin, il accepte le prix convenu mais bien inférieur à nos prétentions.
Le nouvel acquéreur verse donc 5% de la vente. Une première date est annoncée. Le notaire me dit que le couple d’acteurs est en tournée et qu’il faut repousser….Ok….La seconde date est aussi repoussée…..La troisième aussi….
Mon frère…
‘…Je crois Bébert que Maman tient à son appart… !’
‘…Tu veux dire qu’elle nous met des battons dans les roues… ?’
‘…Oui, qu’est ce qu’on va faire…. ?’
‘…Et si je monte au cimetière pour essayer de négocier avec elle… ?’
‘ ….Tu crois… ? Mon frère.
‘ ….Je ne perds rien à essayer… ! On dit que les morts entendent tout… !’
‘…Ca va être difficile surtout que le prix affiché ne l’intéresse pas, tu ne rappelles pas qu’elle en voulait tant ??? Lui.
‘…Oui mais elle doit savoir que le prix de l’immobilier a chuté qd même en deux ans… !’
‘…Je vais qd même la voir, une discussion franche s’impose… !’
Donc je suis monté la semaine dernière en moto Et je tourne je tourne qu’à la fin je demande le carré.
Bref, je suis devant la tombe.
‘…Mââââ… ! C’est moi… !’ Je prends une petite pierre et je tape
‘…Ecoute, voilà nous avons un problème avec ton appart, au lieu de nous faciliter la chose, la vente, tu nous mets des bâtons dans les roues comme le dit Max… ! On fait koi… ? Tu ne vas qd même pas venir le jour de la signature t’y opposer… ? Quand même… ? Parce que si tu as cette idée en tête, je crois que je vais enchainer la tombe… ! Je te propose qd même ta part qui se monte à 10 %....Qu’en penses tu… ? MÂÂÂ….Que je te donne tout de suite par chèque… ! C’est honnête non… ? Surtout que là bas, y’a rien à acheter ni à vendre…. ?’
Je donne encore un coup de pierre. RIEN pas même un écho.
‘…Mâââ…15 %.... ? Ok je fais le chèque… !’
Je sors mon chéquier.
J’écris le montant et voilà que je prends une de ses peurs inimaginables. Une main se pose sur mon dos. Le stylo par la peur laisse couler son encre.
‘…QUI SAIT…. ?’
‘…C’est MOI…. ?’
Je me retourne et je vois ma sœur.
‘…Mais enfin Jo, tu m’as donné une de ces frousses, j’étais entrain de faire le chèque pour ma maman, sa commission… !’
‘…Pas la peine de le faire, elle a reçu le mien et il a été débité… !’
‘…Elle ne me l’as pas dit zut… !’
‘…Tu la connais, elle ne changera pas… !’
|
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 25 juillet 2013, 09:46 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 11 160 |
Seuls les utilisateurs enregistrés peuvent poster des messages dans ce forum.
