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LE PTB ET MOI ZOUZ.
Envoyé par albert
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 18 août 2013, 04:16 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 11 160 |
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 18 août 2013, 04:58 |
Modérateur Membre depuis : 18 ans Messages: 3 103 |
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 18 août 2013, 06:49 |
Membre depuis : 13 ans Messages: 818 |
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 18 août 2013, 10:09 |
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 18 août 2013, 11:22 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 11 160 |
AOUT 2013. IBIZA.
LETTRE A UN JEUNE GOULETTOIS MUSULMAN .
Jeune homme, il m’en a fallu du temps et de la patience pour déclasser mes vieux souvenirs surannés .
Je m’estime heureux de les avoir épargnés du temps. De l’abandon. De l’oubli. De l’indifférence.
Il existera tjs qq part un poète, un peintre, un témoin, un narrateur, un rapporteur d’images pour la suite, pour les autres, une petite partie de ton passé beau ou laid.
Il se trouvera même un étranger de passage pour relater ce qu’il a vu ou senti dans ta ville. Enchanté, emporté ou déçu, il en parlera.
Jeunot, fiston, des années plus tard, je suis encore là et sans être un rabougris, je continue à chanter à ma manière, l’épopée douce et sereine de ce qui n’est plus.
Ne t’étonne pas de mon amour pour ma ville que j’anoblis encore aujourd’hui bien qu’elle n’est plus pareille. Une dame qui vieillit ne peut supporter d’être délaissée. Elle qui s’est toute ouverte à nous. A moi.
Fiston, pense surtout un jour à relater tes aventures, ton vécu avec des mots simples, des images, mais il faut le faire afin de reprendre le flambeau.
Tu es aujourd’hui témoin, de ton temps, demain sans doute narrateur. Enregistre tout ce qui parait être beau et laisse le laid de coté. Ramasse à la pelle les feuilles mortes des ficus qui, un jour, sous ta plume ressusciteront comme j’ai réussi très modestement à le faire.
L’histoire ne pardonne pas l’oubli. Si tu es celui là pense donc à rappeler à ceux qui sont derrière toi ton héritage qui ne doit pas être en déshérence.
Tout ce que tu pourras raconter est lu, sans doute sublimé et tu auras cet honneur d’inscrire ton nom sur les nouvelles pages de la Goulette.
Porte-toi bien.
PAR ALBERT SIMEONI.
LETTRE A UN JEUNE GOULETTOIS MUSULMAN .
Jeune homme, il m’en a fallu du temps et de la patience pour déclasser mes vieux souvenirs surannés .
Je m’estime heureux de les avoir épargnés du temps. De l’abandon. De l’oubli. De l’indifférence.
Il existera tjs qq part un poète, un peintre, un témoin, un narrateur, un rapporteur d’images pour la suite, pour les autres, une petite partie de ton passé beau ou laid.
Il se trouvera même un étranger de passage pour relater ce qu’il a vu ou senti dans ta ville. Enchanté, emporté ou déçu, il en parlera.
Jeunot, fiston, des années plus tard, je suis encore là et sans être un rabougris, je continue à chanter à ma manière, l’épopée douce et sereine de ce qui n’est plus.
Ne t’étonne pas de mon amour pour ma ville que j’anoblis encore aujourd’hui bien qu’elle n’est plus pareille. Une dame qui vieillit ne peut supporter d’être délaissée. Elle qui s’est toute ouverte à nous. A moi.
Fiston, pense surtout un jour à relater tes aventures, ton vécu avec des mots simples, des images, mais il faut le faire afin de reprendre le flambeau.
Tu es aujourd’hui témoin, de ton temps, demain sans doute narrateur. Enregistre tout ce qui parait être beau et laisse le laid de coté. Ramasse à la pelle les feuilles mortes des ficus qui, un jour, sous ta plume ressusciteront comme j’ai réussi très modestement à le faire.
L’histoire ne pardonne pas l’oubli. Si tu es celui là pense donc à rappeler à ceux qui sont derrière toi ton héritage qui ne doit pas être en déshérence.
Tout ce que tu pourras raconter est lu, sans doute sublimé et tu auras cet honneur d’inscrire ton nom sur les nouvelles pages de la Goulette.
Porte-toi bien.
PAR ALBERT SIMEONI.
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 18 août 2013, 12:01 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 11 160 |
Les expressions et les qualificatifs évoluent selon l’air du temps.
Chaque époque retient les siens.
On lit de moins en moins sur des pancartes lors de manifs ‘…Mort au Tyran.. !’ Mais on remarque de plus en plus de femmes qui osent combattre à leurs manières pour la démocratie et les droits de l’homme en montrant leur galbe et tout le reste. Les nouvelles amazones montrent leur corps, leur nudité et bcp d’hommes aiment surtout voir les nichons et le cul. Pour le message révolutionnaire, ils s’en moquent.
Aucun homme ne peut être insensible à ces vénus aux belles fesses et parfois à leur bide.
L’Espagne a connu son ‘…VIVA LA MUERTE. Depuis, ils sont biens.
Au Chili, un général de brigade qui a vu s’arrêter sa jeep à un feu rouge déclara ‘…On n’arrête pas la révolution à un feu rouge… !’ Comme on n’arrête pas le progrès.
Si un dirigeant tune s’arrête devant un feu rouge lors d’une manif, il dira à son chauffeur ‘…Laisse les passer et ensuite rentre sur eux… !’
Donc ‘…A BAS LE TYRAN… !’ A fait son temps, les révolutions ont changé de dialectique. A croire que les tyrans n’existent plus en tout cas plus dans les pays européens. En Amérique du sud, ils ont fait leur temps. Les peuples ont besoin d’autres choses de plus pacifique. Un abus de pouvoir n’est pas une tyrannie mais juste un privilège qui met le peuple dans tous ces états.
Bechir El Assad est un TYRAN, il mérite le dernier oscar.
A partir du moment, où un fort pourcentage d’individus lassés par les tergiversations d’un pouvoir et qui soufrent dans ses idées se dit victime non pas d’UNE TYRANNIE mais d’un abus de pouvoir.
Les peuples arabes ne brocardent plus le ‘…A MORT LE TYRAN…Mais le verbe ‘…DEGAGE… !’ C’est mieux et plus pacifique. C’est approprié.
Ce verbe nous le devons déjà aux jeunes branchés qui en toutes occasions l’inscrivent dans leurs SMS pour dire à leur meuf ‘…DEGAGE… !’ La rue en Tunisie durant la REVOLUTION DU JASMIN a permit à nos concitoyens de l’employer lors des manifestations des premiers jours.
Un grand marasme règne aujourd’hui, dans le pays des belles cartes postales, un raz le bol générale. Une angoisse permanente qui ravit les détenteurs du pouvoir qui ne lâcheront pas les rênes, la mariée est trop belle pour s’en débarrasser.
Après avoir ‘DEGAGE’…Ben Ali, le ‘dictateur’ voilà notre peuple dirigé non pas par un seul ‘dictateur’ mais par une formation dictatoriale qui s’impose.
Cette formation jouit d’un grand prestige, celui de ne pas bouger et de laisser les choses en l’état. On ne change pas du jour au lendemain une équipe de barbus qui gagnent à coup sur.
Personne n’appelle au meurtre sauf eux. Vieille tradition si on se réfère à l’histoire de notre chère Tunisie, celle de Bourguiba.
Ici l’opposant devient TYRAN, il doit disparaitre et ainsi faire taire les voix qui s’insurgent.
L’ordre doit régner et les femmes peuvent aller se rhabiller en attendant les élections qui accoucheront encore des mêmes dirigeants.
Ne vous leurrez pas mes chers amis, l’été va passer, l’automne, l’hiver etc…Mais ils ne DÉGAGERONT PLUS.
Chaque époque retient les siens.
On lit de moins en moins sur des pancartes lors de manifs ‘…Mort au Tyran.. !’ Mais on remarque de plus en plus de femmes qui osent combattre à leurs manières pour la démocratie et les droits de l’homme en montrant leur galbe et tout le reste. Les nouvelles amazones montrent leur corps, leur nudité et bcp d’hommes aiment surtout voir les nichons et le cul. Pour le message révolutionnaire, ils s’en moquent.
Aucun homme ne peut être insensible à ces vénus aux belles fesses et parfois à leur bide.
L’Espagne a connu son ‘…VIVA LA MUERTE. Depuis, ils sont biens.
Au Chili, un général de brigade qui a vu s’arrêter sa jeep à un feu rouge déclara ‘…On n’arrête pas la révolution à un feu rouge… !’ Comme on n’arrête pas le progrès.
Si un dirigeant tune s’arrête devant un feu rouge lors d’une manif, il dira à son chauffeur ‘…Laisse les passer et ensuite rentre sur eux… !’
Donc ‘…A BAS LE TYRAN… !’ A fait son temps, les révolutions ont changé de dialectique. A croire que les tyrans n’existent plus en tout cas plus dans les pays européens. En Amérique du sud, ils ont fait leur temps. Les peuples ont besoin d’autres choses de plus pacifique. Un abus de pouvoir n’est pas une tyrannie mais juste un privilège qui met le peuple dans tous ces états.
Bechir El Assad est un TYRAN, il mérite le dernier oscar.
A partir du moment, où un fort pourcentage d’individus lassés par les tergiversations d’un pouvoir et qui soufrent dans ses idées se dit victime non pas d’UNE TYRANNIE mais d’un abus de pouvoir.
Les peuples arabes ne brocardent plus le ‘…A MORT LE TYRAN…Mais le verbe ‘…DEGAGE… !’ C’est mieux et plus pacifique. C’est approprié.
Ce verbe nous le devons déjà aux jeunes branchés qui en toutes occasions l’inscrivent dans leurs SMS pour dire à leur meuf ‘…DEGAGE… !’ La rue en Tunisie durant la REVOLUTION DU JASMIN a permit à nos concitoyens de l’employer lors des manifestations des premiers jours.
Un grand marasme règne aujourd’hui, dans le pays des belles cartes postales, un raz le bol générale. Une angoisse permanente qui ravit les détenteurs du pouvoir qui ne lâcheront pas les rênes, la mariée est trop belle pour s’en débarrasser.
Après avoir ‘DEGAGE’…Ben Ali, le ‘dictateur’ voilà notre peuple dirigé non pas par un seul ‘dictateur’ mais par une formation dictatoriale qui s’impose.
Cette formation jouit d’un grand prestige, celui de ne pas bouger et de laisser les choses en l’état. On ne change pas du jour au lendemain une équipe de barbus qui gagnent à coup sur.
Personne n’appelle au meurtre sauf eux. Vieille tradition si on se réfère à l’histoire de notre chère Tunisie, celle de Bourguiba.
Ici l’opposant devient TYRAN, il doit disparaitre et ainsi faire taire les voix qui s’insurgent.
L’ordre doit régner et les femmes peuvent aller se rhabiller en attendant les élections qui accoucheront encore des mêmes dirigeants.
Ne vous leurrez pas mes chers amis, l’été va passer, l’automne, l’hiver etc…Mais ils ne DÉGAGERONT PLUS.
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 18 août 2013, 23:46 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 11 160 |
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 19 août 2013, 00:12 |
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HARA…KERRY.
Reprise du eniéme round des négociations israélo-palestiniennes.
Un nouveau pèlerin a repris la route cahoteuse du moyen orient.
Bien que je ne sois pas journaliste de métier, et bien loin de comprendre les subtilités du langage diplomatique, encore moins météorologue pour prévoir le temps qu’il fera demain sans m’attirer la foudre en cas de mauvaises interprétations, je serai curieux de savoir comment va s’y prendre mr Kerry là où ses prédécesseurs se sont cassés les dents bien avant lui.
Je ne crois pas aux formules magiques, elles furent mais je crois que ce que je vois et pour le moment, je dois attendre 9 mois. 9 mois pour que les protagonistes arrivent enfin à trouver une solution. 67 ans sont passés, semés par diverses embuches et là 9 mois suffiront sans doute à régler ce qui est presque impossible à régler tant chacune des parties se cantonne à ne vouloir rien changer à ses prétentions. Soit Mr Kerry a de jolies cartes en mains pour parvenir à un accord soit il n’a rien et il essayera de bricoler qq chose qui tienne la route.
Espérons toujours qu’un espoir trouve jour dans cet imbroglio et pourvu que Mr KERRY ne se fasse pas HARA.... KERRY.
Reprise du eniéme round des négociations israélo-palestiniennes.
Un nouveau pèlerin a repris la route cahoteuse du moyen orient.
Bien que je ne sois pas journaliste de métier, et bien loin de comprendre les subtilités du langage diplomatique, encore moins météorologue pour prévoir le temps qu’il fera demain sans m’attirer la foudre en cas de mauvaises interprétations, je serai curieux de savoir comment va s’y prendre mr Kerry là où ses prédécesseurs se sont cassés les dents bien avant lui.
Je ne crois pas aux formules magiques, elles furent mais je crois que ce que je vois et pour le moment, je dois attendre 9 mois. 9 mois pour que les protagonistes arrivent enfin à trouver une solution. 67 ans sont passés, semés par diverses embuches et là 9 mois suffiront sans doute à régler ce qui est presque impossible à régler tant chacune des parties se cantonne à ne vouloir rien changer à ses prétentions. Soit Mr Kerry a de jolies cartes en mains pour parvenir à un accord soit il n’a rien et il essayera de bricoler qq chose qui tienne la route.
Espérons toujours qu’un espoir trouve jour dans cet imbroglio et pourvu que Mr KERRY ne se fasse pas HARA.... KERRY.
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 22 août 2013, 12:45 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 11 160 |
L’ART DU CASSE CROUTE TUNISIEN.
Je pense que les tunisiens sont les inventeurs du casse croute dit SANDWICH TUNISIEN.
Bien souvent, certaines gargotes se targuaient d’avoir le meilleur SANDWICH TUNISIEN. Certains même se sont convertis en ROI DU CASSE CROUTE TUNISIEN.
Pourtant tous les ingrédients se ressemblent, olives, variantes, piments, pommes de terre, œuf, thon, salade fine etc…Mais pour qu’un casse croute tunisien soit bon, il faut surtout que la salades cuite qui se couche au fond de la barquette du pain italien, français ou arabe khobz lfif soit bien faites on dit MAHROUJA. Le gout du sandwich en dépend. Donc pas de salade dite PURÉE DE CAROTTES, encore moi Aâjlouk, purée d’aubergines celle qui sied le mieux est la salade cuite, tomates et piments et c’est là que rentre les ingrédients, sel huile poivre, ail etc….
Il faut que tout soit bien synchronisé sinon le gout du casse croute s’en ressent. Certains crasse- croutiers se veulent généreux en y ajoutant encore de la salade MECHOUIYE sur le thon, erreur, la présentation du THON en dernier ressort donne de la couleur au sandwich.
Le pain italien est LE SEUL QUI VAILLE.
L’huile en fin de confection se doit être modeste et surtout ne doit pas inonder ce beau monde, une petite cuillère harissa suffit pas une inondation. Éviter le citron MSIYER, il donne des relents aux estomacs fragiles.
Le casse croute ne doit pas être trop bombé comme une dame enceinte mais juste modeste.
Pour mieux l’apprécier le manger en serrant la croute d’avec le reste et non pas l’ouvrir sur le papier comme je l’ai vu faire, il faut du respect pour cette belle confection que les juifs ont inventé, on leur doit au moins cela qd même. Lol.
BON APPÉTIT Albert. S.
Je pense que les tunisiens sont les inventeurs du casse croute dit SANDWICH TUNISIEN.
Bien souvent, certaines gargotes se targuaient d’avoir le meilleur SANDWICH TUNISIEN. Certains même se sont convertis en ROI DU CASSE CROUTE TUNISIEN.
Pourtant tous les ingrédients se ressemblent, olives, variantes, piments, pommes de terre, œuf, thon, salade fine etc…Mais pour qu’un casse croute tunisien soit bon, il faut surtout que la salades cuite qui se couche au fond de la barquette du pain italien, français ou arabe khobz lfif soit bien faites on dit MAHROUJA. Le gout du sandwich en dépend. Donc pas de salade dite PURÉE DE CAROTTES, encore moi Aâjlouk, purée d’aubergines celle qui sied le mieux est la salade cuite, tomates et piments et c’est là que rentre les ingrédients, sel huile poivre, ail etc….
Il faut que tout soit bien synchronisé sinon le gout du casse croute s’en ressent. Certains crasse- croutiers se veulent généreux en y ajoutant encore de la salade MECHOUIYE sur le thon, erreur, la présentation du THON en dernier ressort donne de la couleur au sandwich.
Le pain italien est LE SEUL QUI VAILLE.
L’huile en fin de confection se doit être modeste et surtout ne doit pas inonder ce beau monde, une petite cuillère harissa suffit pas une inondation. Éviter le citron MSIYER, il donne des relents aux estomacs fragiles.
Le casse croute ne doit pas être trop bombé comme une dame enceinte mais juste modeste.
Pour mieux l’apprécier le manger en serrant la croute d’avec le reste et non pas l’ouvrir sur le papier comme je l’ai vu faire, il faut du respect pour cette belle confection que les juifs ont inventé, on leur doit au moins cela qd même. Lol.
BON APPÉTIT Albert. S.
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 23 août 2013, 01:42 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 11 160 |
RAGOUTS DITS LOURDS ET LEGERS.
Leurs actes de naissance se confondent avec le temps. Quand sont t’ils nés….Nos ragouts…. ? Nul ne le sait. Cependant, ils sont là, traversant les âges sans complexes.
A l’époque, les ragouts étaient faits pour remplir les estomacs sans retenue. Le plus souvent accompagnés de pain. Sans pain le ragout de nos mamans ne passait pas. Encore aujourd’hui.
Au début, ils étaient cuits sur des ‘ canouns’ et ils pouvaient rester longtemps sur le feu sous le à mijoter sous le regard inquisiteur de la maman ou de la mémé. La surveillance était nécessaire. Trois à quatre heures avant d’être déclarés prêts à être servis. La cocotte minute à réduit ce temps considérablement.
Certaines d’entre eux pouvaient rester toute une nuit à couver comme les TFINETS.
Etaient considérés comme TFINET…LA PKAILA avec sa viande ou son Osban… Elles s’accompagnent soit avec du pain soit avec du couscous.
L’HARISSA AU BLE avec sa Koukla , son œuf dur se consomme sans pain. Ces plats sont dits LOURDS. Par contre LE NIKITOUCH est considéré comme ‘légers’ avec soit de la viande soit du poulet. Quoique que dans l’estomac, les graines gonflent.
Certains couscous d’autrefois s’accompagnaient d’un os à moelle parfois deux ou trois ce qui donnait au bouillon un aspect gélatineux, d’où qu’il devenait ‘lourd’.
Ce bouillon ne pouvait donc souffrir du refroidissement. Aujourd ‘hui, l’os à moelle devient rare dans les bouillons pour cause de cholestérol. Trop de gras.
Dans les ragouts, il y a les sauces, rouge comme dans la confection du poisson MALIN à l’ail, légèrement verte comme dans les PETITS POIS, noire comme dans la MLOUKHIYA. Orange brune dans la BSAL OU LOUBIA, marron chocolat pour la GANAWIYA.
Les ragouts obéissent aux choix des ingrédients et à la cuisson.
Ni trop épais ni trop liquide, les ragouts se doivent être légèrement onctueux. La plupart sont accompagnés de viandes tendres.
L’Akoud est un plat dit lourd. Qu’il refroidisse et le voilà devenir ‘ciment’.
Les POIS CHICHES est à consommer en hiver. Avec sa FARDA KOUARA, il devient lourd, il l’est aussi avec la viande. C’est un plat qui fait péter. Trop lourd lorsqu’il s’accompagne d’œufs à la coque, de pain rassis en petits quartiers. Direct Beit ahaim.
Les HARICOTS VERTS cuisinés en ragout avec viande sont supportables.
Lham bel BATATA, plat traditionnel pour les familles nombreuses est ce qu’on appelle un plat bouche trou lorsque la maitresse de maison est en manque d’imagination. J’entendais souvent MEIHA ma grand-mère dire à maman ‘…Aâmel SHAN LHAM BEL BATATAAAAAAA… ! ‘
La plupart des ragouts sont baignés dans de l’huile en y ajoutant souvent de l’eau ce qui fait leur lourdeur. L’eau s’évaporant ne reste que l’huile frite stagnante de partout.
Certains plats ont disparu comme L AREGMA, LA BISSARA, l’ ASSIDA, la HACHOUE, qui ont eu leur temps de bonheur.
Nos ragouts continuent à exister au bonheur des maitresses femmes cuisinières d’aujourd’hui qui ne choisiront pas une côtelette d’un soir pour un bon ragout fait maison au grand bonheur du mari.
Les ragouts s’accompagnent toujours de salades. Elles sont les princesses de la table et une table de famille juive sans salades cuites ou autres est comme une femme sans attrait.
Les épouses juives dites dites fainéantes sont celles qui se contentent de plats dits français. El chyeh ouel nyeh.
Comment reconnaît-on une épouse en bonne santé… ? Il suffit de voir ses cuisses et ses fesses pleines de cellulite.
Lorsqu’une épouse charmante bien juive demande à son mari qu’elle veut faire de la liposuccion ce dernier lui répond ‘…Normal avec tout ce que tu bouffes…Aïanara…. !’
Leurs actes de naissance se confondent avec le temps. Quand sont t’ils nés….Nos ragouts…. ? Nul ne le sait. Cependant, ils sont là, traversant les âges sans complexes.
A l’époque, les ragouts étaient faits pour remplir les estomacs sans retenue. Le plus souvent accompagnés de pain. Sans pain le ragout de nos mamans ne passait pas. Encore aujourd’hui.
Au début, ils étaient cuits sur des ‘ canouns’ et ils pouvaient rester longtemps sur le feu sous le à mijoter sous le regard inquisiteur de la maman ou de la mémé. La surveillance était nécessaire. Trois à quatre heures avant d’être déclarés prêts à être servis. La cocotte minute à réduit ce temps considérablement.
Certaines d’entre eux pouvaient rester toute une nuit à couver comme les TFINETS.
Etaient considérés comme TFINET…LA PKAILA avec sa viande ou son Osban… Elles s’accompagnent soit avec du pain soit avec du couscous.
L’HARISSA AU BLE avec sa Koukla , son œuf dur se consomme sans pain. Ces plats sont dits LOURDS. Par contre LE NIKITOUCH est considéré comme ‘légers’ avec soit de la viande soit du poulet. Quoique que dans l’estomac, les graines gonflent.
Certains couscous d’autrefois s’accompagnaient d’un os à moelle parfois deux ou trois ce qui donnait au bouillon un aspect gélatineux, d’où qu’il devenait ‘lourd’.
Ce bouillon ne pouvait donc souffrir du refroidissement. Aujourd ‘hui, l’os à moelle devient rare dans les bouillons pour cause de cholestérol. Trop de gras.
Dans les ragouts, il y a les sauces, rouge comme dans la confection du poisson MALIN à l’ail, légèrement verte comme dans les PETITS POIS, noire comme dans la MLOUKHIYA. Orange brune dans la BSAL OU LOUBIA, marron chocolat pour la GANAWIYA.
Les ragouts obéissent aux choix des ingrédients et à la cuisson.
Ni trop épais ni trop liquide, les ragouts se doivent être légèrement onctueux. La plupart sont accompagnés de viandes tendres.
L’Akoud est un plat dit lourd. Qu’il refroidisse et le voilà devenir ‘ciment’.
Les POIS CHICHES est à consommer en hiver. Avec sa FARDA KOUARA, il devient lourd, il l’est aussi avec la viande. C’est un plat qui fait péter. Trop lourd lorsqu’il s’accompagne d’œufs à la coque, de pain rassis en petits quartiers. Direct Beit ahaim.
Les HARICOTS VERTS cuisinés en ragout avec viande sont supportables.
Lham bel BATATA, plat traditionnel pour les familles nombreuses est ce qu’on appelle un plat bouche trou lorsque la maitresse de maison est en manque d’imagination. J’entendais souvent MEIHA ma grand-mère dire à maman ‘…Aâmel SHAN LHAM BEL BATATAAAAAAA… ! ‘
La plupart des ragouts sont baignés dans de l’huile en y ajoutant souvent de l’eau ce qui fait leur lourdeur. L’eau s’évaporant ne reste que l’huile frite stagnante de partout.
Certains plats ont disparu comme L AREGMA, LA BISSARA, l’ ASSIDA, la HACHOUE, qui ont eu leur temps de bonheur.
Nos ragouts continuent à exister au bonheur des maitresses femmes cuisinières d’aujourd’hui qui ne choisiront pas une côtelette d’un soir pour un bon ragout fait maison au grand bonheur du mari.
Les ragouts s’accompagnent toujours de salades. Elles sont les princesses de la table et une table de famille juive sans salades cuites ou autres est comme une femme sans attrait.
Les épouses juives dites dites fainéantes sont celles qui se contentent de plats dits français. El chyeh ouel nyeh.
Comment reconnaît-on une épouse en bonne santé… ? Il suffit de voir ses cuisses et ses fesses pleines de cellulite.
Lorsqu’une épouse charmante bien juive demande à son mari qu’elle veut faire de la liposuccion ce dernier lui répond ‘…Normal avec tout ce que tu bouffes…Aïanara…. !’
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