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LE PTB ET MOI ZOUZ.
Envoyé par albert
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 08 octobre 2013, 13:56 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 11 160 |
L ETRANGE.
Lorsque j’ai ouvert ma boutique de cosmétique, à Paris, j’étais loin d’imaginer que j’allais tomber dans la magie c'est-à-dire la vente des produits de magie, encens, encensoirs, icones etc…
J’étais bien loin de me douter que j’allais côtoyer des ‘mebels’ ma boutique se nomme d’ailleurs MABEL. Bé emet.
Lors d’un achat, je fais connaissance d’un client, un haïtien très BCBG. Au fil du temps, nous sympathisons et là il me révèle une chose que je n’ai jamais entendu parler. LA SORTIE DE CORPS.
Ce Mr …M…est un adepte des sorties de corps( voir dans Google sorties de corps). Déjà rien que d’entendre cela m’a fait sourire. Et pourtant.
Il me dit ‘…Albert, si tu veux, je t’initie.. !’ Mais à tes risques et périls car tu peux ne plus ‘revenir’ c'est-à-dire errer dans l’univers sans attache et ne plus revenir sur terre si tu ne trouves pas le bon créneau.… !’ Là, je flippe et bien sûr je refuse malgré toute sa bonne volonté à m’initier.
Il me dit ‘…Ecoute, dans une semaine, je reviens te voir et là tu seras surpris par ce que je vais te raconter… !’ Je le salue et il s’en va. Dans ma tête bien sur je me suis dit ‘…Mella maboul e’de… !’
Dix jours se passent et mon ami revient en souriant. On se salue et là il me dit
‘…La semaine dernière, je t’avais dit que tu allais être étonné par ce que je vais te raconter… ! Ta maman, il y a deux jours étaient souffrante et ton frère n’est pas venu travailler… !
Zut alors, comment le savait-il… ‘…Mais attends, ça c’est facile, il suffit que tu demandes à mon ami Félix et le tour est joué… !’ Il continue ‘… Je te rappelle que ton ami F….. n’était pas là toute la semaine, il était en pèlerinage à Jerba et son magasin était fermé… ! ‘…Là encore c’est facile M…. ‘..Oui mais ce que tu ne sais pas c’est que là-bas, sa femme a eut un malaise… !’
Je venais d’apprendre un fait que j’ignorais et que j’ai appris au retour de mon ami voisin….
‘…Elle a été emmené à l’hosto et ils rentrent demain vers les 16 heures. Effectivement, mon ami et sa femme sont rentrés le lendemain vers les 16 heures…Comment a-t-il pu le savoir… ? Zut.
‘…Dans mon voyage, j’ai vu que toi et ton frère allaient prendre un autre magasin, du côté de Barbes… ! Là j’ai rigolé en lui disant ‘…Que D ieu t’entende… ! ‘ Six mois plus tard, en effet, nous avons ouvert un autre magasin. Là personne ne le savait pas même mon frère et moi.
Il m’a dit des vérités, ce qu’il a vu lors de sa SORTIE DE CORPS. Il a voyagé hors du temps tout en dormant. Depuis, je ne l’ai plus revu, il a du se tromper de voie pour son retour. MELLA RAHA. MENOU….Bon voyage M….Yatic bakla.
Lorsque j’ai ouvert ma boutique de cosmétique, à Paris, j’étais loin d’imaginer que j’allais tomber dans la magie c'est-à-dire la vente des produits de magie, encens, encensoirs, icones etc…
J’étais bien loin de me douter que j’allais côtoyer des ‘mebels’ ma boutique se nomme d’ailleurs MABEL. Bé emet.
Lors d’un achat, je fais connaissance d’un client, un haïtien très BCBG. Au fil du temps, nous sympathisons et là il me révèle une chose que je n’ai jamais entendu parler. LA SORTIE DE CORPS.
Ce Mr …M…est un adepte des sorties de corps( voir dans Google sorties de corps). Déjà rien que d’entendre cela m’a fait sourire. Et pourtant.
Il me dit ‘…Albert, si tu veux, je t’initie.. !’ Mais à tes risques et périls car tu peux ne plus ‘revenir’ c'est-à-dire errer dans l’univers sans attache et ne plus revenir sur terre si tu ne trouves pas le bon créneau.… !’ Là, je flippe et bien sûr je refuse malgré toute sa bonne volonté à m’initier.
Il me dit ‘…Ecoute, dans une semaine, je reviens te voir et là tu seras surpris par ce que je vais te raconter… !’ Je le salue et il s’en va. Dans ma tête bien sur je me suis dit ‘…Mella maboul e’de… !’
Dix jours se passent et mon ami revient en souriant. On se salue et là il me dit
‘…La semaine dernière, je t’avais dit que tu allais être étonné par ce que je vais te raconter… ! Ta maman, il y a deux jours étaient souffrante et ton frère n’est pas venu travailler… !
Zut alors, comment le savait-il… ‘…Mais attends, ça c’est facile, il suffit que tu demandes à mon ami Félix et le tour est joué… !’ Il continue ‘… Je te rappelle que ton ami F….. n’était pas là toute la semaine, il était en pèlerinage à Jerba et son magasin était fermé… ! ‘…Là encore c’est facile M…. ‘..Oui mais ce que tu ne sais pas c’est que là-bas, sa femme a eut un malaise… !’
Je venais d’apprendre un fait que j’ignorais et que j’ai appris au retour de mon ami voisin….
‘…Elle a été emmené à l’hosto et ils rentrent demain vers les 16 heures. Effectivement, mon ami et sa femme sont rentrés le lendemain vers les 16 heures…Comment a-t-il pu le savoir… ? Zut.
‘…Dans mon voyage, j’ai vu que toi et ton frère allaient prendre un autre magasin, du côté de Barbes… ! Là j’ai rigolé en lui disant ‘…Que D ieu t’entende… ! ‘ Six mois plus tard, en effet, nous avons ouvert un autre magasin. Là personne ne le savait pas même mon frère et moi.
Il m’a dit des vérités, ce qu’il a vu lors de sa SORTIE DE CORPS. Il a voyagé hors du temps tout en dormant. Depuis, je ne l’ai plus revu, il a du se tromper de voie pour son retour. MELLA RAHA. MENOU….Bon voyage M….Yatic bakla.
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 10 octobre 2013, 12:47 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 11 160 |
Une anecdote bien chaude.
Maurice mon ami me fait part qu’il va dégrossir sa prostate. Il est angoissé et je le rassure.
Donc, le jour J arrive.
.
Un mois avant, il consulte donc un chirurgien urologue qui lui conseille, au vu de la grosseur de sa prostate, d’apporter tout ce qu’il a en sa possession. Radios bilans cardiogrammes, etc….Une semaine plus tard. Nouvelle visite, le chirurgien ne trouve rien à redire et lui fixe une date pour l’opération. Rendez vous est prit avec la clinique.
Il se présente donc avec ses deux couffins et il est installé depuis la veille dans une belle chambre avec comme panorama des terrasses grises. Il en a pour quatre jours. C’était la semaine dernière.
Bref, il passe donc la nuit et le lendemain matin il est réveillé vers les 6 heures pour la douche anti microbienne.
A 11 onze du matin, on vient le chercher. Il monte donc sur le brancard habillé d’une simple blouse en papier couleur bleu. On l’installe donc dans la salle d’opération. On lui pose ses deux pieds sur deux tréteaux comme pour les dames qui vont accoucher. L’anesthésiste est là, une infirmière veille à son confort.
Enfin le chirurgien arrive et là il lit le document fait la veille, son cardiogramme mais pour mieux être rassuré, il remet le papier à l’anesthésiste qui va voir le cardiologue dans une chambre à coté.
Les trois compères, prennent place sur trois chaises et attendent les mains sur les genoux le consentement du cardio qui arrive trois minutes plus tard. Il refuse l’opération parce qu’il manque le test d’efforts.
Le chirurgien pâle comme un linge trouve à dire
‘….Ce n’est pas possible déjà qu’on manque de TRAVAIL…. ! Ce n’est pas sérieux…. !’
Maurice sans se démonter rigole de cette situation ubuesque. Il descend donc du brancard remonte dans sa chambre et une heure plus tard, il est chez lui.
Comment, dans une clinique censée être réputée, un chirurgien qui n’en est pas à sa première opération peut-il donc oublier de recommander à son patient de faire un test d’effort, avant une opération si bénigne soit t’elle , pour être rassuré sur l’état de santé de son patient….
Mais ce qui a fait bcp rire MAURICE c’est ce ‘…Déjà que nous n’avons pas bcp de travail… !! Sic. Que dois donc dire alors le simple des mortels qui peine à trouver du boulot si les praticiens se plaignent de manque de boulot… ??? Lol.
Maurice mon ami me fait part qu’il va dégrossir sa prostate. Il est angoissé et je le rassure.
Donc, le jour J arrive.
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Un mois avant, il consulte donc un chirurgien urologue qui lui conseille, au vu de la grosseur de sa prostate, d’apporter tout ce qu’il a en sa possession. Radios bilans cardiogrammes, etc….Une semaine plus tard. Nouvelle visite, le chirurgien ne trouve rien à redire et lui fixe une date pour l’opération. Rendez vous est prit avec la clinique.
Il se présente donc avec ses deux couffins et il est installé depuis la veille dans une belle chambre avec comme panorama des terrasses grises. Il en a pour quatre jours. C’était la semaine dernière.
Bref, il passe donc la nuit et le lendemain matin il est réveillé vers les 6 heures pour la douche anti microbienne.
A 11 onze du matin, on vient le chercher. Il monte donc sur le brancard habillé d’une simple blouse en papier couleur bleu. On l’installe donc dans la salle d’opération. On lui pose ses deux pieds sur deux tréteaux comme pour les dames qui vont accoucher. L’anesthésiste est là, une infirmière veille à son confort.
Enfin le chirurgien arrive et là il lit le document fait la veille, son cardiogramme mais pour mieux être rassuré, il remet le papier à l’anesthésiste qui va voir le cardiologue dans une chambre à coté.
Les trois compères, prennent place sur trois chaises et attendent les mains sur les genoux le consentement du cardio qui arrive trois minutes plus tard. Il refuse l’opération parce qu’il manque le test d’efforts.
Le chirurgien pâle comme un linge trouve à dire
‘….Ce n’est pas possible déjà qu’on manque de TRAVAIL…. ! Ce n’est pas sérieux…. !’
Maurice sans se démonter rigole de cette situation ubuesque. Il descend donc du brancard remonte dans sa chambre et une heure plus tard, il est chez lui.
Comment, dans une clinique censée être réputée, un chirurgien qui n’en est pas à sa première opération peut-il donc oublier de recommander à son patient de faire un test d’effort, avant une opération si bénigne soit t’elle , pour être rassuré sur l’état de santé de son patient….
Mais ce qui a fait bcp rire MAURICE c’est ce ‘…Déjà que nous n’avons pas bcp de travail… !! Sic. Que dois donc dire alors le simple des mortels qui peine à trouver du boulot si les praticiens se plaignent de manque de boulot… ??? Lol.
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 10 octobre 2013, 13:21 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 11 160 |
Dans ma boutique MAGIE ESOTERISME ou baba chidi…
C’est un classique du genre.
Madame Marie, aussi petite que je suis nain, rentre ce matin là du lundi sacrè chez les juifs pour me confier cela….Elle chuchote alors que ma boutique est vide à 9 heures du mat.
‘…Albert, OUNI PROBLEM... j’ai un grave probléme… !’
‘…Mta oulic….( Ce qui est à toi et à toi… )
‘…Voilà depuis une semaine, tu sais que je dors seul avec les 4 enfants, j’entends sous mon lit des bruits bizarres, des chatouillements…. !’
‘…C’est pas des boutons de chaleur, tes fesses… ?’
‘…Non pas du tout, c’est autre chose… !’
‘…Racontes alors… !’
‘…Donc au troisième soir, je penche ma tête par le rebord du lit et là, je vois une forme…Obscure… !’
‘…Qui se font avec la nuit, n’est ce pas… ?’
‘…Oui comment tu sais cela… ?’
‘…Obscure et nuit vont ensemble non… !’
‘…Bon donc je l’ai vu et il essayer de me toucher… !’
‘…Toucher quoi… ?’
‘…Bon, voilà, il fait l’amour avec moi… !’
‘…Quelle chance, en 67 ans de vécu, aucune GENIYE n’est venue me voir…Donc… !’
‘…Donne moi qq chose pour le faire fuir… !’
‘ ..Il faut que je vienne voir de moi méme, c’est pas facile, je dois faire des incantations, invoquer URZULLI FREDDA….ST GOERGES…OGU FERRAILLE….etc…
‘..Ok alors prenons rendez vous… !’
‘…Ca va te couter cher… !’
‘…Je paye… !
Je me déplace donc avec mon attache case, il y encens bougies noires, rouges et qqs livrets de MAGIE.
Je rentre dans sa chambre, je ne vous dis pas l’odeur…
‘…C’est la mauvaise odeur du génie… ! Marie….Bon écoute, fermes tous les volets. Il faut de l’obscurité… !’
Elle ferme tout et là, je ne la vois plus, le noir c’est confondue avec son NOIRE. Oussifa.
Je me penche pour voir sous le lit. Je rentre sous le lit. Elle monte sur le lit.
Soudain, je vois comme des formes raides qui pendent par-dessous les rebords.
‘…Il est là MARIE, surtout ne dis rien….’
J’incante…
.’ ...ATTATOR…ATTATOR….Si c’est toi sors dehors….
Esprit du mal esprit RETORD….
Mal y é en toi par BABORD…
I va dans les ténèbres jité mauvais sorts…. !
Je me prends le sommier sur la tronche…Je suis en transe...
Dans mes mains les formes qui pendent et je tire…TIRE TIRE…Là une touffe de cheveux se collent à mes paumes….MARIE HURLE…JE HURLE…NOUS HURLONS…JE TIRE ENCORE ET ENCORE…ELLE CRIE…ELLE VOCIFERE…SON FILS RENTRE ET ALLUME LE NEON…ET LA JE VOIS DANS MES MAINS TOUTES SES TRESSES…..SA PERRUQUE….ETC….
Depuis ce jour là plus de GÉNIE. Depuis ce jour là, elle ne vient plus.
PAR ALBERT L ETRANGE.
C’est un classique du genre.
Madame Marie, aussi petite que je suis nain, rentre ce matin là du lundi sacrè chez les juifs pour me confier cela….Elle chuchote alors que ma boutique est vide à 9 heures du mat.
‘…Albert, OUNI PROBLEM... j’ai un grave probléme… !’
‘…Mta oulic….( Ce qui est à toi et à toi… )
‘…Voilà depuis une semaine, tu sais que je dors seul avec les 4 enfants, j’entends sous mon lit des bruits bizarres, des chatouillements…. !’
‘…C’est pas des boutons de chaleur, tes fesses… ?’
‘…Non pas du tout, c’est autre chose… !’
‘…Racontes alors… !’
‘…Donc au troisième soir, je penche ma tête par le rebord du lit et là, je vois une forme…Obscure… !’
‘…Qui se font avec la nuit, n’est ce pas… ?’
‘…Oui comment tu sais cela… ?’
‘…Obscure et nuit vont ensemble non… !’
‘…Bon donc je l’ai vu et il essayer de me toucher… !’
‘…Toucher quoi… ?’
‘…Bon, voilà, il fait l’amour avec moi… !’
‘…Quelle chance, en 67 ans de vécu, aucune GENIYE n’est venue me voir…Donc… !’
‘…Donne moi qq chose pour le faire fuir… !’
‘ ..Il faut que je vienne voir de moi méme, c’est pas facile, je dois faire des incantations, invoquer URZULLI FREDDA….ST GOERGES…OGU FERRAILLE….etc…
‘..Ok alors prenons rendez vous… !’
‘…Ca va te couter cher… !’
‘…Je paye… !
Je me déplace donc avec mon attache case, il y encens bougies noires, rouges et qqs livrets de MAGIE.
Je rentre dans sa chambre, je ne vous dis pas l’odeur…
‘…C’est la mauvaise odeur du génie… ! Marie….Bon écoute, fermes tous les volets. Il faut de l’obscurité… !’
Elle ferme tout et là, je ne la vois plus, le noir c’est confondue avec son NOIRE. Oussifa.
Je me penche pour voir sous le lit. Je rentre sous le lit. Elle monte sur le lit.
Soudain, je vois comme des formes raides qui pendent par-dessous les rebords.
‘…Il est là MARIE, surtout ne dis rien….’
J’incante…
.’ ...ATTATOR…ATTATOR….Si c’est toi sors dehors….
Esprit du mal esprit RETORD….
Mal y é en toi par BABORD…
I va dans les ténèbres jité mauvais sorts…. !
Je me prends le sommier sur la tronche…Je suis en transe...
Dans mes mains les formes qui pendent et je tire…TIRE TIRE…Là une touffe de cheveux se collent à mes paumes….MARIE HURLE…JE HURLE…NOUS HURLONS…JE TIRE ENCORE ET ENCORE…ELLE CRIE…ELLE VOCIFERE…SON FILS RENTRE ET ALLUME LE NEON…ET LA JE VOIS DANS MES MAINS TOUTES SES TRESSES…..SA PERRUQUE….ETC….
Depuis ce jour là plus de GÉNIE. Depuis ce jour là, elle ne vient plus.
PAR ALBERT L ETRANGE.
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 11 octobre 2013, 02:36 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 11 160 |
COLONNES, COLONADES ET VASQUES EN MARBRE OU GRANIT.
La première colonne qui nous vient à l’esprit est bien sur la colonne vertébrale. En judéo CHELCHOUN EL DAHAR. Celle qui supporte la charpente osseuse de tout le corps sans elle nous serions des invertébrés.
Dans le domaine du marbre la colonne fait partie, tout au long des siècles et des âges , comme
Le summum de l’art du marbre tout autant que les statues, les vasques, fontaines etc….
La colonne dans une vasque ou fontaine constitue le pied. Le support de la vasque. Les éléments d’une vasque peuvent supporter trois quatre ou cinq niveaux. Les colonnes suivantes, celles qui viennent les unes après les autres, toutes chapeautées, sont moindres que la première. Question d’équilibre et de proportions.
La première colonne est posée sur un socle qui peut prendre diverses formes.
En Italie ou ailleurs, sur les places publiques (fontaine de Trévi à Rome) ou dans les jardins privés, elles sont d’une grande richesse. C’est la première chose qu’on admire lorsqu’on se trouve devant un ensemble sculpté, devant un bassin où LE OU LES LIONS en marbre en imposent à la vue du touriste ou de l’invité. La vasque et son jet d’eau marque la richesse du propriétaire ou de la ville. Certaines sont classées monuments historiques.
Le travail d’une vasque, ou des vasques nécessite bcp d’expérience et d’imagination. Souvent, le conseil d’un architecte est nécessaire mais le marbrier peut aussi proposer sa formule et tout le dessin se fait à main levée devant le futur acheteur. Plus il y a de niveaux et plus c’est cher normal. En générale on s’arrête à trois niveaux. Rentre en ligne de compte les moulures, les bas reliefs etc…
Le cout peut varier entre 500 Dinars pour une simple à un niveau à 5000 Dinars pour 3 niveaux.
Sa durée de travail pour un seul niveau peut varier entre 3 à 4 mois, selon son diamètre, bcp plus pour une à trois niveaux.
Confectionner une vasque est un réel plaisir, une grande source d’inspiration et les grecs autant que les romains et les arabes en savent quelque chose.
A Suivre….
par ALBERT SIMEONI.
La première colonne qui nous vient à l’esprit est bien sur la colonne vertébrale. En judéo CHELCHOUN EL DAHAR. Celle qui supporte la charpente osseuse de tout le corps sans elle nous serions des invertébrés.
Dans le domaine du marbre la colonne fait partie, tout au long des siècles et des âges , comme
Le summum de l’art du marbre tout autant que les statues, les vasques, fontaines etc….
La colonne dans une vasque ou fontaine constitue le pied. Le support de la vasque. Les éléments d’une vasque peuvent supporter trois quatre ou cinq niveaux. Les colonnes suivantes, celles qui viennent les unes après les autres, toutes chapeautées, sont moindres que la première. Question d’équilibre et de proportions.
La première colonne est posée sur un socle qui peut prendre diverses formes.
En Italie ou ailleurs, sur les places publiques (fontaine de Trévi à Rome) ou dans les jardins privés, elles sont d’une grande richesse. C’est la première chose qu’on admire lorsqu’on se trouve devant un ensemble sculpté, devant un bassin où LE OU LES LIONS en marbre en imposent à la vue du touriste ou de l’invité. La vasque et son jet d’eau marque la richesse du propriétaire ou de la ville. Certaines sont classées monuments historiques.
Le travail d’une vasque, ou des vasques nécessite bcp d’expérience et d’imagination. Souvent, le conseil d’un architecte est nécessaire mais le marbrier peut aussi proposer sa formule et tout le dessin se fait à main levée devant le futur acheteur. Plus il y a de niveaux et plus c’est cher normal. En générale on s’arrête à trois niveaux. Rentre en ligne de compte les moulures, les bas reliefs etc…
Le cout peut varier entre 500 Dinars pour une simple à un niveau à 5000 Dinars pour 3 niveaux.
Sa durée de travail pour un seul niveau peut varier entre 3 à 4 mois, selon son diamètre, bcp plus pour une à trois niveaux.
Confectionner une vasque est un réel plaisir, une grande source d’inspiration et les grecs autant que les romains et les arabes en savent quelque chose.
A Suivre….
par ALBERT SIMEONI.
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 11 octobre 2013, 02:37 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 11 160 |
CONFECTION D’UNE COLONNE EN MARBRE 1°.
Imaginez donc le travail d’une seule colonne en marbre ou en pierre à l’époque où tout se faisaient à la main avec des outils rudimentaires… ? Avec de l’eau, du sable ou des pierres volcaniques pour polir lustrer etc….Une seule colonne….Comment s’y prenaient t’ils pour découper dans le bloc de marbre une pièce de 50 cm de diamètre, la désépaissir etc….Passe encore pour un bloc équarri mais donner du rond à une barre de pierre de 2 ou 3 mètres de long… ? Pas une mais des centaines au cours des âges… ? Je ne peux le dire tant la main courageuse et l’esprit inventif des hommes étaient animés par tant de passion pour accoucher de chefs d’œuvre qui sont encore là, debout, immuables … ? Tout le monde connait ces colonnes grecques, byzantins, égyptiens, indous carthaginois romains etc qui ont laissé leur style à travers les siècles. On parle de chapiteaux à feuilles, de chapiteaux de styles romains grecques etc…. De quelle somme de travail d’efforts de patience ont t’ils fait preuve pour décorer tants et tants de palais… ? Je ne saurai vous le dire. Dommage.
Qu’importe leur réalisation a prouvé que l ’homme était toujours là pour dompter la nature et lui donner le meilleur d’elle-même.
Dans notre boutique, papa avait une pièce moyenâgeuse. Un tour de marque allemande datant de 1938 qui gisait là dans un espace poussiéreux et plein de toiles d’araignées. Il ne s’en était jamais servi.
Ce tour était enraciné dans son béton armé. Papa l’avait acheté chez un brocanteur à Tunis et l’avait assemblé avec un ouvrier. Mais une fois mis en place, papa z’al l’avait ignoré jusqu’au jour où par curiosité, je lui demandais son fonctionnement.
Il me découragea et me dit qu’il manquait une pièce essentielle, celle qui faisait avancer et reculer le machin.
A sa gauche, il y avait tout un ensemble de roues à gorges. Puis le rail , le corps et enfin sur le rail la tête à pointe qui ressemblait à une tête de machine à coudre sauf qu’elle se terminait par une pointe. Cette pièce était mobile. Cette pointe avait pour fonction de retenir le bas de la colonne. Donc la colonne se retrouvait suspendue, calée au dessus du grand rail en cas de remise en forme du tour…
A Suivre….
par ALBERT SIMEONI.
Imaginez donc le travail d’une seule colonne en marbre ou en pierre à l’époque où tout se faisaient à la main avec des outils rudimentaires… ? Avec de l’eau, du sable ou des pierres volcaniques pour polir lustrer etc….Une seule colonne….Comment s’y prenaient t’ils pour découper dans le bloc de marbre une pièce de 50 cm de diamètre, la désépaissir etc….Passe encore pour un bloc équarri mais donner du rond à une barre de pierre de 2 ou 3 mètres de long… ? Pas une mais des centaines au cours des âges… ? Je ne peux le dire tant la main courageuse et l’esprit inventif des hommes étaient animés par tant de passion pour accoucher de chefs d’œuvre qui sont encore là, debout, immuables … ? Tout le monde connait ces colonnes grecques, byzantins, égyptiens, indous carthaginois romains etc qui ont laissé leur style à travers les siècles. On parle de chapiteaux à feuilles, de chapiteaux de styles romains grecques etc…. De quelle somme de travail d’efforts de patience ont t’ils fait preuve pour décorer tants et tants de palais… ? Je ne saurai vous le dire. Dommage.
Qu’importe leur réalisation a prouvé que l ’homme était toujours là pour dompter la nature et lui donner le meilleur d’elle-même.
Dans notre boutique, papa avait une pièce moyenâgeuse. Un tour de marque allemande datant de 1938 qui gisait là dans un espace poussiéreux et plein de toiles d’araignées. Il ne s’en était jamais servi.
Ce tour était enraciné dans son béton armé. Papa l’avait acheté chez un brocanteur à Tunis et l’avait assemblé avec un ouvrier. Mais une fois mis en place, papa z’al l’avait ignoré jusqu’au jour où par curiosité, je lui demandais son fonctionnement.
Il me découragea et me dit qu’il manquait une pièce essentielle, celle qui faisait avancer et reculer le machin.
A sa gauche, il y avait tout un ensemble de roues à gorges. Puis le rail , le corps et enfin sur le rail la tête à pointe qui ressemblait à une tête de machine à coudre sauf qu’elle se terminait par une pointe. Cette pièce était mobile. Cette pointe avait pour fonction de retenir le bas de la colonne. Donc la colonne se retrouvait suspendue, calée au dessus du grand rail en cas de remise en forme du tour…
A Suivre….
par ALBERT SIMEONI.
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 12 octobre 2013, 09:28 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 11 160 |
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 13 octobre 2013, 00:08 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 11 160 |
A DIFFUSER SANS MODERATION AFIN QUE NUL N'IGNORE
ET SI ON RETOURNAIT AU PAYS POUR PRENDRE NOTRE RETRAITE NOUS AUSSI ?
Et ça, si ce n'est pas la faute à la gauche, que va-t-elle faire ? Il est plus facile de prendre l’argent sur la retraite des Français
que d’aller récupérer 1.000.0000.000 € (Oui ! Un milliard d’euros) en Algérie …
Explication :La cour des comptes s’intéresse enfin aux "retraités" algériens ... C’est l’intéressante découverte ( !) faite par la Cour des comptes qui, en épluchant les comptes de la CNAV (caisse nationale d’assurances vieillesse), l’organisme qui paye les retraites a constaté que : Le nombre de retraités centenaires algériens (plus de 50.000) était particulièrement important.> > > > Ce nombre est même très supérieur au total des centenaires recensés par l’état-civil en Algérie. Rolande Ruellan, présidente de la 6e chambre de la Cour des comptes qui a présenté le 9 juillet dernier un rapport sur la fraude
sociale devant une commission parlementaire reconnaît le problème
(document que chacun peut consulter pour vérifier cette info) : Il y a des retraités qui ne meurent plus dans les pays étrangers » dit-elle, insistant,en particulier, sur le nombre de retraités centenaires algériens. Pourquoi ? Comment ? C’est ce qu’a tenté de savoir la commission.
Il suffit de ne pas déclarer à la caisse de retraite le décès de l’ayant droit précise la magistrate.
Mais il n’y a pas de contrôle ? s’étonne un membre de la commission.
En Algérie nous n’en avons pas les moyens.
Il faudrait mettre des contrôleurs itinérants dans tous les pays.
Ce n’est pas évident ! souligne-t-elle.
> > En résumé : Les algériens binationaux, ayant travaillé en France deviennent immortels à partir du moment
> > > > > > où ils se retirent en Algérie pour leur retraite.> > > > Ce sont leurs enfants, voire leurs petits-enfants, qui continuent à percevoir la pension de retraite, bien après leur décès.> > > > Et il ne faut évidemment pas compter sur les autorités algériennes pour faire la chasse aux fraudeurs.
On peut s’étonner, tout de même, qu’un organisme comme la CNAV qui verse chaque année 4 milliards d’euros de retraite à l’étranger, dont plus d'1 milliard d'euros pour l’Algérie, ne soit pas en mesure d’effectuer un minimum de vérifications : Soit en demandant, tous les deux ans par exemple, aux bénéficiaires de donner une preuve de leur existence, soit en les invitant à se présenter dans les consulats de France pour percevoir leurs pensions.
Alors que le dossier des retraites est au cœur des préoccupations des Français, il est impensable que nos gouvernants ne se penchent pas sur cette question connue d’eux depuis longtemps.
Sinon, ce «racisme antifrançais», finira par contrarier très fortement le plus borné des retraités mais aussi tous ceux qui cotisent pour une lointaine retraite hypothétique.> > > > Messieurs les politiques : Attention aux cocus en colère !
bye AGENCE IMAMILI.
Pour info. Pour toucher sa retraite en France, un tunisien qui réside en France doit impérativement et tous les six mois fournir un certificat de vie délivrè par la CONSULAT TUNISIEN. Ce dernier doit être adrésse par la suite à la CNSS de Tunis. Aussi simple que celà mais la CNAV a encore bcp à apprendre de ces subtilités.
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 13 octobre 2013, 03:46 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 11 160 |
La nuit complice de L ÉTRANGE. Quand tout dort, des bruits étranges se réveillent. L'oreille est aux aguets. Parfois des odeurs nauséabondes pollues l’atmosphère. Une porte qui s'ouvre, une fenêtre qui claque, on dit que c'est le vent alors que dehors tout est calme. L’étrange apparait après minuit, l'heure où il décide de faire des siens e lorsque tout est noir. La belle N.....a vu l’Étrange....Dans sa chambre....Elle décide d'aller voir un MAMBO sur mes conseils...Mambo guide spirituel qui voit et désenvoute....
Pour ne pas la laisser seule, je décide de l’accompagner chez un ami MAMBO….Eustache qu’il se nomme mais son vrai nom c’est Mr Umberto Bignole, né à HAITI à PORT- AU- PRINCE.
Là où les Oufnors pullulent.
Du coté de AUBERVILLIERS…Dans un garage désaffecté… De la rue HAIE LE COQ….Nous poussons un grand portail qui grince. Un homme de couleur noir est là, il surveille les entrées. C’est le frère d Eustache. Une grande salle est aménagée. Je vois des bancs, des tables, un autel. Sur l’autel des icones de saints vaudous. Une liturgie sur parchemin est posée sur la table prés d’un grand chandelier.
Un encensoir, des lotions et de l’encens sont dans une grande cuvette en bois. Une dizaine de femmes, des hommes aussi sont là assis. Tout le monde attend la jeune fille.
‘…Albert, qu’est ce que cette mascarade… ?’
‘…C’est un cérémonial pour te désenvouter parce ce que tu m’as raconté est grave. Tu es sous l’emprise d’un mauvais génie qui te bloque… !’
‘…Oui, je ne trouve pas de boulot, je n’ai pas de copains, tout ce que je fais tombe à l’eau… !
‘…Pourvu que tu ne te noies pas ma belle, fais confiance, il va faire du bon boulot… !’
‘…Mais il va me demander combien… ?’
‘…T’inquiètes pas, il te fera un prix, pourvu que tu t’en sortes… !’
‘…Qu’est ce qu’il y a sur l’autel Albert…. ?’
‘…Des légumes, des asperges, des tomates, des concombres, du persil, , du mââd’nouss et des fruits, pommes, pêches, bananes, ananas, raisins et litchis, 5 fruits et 5 légumes comme dans la pub… !’
‘…J’aime pas les asperges… !’
‘…Après la cérémonie, il te fera boire une bonne soupe avec comme sauce du sang de poule vierge…. !
Soudain un bruit de tambour. Je me mets à l’écart pour mieux visionner la scène. Trois femmes bien portantes se lèvent. L’encens brule et voilà que rentre mon ami habillé comme un saltimbanque, boussadia, je me forçais pour ne pas rire devant son accoutrement. Il tenait dans ses mains des chakachas. Une dame entre ses mains une calebasse pour recueillir les dons.
Enfin, le MAMBO vient mon amie. Elle parait effrayée mais je la rassure. L’encensoir est posé sur le sol et la fumée monte. Mon amie est placée au dessus de la fumée, les jambes écartées afin que l’encens puisse bien la pénétrer. Elle me regarde et pour un peu, elle allait s’esclaffer, je lui fais signe de se retenir. Alors qu’elle ne s’y attendait pas, on amène une poule vierge, (je ne sais pas comment ils font pour trouver des poules vierges) Et là le MAMBO pose la tête de la poule sous les pieds de mon amie.
D’un coup sec , il tranche la tête de l’animale et mon amie exprime un mouvement de répulsion. Une dame vient recueillir le sang de la poule. Mon amie me regarde. Je la rassure. La danse effrénée des dames me donnent le vertige. Je me sens comme pris par cette danse. Mais je me retiens pour ne pas succomber au jnouns. Je reste imperméable. Puis, une fois le sang de la poule recueillie, la dame approche la calebasse devant les lèvres de mon amie qui est sur le point de vomir.
Alors que dehors, il fait un soleil radieux, on entend un grand coup de tonnerre. D ieu est en colère. Sur le coup, un néon se brise et je reçois sur ma tronche qqs débris de verre. Je m’en sors avec qqs égratignures. Mon amie est effrayée et interrompt son ‘calvaire’ sous les yeux des dames qui ne comprennent pas son attitude.
‘…Albert… !’ Qu’elle me dit toute pâle… ! ‘….Je sens que je suis guérie, partons… !’
C’est Étrange n’est ce pas… ??? Lol.
Pour ne pas la laisser seule, je décide de l’accompagner chez un ami MAMBO….Eustache qu’il se nomme mais son vrai nom c’est Mr Umberto Bignole, né à HAITI à PORT- AU- PRINCE.
Là où les Oufnors pullulent.
Du coté de AUBERVILLIERS…Dans un garage désaffecté… De la rue HAIE LE COQ….Nous poussons un grand portail qui grince. Un homme de couleur noir est là, il surveille les entrées. C’est le frère d Eustache. Une grande salle est aménagée. Je vois des bancs, des tables, un autel. Sur l’autel des icones de saints vaudous. Une liturgie sur parchemin est posée sur la table prés d’un grand chandelier.
Un encensoir, des lotions et de l’encens sont dans une grande cuvette en bois. Une dizaine de femmes, des hommes aussi sont là assis. Tout le monde attend la jeune fille.
‘…Albert, qu’est ce que cette mascarade… ?’
‘…C’est un cérémonial pour te désenvouter parce ce que tu m’as raconté est grave. Tu es sous l’emprise d’un mauvais génie qui te bloque… !’
‘…Oui, je ne trouve pas de boulot, je n’ai pas de copains, tout ce que je fais tombe à l’eau… !
‘…Pourvu que tu ne te noies pas ma belle, fais confiance, il va faire du bon boulot… !’
‘…Mais il va me demander combien… ?’
‘…T’inquiètes pas, il te fera un prix, pourvu que tu t’en sortes… !’
‘…Qu’est ce qu’il y a sur l’autel Albert…. ?’
‘…Des légumes, des asperges, des tomates, des concombres, du persil, , du mââd’nouss et des fruits, pommes, pêches, bananes, ananas, raisins et litchis, 5 fruits et 5 légumes comme dans la pub… !’
‘…J’aime pas les asperges… !’
‘…Après la cérémonie, il te fera boire une bonne soupe avec comme sauce du sang de poule vierge…. !
Soudain un bruit de tambour. Je me mets à l’écart pour mieux visionner la scène. Trois femmes bien portantes se lèvent. L’encens brule et voilà que rentre mon ami habillé comme un saltimbanque, boussadia, je me forçais pour ne pas rire devant son accoutrement. Il tenait dans ses mains des chakachas. Une dame entre ses mains une calebasse pour recueillir les dons.
Enfin, le MAMBO vient mon amie. Elle parait effrayée mais je la rassure. L’encensoir est posé sur le sol et la fumée monte. Mon amie est placée au dessus de la fumée, les jambes écartées afin que l’encens puisse bien la pénétrer. Elle me regarde et pour un peu, elle allait s’esclaffer, je lui fais signe de se retenir. Alors qu’elle ne s’y attendait pas, on amène une poule vierge, (je ne sais pas comment ils font pour trouver des poules vierges) Et là le MAMBO pose la tête de la poule sous les pieds de mon amie.
D’un coup sec , il tranche la tête de l’animale et mon amie exprime un mouvement de répulsion. Une dame vient recueillir le sang de la poule. Mon amie me regarde. Je la rassure. La danse effrénée des dames me donnent le vertige. Je me sens comme pris par cette danse. Mais je me retiens pour ne pas succomber au jnouns. Je reste imperméable. Puis, une fois le sang de la poule recueillie, la dame approche la calebasse devant les lèvres de mon amie qui est sur le point de vomir.
Alors que dehors, il fait un soleil radieux, on entend un grand coup de tonnerre. D ieu est en colère. Sur le coup, un néon se brise et je reçois sur ma tronche qqs débris de verre. Je m’en sors avec qqs égratignures. Mon amie est effrayée et interrompt son ‘calvaire’ sous les yeux des dames qui ne comprennent pas son attitude.
‘…Albert… !’ Qu’elle me dit toute pâle… ! ‘….Je sens que je suis guérie, partons… !’
C’est Étrange n’est ce pas… ??? Lol.
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 14 octobre 2013, 02:24 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 11 160 |
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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ. 15 octobre 2013, 03:35 |
Membre depuis : 16 ans Messages: 11 160 |
CONFECTION D’UNE COLLONE. ….3°
Je m’interroge toujours sur la faisabilité de tant et tant de colonnes autrefois. Lorsqu’on pense que les outils nécessaires manquaient cruellement à la découpe d’un bloc de marbre qui pouvait peser 7 à 8 tonnes et même plus. Le faire descendre de la montagne sur un attelage de bœufs, prendre des chemins escarpés au-dessus des ravins sans compter les chutes mortelles des bêtes et des hommes. .
Tout était fait à la main avec une patience innée.
Donc, je nettoie le tour, le peins en noir, je graisse les rouages, et surtout je prends un gabarit de la pièce manquante avec l’aide d’un tourneur qui s’est déplacé pour l’occasion.
La première pièce est faite et elle s’ajuste très bien aux crans de la grande vis qui se trouve cachée sous le soubassement des rails, cette pièce maitresse fera aller et revenir le tour. Enfin, il marche reste à savoir s’il va répondre à mes doigts. Plusieurs allers et retours sont faits. Le bruit des pignons est trop fort, je porte donc un casque. Je change cependant qqs roulements afin de donner aux rouages plus de souplesse et moins de grincements. Le bruit infernal a diminué. Tout est parfait
Bref, le bloc de marbre mesurant 2 mètres sur 50 X50 , soit à peu près une tonne rentre dans la boutique à l’aide de rondins de bois. Il faut le faire glisser jusqu’au tour. Enfin, il arrive et là se pose la question de le faire monter sur le tour et surtout de le caler. Bien le caler sinon catastrophe.
Mon ouvrier un malabar comme je ne vous dis pas, se met à l’œuvre, il est seul à faire la manœuvre. A l’aide d’un grand pied de biche, il pose le bloc sur un gros madrier. Puis il en pose un autre à l’extrémité, la colonne monte petit à petit grâce au pied de biche. Il a fallu deux heures pour cette opération qui voit enfin la colonne sur le rail. Là, une autre manœuvre fera ajuster l’une des extrémités sur la fameuse pointe qui sort de la tête amovible. La base est placée. L’autre base vient aussi se caler sur la tête du tour, c’est elle qui fera tourner la colonne….
Par la suite, papa a acheté une grosse poulie qui a diminué le temps de pose de la colonne.
A suivre….
Je m’interroge toujours sur la faisabilité de tant et tant de colonnes autrefois. Lorsqu’on pense que les outils nécessaires manquaient cruellement à la découpe d’un bloc de marbre qui pouvait peser 7 à 8 tonnes et même plus. Le faire descendre de la montagne sur un attelage de bœufs, prendre des chemins escarpés au-dessus des ravins sans compter les chutes mortelles des bêtes et des hommes. .
Tout était fait à la main avec une patience innée.
Donc, je nettoie le tour, le peins en noir, je graisse les rouages, et surtout je prends un gabarit de la pièce manquante avec l’aide d’un tourneur qui s’est déplacé pour l’occasion.
La première pièce est faite et elle s’ajuste très bien aux crans de la grande vis qui se trouve cachée sous le soubassement des rails, cette pièce maitresse fera aller et revenir le tour. Enfin, il marche reste à savoir s’il va répondre à mes doigts. Plusieurs allers et retours sont faits. Le bruit des pignons est trop fort, je porte donc un casque. Je change cependant qqs roulements afin de donner aux rouages plus de souplesse et moins de grincements. Le bruit infernal a diminué. Tout est parfait
Bref, le bloc de marbre mesurant 2 mètres sur 50 X50 , soit à peu près une tonne rentre dans la boutique à l’aide de rondins de bois. Il faut le faire glisser jusqu’au tour. Enfin, il arrive et là se pose la question de le faire monter sur le tour et surtout de le caler. Bien le caler sinon catastrophe.
Mon ouvrier un malabar comme je ne vous dis pas, se met à l’œuvre, il est seul à faire la manœuvre. A l’aide d’un grand pied de biche, il pose le bloc sur un gros madrier. Puis il en pose un autre à l’extrémité, la colonne monte petit à petit grâce au pied de biche. Il a fallu deux heures pour cette opération qui voit enfin la colonne sur le rail. Là, une autre manœuvre fera ajuster l’une des extrémités sur la fameuse pointe qui sort de la tête amovible. La base est placée. L’autre base vient aussi se caler sur la tête du tour, c’est elle qui fera tourner la colonne….
Par la suite, papa a acheté une grosse poulie qui a diminué le temps de pose de la colonne.
A suivre….
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