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LE PTB ET MOI ZOUZ.

Envoyé par albert 
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
30 octobre 2013, 12:35
Moi, Elie Levy, juif mutilé par la circoncision
octobre 28th, 2013 Europe-Israel.org
circoncision
Mesdames, et Messieurs les membres du Conseil de l’Europe, Mesdames et Messieurs les Députés Européens, Cette lettre est une lettre de remerciements,
Grâce à vous, grâce à la recommandation que vous avez formulée, invitant les Etats membres à interdire les «violations de l’intégrité physique des enfants» considérées comme des mutilations, vous m’avez fait prendre conscience que depuis 66 ans, je suis mutilé, invalide.
J’avoue : pendant les 66 années durant lesquelles j’ai porté ce handicap, je ne me suis rendu compte de rien. Quelle erreur !
Je suis circoncis depuis ma naissance, et je ne me suis pas rendu compte que je suis mutilé.
Plus grave encore, ce n’est pas un chirurgien qui m’a amputé mais un religieux, que nous appelons nous les juifs un Mohel.
Pire encore, cet ignoble individu ne m’a même pas demandé mon avis. Il a pratiqué son acte avec la complicité de mes parents, alors que je n’avais que 8 jours, et ne pouvais protester, encore moins résister.
Et cela dure ainsi depuis des générations ! Mon père, mon grand-père et toute la lignée masculine de ma famille ont subi cette mutilation. Et je l’avoue, j’ai également commis ce délit : j’ai fait circoncire mon fils, qui pourrait m’intenter un procès pour avoir porté atteinte à son intégrité physique.
Sans votre révélation, combien aurait encore duré cette pratique trois fois millénaire qui traumatise dans son subconscient le peuple juif ? En le libérant de cette barbarie, vous vous êtes montré comme son bienfaiteur.
Certes, la circoncision, selon l’Organisation mondiale de la santé, protège contre les maladies sexuellement transmissibles et en particulier contre le sida.
Certes, l’OMS a constaté, chez les hommes nouvellement circoncis d’Afrique, une réduction de 57% des infections au VIH.
Certes des experts américains affirment que la circoncision diminue le nombre des infections urinaires, et que si le nombre des circoncis diminue, cela entrainera une augmentation considérable des dépenses de santé.
Mais qu’importe. La réalité, c’est que vous m’avez ouvert les yeux : je suis mutilé et j’ai mutilé mon fils. Et lui le sien.
Conscient de ma nouvelle infirmité, j’ai demandé à la COTOREP une pension d’invalidité. J’ai également réclamé à la Préfecture de Police une carte de GIC (Grand Invalide Civil) pour stationner sur les places réservées aux handicapés. Désormais, je demanderai le tarif GIC à la SNCF, et dans le métro, j’occuperai les places réservées aux personnes frappées d’un handicap. Et je pense aux centaines de milliers d’Européens concernées par votre recommandation et qui vont pouvoir faire valoir leurs droits.
Par contre, et s’il vous plait ne le répétez pas : je vis plutôt bien avec ma mutilation. Oserais-je le dire…j’en suis même fier.
En revanche, je ne suis pas certain que vous puissiez en dire autant du handicap qui vous frappe – et qui se situe ailleurs dans votre anatomie : amalgamer la circoncision et l’excision, de quelle partie du cerveau avez-vous été amputé ?!
Vouloir transformer en délit un acte d’appartenance religieuse qui s’exécute dans la sphère privée au nom de la libre pratique de sa religion, garantie par les Constitutions des pays européens et la Charte des Droit de l’Homme, et qui vise une communauté particulière,
S’imaginer, muni de votre si provisoire mandat européen, posséder les compétences pour comprendre le judaïsme qui a engendré vos pensées et vos lois, et vous a précédé de quelques milliers d’années,
C’est faire preuve d’un sérieux manque de circon…spection.
Croyez Mesdames, et Messieurs les membres du Conseil de l’Europe, Mesdames et Messieurs les Députés Européens, en l’assurance de mes salutations diminuées.
© Elie Levy pour Dreuz.info.


Guy-Marc


Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
30 octobre 2013, 23:55
ce monsieur a le sens de l humour avec beaucoup d ignorance
malheureusement plusieurs juifs pensent reelement comme lui sans trop comprendre le vrai sens de l acte de l Alliance
et quand meme que cela generait aux consciences la medecine d au jourd hui est incomparable
et la greffe du prepuce serait satisfaisante

media-info.com
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
31 octobre 2013, 09:43
Lorsque j’ouvre ma boutique le matin du Jeudi, j’aime bien avant de recevoir le premier client prendre mon café assis les jambes croisées, tout en regardant les statues de saints.

Ma boutique comme tout le monde le sait est spécialisée dans tout ce qui touche les tifs, le sexe et bien sur le surnaturel, la magie etc donc l’ésotérisme. Et ma clientèle est composée d’oussfouts et d’oussifats à tel point que j’ai déteint sur eux.
Donc ce matin, alors que je portais ma petite tasse de café aux lèvres, la porte vitrée de ma boutique laisse le champ libre à une dame d’un certain âge… !

‘..C’est Ouvert… ?’

Il est 8 heures 59….Et j’ouvre à 9 heures.

‘….Juste encore une minute madame…. !’
‘…Ah c’est pire que les horaires de la banque… !’
‘…Pardon madame, les horaires de la banque affichent 9 heures mais ouvrent 10 minutes plus tard, aucune comparaison, bon il est 9 heures. Mon café attendra….Ahki… !’
‘…Monsieur, je suis recommandée par une cliente à vous, voilà j’ai…. !’
‘…Attendez, je m’assieds… !’
‘…J’ai une jeune fille qui ne dort plus la nuit, elle se lève vers les trois heures du mat et elle se promène dans la maison, n’auriez vous pas qq’chose pour la faire dormir…. ?’
‘…Tayak lik… !’
‘…Quant à moi, j’ai de temps à autres des démangeaisons, je sens ma peau se raidir… !
‘…Tayak lik… !’
‘…Mon mari depuis un certain temps, n’est pas bien, il fait des cauchemars … !’
‘…Tayou lik… !’
‘…Mais le plus emmerdant, je pense que mon grand fils s’est entiché d’une jeune fille qui lui fait de la magie, il est très perturbé… !
‘…Tayou lik… !’
‘…Combien cela va me couter tous ces produits ‘….Ta’ouuu… !’ comment vous dites… ?’
‘…Ca va tourner entre les 55 €….Et 60 €….. !’
‘…Ah, j’ai oublié aussi de vous dire que maman qui est aux Antilles souffrent de persécution… !
‘…Taya lik…. !’
‘…Ok donc ca va faire, je suppose 80 €…Je vais retirer l’argent de la poste…
Et voilà comment mon café s’est transformé ce matin en TAYA LIYE…. !’
C’est pas beau ca…. ?’

PAR ALBERT S.


Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
02 novembre 2013, 10:58

Mes chers amis BIZZAROIS….ETRANGERS….Je n’ose vous narrer ce qui m’est arrivé ce matin, dans ma boutique…Je suis sorti indemne d’une histoire complètement folle, débile, et à l’heure où je mets sous presse mon écrit, je tremble encore des mains, je en sais pas si cela se voit du côté de chez vous mais moi en tout cas, mes mains n’arrêtent de trembler…Je suis secoué autant que l’est un cocotier des Antilles aux Acores… ! Mon frère pour un peu allait appeler les Urgences si ce n’est qu’enfin la chose me libéra….

Voici donc les faits tels qui sont survenus…..Il est 10 heures 12 minutes exactement à notre pendule.
Une cliente au fond, une dame que je connais Madame Bertie infirmière à l’hôpital de SALPETRIERE..

Une antillaise racée, grande classe, bien mise avec chapeau large à visière et voile noire. Elle s’était confiée à moi, avant-hier en me disant qu’elle avait perdu son oncle et sa tante à qqs heures d’intervalles….

’…Ma tante avait 89 ans et mon oncle ne semblait pas mourir il attendait que sa femme s’en aille avant lui, pour mourir, c’était une question d’héritage, il ne voulait pas que ma tante touche quoique ce se soit. Tous les jours, il me disait au phone dans le service…

‘….Alors…Ché’ie, ta tante è mo’te ou pas… ?’ Alors je lui disais pour le rassurer… !’….Pani encore ma ji crois ké né va pas tadé… !! Médecin i di à l’opital pou dimin…. ! ‘…Dimin Dimin… ! Ca traine là un an… !’ Madame Tirandella.

En réalité Madame Bertie, la nièce, voudrait que sa tante parte avant parce qu’elle a deux enfants illégitimes du vieux mourant, et que son épouse dans le coma à l’étage inférieur veut à tout prix léguer tous les biens de son époux à ses deux enfants....Donc le mari, qui ignore qu’il a deux enfants de lui, insiste bien auprès de sa nièce à ce que sa femme parte coute que coute avant lui.

Un matin alors que Bertie vient lui rendre visite comme elle le fait tous les matins, le vieux agonisant qui ne veut pas mourir trouve l’énergie pour lever son doigt, le majeur, envers sa nièce…’

Elle s’approche de lui et l’autre lui dit ‘…Bertie, peux-tu faire qq chose pour ma femme, je sais qu’elle va mourir…. !’ Bertie mal lui en prit lui dit ‘…Mais elle va très bien, Papi, ne t’inquiètes pas ‘…Allez tié bé raide è pa moli… !’ Tiens bon et surtout ne te molle pas… !’

L’autre, le futur mort en éveil, son oncle, en entendant cela, se met son fessier, et lui dit….’….Bethie, ti sé ké békè ton pér, moi lui a sauvé la vie… ! (Tu te souviens de ton papa le békè,) Alos toi ti va fair qq chose pé moi à femme-là, pu ké vite vite voir bon D ieu… !’ Tu dois faire qq chose afin qu’elle rejoigne le bon D , ieu…) Bertie n’en crois pas ses oreilles… ! Elle entend donc de la bouche de son oncle un conseil pour tuer sa tante agonisante…’ L’affaire lui convient parce que sans doute, il va lui léguer ses biens au vu de ce qu’il lui a fait autrefois.

MA KOUAM EL OUSSFAN E DOU… !’

Donc Bertie, assise et coincée, prise le cul entre deux chaises, et ça doit faire mal, réfléchie à la situation sachant qu’elle peut tirer profit du vieux moribond. Elle réfléchissait, dans le grand hall de l’hôpital, sur cette situation, lorsque le vieux, son oncle vivant, concurrent de sa femme lui dit tout de go….

’…Béti moi pas oublié toi moment venu…. !’

Bertie comprend que le veux agonisant va lui léguer sa fortune pour service rendu… ! Le lendemain, elle monte le voir, tôt le matin profitant que le phone de la veille est encore chaud…Elle rentre dans sa chambre et fait mine de lui couvrir les jambes, lui remet le coussin dans la bonne position, lui apporte un peu d’eau, lui fais un peu de lecture…etc…Le vieux moribond malin et rusé comme un renard a compris que Bertie a compris qu’il allait lui léguer sa fortune si elle s’occupait de sa femme c'est-à-dire l’envoyer FI BEITH A HAYEM….Sans retour.

Le vieux semble reprendre des forces et alors que Bertie est occupée à lui remettre qqs affaires en place….

Le vieil édenté…

‘…Bé’ti ti rap’léè à casa moi, combien toi e moi … !’

Le vieux vient de lui rappeler qqs beaux souvenirs sexuels d’autrefois du temps, où ils vivaient en Guadeloupe. Le jour où il l’a défloré à 17 ans. Un secret entre deux.

Lorsqu’il avait 45 ans et elle 16 ans… !! Dans la grange de son oncle…Et à chaque fois qu’ils se voyaient derrière les foins, Bertie lui faisait une délicatesse alors que le vieux lui offrait de l’argent. Argent qui achetait son silence et qui lui a permis plus tard de venir enfin en France et à Paris…Avec ses deux enfants en bas âges.

Bertie s’approche de lui et fais mine de lui changer sa culotte alors qu’elle lui fait des câlins….sous les couvertures…

Soudains, Bertie entend son appareil d’appel vibrer dans la poche de sa blouse alors que le vieux est presque arrivé …..là où il faut…Il est en état de jouissance.

Bertie abandonne la chose, le mollusque inerte, vieux et con pour se rendre en bas, où l’attend où une grosse surprise….Sa tante vient de mourir…Après trois mois de retenue…..Elle aurait dit à l’oreille de la remplaçante…’…Coucoun mai maïne… !’ Gros mot envers le mari…du dessus.

Bref, Bertie n’a pas eu recours à la magie pour faire passer de vie à trépas sa tante. Mais maligne comme elle est, elle dira au vieux tout de suite après ‘….Mal y fé, tante là y morte…’Le vieux à la nouvelle et savourant enfin sa victoire se redresse plein de vie. L’autre debout attend son du…le vieux lui demande d’apporter son pantalon et tire une pièce de 1 €…’…Voilà pou p’ti sevice rendu… !’

Bertie voit rouge mais ne dit mot. Deux semaines plus tard, le vieux décède dans le pavillon de l’hôpital.

Bref revenons à moi. Donc la femme qui se présente ce matin n’est autre que Bertie. Elle achète des perruques, des crèmes, des tissages etc…Soit pour 358 €. Elle se place devant le boitier de la CB et commence à composer le code lorsque tout d’un coup sa main tremble et ne peux continuer à terminer les 4 chiffres du code… ! Une voix lui dit et je l’entends… !’

‘…. Non Be’tie…Tu n’auras code là… ! L'esprit.

Elle s’acharne sur l’appareil. Tout le monde regarde cette femme batailler devant l’appareil….Je sors et je vais l’aider à terminer son code lorsque je reçois un coup sur la tête venu de je ne sais puis un autre coup sur le dos, puis une baffe qui me laisse groggy, je me relève lorsque un coup de pied atterrit sur mon postérieur ‘…Bertie hurle… !’ Elle dit ‘…C’est lui qui m’interdit de faire le code… !’

Elle s’agrippe à l’appareil, et moi je lui tiens ses mains pour qu’elle finisse le code… Soudain, je vois un vieux devant moi…Je lance mais ‘…Bertie c’est qui ce vieux là… !’ C’est l’esprit de mon oncle, il est revenu et il m’empêche de tirer de l’argent avec sa carte bleue… !’

Je comprends alors que le vieux TIRANDELLA s’oppose à ce que sa nièce le vole… Je hurle dans ma boutique….’…Tu ne vas pas me faire rater une vente comme celle-là espèce de vieux con… !’

Tous mes clients viennent à mon aide et enfin Bertie dans un dernier effort termine le dernier chiffre du code…Le ticket de la CB sort enfin sous les applaudissements de mes clients…. Je lui donne la marchandise et la CB. Elle s’en va et là, je me rends compte que le montant tapé est de 3 € 58 au lieu de 358 €….Je m’évanouis devant ce chiffre et il a fallu à mon frère deux bouteilles de mazar pour me réveiller…

Toute cette bataille pour un montant de merde…Comme quoi, il ne faut jamais voler le génie d’un mort antillais…


Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
03 novembre 2013, 02:17
Valse à quatre temps.

Au premier temps, je fus entouré par mes parents, allongé dans mon berceau, mon décor était blanc, le plafond, puis j’ai commencé à marcher tant que bien que mal et enfin à 4 ans, j’ai pu parler.

Plus tard, l’école et la rue. La rue vers les 9 ans. La rue allait devenir mon centre d’intérêt, ma fac. Mes profs, les plus anciens, les plus âgées, allaient m’instruire du ‘tkouhib’, du vice et pas bcp de vertu. La maison n’était plus qu’un gite. Un passage obligé juste pour marquer ma présence.

Au second tour de la valse, à 13 ans, j’ai suivi mes amis, le sport est devenu ma passion première….La rue devenait ma fidèle compagne, la mer et la plage mes doux amis. Un filet s’est dressé devant moi et j’allais tout faire pour le vaincre. Aidé en cela par les plus grands qui m’engoulaient souvent lorsque le ballon était pris dans les mailles.

Je les ai regardés jusqu’au jour où je me suis rendu compte qu’ils étaient tous fadas sauf qqs uns.

Depuis, ils n’osaient plus me faire des remarques tant leurs conneries étaient évidentes.

A 25 ans, j’ai appris à embrasser, tout en flirtant avec le ballon. Le cuir et son odeur m’enivraient. Jusqu’au jour où je me suis rendu compte qu’il y avait encore mieux. La fille passait avant le ballon et à 30ans, infidèle que je suis, je le délaissais.

Au troisième temps de la valse…Je me suis marié. Cette nouvelle valse effacée toutes les autres danses et j’ai pris dans mes bras, ma femme et mes enfants et j’ai tourné, tourné jusqu’à l’ivresse.

Ils étaient devenus bien plus précieux que mes meubles, faits d’un bois rare, d’une essence sublime et dans mon cœur, ils embaumaient mes jours, mes nuits jusqu’au jour oùle mektoub s’est mêlé.

Là je suis rentré dans ma quatrième valse. Je fais partie des meubles. Ils ont de la chance d’être souvent astiqués mais pauvre de moi, je n’arrive même plus à cirer mes chaussures. Je suis devenu ââla. Mais avec un esprit vif en attendant qu’il soit encadré sur un de mes murs. Plus j’avance et plus je me sens devenir le cinquième mur, celui qui ne fera ni rire ni pleurer….Un mur penché retenu par une béquille….Heit metequi lei dahaq lei bekki.

C’est dur de devoir ressembler un jour à un mur encore plus dur sera le jour où il tombera….Et là y aura personne pour me relever… !

Mon portrait ira se faire pendre sur d’autres murs, celui de mes enfants… !!! Un jour….


Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
03 novembre 2013, 04:22
Abusée depuis son jeune âge, la jeune WARABA garda durant toute sa vie, un grand et profond traumatisme.

Sa maman Bintou l’avait confiée à sa sœur Aminata dans le village de Cambe.

Âgée seulement de 6 ans, la jeune fille se retrouve donc dans cette famille qui comptait 4 enfants, ses cousins, dans cette ville distante de qqs kms de Dakar.

La maman divorcée n’eut d’autres choix que de se séparer de sa fille pour tenter sa chance en France.

A Paris. Elle trouve un job comme domestique.

Au pays, la jeune fille, dés les premiers jours, se voit contrainte à des taches domestiques ardues. Une véritable Colette. Elle ne va pas à l’école et la tante lui fait subir les pires contraintes qui soient.

Un soir, elle voit sa tante s’allonger prés d’elle dans son lit et la petite fille va subir chaque nuit des attouchements. Des assauts répétés.

L’appétit sexuelle de la tante va en grandissant jusqu’au jour où la jeune enfant trouve son drap ensanglanté, elle venait de perdre sa virginité.

Les soirs où la tante ne venait pas la toucher, Waraba faisait des cauchemars, elle se voyait debout, et de ses jambes ruisselait du sang.

Le sol en était inondé et là elle se réveillait en hurlant.

Le matin, elle recevait des coups sous prétextes qu’elle n’était pas debout à 6 heures pour vaquer à ses occupations.

La maman Bintou était bien loin d’imaginer que sa fille était entre les mains d’un bourreau.

Ainsi durant 5 ans, la jeune fille devenue adolescente fut enfin libérée par la venue de sa maman qui, bien installée à Paris, n’eut aucun mal à la prendre en charge.

Waraba ne dévoila jamais à sa maman les atrocités qu’elle avait subies au pays.

Cependant, chaque nuit, elle se levait en transes, sa tante venait dans ses rêves. Et les images de son calvaire défilaient dans sa tête. Sa maman ne comprenait rien à ses manifestations. Mais jamais au grand jamais Waraba ne dénonça sa tante.

Elle vivait une grande colère en elle. Une grande injustice qu’elle portait dans sa chair. Au point qu’elle se trouvait sale, très sale au point qu’elle n’osait pas aborder les jeunes gens de son âge alors qu’elle était très belle.

Un jour, sa tante annonça sa venue à Paris.

Waraba senti en elle des épines lui perforer le ventre. Une grande fièvre la prit. Elle resta alitée durant qqs jours sans que sa maman ne sache les causes exactes de son trouble.

La tante débarque donc au logis de la sœur qui avait un appartement conséquent. Une chambre lui fut réservée. Waraba décide de ne pas sortir de la chambre au grand étonnement de sa maman.

Cette dernière lui fait comprendre que son attitude était irrespectueuse au vu de que sa sœur avait fait comme bien autrefois.

Cette ingratitude de la part de sa fille envers la tante la surprenait.

Waraba, pour ne pas décevoir sa maman Bintou, décide enfin contre son gré de sortir de sa chambre pour saluer ‘sa tante’. Elle se vêt d’une combinaison, prend la main de sa maman, ouvre la porte de sa chambre et la voilà debout devant sa tante…

Waraba avance, arrive à la hauteur de sa tante. S’arrête à qqs mètres et là du sang coule sur ses jambes jusqu’au sol….

La tante et la maman sont prises d’effroi. La jeune fille regarde intensément la tante dans les yeux…A-t-elle point que la tante est prise de frissons et de tremblements, elle n’arrive plus à se contrôler…Et là, le corps de la tante explose….Le feu la dévore il ne reste plus sur le parquet qu’un tas de cendres fumants…Celui de sa tortionnaire.



Par Albert.S


Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
03 novembre 2013, 04:23
Valse à quatre temps.

Le mur des lamentations ?

Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
03 novembre 2013, 23:54
LIBE.




Lorsqu’ Ichtir la veuve s’est plaint d’être seule, Achem lui envoya donc une MOUCHE pour lui tenir compagnie. Ischtir adopta donc sa nouvelle compagne. Comme elle n’avait pas d’enfants, cette nouvelle venue fut considérée comme sa fille.
Au fil du temps, elle la baptisa Mouchette. Mouchette était jolie et surtout aux petits soins d’Ichtir.

Mais ce qui perturbait la maman adoptive c’était le bonheur de sa fille Mouchette.
Elle prit le chemin du village. Arrive sur la place du marché et là elle rentre chez marieur très connu dans ce hameau. Elle lui raconte l’étrange histoire et lui avoue qu’elle a une mouche à marier.

Le marieur fort surpris l’écoute d’autant plus que la vieille se met à pleurer.

‘….Marinelle, pourquoi pleures tu…. ! Si D ieu t’a envoyé un compagnon c’est qu’il existe surement ailleurs une compagne … ! D ieu ne fait jamais les choses à moitié… ! Je vais réfléchir, laisse moi qqs temps et je trouverai le mari… !’

Marinelle rassurée sort de chez le marieur et refait le chemin inverse. La campagne dort lorsqu’elle arrive enfin en sa demeure, trouvant la table mise et Mouchette assise.
‘…Mouchette ma chérie, tu sais, je ne vais pas vivre encore longtemps donc j’ai été voir… !’

Et de lui raconter le reste….

‘…Mamie, je suis la création de Achem, Achem ne me laissera jamais seul… !’
Voilà que contre toute attente le marieur vient frapper à la porte de la vieille.
Sur son épaule, un joli MOUCHERON.

Mouche comprend que le marieur a enfin trouvé un compagnon pour sa fille.
Deux semaines plus tard, Mouchette et Moucheron se marient et habitent dans le logis de la mémé.

De cette union nait une fille qu’ils nomment LIBELULE. Pour la bonne raison, que leur fille n’a pas les caractéristiques de ses géniteurs.

LIBELLULE grandit donc entre MARINETTE et ses parents.

Elle est intelligente, aime survoler les prés et les campagnes et elle rapporte tout ce qu’elle voit d’en haut à ses géniteurs. Elle est débordante de vie.

Alors qu’elle sommeille dans son berceau et que le vent souffle en rafales, les fenêtres s’ouvrent et le vent s’engouffre par la cheminée.

Libelune est emportée par le vent. Malmenée dans les airs, elle réussit malgré tout à tenir l’équilibre.

Au matin, les parents et la mémé sont atterrés, Libe à disparu.

Dans un endroit isolé, bien loin de son logis, Libe est allongée sur le bord d’une rivière mais vivante. Elle respire, mais trop épuisée pour reprendre l’air. Elle est engluée dans la vase, elle voit arriver sa fin, ses gros yeux s’embrument lorsque passe par là, un gardon.

Il avait entendu qu’une jeune fille, très belle emportée par le soir pat un vent violent, s’était perdue.

Il sort la moitié de son corps de l’eau et réussit à poser sur son dos, la jeune Libé. La sauvant ainsi des ruades des flots. Il la pose sur une berge calme et attend. Sort une fourmi bien chargée d’un fétu de paille. Abandonnant sa charge, elle pose Libe sur le sol sec tout en alertant sa famille.

Des dizaines de fourmis arrivent et posent Libé sur leur dos, formant ainsi un brancard. Libé avance soutenue en cela par la compagnie des Nemil… ! La grande famille des fourmis arrive au bord de la route qui mène au village et là, Mr et Madame Charençon reconnaissent Libe.

Sans hésiter un seul instant, laissant couffins et sacs, le couple se saisit de la jeune fille et tout en avançant sur le chemin chaotique qui monte au village, il transporte Libe sur la place du marché.

Tortues, hannetons, abeilles, guêpes etc….fabriquent un carrosse. La jeune fille encore épuisée est allongée sur des coussins brodée de fil de roses et toute la sarabande se met en marche. Une colonie d’insectes solidaires et pleine d’amour rampe vers le logis de la belle jeune fille Libé allongée et épuisée.

Chez elle MARINELLE est dans le plus grand des désespoirs. Les parents pleurent, allument des brindilles et prient pour le retour de leur fille.

L’imam du hameau Sidi HANETOUN, un bon musulman a rassemblé ses ouailles devant la maison de Marinelle, le rabbin RAV GRILLON PINHAS est là aussi, ainsi que le curé du village PERE MILLE PATTES….Un monde estimé à mille espèces d’insectes prie dans une ferveur tel que les mouches environnantes ont fait silence.
Sur un arbre perché, le scarabée Fignou aperçoit de loin, toute une colonie de villageois monter la pente de la colline. Il alerte la communauté silencieuse qu’un convoi arrive tirant un carrosse fait de toile d’araignée.

Enfin la colonie arrive au seuil de la maison juste au moment où Libe ouvre les yeux. Marinelle entend les cris de joie de la foule et peine à se lever. Les parents pleurent de joie à l’annonce du retour de leur fille. Libé reprend des forces, bat des yeux et des ailes.
Elle rentre dans le logis à la grande joie de sa mémé et de ses parents. Elle se pose au chevet de la vieille, et la voilà prendre l’air avec sur son dos sa mamie.
La vieille découvre le monde tel qui il est véritablement. Beau vert, gai plein de chants et de musique plein de solidarité et d’amour.

Il suffit parfois de presque rien pour se rendre compte combien ce monde peut être merveilleux vu d’en haut lorsqu’on s’élève au dessus du sol.
Libélune épousera plus tard le fils du roi….Le jeune et beau MOUSTIKO…. !!

Je remercie tous les insectes de la coproduction qui m’ont permis de raconter cette histoire.

PAR ALBERT S.


Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
07 novembre 2013, 12:35
Chaque jour qui passe alourdit mon physique
J’aurai du apprendre autrefois la musique
Elle adoucit parait t’il les mœurs en Si.
Et la légèreté de ces notes toutes en LA
M’auraient fait voler tout en dièse.

Elle m’aurait épargné le poids des ans
Mais hélas je n’ai plus une seule corde à mon arc
Et mon solfège s’en ressent lorsqu’il neige.

Tous mes feux sont à l’orange, je brame
Le soir venu devant une lune bien pale
Ma mécanique grince aux petites alarmes.
J’oins mes charnières au soir venu
Par un baume tranquille bien secret,
En poussant des ah et des oh de soulagement.

Ca craque au petit matin,
Mettre un pied au sol
M’est plus pénible que d’arracher un corossol.
Bien plus que de lever un parasol planté au sol.

Alors, tous mes clignotants vont t’ils passer au rouge… ?
Ou dois-je alors couper le courant pour voir plus clair.
Je préfère rester au vert, assis et boire un rouge.

‘…PASTIS…CHEF…. ! Bien glacé… !


Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
09 novembre 2013, 09:57
Ô Landes,

Ô Désespoir

l'Eco de cette taxe
résonne à travers
Les campagnes normandes.

les vaches n'osent plus 'flatuler'
La crainte au ventre les empêche
De polluer l’Hérault...!

Le cul des brebis clos
A tout jamais devrait
Ravir Les Normands
Dans un lointain avenir.

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