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LE PTB ET MOI ZOUZ.

Envoyé par albert 
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
15 octobre 2013, 12:23
Du coté de Belleville, dans mon ancienne boutique ésotérisme cosmétique etc….
Une brave dame antillaise (depuis elle est devenue ma fidèle cliente à Barbes) se prend d’amour pour mes statues chrétiennes. Elle en choisit une dizaine de tailles différents et de noms différents.

Chaque statue est emballée bien comme il faut et Madame R….me paye et s’en va.
Or, voilà qu’après son départ, mon employée oublie de lui empaqueter une statue ST MICHEL ARCHANGE. Dans mon esprit, je me dis qu’elle va revenir le lendemain ou le surlendemain.

15 jours plus tard, elle revient chez moi, toute peinée d’avoir perdu me dit t’elle ‘..Son ST MICHEL… !’ Je me garde bien de lui dire qu’elle avait oublié. Je la réconforte en lui disant qu’il y a des choses dans la vie bien pires que la perte d’un ST MICHEL.

Je la regarde avec bcp de compassion sans osé lui dire que j’ai sa statue cachée. Pour faire durer le plaisir, je la console autant que je peux. Puis…
‘…Madame, vous savez i dans la vie il y a des choses étranges, des choses qu’on ne soupçonne pas… !’
‘… Mr Jean notre prêtre de l’église de Courbevoie m’a dit la même chose que vous, êtes vous aussi prêtre Monsieur… ?’
‘….Je vous confie un secret, je suis prêtre le dimanche et Pâtre en jour de semaine… !’
‘…Ô vous cumulez deux sacerdoces alors…Mais Pâtre c’es au dessous de Prêtre n’est ce pas… ?’
‘…Oui pas très loin, un degrés moindre mais à la fin de l’année, je renouvelle mes vœux… ! Je vise le Monseigneura… !’
‘…Je vous envie Mr Albert vraiment, vous êtes un homme de foi… !’ ( bel afie ye dien)
‘…Nous portons notre croix et notre kippa selon les événements… !’
‘…Je pensais en acheter une autre de statue… !’
‘…Ah mais vous savez c’était la dernière… ! Ne vous pressez pas, les miracles sont quotidiens chez nous… !’
Je donne un coup de pied à la vitrine.
‘…Qu’est ce donc cela, ces bruits ETRANGES…. ? ‘ Elle.
‘…J’ai des bruits ici, je vais voir… !’
‘…Ca vient de là… !’ Elle
‘…Je vais voir, suivez moi à distance… !’

Elle me suit…
Là je fais semblant d’être surpris.

‘…O Seigneur que vois je… ?’
‘…Vous voyez quoi Mr Albert… ? Elle
‘…Là, regardez dans la vitrine… !’
‘…Ma statue…. ? Olalala mais ce n’est pas possible… !’
‘…Je n’y comprends rien, comment a-t-elle pu venir de chez vous vers moi… ?’
‘…Moi non plus je ne comprends pas il doit y avoir qd même une EXPLICATION… ?’ ElleDu coté de Belleville, dans mon ancienne boutique ésotérisme cosmétique etc….
Une brave dame antillaise (depuis elle est devenue ma fidèle cliente à Barbes) se prend d’amour pour mes statues chrétiennes. Elle en choisit une dizaine de tailles différents et de noms différents.

Chaque statue est emballée bien comme il faut et Madame R….me paye et s’en va.
Or, voilà qu’après son départ, mon employée oublie de lui empaqueter une statue ST MICHEL ARCHANGE. Dans mon esprit, je me dis qu’elle va revenir le lendemain ou le surlendemain.

15 jours plus tard, elle revient chez moi, toute peinée d’avoir perdu me dit t’elle ‘..Son ST MICHEL… !’ Je me garde bien de lui dire qu’elle avait oublié. Je la réconforte en lui disant qu’il y a des choses dans la vie bien pires que la perte d’un ST MICHEL.

Je la regarde avec bcp de compassion sans osé lui dire que j’ai sa statue cachée. Pour faire durer le plaisir, je la console autant que je peux. Puis…
‘…Madame, vous savez i dans la vie il y a des choses étranges, des choses qu’on ne soupçonne pas… !’
‘… Mr Jean notre prêtre de l’église de Courbevoie m’a dit la même chose que vous, êtes vous aussi prêtre Monsieur… ?’
‘….Je vous confie un secret, je suis prêtre le dimanche et Pâtre en jour de semaine… !’
‘…Ô vous cumulez deux sacerdoces alors…Mais Pâtre c’es au dessous de Prêtre n’est ce pas… ?’
‘…Oui pas très loin, un degrés moindre mais à la fin de l’année, je renouvelle mes vœux… ! Je vise le Monseigneura… !’
‘…Je vous envie Mr Albert vraiment, vous êtes un homme de foi… !’ ( bel afie ye dien)
‘…Nous portons notre croix et notre kippa selon les événements… !’
‘…Je pensais en acheter une autre de statue… !’
‘…Ah mais vous savez c’était la dernière… ! Ne vous pressez pas, les miracles sont quotidiens chez nous… !’
Je donne un coup de pied à la vitrine.
‘…Qu’est ce donc cela, ces bruits ETRANGES…. ? ‘ Elle.
‘…J’ai des bruits ici, je vais voir… !’
‘…Ca vient de là… !’ Elle
‘…Je vais voir, suivez moi à distance… !’

Elle me suit…
Là je fais semblant d’être surpris.

‘…O Seigneur que vois je… ?’
‘…Vous voyez quoi Mr Albert… ? Elle
‘…Là, regardez dans la vitrine… !’
‘…Ma statue…. ? Olalala mais ce n’est pas possible… !’
‘…Je n’y comprends rien, comment a-t-elle pu venir de chez vous vers moi… ?’
‘…Moi non plus je ne comprends pas il doit y avoir qd même une EXPLICATION… ?’ Elle
‘…Les VOIES DU SEIGNEUR SONT IMPENETRABLES MA SŒUR… !’
Elle se signe. Je lui tends la statue.
‘…Je voudrais faire un don … !’
‘…Oui bien sur tenez mettrez votre obole dans cette tirelire.
Elle le fait, elle introduit un billet de 50 Francs dans la tirelire du BETH LOUBAVICTCH DE LA RUE CADET.

Comme c'est étrange.

PAR ALBERT SIMEONI. Cure prêtre et Pâtre le DIMANCHE.
‘…Les VOIES DU SEIGNEUR SONT IMPENETRABLES MA SŒUR… !’
Elle se signe. Je lui tends la statue.
‘…Je voudrais faire un don … !’
‘…Oui bien sur tenez mettrez votre obole dans cette tirelire.
Elle le fait, elle introduit un billet de 50 Francs dans la tirelire du BETH LOUBAVICTCH DE LA RUE CADET.

Comme c'est étrange.

PAR ALBERT SIMEONI. Cure prêtre et Pâtre le DIMANCHE.


Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
16 octobre 2013, 02:54
COLONNES ET COLONNADES…. 4°


Le bloc est sur le tour. A l’aide d’un marteau et d’un burin plat, je casse les coins puis j’arrondis les angles au maximum. Cela me fait gagner du temps. Une fois les angles arrondis là commence le travail. Je mets en marche le tour à petite vitesse tout en approchant doucement la tête diamantée du burin. La pointe du burin avance lentement et commence à dégrossir la colonne par endroits. Il faut trois à quatre passations pour que toute la colonne commence à être uniforme. Puis avec un compas, je mesure les extrémités afin que tout soit bien dans la bonne mesure.
Un bloc de 40 X40 sur 2 métres de long fini en fin de compte avec un diamètre de 30 cm en fin de parcours.

Si je veux une colonne droite, je laisse faire la machine, si je la veux conique c'est-à-dire 20 en haut et 30 en bas, je joue avec la tête du burin. Si je la veux dorique alors là je dois calculer les rondeurs des colimaçons etc… La dorique est plus difficile à fabriquer plus maintenant avec les nouvelles machines.

Toutes les phases de l’opération doivent être surveillées du début jusqu’à la fin, j’avait une montre réveil qui me prévenait du temps de passation de l’extrémité à la fin de la colonne. Soit environ 45 minutes. Pour affiner en brut une colonne trois à quatre heures sont demandées.. Ensuite arrive le moment du polissage…

A suivre….


Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
17 octobre 2013, 09:28
Kilani l’époux de Fatouma est connu pour être un grand buveur de vin.
C’est bien simple, il lui arrive de boire trois à quatre bouteilles de gin Bokobza avant de rentrer chez lui.
Il avait demande à sa femme de bien vouloir lui mettre un kanoun chaque soir devant le seuil de la porte de la maison afin qu’il puisse reconnaitre sa demeure qui se trouve sur l’avenue Habib Bourguiba.

Un matin, sa voisine Henda, une jeune dame célibataire bien en chair, vient frapper à sa porte et lui tenir ses propos.

‘…Ye Fatouma, loucen taréf, éch zralli él bareh fél lil…. ! Si tu savais ce qui m’est arrivé hier nuit… !’
‘…Ahki en challah khir…. ! Racontes, j’espère que c’est du bonheur… !’ ( Du pur bonheur même)
‘…E’ne rakda, mou tarefni ouehdi hachek ou sbaya ( Elle a 35 ans) ou hassit kif ouéhed i mélless fiyé… ! J’étais endormie et tu sais que je n’ai personne dans ma vie, je suis vierge, D ieu t’en préserve, j’ai senti des caresses… !’
‘…Hou yé latif él lotef… ! Yakhir echkoun él zeft e’dè… ? Ô mon D ieu mais qui est donc ce mal appris… !’
‘…En dalli jéni jén… ! Je pense avoir eu affaire à un GENIE…. !
‘…YE CHOUUUUUUUUUUUUUUMI….. ! Jen ezrak lajjem… ! LA HONNNNNNTE….UN GENIE BLEU JE SUPPOSE…. !’
‘…Fél lil mé ritch lounou… ! Je n’ai pas pu voir sa couleur…!’
‘…Ou chamélèq… ? Qu’est ce qui t’a fait encore… ?
‘…I bouss fiyé ye oukheiti….Il m’embrassait ma sœur…!’
‘…YE CHOUMIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII….O LA HONTE….Ahki….Racontes… !’
‘…Ou taréf nahchém ye Fatouma béch en cémel… ! (J’ai honte de te continuer, (genre je suis pudique)
‘…Ou mébinetnèch rani okhtec e’ne Yé Hende… ! ( Olala, entre nous, je suis comme ta sœur… !’)
‘…Bââd él bouss, après les baisers, la vérité ca m’a plus… !’
‘…Saha l’okhti….Tant mieux pour ma sœur… ! Ou bââd… ? Après… ?’
‘…Ou …. !
‘…Ou chnoué… ? Quoi alors… ?’
‘…Fél hamié eli cen fiyé ou é’ne zedda….Arma célmé…Ma béneq ye MARTI FATOUMA… ? Dans la chaleur qui nous a pris, il a prononcé ton prénom Ô MA FEMME FATOUMA comme tu es bonne… !’
‘…CHNOUEEEEE……CHNOUEEEE….. ! YE LATIF EL LOTEF….Kolli él jen é’dè cen bél lahyé…. ? COMMENT COMMENT…..(Est ce que GENIE AVAIT UNE BARBE…. ?’
‘…Eye kif rajléc….KILANI….Oui comme ton mari Kilani…. !’
‘…OU Aândou 4 souaba… ? (As t’il 4 doigts… ?)
‘…E’ye kif rajlec KILANI…. !’ (Oui tout à fait.. !)
‘…Ou âândou moutandi obiod…. ?’ (Il porte une culotte blanche… ?’)
‘…E’ye kif RAJLEC KILANI… ! Oui comme ton mari…KALANI… !’
‘…MELLE KOLI ELI RAJLI GHLOT ME DAR OU TKEHL FI FARCHEC…. ? (Alors dis moi que c’est mon époux qui est rentré hier soir dans ton lit… Il s’est trompé de logis… !’ )
‘..E’ye en dalli RAJLEC…. !

‘…OUHOUOUUUUU…Aâla Kilani, essténa teoue nouaric fi… !( OUHHHHHHUUUU SUR KILANI…..Attends, je vais lui en faire entendre… !’)
En réalité, sa femme a oublié de sortir le Kanoun ce fameux soir là et c’est la voisine qui a fait sortir à le sien devant son seuil donc Kilani le pauvre homme dans sa beuverie et complètement bourré s’est trompé de maison.

Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
19 octobre 2013, 11:05
TARF QARED.

Le morceau de papier.

Avant le morceau de papier, la PAROLE D’HONNEUR.
Puis arrivait, le serrement de mains qui donnait plus de poids à l’accord verbal entre deux personnes qui faisaient affaire. LA PAROLE DONNEE était sacrée à cette époque à Tunis. Si elle n’était pas respectée, le contrevenant perdait tout crédit au regard de tout le quartier et même au delà.

Il signait ainsi sa mauvaise foi.

Qu’est ce que LE KOUIRED…. ??? Il fut. Il existât. Il existe encore mais sous une autre forme.

Le petit papier à cette époque révolue n’était ni plus ni moins qu’un reçu, un papier à lignes sur lequel le prêteur signifiait qu’il prêtait une certaine somme à un ami, un proche mais jamais à un étranger. Avec intérêt. On disait alors ‘…Aâla mout ou ââla hayé… ! A la mort ou à la vie… !’

Il y avait la signature du prêteur et de l’emprunteur, c'est-à-dire soit une croix, soit une empreinte digitale faite à l’encre noire. Deux témoins du voisinage attestaient de la véracité de l’emprunt. Bien maigre tout cela surtout lorsqu’le prêteur tombait sur qq un de mauvaise foi. Il suffisait à ce dernier de changer de ville et hop fini la dette.

Le Kouired a évolué depuis, il est devenu contrat signé entre les protagonistes devant un notable assermenté. Devant notaire aujourd’hui.

La Kettouba chez les juifs, contrat de mariage, était aussi un grand Qouired. Là ce n’est plus un prêt mais bien des conditions plus sérieuses écrites et signées dans lequel le futur époux s’obligeait à tenir parole et à respecter les modalités inscrites sur le GRAND QOUIRED. Il y allait de même pour la futur épouse.

La dot y était inscrite. En cas de divorce l’époux s’obligeait à tout rembourser. Mais hélas bcp d’époux n’ont pas tenu parole.
Avec le temps le Qouired est devenu CONTRATOU…Contrat de mariage fait devant notaire.

Rien n’ait laissé au hasard. Toutes les garanties y figurent et seul un Tribunal est apte à juger en cas de litige, de divorce.
Avant la Kettouba, le contrat du mariage civile au regard de la loi. La Ketouba au regard de Achem.

par ALBERT SIMEONI.


Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
20 octobre 2013, 10:13
Bonjour tunes, moi c'est Naceur, je vous raconte une partie de ma vie et croyez moi c'etait très beau et quant je me souviens des fois je sens mon cœur serré. J’avais 19 ans (1977) quant j’ai eu mon bac du lycée de garçon de Sousse , je suis monté à Tunis pour mes études supérieures. Ma tante ma donné un studio à la rue sakiet sidi Youssef à Lafayette . J’ ai débarqué un samedi accompagné de mon oncle Ali le proprio, la porte de l’immeuble etait fermée, ouvre avec sa clé et me la remit, au rez de chaussé le deux appartements etaient ouvert et Margot etait au seuil en train de discuter avec Mina, il me présente, en suite nous montâmes au 1er étage il sonne et me présente à Couca, Denise aussi a ouvert sa porte pour embrasser am Ali , au deuxième étage Baya etait en train d’attendre son tour. Am Ali m’installe avant de me laisser entouré de cette communauté juive tunisienne. Au début, les choses etaient un peu difficiles parce que je n’avait pas certains réflexes entre autre, tirer la porte de l’immeuble quant je sortais, mais après les choses se sont arrangées et je gagnais la sympathie de mes voisins. Petit à petit j’ai connu tout le monde Sauveur Cohen le mari de Margo, Roger Cohen le mari de Denise, Bechi le mari de Couca, et les enfants Anna, Kaki, Roger et Tomi . Avant de venir à Tunis j’avais en classe des amis juifs on etait en parfaite symbiose, je me rappelle le café palace, le cinéma l’ABC et le Vox et chez Mesbah , l’été les boumes chaque nuit y avait les Zana, les Sitbon ,les Memmi et les Sarfati. J’etais bien admis parce que leurs parents connaissaient ma grande mère l’Arifa Hmadia patronne de la broderie de Sousse entre les deux guerres. Le jour, la plage de Bou Jaffar mous reunissait et la terrasse du petit mousse, les gâteaux de Bikhour qui ne s'en souvient pas. Je me rappelle mes premier jours à Tunis, c’etait le début de l’automne, Roger la nuit caressait son Luth et chantait à faire vibrer les cœurs, je m’accoudais timidement à la fenêtre pour écouter. Un jour en rentrant après les études Sauveur, qui etait déjà bien installe, m’invite à revenir boire un verre, Margo etait la championne de la cuisine, la table etait toujours bien garnie, Gateau, salade, plat cuisinés. Plus tard Roger etait descendu avec Denise puis Couca et Bechi, Ce soir Roger a chanté et j’ai eu une sensation d'echange et d’amour familial, j’ai compris certaines choses qui jusque là m’echappaient, désormais on à un même sort, nous sommes tous tunisiens, même culture, même espoir et même peur. La suite des jours s’etait une compatibilité et une compréhension parfaite. Je laissais mon studio aux enfants pour étudier calmement, je me sentais comme le grand frère, j’encadrai et je suivais leurs cours j’assistais Anna en math, en français. J’etais toujours chez l’un ou l’autre même mes copines etaient bien acceptées.

Un jour Roger est parti en France, Denise et les enfants ont suivis après. Il faut dire que les affaire ne marchaient plus, c’etait en 80. Bechi est décédé un peu après. D’autre locataires sont venus, de temps en temps on recevait un carte de Denise nous informer de la santé et de l’évolution des choses. Ils sont même revenus un été passer des vacances à Tunis, en partant Baya les a suivi et d’autres locataires sont venus s’installer à sa place et la vie continuait son petit train train. Margo et Sauveur sentaient de plus en plus le poids des ans et un jour ils sont montés chez moi, graves et tristes, Sauveur me fait part de ses intentions de quitter la Tunisie, il a peur pour Margo, il m’a dit « Naceur, tu es mon fils et j’ai confiance en toi, je suis devenu vieux, j’ai peur quand je m’en irais Margo sera seule. Nous allons partir en France, tu sais 74 ans. Je te demande de nous aider il faut le passeport, vendre le trucs et puis nous ramener à l’aéroport. Ce jour là, j’ai senti que moi aussi je n’avais plus rien à foutre au 9 rue sakiet sidi youssef. Chaque jours faisait rapprocher les échéances. Et puis un jour Margo m’a demandé de la prendre avec Sauveur à la goulette prendre un café au bord de la mer aussi pour me montrer la maison paternelle, en rentrant on à fait un crochet sur la Marsa c’etait un moment émouvant, l’ange de l’amour planait sur eux, ils etaient accrochés l’un à l’autre ils regardaient le casino. Quelque jours après je les ai accompagné à l’aéroport et ils sont partis.

C’etait en 1984 un dimanche du mois de décembre, il faisait gris. Je savais que Margo avait un frère à Saint-Denis, il etait boucher. Elle disait à ma mère « Rabbi y kamel alik rajel , sid errjel, ouldi nacher.» Je sais que depuis des choses se sont passées, si quelqu’un se retrouve dans mon histoire prière me contacter sur Email:

Naceur

nsouayed@yahoo.fr


Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
21 octobre 2013, 12:03
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
21 octobre 2013, 15:02
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
21 octobre 2013, 23:50
Je faisais le point Meyer.
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
22 octobre 2013, 00:39
Moi aussi, mais j'ai vu rouge.
De toute façon c'est moins dangereux que de faire le poing.

Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
22 octobre 2013, 01:44
Nous n'en sommes pas là, je reconnais que ton point est plus beau que le mien.Loin d'être pointilleux, je dis la vérité sans aucune parenthése.
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