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LE PTB ET MOI ZOUZ.

Envoyé par albert 
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
19 janvier 2014, 12:07
Les retrouvailles entre anciens amis et anciennes amies goulettois et tunisois a connu un vif succès.
Dans une atmosphère chaleureuse et empreinte de sérénité qu’une centaine d’invités ont bravé le froid pour venir honorer cette réunion très amicale.

Des amis venus de Marseille ont fait le voyage pour assister à ces retrouvailles, d’autres de la banlieue parisienne n’ont pas hésité à partager ce buffet déjeunatoire.

La Direction du CCJ LA FAYETTE n’a pas lésiné sur les moyens pour donner à cette réunion un air de fête. L’organisation n’a en rien souffert de lacunes.

Je tiens à remercier notre ami Lolo, le trésorier du CCJ LAFAYETTE, pour la gestion de cette manifestation et son directeur qui nous a offert gracieusement les deux salles.

Gilbert Marzouk pour sa gestion administrative, sa minutie surtout. Un homme méthodique qui a assuré comme un chef la réception des invités.



Le but de cette manifestation… ? Comme son nom l’indique, et sur une idée, de qqs amies, il avait été décidé de programmer une rencontre. Au départ, nous avons qu’une trentaine d’invités invités au hasard ferait l’affaire voilà qu’au fil du temps, la liste de trente personnes s’allongeait à notre grande surprise. Le chiffre de 30 était largement dépassé et nous flirtions avec les 50. La salle ne pouvait accueillir que 80 au grand maximum. Chiffre qui fut atteint il y a deux semaines. Mais une nouvelle parvient à nos oreilles, le directeur nous ouvrait une salle attenante, ce qui a permis aux organisateurs d’allonger la liste. 100 invités étaient au rendez vous, bien plus que ce que nous espérions. Il s’agissait dans notre esprit de remettre sur table, nos images du passé, nos souvenirs, notre vécu et surtout savoir ce que nos amis et amies sont devenus après une si longue absence.

Nous avons été servi bien au délà de nos espérances car ces visages juvéniles que nous avons laissés là bas au pays, dans notre Goulette ont muri et bien muri. Les cheveux blancs ont remplacé les cheveux noirs et la calvitie à prit ses droits.

Qui avait t’il dans cette rencontre….Des caciques de la Goulette, Azzedine Meddeb venu de Belgique et son ami, Sydney Lellouche alias Coplan, la fleur de notre équipe, Dédé Bismuth alias Bautis et sa femme, Nanou Lellouche alias Combattant, venu de Marseille, Juliette Sarfati venu de Paris intro-muros, un ami de Bordeaux, Danielle SEBAG d’Israël, et des amis facebookiens. Matou Mimouni, notre chanteur célèbre, je passe sur ARKI et sa femme, Gilbert GDALIA, Ben ATTAR , Claude Lellouche le boucher de SARCELLES et sa femme Tilda, et j’en passe sur ces visages qui me sont revenus en mémoire, René Haccoun, Adèle Vigano, le frisson, et le frisson était partout. Ma sœur Joelle et son mari David.
Et puis il y avait Nicole Saada, Mich Azouarel, Lina Sitbon et sa sœur Pat et la sœur de YACCOUB le menuisier…Sylvain Bittan, Sylvain Sroussi…René Attal et que sais je encore …

Je ne peux tous vous citer mais je peux vous assurer de ma grande joie de vous avoir revus après une si longue absence. Le grand vertige.
Il y avait parmi nous une très belle brochette d’amis tunisois qui ont rehaussés de leur présence cette réunion conviviale.

Les premiers invités se sont présentés à l’heure dite. Dix minutes plus tard, le 4iéme étage se remplissait.

Le buffet était à la hauteur de cette manifestation et rien n’a été oublié.

Des tables étaient mises dans la seconde salle et elle fut prise d’assaut. 30 minutes plus tard, le chiffre de 100 invités fut atteint.
Après les salamalecs d’usage, nos amis se sont restaurés au grès des affinités et des anciennes amitiés. Sur le podium, Notre ami Lolo prit la parole dans un brouhaha indescriptible . Il eut du mal à faire régner le silence, des goulettois silencieux cela n’existe pas. Chacun d’entre nous à fait un tour d’horizon et les rappels d’antan furent évoqués sans complexe. Je me suis fait pour un moment marieur pour une amie mais hélas, mes enquêtes n’ont pas abouti. L’un était volage à 69 ans, l’autre ‘mikhatéta’ ( mou) quand au troisiéme, il ressemblait à FILOCHARD le héro des Pieds Niquelés donc madame et selon mes conseils n’a pas trouvé le bon vieux mec. Mais je n’abandonne pas ma mission.
Dans la seconde salle, un rassemblement groupé fut à l’honneur et nous avons tous chanté ‘…SI TU VEUX FAIRE…..etc..Sous les vivats et les applaudissements d’un public heureux.

Après Mimouni sur le podium qui peinait t à faire entendre son DVD, Breitou a prit la parole sous la caméra de notre ami ARKI, le bouffeur de lablabi. L’artiste ( bof) à rappellé à cette belle bella roba qqs histoires de son cru. Histoires mises sur FB mais reprises de vives voix devant un public fin connaisseur. Madame Lina, rouechec mta dehk, des écrous de rires, pour peu s’écrouler par ma façon de relater mes anecdotes. Je me suis rendu compte dés cet instant que j’avais un public et que je compte louer L’Olympia pour la saison 2015. Hatte él deben i kah. Puis est monté sur l’estrade Madame Juliette avec une histoire de seringue et de chat qui meurt par faute d’essence. Arrive un certain CARDOZO…( En passant merci Marguerite de te présence et de celle de Marcelle Haddad, notre ancienne hétérie) Donc nous apprenons qu’il est le fils de FIFILS connu à l’époque comme étant celui qui crachait , en baissant, le filet sur les adversaires.…Or après enquête très poussée, nous nous apercevons qu’il n’en était rien, qqs investigateurs bien renseignés ont déjoué la supercherie. Il n’était pas le fils de celui qu’on croyait. Enfin, après qqs bonnes paroles, tout ce beau monde se disloquait pour rejoindre l’ascenseur.
La fête se terminait dans la bonne humeur.


CE GRAND BESOIN DE SE RETROUVER.

Qu’est ce qui pousse des anciens amis à ce revoir… ? That is the question… !

L’homme ou la femme, la nature humaine ne reste pas insensible au devenir d’ autre.

Curiosité mal saine non… ? Mais plutôt une grande envie de savoir ce que les anciennes années ont fait de nous. L’âge a fait de nous des consommateurs du savoir…Savoir qui est devenu qui… ? Comment le temps a joué sur notre esprit, sur nos formes. Sur notre nouvelle façon de revisiter notre histoire commune après les terribles tragédies qui ont poussé bcp des notres à partir.

Or, personne n’en a parlé comme si nous voulions bannir de notre esprit certaines vicissitudes pour les remplacer par ce que nous avions, dans l’esprit, de meilleur. Et dans notre esprit, nous avons gardé ce que vous tous avez visionné. Des images de joie, de plaisir, des groupes d’amis dans des postures rigolotes, des images de sport sans s’attacher aux mauvaises choses. Les mauvaises choses n’ont d’impact que si on leur donne trop d’importance, ce ne fut pas le cas.

Nous avons vécu une période commune qui n’existait nulle part ailleurs et n’existera plus et nous avons remis en selle cette période où le rire, la fratrie , le tménic, l’amitié n’a de sens que si notre esprit est resté tel qui était là bas au pays de la mer et du soleil.
C'est-à-dire conforme à nos valeurs.

Cette réunion nous a conforté dans l’idée que, malgré nos soucis, nos préoccupations, l’amitié n’a pas de prix et supprime tous les aprioris. Cette rencontre en est la preuve.
Nous avons comblé ce houach
.


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Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
22 janvier 2014, 03:44
Les enfants nés sous l’air d’la mer
Sentent le varech depuis longtemps
Et si leurs cheveux ressemblaient aux algues
Leurs oreilles avaient la form’ d’coquilles
Pour mieux capter l’écho d’la mer
Mais jamais ils ne bavaient
Comme l’écume des vagues folles.

Dans leur sang coulait l’ Nestlé
Doux et sucré comme ils étaient
Et jamais l’amère dans leurs idées.

Si les filles de mon pays avaient l’air si jolies
C’est qu’elles ressemblaient à des sirènes
Sorties d’une onde marine bien faite.


Les enfants nés sous l’air de l’mer
Avaient le teint halé, bronzé
Mais jamais blanc comme le jasmin
Moins encore que la couleur du p'tit train
Ou le cachet d’aspirine du matin.

Ils avaient dans leurs yeux
Le reflet d’la mer bleue
Mais jamais un soupçon
De Rkeika et de Bleda.

Les enfants nés sous l’air d’la mer
Sentent le varech depuis longtemps
Et si leurs cheveux ressemblaient aux vagues
Leur mine était joviale sur tous les quais
Qui les ont portés.

Leurs oreilles avaient la form’ d’coquilles
Pour mieux capter l’air du temps,
Et l’âge fait toujours d’eux des enfants

Qui n’ont pas grandis pas même au Paradis.
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
23 janvier 2014, 09:20
Dans la boutique MABEL mta EL MEBEL…

Je vends des hrouchouts pour la magie. Bel afia ye diwen.
Une dame toute pâle déjà qu’elle est noire charbon.

‘…Mr voilà, j’ai un grand souci… !’
‘…Vous ne m’apprenez rien… !’
‘…Je suis bloquée depuis une semaine… !’
‘…Donc…. ?’
‘…Si vous avez qq chose pour me débloquer… !’
‘…Ok, je pense qu’il faut faire un peu de spiritualité, des encens… !’
‘…Comment je fais… ?’
‘…Je vous explique, vous prenez cet encensoir vous y mettez un charbon et juste un peu de ST MICHEL en grains et tout ira bien…N’oubliez pas vous mettez le canoun entre vos jambes et vous PASSEZ par-dessus 7 fois… !’
‘..Et vous croyez que cela va me débloquer parce que j’ai bu un tas de trucs et je suis encore bloquée… !
‘…Oui croyez en mon expérience… !’
‘…Mais vous croyez que cela va soulager ma CONSTIPATION… ?

‘…AHHHHHHHH….ALORS C EST UNE HOKNA QU’IL VOUS FAUT YE HNEKA… QUE TU ES… !’

Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
23 janvier 2014, 09:29
Ø Je ne bois jamais à outrance, je ne sais même pas où c'est.
> Ø Parler à un con, c'est un peu comme se masturber avec une râpe à fromage : beaucoup de souffrance pour peu de résultat.
> Ø L'ouverture d'esprit n'est pas une fracture du crâne
> Ø Je n'ai jamais abusé de l'alcool, il a toujours été consentant.
> Ø Si vous parlez à Dieu, vous êtes croyant... S'il vous répond, vous êtes schizophrène.
> > > Ø 5 fruits et légumes par jour, ils me font marrer... Moi, à la troisième pastèque, je cale.
> Ø L'alcool tue mais combien sont nés grâce à lui ?
> > > Ø Un jour j'irai vivre en Théorie, car en Théorie tout se passe bien.
> Ø La médecine du travail est la preuve que le travail est bien une maladie !
> Ø Le Lundi, je suis comme Robinson Crusoé, j'attends Vendredi.
> Ø C'est en buvant n'importe quoi que l'on chope n'importe qui !
> > > Ø IKEA est le meilleur prénom pour une femme : suédoise, bon marché, à emmener aussitôt chez soi et facile à monter.
> Ø Dieu a donné un cerveau et un sexe à l'homme mais pas assez de sang pour irriguer les deux à la fois.
> Ø La lampe torche. Le PQ aussi.
> Ø La pression, il vaut mieux la boire que la subir.
> Ø Jésus changeait l'eau en vin... et tu t'étonnes que 12 mecs le suivaient partout !
> > > Ø Si la violence ne résout pas ton problème, c'est que tu ne frappes pas assez fort.
> > > Ø Zoé demanda à Robinson de la croire et Robinson Crut Zoé.
> Ø Travailler n'a jamais tué personne mais pourquoi prendre le risque

>
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
23 janvier 2014, 12:58
GIFLES…LANCEES D’EAU…POUR LA DECHE…( béatitude).

Nous, anciens goulettois et pour la plupart d’entre nous nés et élevés dans cette période heureuse, nous nous souvenons.

Nous nous souvenons que nos mamans avaient les mêmes pratiques, les mêmes coutumes et les même us. US…TENSILES AUSSI.
Je vous parle ce soir de coutumes vieilles de je ne sais combien de temps.

Du temps où là bas au pays des merveilles qui nous a tant donné de joies et de plaisirs, je vous narre certaines pratiques issues d’un autre âge.

Le KEF…

La Gifle celle que l’on donnait aux enfants, aux adultes qui sous le coup d’une très forte émotion prenait l’air béat…DECHE…D’où que MEIHA yerhama disait souvent à ma mère ‘…Aâtti KEF NEHILOU EL DECHE… ! Donnes lui une baffe pour qu’il se réveille du choc, sous entendu qu’il reprenne conscience.. ! Sinon le gosse, l’enfant restait la BOUCHE OUVERTE TOUTE SA VIE…Donc LA GIFLE avait le pouvoir de lui ôter cette chose affreuse. Dés fois, c’était deux claques et parfois même TROIS à tel point que le bambin tombait KO… ! A son réveil, le gosse se demandait ce qu’il lui arrivait alors la maman lui disait ‘…Ghdit fejye… ! Tu as eu une peur et le voilà se mettre à pleurer. MESKINE.

Mon frère Richard on a reçu des KFOUFS…D’où son air encore béat. Sa béatitude l’a rendue qd même dentiste…Ses clients ont tjs la bouche ouverte. Lol. Sans recevoir de gifles.

Un autre usage voulait que les gifles soient remplacées par un jet d’eau…Sur le visage, donc l’enfant tjs sous un choc ‘ peureur’ était pris par surprise, par derrière, la maman avait un HALLEB (récipient en zinc) remplit d’eau et venait lui arroser par un geste rapide et intempestif, son doux visage. Donc l’enfant avait à gérer un premier choc et ensuite le choc du verre d’eau. Ou de la baffe.

Les yeux écarquillés, il se demandait qu’est ce qui lui arrivait et la maman disait ‘…KHDIT FEJYE YE OULDI..’ Et le gosse à se remettre à pleurer.

Des fois, la gamin avait droit à deux baffes et trois sceaux d’eaux au point qu’il pouvait se noyer mais rabi mââ, heureusement qu’il y avait la MDARBA ( matelas) pour amortir LES DARBAT…(les coups)

Et après cela, elle demandait au fiston d’aller faire pipi…. A cause du CHEFFIR ( jaunisse, purée quelle débat) Et l’enfant obéissait même s’il n’avait pas de pipi….Il pissait…Il pissait quoi brabi… ?

Dés fois, des mamans plus gentilles lui serraient les tempes afin que ces dernières ne tombent pas, une tempe à terre ca ne c’est jamais vu mais deux précautions valaient mieux qu’une. C' ETAIT AVANT.

Ou alors la maman lui faisait HAZAK EL TERMINE…SERRAGE DES FESSES là je ne sais pas pourquoi.

Peut être pour que le choc ne tombe pas dans ses selles…

On attendant, je mets ma selle et je pars au GALOP
.
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
27 janvier 2014, 10:38
[histoireetsociete.wordpress.com]

LES VENTRES FECONDS.

Tels des vers sortis de ventres obscurs
Ils sont le reflet de cette mauvaise nature.
Qui sillonnent nos rues de Paris
En dansant avec leurs bras maudits
La quenelle qu’ils ont blanchie
Regardez les français de souche
L’écume sale blanchie leur bouche.

Du geste malsain, ils ont fait leur étendard
Des injures sorties comme des dards
Aussi obscènes qu’elles ne sont plus rares.

Dans les rues de Paris, les ventres féconds
Accoucheront encore de cette espèce de cons.

Appréciez donc leur ramage
Qui fait briller leur langage
Et leurs yeux fous de rage
En dit long sur ces visages
Qui crèvent l’écran par leur message.


Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
29 janvier 2014, 02:22
KHLE KHELLI OU LAZAR I DOUR.
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
29 janvier 2014, 12:30
Comme en PROVENCE
Mais sans les champs
Le chant des cigales
Durant nos étés chauds.
Résonnait dans l’air
Comme le tocsin de notre Eglise.

§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
Bien loin d’ l’PROVENCE
Ou bien du LAVANDOU
Nous ne cultivions pas
La fleur de lavande
Mais des orties HI HI HIIII…
Des piquants nous en avions
Dans nos champs vagues….
Vagues de mon pays
A L’écume odeur du jasmin ;
§§§§§§§§§§§§§
Quand le vent soufflait, imprégné imbibé
Par nos senteurs, nos bougainvilliers
Nous saluaient, ils frôlaient nos têtes
Sous leur passage, par-dessus les murs
Par-dessus les villas…
Il en sait des choses le GALLULA…

Et la silhouette de la dégazza
Pieds nus portant son enfant
Comme Marie porte son Jésus,
Sur son dos comme un baluchon,
Sous ses ombres

Elle se R.E.PO..SAIT.
§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§

_________________________________________________


Le nez en l’aIIIir
§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
Les yeux au ciel
Les pieds dans l’eau
Et dans nos poches
Peu d’sous ni d’essous
Mais des graines de sable
Jusque sous nos lits…HI HI HI…
Jusque dans nos lits…..
§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§

Le nez en l’air
La frimousse rose
Parfois pâle….
§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
L’air du temps
Nos pieds par terre
C’était notre ère
Où nous errions
Selon nos envies
Nos passions,
Pas loin des flamands.

Rose était notre vie
Bien que petits à l’O.S.E
Et bien soumis aux froncements
Des cils de nos parents respectés
Aux nerfs de bœuf
Au manche à balai
Aux moindres aveux
Nos fesses en soufraient.

Le nez par terre
Les yeux baissés
Le front suant
Le teint halé
C’tait le respect
Que nous devions
Aux voisins de palier
DU QUARRR…TIER…

OLEEEE…CARAMBA//////§§§§§§

________________________________________________________



§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§

Quelle étrange ressemblAAance
Quelle étrange coïncidence
Le Bou Kornine et ….. Le Vésuve
Deux copies conformes
Deux deux cornes usées
Fières et majestueuses
Bien élancées vers le ciel
De nos rêves tout en bleu.

Fiers comme nous l’étions
Quelque soient nos nez
Aquilins, crochus, tordus ou laids
Nous en étions honorés.

Fiers comme nos yeux Goulettois
Qu’ils fussent bridés, tirés, ridés ou rétrécies
Verts, bleus ou bi- colors marrons ou noirs
Ou même bornes, nos regards
Etaient le même pour tous.

Fiers comme notre montagne
Qui bravait le vent,
Et qui au loin dessinait
Le signe de la VictoiiIIre
La victoire des uns et des autres
Contre tous les maux,
Mais nos mots n’ont jamaIIis
Pris par la forme du mépris
Conjugué sous notre temps,
Mais celui du respect initié par nos parents,
Que nous avions les uns vis vis des autres
Là bas ….

Au pays qui fut le mien…

Au pays du Votre
.


Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
30 janvier 2014, 05:40
C'est desolant de voir ce qui se passe en france.
Mais tous ceux qui pensaient ou pensent que qqchose a change depuis la derniere guerre mondiale se trompent!!!!! car si la Hollande, le Maroc et d'autres pays avaient eux refuse de colaborer avec les nazis,la france elle, n'a pas hesitee a envoyer sans hesiter des femmes avec leur bebe dans les bras,et leurs petits enfants aux camps de la mort.
On n'a pas le droit d'oublier, car si oublie, on fini par assister a ce que l'on voit sur cette video.
Ou etait la police et les forces de l'ordre?
Honte, honte a la france
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
10 février 2014, 03:36
HEUREUX COMME JUIFS EN TERRE DE TUNISIE.

Le philosophe a dit ‘…On emporte avec soi, un peu de sa terre dans ses talons… !’

Un peu de terre…. ? Alors que nos chaussures portent encore des kilos de sable et nos nez sentent encore l’algue et les immondices de notre chère ville. Même que le vent et la pluie de Paris n’ont jamais pu les dissoudre dans l’oubli.

Ce n'est pas un peu de terre mais des tombereaux de souvenirs qui donnent à notre ancienne terre cet élan, cette volonté de tjs se raconter.
On a emporté nos couscoussiers, nos beignets, nos fricassés et que sais je encore, nos jeux anciens mais dans l’esprit.

Nous avons emporté nos joies et nos tristesses.

Nos espoirs et nos contradictions, nos fâcheries et nos paix, nous avons emporté ce qu’on a pu emporter en laissant là bas ce qui nous rendu heureux.
Nous avons laissé nos amis HABIB...MOULDI et...Pour DUPON ET DUCON.

Nous avons transféré nos assises un peu partout en laissant là bas nos chaises vides.

Nous avons emporté deux trois valises bourrées de vêtements et même que la mloukhiye accompagnait certaines familles. Il a poussé depuis ce ragout mais différemment certes toujours cuisinés à la manière tune. On a laissé leur gout juif tune , on a retrouvé le gout français. Américain, israélien… !!!

On a laissé quoi… ? Nos tombes, certains les ont emportées. D’autres vont les voir mais dans quel état… ? Bcp ont laissé leurs vieux, trop lourds à emporter. Qui pourra le leur reprocher… ? Personne.

Et puis notre langue se perd. Elle se perdra. Mellah raha sebya rahat. Mais il y aura tjs un, une qui nous la rappellera encore assis ou assise qq part et personne ne la comprendra. Il ou elle parlera seul avec les murs.

HEUREUX QD MEME NON...???



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