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LE PTB ET MOI ZOUZ.

Envoyé par albert 
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
05 avril 2015, 03:50
]Nouvelle.

L’amoureux …et son arbre.

Il avait 17 ans.

Sa camarade de classe en avait autant.

Elle siégeait; devant lui, à trois bancs du sien et il n’avait que pour seul décor une tresse.

Il tombe amoureux d’elle sans que jamais une parole ne s'échange, aucun début d’amitié.

Lorsqu’on aime, la timidité prend le dessus. Pas un seul billet doux.

Durant les récrés, il se cachait derrière un arbre pour l’aimer de plus belle.

Elle habitait juste en face de sa maison. Elle avait un balcon sur rue…Et aussi un arbre qui trônait sur le coté opposé de son trottoir et qui lui servait de paravent.

Le matin, il sortait bien avance pour épier ses sorties…Idem pour les rentrées du midi …Aussi le soir après la sortie des classes. Il la suivait de loin sans jamais l'aborder.

Son arbre partageait aussi sa passion.

Il faisait corps et âme avec ce puceau qui se morfondait sous les draps de son lit à la nuit tombée.

Les mois passent et l’arbre essuie les larmes de ce jeune amoureux…Piégé par son sentiment….

Puis un jour, un taxi…Des valises devant le seuil de sa dulcinée qui n’a jamais rien su de cet amour platonique….

Elle part pour un ailleurs…

Qqs jours plus tard, l’arbre tombe malade…La Municipalité… le décapite…[/color].
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
06 avril 2015, 02:16
'....Jeunes… ! Surtout n’oubliez pas d’accrocher vos oreillettes de partout où vous êtes afin de n’entendre personne, Vous les jeunes qui se tortillent comme des malades dans un couloir d’asile, je vous vois autant que vous être, sur des quais de métro et vos corps filiformes prennent soudain l’allure d’un Elastoc, cette petite silhouette noire, héros d’une bande dessinés…

De temps à autre, une débile ou un débile sautille sur un pas de danse, virevolte, se ‘rapte’.

Bien sur, on me rétorquera ‘… A chacun son époque, à chaque ère sa mode, cette mode qui accroche même les plus de 30 ans….Plongés dans un monde du silence qu’il ne faut pas déranger….

Je les observe dans le wagon de métro ces jeunes meufs et ces jeunes gens aux oreilles baguées, tatoues, qui ne se rendent pas compte qu’on les écoute et qui, parfois ‘hurlent’ envers une déception qui les attend de l’autre coté du fil.

Passent encore pour ces dames et ces hommes bien habillés qui lisent sur un écran des pages et des pages sur leur ‘book’ portable alors qu’un livre au toucher donne la sensation de vivre une énigme, un roman et de flairer le papier….Ici l’écran obéit au doigt…Du serviteur du maitre comme un chien qui attend sa pâtée…

Le dialogue des SMSIENS, loin des yeux, devient l’expression muette, où toutes les ardeurs s’étalent sans qu’un seul regard ne croise l’autre…


Merci Jeunes d’être là et de faire avancer ce monde dans la joie et le bonheur. Lol.
Sans vous, que serions nous, des détails RASSIS de l’histoire ancienne...!'

Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
06 avril 2015, 11:22
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
06 avril 2015, 14:33
PAGE 1/11°

Toutes ressemblances avec des personnes connues n’est que fortuite.
Roman.

Ernestina La jeune fille du quai.

Ernestina, une jeune adolescente de 16 ans, vivant avec son père à la Picola Chichilia, erre sur le quai du fort Charles Quint par un beau dimanche ensoleillé.

Elle tombe en arrêt devant une balancelle qui porte deux têtes sculptées de la Madonna de Trapani recouvertes de feuilles dorées. Une à l’avant et l’autre à la proue.

Elle reste émerveillée devant cette œuvre qui plombe son regard.
‘…C’est l’œuvre de notre ébéniste Giacomo, mademoiselle…. !’
Elle se retourne et là, elle voit derrière elle Vincenzo, le fils du propriétaire de la balancelle.

Mr Canamella, patron pêcheur, et propriétaire de 5 balancelles.
La jeune fille éblouie par la beauté du jeune homme de 25 ans baisse les yeux …

‘…Elles sont très belles… !’ Dit t’elle en pointant son index vers les deux têtes sculptées.

Puis elle se décide de retourne chez elle, préparer le déjeuner de son papa.

A suivre…



Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
07 avril 2015, 01:21
SEMSSILINOU ET DAHINOU.

Lors de la liturgie des deux soirs de la fête de Pâque….Nous prononçons ces deux mots, deux compagnons de route, qui reviennent durant cette fête depuis des siècles.

Sem’ssilinou veut dire '...Qu'A chem nous épargne…de ces plaies ( Les 10 plaies).

Da’hinou (chanté 3 fois) en tapant la table veut dire ‘…Qu’il en soit ainsi… !’ Lorsqu’on débite les bienfaits que A chem à fait envers son peuple.

Pour le premier…La nomination des 10 plaies telles que citée dans le siddour fut une tragédie pour le Peuple Égyptien. Heureusement aujourd’hui que la plupart de ces plaies n’ont plus courts.

Mais nous avons à subir d’autres plaies, plus modernes, plus violentes contre nous, les plus graves sans doute LE RACISME et L’Antisémitisme qui prévalent dans certains esprits prompts à nous accabler de tous les mots et maux.

Ce n’est pas un Pharaon que nous avons à nos trousses mais des milliers, sinon des millions d’individus transformés en PHARAON et en HITLER.

Moché n’est plus là pour nous délivrer de toutes ces pestes mais bcp de canaux nous sont ouverts pour passer de l’autre coté de la barrière…

Aujourd’hui Israël est devenu notre MOCHE.

Par lui nous passons en un clin d’œil de la ‘tyrannie’ des forces du mal à la liberté de vivre dans un pays qui nous fut donné.

DA’HINOU….Qu’il en soit ainsi.


Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
07 avril 2015, 06:33
"SEMSSILINOU ET DAHINOU".
Mon ami bebert,
SEMSSILINOU: Che "Achem" iatselenous, qu'Achem nous sauve...de tous nos ennemis.


DAHINOU. Cela nous aurait suffit.

Hag sameah ya houya
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
07 avril 2015, 10:48
hot smiley...Yossef tu sais que les tunes sont un peu exentriques...!!
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
07 avril 2015, 11:36
Le CHÊNE ET LE ROSEAU ( suite)

Hêtre ou ne pas être… ?

Du roseau qui plie mais ne rompt,
Le chêne à ses pieds, agonise.

De ses racines en l’air,
Coule sa précieuse sève
Par son corps meurtri.

Le Saule pleureur s’en abreuve
Autant qu’herbes sauvages que mortes.

‘…Je vous demande pardon
Cher confrère, mon air hautain
sur le sol s’étale et mes râles annoncent
Ma fin bien proche…Nul remède naturel me sera utile.
Je vous recommande mon fils,
A mes pieds mourants, secs Ils le seront au matin… !’

Qu’une grande nation*
Aussi puissante qu’elle soit,
Se donne les moyens de faire plier la petite nation*
Par toutes sortes de menaces,
Il arrive qu’un jour l’histoire
Lui donne tort.

*Usa
** Israël.




Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
07 avril 2015, 11:44
Re: LE PTB ET MOI ZOUZ.
08 avril 2015, 03:19
Qu’est-ce un vrai goulettois…. ??

Un vrai goulettois est né de d’une maman, cela va sans dire, qui n’est pas à coup sur une goulettoise, autant pour le papa.

Mes parents sont nés à Tunis puis sont ‘montés’ à la Goulette, un an après leur mariage.

Beaucoup de parents ne sont pas goulettois.

Les enfants le sont devenus bien plus tard.

Etrangers donc dans un patelin qui allait devenir un centre d’attraction. Un village de villégiature où il fait bon vivre. D’où que la Goulette s’est peu à peu remplie de nouvelles familles.

Je rappelle que la Goulette était ce qu’on appelle juste un lieu de repos, une station pour les carrosses en partance vers le nord.
Les deux oukallas n’étaient que des auberges pour les gens du voyage. Tout au début.

Le jeune goulettois est donc né, non pas dans un château mais dans un appartement modeste. Les juifs, les français et les maltais etc sentant la bonne affaire firent construire plus tard, des immeuble, des villas, etc…

Les appartements devenait étroits à mesure que la famille grandissait.
Le bébé goulettois sera élevé, non pas par une nurse anglaise, mais bien par sa maman.

Le petit prendre la sein assez longtemps la blédine et les petits pots de confiture n’avaient pas courts en ce temps là, donc hachoué et sarmoula. Il n’aura pas de hochets moins encore un ourson, une peluche ni un machin suspendu au dessus de tête pour écouter du Mozar.

Dans son berceau, ses petites fesses, point de pampers, seront protégées par ‘un sar’ (un ballot de tissu absorbant) et le tout enveloppé par une ‘lebda’. Il va ressembler donc au petit enfant d’Olive, la femme de Popeye.

S’il va pleureur longtemps, la maman va le prendre dans ses bras et lui fait du ‘tek’nin’…Dodo Ninette n’était pas encore à la mode…Ni Ninette ni Nini….S’il a trop mal aux dents, un carreau de sucre bien frotté sur ces premières gencives fera l’affaire et surtout y’avait pas de pédiatres….Ni de psy…S’il a de la fièvre, vinaigre ‘fouk el cambouya mta mokhou’…Sur sa timbale. S’il pleure trop la nuit, son papa dira ‘…In yaddin rabou… !’ Juron sur D ieu.

Comme la maison est étroite, il n’aura pas de parc, il sera mit à terre dés l’âge de 8 mois pour se balader entre tables, chaises et sous le lit…Qayad yah’bou…Il va glisser sur un parterre rugueux….

A suivre…

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