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GTB GAZOUZ - Le Site qui désaltère.

Envoyé par ladouda 
Re: GTB GAZOUZ - Le Site qui désaltère.
14 août 2015, 01:38

Shin Bet : Israël a contrecarré 17 attaques suicides cette année
L’agence de sécurité révèle une augmentation croissante du terrorisme cisjordanien, terrorisme qui prend de nouvelles formes.

Le terrorisme palestinien de 2015 est très différent de celui auquel Israël a fait face pendant les premières années de la seconde Intifada.

Les armes sont improvisées, il n’y a plus d’ « hommes recherchés » qu’Israël traque pour avoir orchestré les attaques ; en effet, il n’y a souvent pas de soutien organisationnel. Mais l’effort pour perpétrer des attaques terroristes contre des cibles israéliennes s’intensifie.

Selon les statistiques du Shin Bet, les forces de sécurité israéliennes ont empêché 17 attaques suicides jusqu’à présent cette année – ce qui signifie 17 attaques en seulement sept mois. Ce chiffre ne comprend pas les attaques empêchées par l’Autorité palestinienne, qui a démantelé plusieurs cellules qui projetaient des attaques.

Cinq des 17 attaques contrées par Israël avaient été planifiées par des membres du Hamas, cinq étaient prévues par d’autres groupes, et les sept autres restantes n’étaient associées à aucune organisation.

En d’autres termes, les cellules terroristes sont maintenant souvent établies sans affiliation à un groupe palestinien, mais plutôt sur la base des présentations entre amis, étudiants à l’université et / ou les liens établis par l’intermédiaire des réseaux sociaux. Ces cellules sont exceptionnellement difficiles pour les services de sécurité à pénétrer.

Cette forme de terrorisme est censée être un type de terrorisme « amateur ».

Mais jusqu’à présent cette année, Israël a également empêché huit enlèvements planifiés par ces amateurs – et, là encore, ce chiffre ne comprend pas les enlèvements empêchés par l’Autorité palestinienne. Parmi ces huit tentatives, quatre ont été planifiées par des membres du Hamas et le reste par le Jihad islamique et d’autres groupes.

En tout, au cours des sept premiers mois de 2015, l’establishment de la défense et de la sécurité d’Israël a empêché 111 tentatives d’attaques terroristes, y compris les attaques avec des armes et des attentats à la bombe ainsi que les enlèvements et les attentats suicides.

Le Hamas est le premier contrevenant, révèle les chiffres du Shin Bet, qui est responsable de plus de la moitié de ces tentatives (62, pour être précis, soit 55 %).

Mais même le Hamas n’utilise plus les mêmes méthodes que celles qu’il employait entre 2000 et 2006 en Cisjordanie.

Ses membres opèrent la plupart du temps sur une base locale – les membre du Hamas qui se connaissent depuis l’enfance, sont voisins dans la même ville palestinienne ou viennent du même village. Une telle cellule est connue pour avoir existé à Beit Lakiya, pas à Modiin, sans aucune aide extérieure et sans financement de Gaza ou de l’étranger.

Ces cellules se reposent souvent à l’improvisation pour leur choix d’armes et leurs plans pour les utiliser. Étonnamment, la Kalachnikov n’est plus à la mode ; sa place a été prise par les armes fabriquées localement.

Ceux-ci incluent le « Carlo », nommé d’après le fusil sans recul Carl Gustav, dont la version palestinienne est fabriquée en Cisjordanie et a été utilisée par quelques terroristes. Un « Carlo » coûte seulement environ 700 dinars jordaniens (près de 1 000 dollars). Une Kalachnikov ou un M-16 coûte beaucoup plus chers.

Les terroristes eux-mêmes sont également différents.

En Cisjordanie, être un terroriste recherché n’est plus à la mode. Les terroristes d’aujourd’hui n’ont aucun désir pour un mode de vie en cavale ; ils veulent commettre l’attentat et ne pas être puni pour – et revenir à leurs emplois, leurs vies ordinaires.

Dans presque tous les cas d’attaques déjouées, les cibles étaient dans les Territoires, pas en Israël. Aucun des attentats suicides évités n’a été prévu pour des cibles à l’intérieur de la Ligne verte, apparemment en raison du risque et de la complexité.

Les terroristes palestiniens de Cisjordanie en 2015 trouvent qu’il est beaucoup plus facile de se livrer à des fusillades ou de poser des bombes en bordure de route de l’usine dans les Territoires, avec les résidents d’implantation et les soldats comme cibles.

Les partisans palestiniens du Hamas participant à un rassemblement avant les élections du conseil étudiant à l'Université de Birzeit, à la périphérie de la ville de Ramallah, le mardi 6 mai 2014 (Crédit : Abbas Momani / AFP)
Les partisans palestiniens du Hamas participant à un rassemblement avant les élections du conseil étudiant à l’Université de Birzeit, à la périphérie de la ville de Ramallah, le mardi 6 mai 2014 (Crédit : Abbas Momani / AFP)

Il y a aussi des groupes qui sont mieux organisés, via des hiérarchies régionales en Cisjordanie. Mais ces groupes sont moins dangereux, car ils sont plus vulnérables à la fois aux efforts du Shin Bet et des renseignements de l’Autorité palestinienne.

Ils rappellent les hiérarchies terroristes du « Hamas classique », qui mobilisaient le soutien via une gamme de services sociaux, connu comme Dawa, à partir de laquelle ils ont appris à recruter des terroristes. Ils ont une présence impressionnante, par exemple, dans les syndicats d’étudiants du Hamas, y compris notamment ceux de l’Université An-Najah à Naplouse et à Bir Zeit au nord de Ramallah.

Le Hamas s’en sort extraordinairement bien dans les élections syndicales des étudiants de ces universités en raison de son activité sociale généralisée pour les étudiants.

Il y a aussi les infrastructures terroristes du Hamas en Cisjordanie qui sont dirigées par un « un centre de commande de Cisjordanie » depuis la bande de Gaza.

Un groupe de terroristes qui a été libéré lors de l’échange de prisonniers Gilad Shalit de 2011 et expulsé vers la bande de Gaza a créé, au sein de l’aile militaire du Hamas, une structure de commandement pour diriger les attaques terroristes en Cisjordanie.

Chaque membre de ce groupe est responsable d’une cellule, habituellement basée dans la région où il a l’habitude de vivre, et de superviser le recrutement.

Ce centre de commandement de Gaza est dirigé par un groupe de terroristes originaires de Hébron, dominé par Abd a-Rahman Ghanimat.

À l’occasion, ils transfèrent des fonds à leur peuple en Cisjordanie, mais leurs succès ont jusqu’à présent été assez limités. En dépit de leur fonctionnement au sein de l’aile militaire dans la bande de Gaza, il y a un degré de séparation sociale et même culturelle. Les membres du « centre de commandement en Cisjordanie » ne sont pas considérés comme étant particulièrement précieux, et sont considérés comme un peu étroit d’esprit et pédant.

Enfin, il y a des cellules du Hamas en Cisjordanie qui prennent les commandes du leadership à l’étranger. Le plus connu des chefs de la terreur à l’étranger est Saleh al-Arouri, qui aurait, selon Israël, orchestré en juin 2014 l’enlèvement et le meurtre des trois adolescents israéliens – l’acte terroriste qui a finalement déclenché la guerre de 50 jours de l’été dernier.

Selon un reportage de la Dixième chaîne, il a récemment quitté la Turquie et vit maintenant à Doha, au Qatar, aux côtés de la direction politique de son organisation.

Al-Arouri est considéré comme « le commandant militaire de la Cisjordanie », un opérateur capable, charismatique, soupçonneux, et fin, avec d’excellentes connexions à l’étranger et chez les Palestiniens. Dans le passé, il avait l’habitude de nous parler à nous les journalistes israéliens comme si c’était une routine pour lui.

Contrairement aux autres groupes terroristes et leurs dirigeants, al-Arouri se concentre en grande partie sur le long terme – la mise en place des cellules dormantes, la contrebande d’armes de haute qualité.

Ahmed a-Nagar, qui a passé du temps en Jordanie et coordonné la fusillade fatale du mois de juin en Csjordanie de Malachie Rosenfeld, est l’un des plusieurs autres exilés du Hamas qui travaillent en parallèle avec lui.

Al-Arouri préfère garder un profil bas dans l’ensemble et toutes les attaques ne sont pas coordonnées par lui.

Son principal objectif est de reconstruire les infrastructures du Hamas en Cisjordanie, qui a été lourdement endommagé au cours de la dernière décennie. Si le terrorisme palestinien d’aujourd’hui est marqué par l’absence d’un soutien organisationnel efficace, Al-Arouri est à l’avant-garde des efforts visant à changer cela.

Re: GTB GAZOUZ - Le Site qui désaltère.
15 août 2015, 00:34


Le ministère de la Défense déjoue une tentative de piratage de son réseau
L’information sur l’origine de la cyberattaque a fait l’objet d’une ordonnance d’obligation de silence

Des cadets en formation dans l'unité de Cyber Défense de l'armée israélienne, le 10 juin 2013 (Crédit : Unité de porte-parole de Tsahal)
Des cadets en formation dans l'unité de Cyber Défense de l'armée israélienne, le 10 juin 2013 (Crédit : Unité de porte-parole de Tsahal)
Le ministère de la Défense a déjoué plusieurs tentatives de cyberattaques visant son réseau ouvert au cours des dernières semaines, a annoncé lundi la Deuxième chaîne .

Un email envoyé aux employés du ministère de la Défense contenant une pièce jointe portant des logiciels malveillants, qui auraient donné accès à distance aux ordinateurs ouverts en réseau du ministère, a été en grande partie bloqué par l’unités anti-piratages du l’armée.

Le message infecté a, cependant, réussi à passer par les mailles du filet par le biais d’une poignée d’employés de divers départements du ministère de la Défense, mais n’a pas violé le système.

Les fonctionnaires du ministère ont précisé que le logiciel était un type de cheval de Troie d’accès à distance, qui donne aux pirates accès aux fichiers informatiques, ainsi que la possibilité d’enregistrer les frappes de touches et de prendre des captures d’écran d’ordinateur.

Des détails supplémentaires sur l’origine de la tentative de piratage sont sous le sceau du secret en raison d’une ordonnance de silence imposée sur ces informations, selon le reportage.

Dans un effort pour améliorer les procédures en cybersécurité, le personnel de sécurité au ministère avaient averti les employés du risque de futures cyberattaques, en insistant sur les signes avant-coureurs qui indiquaient que les pirates tentaient d’infiltrer les ordinateurs du ministère de la Défense.

Le ministère de la Défense, en réponse, a déclaré que même si la sécurité du réseau avait été violée par le cheval de Troie, son matériel classifié n’était soumis à aucun risque. « Ce n’était pas [une attaque ciblant] le réseau interne et / ou des informations classifiées, plutôt sur notre site Internet, qui est non classifié ».

« Les systèmes de défense du ministère ont agi pour empêcher que l’Internet ne soit pas du tout touché », a poursuivi la communiqué.

L’annonce de lundi intervient un mois après que l’autorité cybernétique nationale du bureau du Premier ministre ait averti qu’Israël pourrait être la cible d’une imminente cyber-attaque à grande échelle.

Les ministères et les agences de sécurité ont été alertés et devaient rester attentifs à d’éventuelles modifications de leurs systèmes informatiques. Les responsables de la sécurité ont reçu l’ordre de se préparer à « tout scénario possible », avait révélé en juillet le quotidien israélien Haaretz.

Dans les deux dernières années, Israël a été pris pour cible par un certain nombre de cyber attaques. Les responsables ont attribué ces tentatives d’infiltration à des pirates affiliés au Hezbollah et au gouvernement iranien.

En avril, les pirates du groupe de hackers Anonymous avaint défiguré des dizaines de sites israéliens dans le cadre de ce qu’il a menacé d’être un « holocauste électronique ». Surnommé OpIsrael, les pirates anti-israéliens ont ciblé des sites gouvernementaux et d’organisations israéliennes, leurs pages Facebook et ont eu accès à des e-mails personnels.

Ces attaques annuelles n’ont jusqu’ici pas causé d’interruption des services Internet en Israël, et ont échoué à empêcher le fonctionnement des principaux sites du gouvernement.

En réponse, Israël a investi des ressources afin de rationaliser ses capacités cyber offensives et défensives, et a annoncé le mois dernier la création d’un nouveau corps de défense israélienne responsable de toute la cyberactivité d’Israël.

Israël est devenu un centre de recherche et développement en cybersécurité, avec des multinationales des États-Unis, d’Europe et d’Asie installant des laboratoires de recherche et développement pour développer des meilleurs stratégies et des technologies plus efficaces de cyberdéfense.

Les entreprises de cybersécurité israéliennes exporteraient 3 milliards de dollars de connaissances, de services et de solutions chaque année, et développent de nombreuses technologies dont le monde aura besoin dans les années à venir pour protéger les banques, les infrastructures et les serveurs des gouvernement.

L’an dernier, des pirates chinois avaient réussi à pénétrer dans les entreprises de sécurité israéliennes et à voler des informations sur le système Dôme de fer d’Israël, le missile Arrow, les flottes de drones et d’autres systèmes de sécurité.


Re: GTB GAZOUZ - Le Site qui désaltère.
16 août 2015, 08:29


Pour Protéger son Peuple,
Netanyahou Fait comme Churchill.
Il Cherche à Influencer la Politique Américaine

Par Alan Dershowitz, avocat, spécialiste de la Constitution, commentateur et auteur.
Un nouveau livre "L'affaire de l'Accord sur le nucléaire iranien, comment peut-on maintenant arrêter l'Iran d'acquérir une bombe" (Rosetta books)
14/8/15
Traduit par Albert Soued, écrivain [soued.chez.com] pour www.nuitdorient.com

Benjamin Netanyahou agit loyalement en essayant de s'opposer aux Accords de Vienne sur le nucléaire. Et Obama agit déloyalement en l'accusant d'interférer dans les affaires américaines, et en insinuant qu'aucun autre chef d'état étranger n'a tenté de le faire. "Je ne me souviens pas d'un exemple similaire" dit-il

Obama se trompe sur l'histoire américaine, comme il se trompe en politique.
De nombreux dirigeants étrangers ont essayé d'influencer la politique des

Etats-Unis, quand leurs intérêts nationaux étaient en jeu.
Lafayette a tenté d'impliquer l'Amérique dans la Révolution Française, alors que les premiers colons cherchaient eux-mêmes un soutien de la France dans leur propre révolution.

Winston Churchill est apparu devant le Congrès des Etats-Unis et a cherché à l'influencer sérieusement pour sortir l'Amérique de son isolationnisme, au début de la 2ème Guerre Mondiale.

Et Obama ne doit pas ignorer des faits récents, quand il a invité, lui-même, David Cameron, le 1er ministre du Royaume Uni, pour faire du "lobbyisme" en faveur de l'accord nucléaire avec l'Iran.

De même, Shinzo Abe, le 1er ministre japonais, a cherché à nous entraîner récemment en faveur du Partenariat Transpacifique.


Or, eu égard à l'accord sur le nucléaire, les enjeux sont beaucoup plus importants pour la nation juive que pour les nations qui ont participé à la négociation. Et Israël a été exclu des négociations. Tout dirigeant israélien est en droit d'exercer n'importe quelle influence, pour obtenir un débat sur ce sujet.

Il est de notoriété publique que le 1er pays visé par la quête iranienne d'un arsenal nucléaire, c'est Israël. Rappelons-nous les propos de l'ex-président iranien Hashemi Rafsanjani qui disait qu'Israël était l'"Etat d'une seule bombe", pouvant être détruit instantanément, alors que l'Iran ou l'Islam ne pouvait pas être détruit par une réplique.

L'Iran n'a jamais menacé la Grande Bretagne, la France, l'Allemagne, la Russie ou la Chine. Et même les Etats-Unis, considérés comme le "Grand Satan", ont peu à craindre d'un arsenal nucléaire iranien.

Le président Obama pense-t-il sérieusement qu'Israël doive rester silencieux et accepte les conséquences d'un accord qui met sa population en danger ?

Comme Netanyahou l'a souvent répété, Israël n'est pas la Tchécoslovaquie d'avant-guerre. En 1938, ce pays a été, lui aussi, exclu de négociations qui ont abouti à son démembrement. Mais, à l'époque, la Tchécoslovaquie n'avait aucune capacité d'influencer cette politique des nations, ni la capacité de se défendre militairement.

Ce qui n'est pas le cas d'Israël, aujourd'hui.

Les Etats-Unis n'auraient, eux-mêmes, jamais accepté un accord négocié par d'autres, qui mettrait en danger ses citoyens. Aucun dirigeant américain ne se serait tu face à un tel accord. Israël a le droit et le devoir de manifester son inquiétude devant un accord qui, non seulement a traversé ses propres lignes rouges, mais celles fixées par le Président Obama lui-même.

L'attaque d'Obama contre Netanyahou, -- pour avoir fait ce que lui-même aurait fait dans les mêmes circonstances, -- a encouragé ceux qui dénigrent Israël à traiter les Américains qui le soutiennent de "double loyauté". Nous sommes en pleine désinformation…

Je suis moi-même un démocrate libéral, opposé en son temps à l'invasion de l'Irak, et j'ai voté à 2 reprises pour la présidence d'Obama. On ne peut pas accuser de va-t-en-guerre ceux qui sont opposés à l'accord, parce que, tout simplement, nous avons la profonde conviction que cet accord nous mène à la guerre !

Il faudrait que le président Obama cesse d'attaquer ceux qui critiquent son accord, à l'intérieur du pays comme à l'extérieur, et plutôt écouter nos appréhensions. C'est pourquoi, j'ai mis au défi l'administration Obama de débattre du sujet à la télévision nationale, occasion merveilleuse de mettre au clair notre politique étrangère, comme dans les débats Lincoln-Douglas.


Il faut savoir qu'aujourd'hui la majorité des Américains et du Congrès sont opposés à l'accord. Et c'est à la charge du Président de convaincre le public du contraire. Nous sommes après tout en démocratie. Et le Président n'a pas été élu pour imposer sa volonté, appuyée par 1/3 d'une Chambre du Congrès +1, alors que la majorité des Américains ont exprimé leur opposition.

Qu'on cesse alors de pointer du doigt et que le débat commence !


Re: GTB GAZOUZ - Le Site qui désaltère.
19 août 2015, 03:11


Le régime iranien augmentera le financement des organisations terroristes déterminées à la destruction d’Israël, a averti mardi le Premier ministre Benjamin Netanyahu depuis la frontière nord d’Israël, quelques jours après un exercice mené par l’armée dans la région en vue d’un conflit de grande envergure contre les groupes soutenus par l’Iran.

S’exprimant lors d’une visite au siège du commandement de la region nord de l’armée israélienne près de la frontière libanaise, Netanyahu a averti que l’Etat juif observait de près ses frontières et frapperait toute entité qui menacerait sa sécurité.


« Ce que nous avons toujours affirmé se réalise, » a déclaré Netanyahu en référence à son opposition à l’accord nucléaire entre les puissances mondiales et Téhéran.

« L’argent qui ira aux organisations terroristes parrainnées par l’Iran sera utilisé pour un objectif déclaré – la déstruction d’Israël. »

« Je suis ici pour garder un œil attentif sur la préparation de l’armée israélienne contre ces menaces. Nous sommes prêts à tous les scénario. Ceux qui tentent de nous nuire, nous allons les frapper », a-t-il affirmé.

Selon la radio israélienne, le ministre de la Défense Moshe Yaalon et le chef d’état-major de Tsahal Gadi Eisenkot ont également participé à la visite.


Selon les informations publiées dimanche dans les médias en hébreu, l’armée israélienne se préparait à une éventuelle opération terrestre sur le côté syrien du plateau du Golan en cas de tirs de roquettes prolongé ou d’attaques terroristes coordonnées contre Israël, soit par des djihadistes sunnites soit par des agents du Hezbollah.

Le nombre d’islamistes s’infiltrant dans la zone proche de la frontière avec Israël a placé l’armée israeélienene en état d’alerte, a rapporté dimanche la Deuxième chaîne, ajoutant que l’armée a organisé la semaine dernière un exercice à grande échelle simulant une éventuelle avance en Syrie et l’évacuation de civils israéliens des localités frontalières.

L’exercice a inclus la préparation d’un scénario dans lequel les forces islamistes lancent une attaque élaborée sur plusieurs fronts contre les soldats israéliens, semblables aux attaques contre les forces de sécurité égyptiennes dans le Sinaï au cours des dernières mois, a ajouté la chaîne.



L’armée israélienne se préparerait également à une éventuelle offensive du Hezbollah télécommandée par l’Iran; un officier de Tsahal expliquant que des centaines de membres du Hezbollah sont présents dans le Golan, et que Téhéran a été derrière plusieurs attaques récentes contre Israël.

Les responsables israéliens ont régulièrement soulevé des inquiétudes sur la présence de combattants iraniens et de Hezbollah utilisant des positions sur le Golan syrien, partiellement contrôlé par les forces rebelles, pour attaquer Israël.

« Il est clair que l’Iran est derrière toutes les attaques terroristes ici [dans le Golan] depuis deux ans, » a déclaré dimanche l’officier de Tsahal lors d’un briefing avec des journalistes.

« Les Iraniens utilisent la frontière – ils établissent des unités – pour mener à bien [les attaques] – que ce soit celles de [Jihad] Mughniyeh, de [Samir] Kuntar, et d’autres encore. »

Selon la Deuxième chaîne, le Hezbollah a accru sa présence sur le côté libanais de la frontière avec Israël, se joignant aux patrouilles et aux exercices de l’armée libanaise, malgré les limitations imposées sur les mouvements du groupe terroriste dans le sud du Liban après la Seconde guerre du Liban en 2006.

Il y a eu un certain nombre d’incidents transfrontaliers sur le front israélo-syrien au cours des dernières années pendant que la guerre civile faisait rage, dont un certain nombre de tirs de roquettes qui auraient été menés par des groupes rebelles ou par les forces régulières d’Assad.

Des informations font état qu’Israël serait derrière un certain nombre de raids aériens contre des cibles sur le sol syrien visant à empêcher le Hezbollah d’acquérir des armes de pointe.

L’armée israélienne affirme que l’Iran essaie systématiquement de livrer des armes au Hezbollah via la Syrie, suggérant que certains convois passent malgré nos tentatives d’interception ».


Re: GTB GAZOUZ - Le Site qui désaltère.
20 août 2015, 13:23


Où était le drapeau israélien lors de la rencontre de mardi entre Yitzhak Herzog et Mahmoud Abbas ?
Posté le 20 août 2015 par admin — 1 commentaire ↓
Le président de l’Union sioniste ( parti travailliste ), Yitzhak Herzog, a déclenché une vague de protestation sur les réseaux sociaux depuis qu’il accepté mardi de poser pour une photo avec le président de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, malgré le fait qu’il n’y avait pas de drapeau israélien derrière lui, comme l’exige le protocole.
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Yitzhak Herzog et Mahmoud Abbas à Ramallah – Crédit photo : porte-parole du Camp sioniste
Herzog a posté mardi une photo de la réunion sur sa page Facebook et y a écrit : « Ne soyez pas inquiets, nous allons assurer un avenir meilleur pour nos peuples ».

Les commentaires critiques des internautes ne se sont pas fait attendre, voici quelques exemples :

Amir Moyal écrit : « Abou Mazen vous a dit de ne pas apporter un drapeau mais vous n’êtes pas inquiet, nous n’avez pas peur, vous osez !!!! Vous lui avez joué un tour avec une cravate bleue et une chemise blanche, votre drapeau israélien !!!! Maintenant, vous avez trouvé votre leader !!! ».
Yaki Morad écrit : « La prochaine fois, apportez un drapeau avec vous ».
Irit Hodorov écrit : « Que voulez-vous de lui, les gars ?, le drapeau d’Israël est dans sa buanderie ».
Ronen Braverman écrit : « Si vous représentez l’Union sioniste, où est le drapeau de votre pays ? ».
Amir Levy écrit : « Chers enfants, aider s’il vous plaît Buji ( Herzog ) à trouver le drapeau manquant dans l’image ».
Boaz Golan, qui dirige le site d’information 0404, avait eu un regard différent sur la question : « Contrairement à beaucoup de gens qui vous attaquent verbalement sur votre page Facebook en disant que vous devriez avoir honte qu’il n’y ait pas de le drapeau israélien à vos côtés sur cette photo, moi, j’ai compris que vous n’avez pas voulu voir notre drapeau aux côtés de celui d’une organisation terroriste comme l’OLP ».

Cela prouve une fois de plus que « L’Union sioniste » ( qui n’en porte que le nom mais pas les idées ) est prête à tout pour prendre un selfie avec le terroriste Abbas en faisant une déclaration ridicule qui n’engage que lui, alors que son interlocuteur encourage aux violences contre les juifs et rémunère les terroristes de son peuple qui sont dans nos prisons…

[koide9enisrael.blogspot.fr]


[www.tribunejuive.info]

Re: GTB GAZOUZ - Le Site qui désaltère.
21 août 2015, 00:26



Bernard Maro Directeur de recherche CNRS

INTERNATIONAL - La lutte "pacifique" contre l'occupation de la Palestine par Israël se focalise autour d'une campagne de boycott (BDS pour Boycott, Désinvestissement, Sanctions). Or cette organisation et ses supports les plus virulents dérivent de plus en plus vers un antisémitisme qui se cache de moins en moins. Déjà l'année dernière, lors des manifestations contre l'opération « plomb durci », menée par Israel à la suite de l'envoi de centaines de roquettes de Gaza vers son territoire, on avait entendu des cris de "mort aux juifs", quatre synagogues avaient été menacées ou attaquées (Belleville, Tournelles, Roquette et Sarcelles), des commerces juifs attaqués à Paris et en banlieue.

Les événements qui ont suivi les attentats de janvier avaient mis en évidence une rupture au sein de la gauche, une partie de celle-ci ignorant l'antisémitisme des terroristes et ne voulant que dénoncer l'islamophobie possible à venir, en association avec des organisations islamistes. Cela avait même atteint des sommets lorsque le Parti des Indigènes de la République, une des organisations de cette mouvance, avait dénoncé le "philosémitisme d'État" qui favoriserait l'antisémitisme dans notre pays, afin de dédouaner et justifier ces dérives.

Six mois plus tard, la diabolisation d'Israël et des juifs n'a pas cessé.

Voici deux exemples tirés de l'actualité récente, concernant le boycott culturel d'Israel:

Des organisations pro-palestiniennes ont tenté de faire interdire l'événement "Tel Aviv sur Seine" que la mairie de Paris organisait en partenariat avec la mairie de Tel Aviv, municipalité de gauche, très ouverte et cosmopolite. N'y parvenant pas elles ont organisé "Gaza plage" pour "faire entendre la voix de la Palestine occupée, colonisée, emmurée, bombardée". Or si en Palestine il y a bien une occupation israélienne et des colons, ce n'est pas à Gaza. Les derniers colons ont été évacués en 2005 et l'armée israélienne s'est retirée de l'autre côté de la ligne verte (ligne de cessez-le-feu de 1949), frontière entre la Palestine (Cisjordanie et Gaza) et Israël. Reste le quatrième terme : bombardée. C'est le seul qui puisse s'appliquer à Gaza. Mais ces organisations oublient de dire que depuis qu'Israël s'est retiré en 2005, plus de 8 000 roquettes visant des zones civiles (2 par jour en moyenne sur 10 ans) ont été tirées depuis la bande de Gaza sur l'État hébreu.

Ces organisations ont donc choisi comme étendard de la Palestine un territoire qui n'est ni occupé, ni colonisé, mais qui est sous le contrôle du Hamas: une organisation islamiste totalitaire, sexiste, homophobe dont la charte prévoit la disparition d'Israel et un statut de citoyens de seconde zone pour les non-musulmans. Pourtant, il existe en Cisjordanie des villes qui subissent la colonisation et l'occupation israélienne, comme Hebron, ou une poignée de colons rend la vie impossible à des dizaines de millier de Palestiniens.

Pourquoi Gaza plutôt que Hebron: la réponse est simple, dans le cas d'Hebron on ne peut utiliser les termes de "génocide" (bien que la croissance démographique de Gaza soit extrêmement élevée) ou de "camp de concentration à ciel ouvert" (comme si les camps nazis étaient sous terre). Cette terminologie qu'elles aiment tant employer favorise l'amalgame "sionistes = nazis". L'autre terme de cet amalgame qui fonctionne bien dans cette mouvance, c'est "juif = sioniste": on a donc pu entendre sur les quais de la Seine scander "sionistes, sales juifs, c'est vous les terroristes".

Le second événement met encore plus en évidence ces dérives: le festival de musique espagnol "Rototom Sunsplashun" avait invité Matisyahu, un chanteur américain juif de reggae et de hip hop. Les pressions de BDS ont amené les organisateurs de ce festival à lui demander d'écrire une lettre ou de faire une vidéo donnant sa position sur le conflit israélo-palestinien. Devant son refus, le festival a déprogrammé Matisyahu.

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Israël lève la détention administrative d'un Palestinien en grève de la faim
"Le festival n'a cessé d'insister pour que je clarifie mes opinions personnelles... Ce que j'ai ressenti comme une façon de me pousser à prendre parti pour les options politiques de BDS. Franchement, il était malhonnête et offensant qu'étant le seul artiste juif américain programmé au festival, on veuille me faire faire des déclarations politiques. Était-ce requis des autres artistes programmés?".

Un pas de plus dans les dérives de BDS: si un artiste est israélien juif, il est boycotté, s'il n'est pas israélien mais juif, il doit faire allégeance à BDS pour pouvoir se produire.

Le mois dernier, Omar Barghouti, fondateur de BDS, dans une interview au Monde disait clairement que le but de BDS est la disparition d'Israel en tant qu'État pour les juifs (via le retour de tous les réfugiés palestiniens en Israel afin que les juifs deviennent minoritaires). Cette convergence de vue avec le Hamas n'est pas fortuite. Les partisans de la grande Palestine sont tout aussi nocifs pour la paix que les partisans du grand Israel. Il y a un an, lors de la dernière guerre de Gaza, Charlie Hebdo titrait "La Palestine à deux problèmes, ses ennemis là-bas, ses amis ici". Ceci est toujours.

Mais depuis ils ont présenté des excuses et le chanteur participera à ce festival.

BDS a été créé par un Barghouti depuis la Judee-Samarie.
Et repris par les idiots utiles .

En août 2002 des palestiniens appellent à un boycott économique culturel et académique d’Israël.

En octobre 2003, des universitaires et intellectuels palestiniens de l'intérieur et de la diaspora appellent à un boycott des institutions universitaires israéliennes.

En avril 2004, Omar Barghouti, avec un groupe d'universitaires[37] et d'intellectuels réunis à Ramallah lance la Palestinian Campaign for the Academic and Cultural Boycott of Israel (en) (« Campagne palestinienne pour le boycott académique et culturel d'Israël ») [38],[39]. Les objectifs de cette campagne, qui fait suite à un précédent appel émis en 2003 par des universitaires et des intellectuels de Palestine et de la Diaspora, seront précisés lors d'une déclaration en juillet[38]. Le 06 juillet est lancé l'appel pour le boycott universitaire et culturel d’Israël ("call for academic and cultural boycott of israel") ; Omar Barghouti tient à préciser que le PCACBI dans cet appel comme dans toutes ses autres déclarations, ne vise pas des individus mais vise seulement des institutions[40]. La PACBI a travaillé étroitement avec le Comité britannique pour les universités de la Palestine ((en) BRICUP (en)) qui fait pression sur l'Association des Enseignants en Université ((en) AUT (en)) pour adopter un boycott académique des universités israéliennes[41].

Formellement lancée par 171 organisations non gouvernementales palestiniennes[1],[2],[3],[Note 2] le 9 juillet 2005, un an jour pour jour après l'avis de la Cour internationale de justice sur la Barrière de séparation israélienne, la campagne BDS, qui se réfère explicitement aux campagnes de boycott ayant été conduites contre le régime d'apartheid d'Afrique du Sud, demande à exercer des pressions sur l’État d’Israël jusqu'à ce que celui-ci se conforme au droit international, et notamment aux résolutions de l'ONU.


Re: GTB GAZOUZ - Le Site qui désaltère.
21 août 2015, 23:34


Est ce le début d'une guerre civile en Europe fomentée par l'EI ? Car si pour assurer la sécurité dans les trains, on doit installer dans chaque gare, un service de sécurité identique à celui d'un aéroport,,, ça sera la fin de tout ! Et en plus une montée du racisme à la clé, et comme conséquence ?

[mobile.lemonde.fr]

Re: GTB GAZOUZ - Le Site qui désaltère.
23 août 2015, 03:22


POT POURRI POLITIQUE sans PERIODICITE ni PRIORITE

PPPPP N° 145


Albert Soued et www.nuitdorient.com – N° 145 - le 24 août 2015

Autorité Palestinienne (AP)

Les analystes économiques estiment que l'AP a reçu un total de 25 milliards $ en aide financière des États-Unis et d'autres pays, au cours des deux dernières décennies. Les États-Unis ont investi 4,5 milliards $ dans la promotion de la démocratie en Cisjordanie et dans la bande de Gaza et pour stimuler le processus de paix israélo-palestinien.

Or depuis sa naissance en 1993, l'AP n'a jamais été un régime démocratique et n'a pas œuvré pour une paix réelle avec son voisin. Les Palestiniens n'ont vu aucune amélioration de leurs conditions de vie, principalement en raison de la corruption de l'AP. Des documents en ligne sur les réseaux sociaux donnent des détails sur des fonctionnaires de l’AP abusant de fonds publics, révélant leur corruption endémique et leur mauvaise gestion.
Selon un chercheur de l'Université Bir Zeit, Tariq Dana, 81% des Palestiniens sont persuadés que leurs institutions, aussi bien à Gaza qu'en Judée-Samarie, sont touchées par la corruption, le clientélisme et le népotisme, et l'étaient déjà avant 1993 et l'AP.

40% du budget serait détourné.

De ce fait, 24% des Palestiniens sont favorables à l'Etat islamique.

Syrie

- Connu pour être l’un des plus grands spécialistes de l’Orient antique, Khaled el-Assad, âgé de 82 ans, avait consacré 50 ans de sa vie au site de Palmyre qu’il avait dirigé jusqu'en 2003. Capturé par les jihadistes de l'Etat Islamique (EI), à leur entrée à Palmyre, il fut interrogé sur un "supposé trésor caché", torturé et assassiné. Son corps a été accroché à un poteau, sa tête posée sur le sol…

- Pour sauver Bashar el Assad de la chute entre les mains de l'EI, la Russie a renforcé son arsenal, en dépêchant l'intercepteur MiG-31 Foxhound, suivi du Condor Géant livrant 1000 missiles antichars Kornet-9M133 de la 3ème génération.

- L'EI a encerclé la ville d'al Qousayr et battu les miliciens du Hezbollah qui gardaient le passage de Joussiah qui relie la ville de Homs au Liban. Cette avancée de l'EI lui ouvre la voie à la fois sur la capitale Damas et sur la route du Liban, où l'Iran ne tardera pas à y semer le chaos, comme au Yémen.

- Malgré ses déboires face aux jihadistes de l'Etat Islamique (EI), le Hezbollah cherche depuis 6 mois à créer un nouveau front sur le plateau du Golan. Dans ce but, il essaie d'obtenir des armes iraniennes stockées dans des arsenaux syriens, comme le système de défense aérienne SA-22 et les missiles de croisière Yakhont.

- Le président Obama aurait accepté que l'Iran, en tant que nouvelle puissance régionale et non plus un état "paria", résolve sans intermédiaire le chaos syrien. Dans cette hypothèse, le Hezbollah se dégagerait du front syrien, pour se concentrer sur le Liban…

Il serait remplacé par les Brigades al Qods, bras extérieur des Gardiens de la Révolution d'Iran, dont le commandant serait Saeed Izadi.

Irak

- Des peshmergas kurdes assurent avoir été la cible d’une attaque au chlore dans la région de Makhmour. Il est prouvé aujourd'hui que l'EI n'hésite pas à procéder à des attaques chimiques (chlore, gaz moutarde, ypérite,..), les produits venant des stocks syriens.

- L'envoyée spéciale de l'ONU contre la violence sexuelle dans les conflits, Zainab Bangura, affirme avoir mis la main sur un document de l'EI, détaillant les prix de vente des enfants et des filles à de riches clients du Moyen-Orient. "Les petits garçons et les petites filles, âgés de 1 à 9 ans sont vendus à environ 165 $ chacun, les adolescents garçons et filles eux sont vendus 124 $ et les prix baissent encore plus si les filles sont âgées de plus de 20 ans".

Iran

Un accord secret concernant le contrôle du site nucléaire militaire de Parchin prévoirait l'inspection des installations, non pas par les experts de l'AIEA, mais par ceux de l'Iran !

Israël

- Directeur du Centre International Vidal Sassoon à l'Université hébraïque de Jérusalem, Robert Wistrich, grand spécialiste de l'antisémitisme, qui a disparu en mai, a laissé un grand héritage duquel il ressort que le narratif antisémite le plus grossier, repris par les pseudo-intellectuels de gauche -

- ou dits juifs comme un certain S. Sand --, consiste à raconter que les Juifs ne sont pas originaires du Moyen Orient.

Dans ce qu'on appelle le "yishouv yisrael" ou Palestina selon les Romains, il y a toujours eu des communautés juives, tout au long des siècles, alors que les tribus arabes, venant de la péninsule arabique, n'ont envahi les lieux qu'au 7ème s.

Dans la Palestine mandataire anglaise, ceux qu'on appelait "palestiniens", c'était les Juifs; les Arabes étaient appelés "syriens immigrés" ou "égyptiens immigrés". Il faut savoir aussi que 900 000 Juifs ont été chassés des pays musulmans du Moyen Orient entre 1948 et 1973. Par ailleurs la quasi-totalité des Juifs du monde ont une ascendance, plus ou moins lointaine, plus ou moins directe, en provenance du "Yishouv" ou liée à lui. (voir www.nuitdorient.com/n7.htm )

- La formule du chef de l'Olp, Yasser Arafat, de 1980 "la paix pour nous signifie la destruction d'Israël et rien d'autre" n'a à aucun moment ému "ces humanistes pacifistes mondialistes", qui se consolaient de leur marxisme perdu, en devenant antisionistes.

- A propos de l'incendie criminel d'une maison à Douma provoquant la mort d'un bébé et de son père, ainsi que l'ire internationale, l'enquête piétine et, vu la géographie des lieux et leurs accès, il semblerait que la piste arabe soit la plus probable, comme cela s'est produit dans le passé dans des affaires similaires.

- 52% des Palestiniens vivant à Jérusalem opteraient pour la citoyenneté israélienne selon un sondage réalisé par la chaîne 2 (en augmentation de 19 points en 5 ans), contre 42%qui préfèreraient être citoyens d'un état palestinien.

Etats-Unis

- Après un mois de discussions intenses, la plupart des organisations juives et notamment l'American Jewish Committee ont décidé de s'opposer aux accords de Vienne sur le nucléaire iranien.

- Le Secrétaire à l'Energie, Ernest Moniz, qui a participé aux négociations de Vienne s'est adressé aux juifs américains en leur disant que l'administration Obama était préoccupée par le fait que la levée des sanctions financières inciterait l'Iran à soutenir
encore plus le terrorisme et les actions de déstabilisation du Moyen Orient.

Et les aides au Hezbollah sont l'exemple le plus flagrant. De même, Moniz a dit qu'il était scandalisé par la rhétorique anti-Israël et antisémite de l'Iran, mais qu'il n'avait jamais entendu parler de plan B crédible pouvant supplanter les accords signés à Vienne.

- Selon les Iraniens, rapportés par MEMRI (l'Institut de Recherches Médiatiques du Moyen-Orient), Obama a entamé des négociations secrètes avec l'Iran à sa demande en 2011, se servant du sultan Qabous ibn Saïd, roi d'Oman, comme intermédiaire, alors que Mahmoud Ahmadinejad était encore le président de l'Iran. Obama aurait été déjà prêt à lever les sanctions dans les 6 mois, tout en reconnaissant l'Iran comme une puissance nucléaire.


- Pour Obama, l'opposition à sa volonté des accords de Vienne, initiée par Binyamin Netanyahou, est devenue "juive". Alors que l'opposition américaine aux accords est de 52% contre 28%, il se permet de dire au Sénateur démocrate Schumer, qui venait de lui annoncer son opposition: "Notre pays n'a pas besoin d'un autre Joe Libermann au Sénat…!"

- Pour faire approuver par le Congrès ses Accords, Obama mène une gigantesque campagne financée par le milliardaire George Soros, spécialiste des causes "gauche-caviar". Celui-ci vient d'acheter, à très bas prix, des actions de sociétés minières de charbon (Peabody Energy et Arch Coal) dont les cours se sont effondrés à Wall Street, du fait de la campagne écologique encouragée par le président …

- JStreet le lobby "juif" promu par Obama et financé par George Soros, pour concurrencer l'AIPAC, a nommé une musulmane d'origine pakistanaise, Anna Farouqi comme présidente de son antenne universitaire…

- Le président Obama vient de faire changer le serment d'allégeance des nouveaux Américains, afin qu'ils puissent se soumettre à la loi islamique qui interdit de porter l'uniforme, pour aller se battre contre un autre Musulman. Le "U.S. Customs and Immigration Service" (USCIS) ajoute maintenant au serment "un candidat peut exclure les clauses liées au port des armes pour se battre pour les Etats-Unis ou pour faire un service non combattant dans les forces armées, si sa foi religieuse s'y oppose ou s'il a une objection de conscience" !

Canada

Avec une campagne de "crowd-funding" en ligne, l’ONG de Steve Maman, un Juif de Montréal, a déjà racheté et libéré 130 femmes et fillettes yézidis, sur des milliers encore en captivité en Irak, esclaves sexuelles de l'Etat islamique. L’homme d’affaires et père de six enfants a créé cette ONG il y a 8 mois et il paye 1 000 à 3 000 $ pour libérer chaque femme ou fille. Au démarrage, Steve Maman a compté sur les dons de la communauté juive séfarade et il a réussi à réunir depuis le début 450 000 $.

France

Selon le professeur d'économie JH Lorenzi, comme l’éthologie humaine le démontre, l’état de paix ne correspond pas à la nature humaine. L’agressivité intra spécifique est la règle dans notre espèce.
L’idéal kantien ou chrétien moderne de la paix perpétuelle n’a jamais fonctionné. L’histoire humaine est véritablement structurée par la guerre.
L’état de paix n’est qu’une transition passagère entre deux états de guerre. La guerre est très ambiguë, ambivalente plutôt, comme la fameuse innovation destructrice de Schumpeter. Elle est à la fois un facteur de destruction et d’évolution.

Contrairement à une idée reçue, depuis la fin du néolithique les guerres n’ont représenté qu’une cause marginale de la mortalité. Vouloir éliminer la guerre (idéologie pacifiste), c’est aussi stupide que de vouloir éliminer la sexuation (idéologie du genre), la religion et l’économie privée (idéologie marxiste) ou le sentiment d’appartenance et d’identité ethniques (idéologie cosmopolite).

Le problème n’est pas d’éliminer les guerres, c’est de les gagner, et le plus rapidement possible, pour que les effets positifs de la victoire l’emportent sur les effets négatifs de l’effort guerrier trop prolongé. L’auteur de cette vision de la guerre n’est ni Sun-Tzu ni Clausewitz, mais un certain Jules César. A bon entendeur, Salut !


Re: GTB GAZOUZ - Le Site qui désaltère.
24 août 2015, 01:12


Arabes Israéliens, Sionistes,,, et fiers de l'être.

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Re: GTB GAZOUZ - Le Site qui désaltère.
25 août 2015, 01:13


Ceci n’est pas un attentat islamiste
24 août 2015, 07:57 9

MARC REISINGER

Les balbutiements de l’Etat français face à l’attaque du Thalys par un Marocain de 26 ans surarmé sont l’occasion de rappeler que la justice française s’évertue depuis près de 15 ans à dissimuler ou à minimiser les attentats islamistes en France.

Chaque terroriste successif est qualifié de « forcené », ou de « loup solitaire, autoradicalisé », même s’il est fiché et surveillé par les services de renseignement depuis des années.

Cette farce a commencé immédiatement après les attentats du 11 septembre aux Etats-Unis.

Dix jours plus tard, le 21 septembre 2001, l’usine AZF à Toulouse était le siège d’une gigantesque explosion, tuant 30 personnes, en blessant des milliers et ravageant des quartiers entiers de la Ville rose. 45 minutes après l’explosion, le procureur annonçait qu’il y avait « 99 % de chances » qu’il s’agisse d’un accident.

Qu’importe la découverte du cadavre portant 4 couches de sous-vêtements d’un travailleur intérimaire lié à des réseaux islamistes qui, quelques heures avant l’explosion, agressait un chauffeur affichant un drapeau américain sur son camion, en mémoire des attentats du 11 septembre, en proclamant : « Vous allez tous sauter »…

Elaborés pendant des années, l’acte d’accusation et le procès n’envisageront que la piste d’un accident industriel (jamais démontré), n’accusant précisément personne, sauf ceux qui suspectaient un attentat – à savoir de nombreux journalistes, 65 % de la population toulousaine, et même le juge antiterroriste Bruguière…

Le ministre des Affaires étrangères Hubert Védrine dévoilera le fond de sa pensée 10 ans plus tard : “C’était une erreur tragique de proclamer, comme l’a fait George W. Bush, la ‘guerre contre le terrorisme’ (formule bizarre, le terrorisme n’étant pas une entité, mais une technique) comme le problème numéro un du monde, et de tout articuler de façon binaire autour de cette seule question. » (Le Monde, 9/9/2011).

Quant au président Chirac, tenu par une cohabitation avec le PS de 1997 à 2002, à la veille d’élections présidentielles, avec une population comprenant 6 à 8 millions de musulmans, il ne pouvait se permettre d’apparaître comme « islamophobe ».

Dès le 18 septembre 2001, Jacques Chirac s’était d’ailleurs rendu à Washington pour ”relayer certaines craintes quant à une riposte trop brutale des Etats-Unis. Le vocabulaire guerrier, voire manichéen, utilisé depuis une semaine par le président Bush, qui a appelé à une « croisade » contre les « faiseurs de mal », inquiète Paris. La France est notamment préoccupée par les risques d’amalgame entre le terrorisme islamiste et l’ensemble du monde musulman et par les risques de déflagration, en particulier au Proche-Orient. Sur CNN, Jacques Chirac a ainsi refusé de parler d’un « choc de civilisations » entre l’Occident chrétien et l’islam. » (Nouvelobs,18/9/2001).

Cette prise de distance à l’égard de la politique américaine s’accentuera lors de l’invasion de l’Irak en 2003.

Il est désolant que ces divergences de politique étrangère – non dénuées de fondements -, se paient d’un déni de la réalité, tant au niveau de l’existence du terrorisme islamiste que de ses causes, déni dont le grand public souffre gravement.

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